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Yaoundé - 19 avril 2024 -

La Cameroon Oil Transportation Company (Cotco), la société qui gère l’oléoduc Tchad-Cameroun du côté camerounais, vient de récompenser les meilleurs élèves des écoles primaires et du secondaire de l’arrondissement de Nanga-Eboko, dans la région du Centre du pays, a annoncé l’entreprise.

Au total, 864 élèves ont reçu des bons d’achat pour une valeur globale de 22 millions de francs Cfa, afin de leur permettre d’acheter les fournitures scolaires pour la prochaine rentrée. Commentant ce geste de Cotco, le maire de la commune de Nanga-Eboko, Romain Roland Eto, a indiqué que «Cotco est une entreprise capitaliste à visage humain. En ciblant la jeunesse, elle fait un pari sur l’avenir».

Guillaume Kwelle, le Directeur des relations publiques de Cotco, a profité de cette occasion pour réitérer que l’entreprise pétrolière entend «renouveler tous les ans cette action qui pour elle est le symbole de la reconnaissance de l’excellence scolaire». Bien avant Nanga-Eboko cette année, les localités de Kribi, Belabo, Belel, Touboro, Ngoumou et Lolodorf, toutes traversées par le pipeline Tchad-Cameroun, ont déjà bénéficié de cette action de Cotco.

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Le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp), structure qui coordonne au plan institutionnel la gestion du pipeline Tchad-Cameroun côté camerounais, vient d’annoncer qu’un nouvel acteur est opérationnel sur cet oléoduc depuis le mois de janvier 2015. Il s’agit, apprend-on, de la China National Petroleum Company (CNPCIC), qui est active dans les champs pétroliers du Tchad.

En l’espace d’un an, China National Petroleum Co est le 2ème nouvel opérateur qui arrive sur le pipeline Tchad-Cameroun, 10 mois seulement après la compagnie canadienne Caracal Energy Inc, en contrat de partage de production sur les blocs Mangara/Badila au Tchad. Caracal Energy avait effectué l’enlèvement de sa première cargaison (950 000 barils) du brut tchadien via le pipeline Tchad-Cameroun le 24 mars 2014.

Les activités de ces nouveaux opérateurs ont occasionné une hausse de 51% des quantités de brut tchadien ayant transité par l’oléoduc Tchad-Cameroun à fin avril 2015. En effet, révèlent les chiffres rendus publics par le Cpsp, 15,76 millions de barils de pétrole tchadien ont été enlevés via cet oléoduc sur la période sus-mentionnée, contre 10,46 millions de barils sur les quatre premiers mois de l’année 2014.

Ces enlèvements du brut tchadien, apprend-on, ont généré au Trésor public camerounais un droit de transit d’un montant total d’un peu plus de 12 milliards de francs Cfa, en hausse de près de 86%, comparé aux 6,5 milliards engrangés sur la même période l’année dernière.

Cette explosion du droit de transit, en plus d’être la conséquence de l’arrivée d’un nouvel expéditeur sur le pipeline, découle davantage de la revalorisation de cette redevance intervenue le 29 octobre 2013. Elle est passé de 195 francs Cfa (0,41 dollars) le baril, à 618 francs Cfa (1,30 dollars) le baril, après d’âpres négociations entre l’Etat du Cameroun et la société COTCO, qui gère l’oléoduc côté camerounais.

BRM

 

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Le droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais, à travers le pipeline Tchad-Cameroun, a généré des recettes d’un montant total de 17,5 milliards de francs Cfa au Trésor public camerounais, selon le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp), que préside Adolphe Moudiki, par ailleurs ADG de la Société nationale des hydrocarbures (SNH).

Ce montant, apprend-on, est la rente versée au Trésor public camerounais pour le transit de 27,5 millions de barils de pétrole tchadien. A fin octobre 2013, ce même droit de transit avait rapporté seulement 5,8 milliards de francs Cfa, pour le transit de 24,6 millions de barils de brut en provenance des champs pétroliers tchadiens.

Cette explosion du droit de transit est la conséquence de sa revalorisation intervenue le 29 octobre 2013. Il est passé de 195 francs Cfa (0,41 dollars) le baril, à 618 francs Cfa (1,30 dollars) le baril, après d’âpres négociations entre l’Etat du Cameroun et la société COTCO, qui gère l’oléoduc côté camerounais.

 

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Christian Lenoble (photo), le DG de la Cameroon Oil Transportation Company (Cotco), a remis, le 13 novembre 2014 au ministre camerounais des Finances, Alamine Oumane Mey, un chèque de près de 28 milliards de francs Cfa. Cette somme représente la quote-part de la société qui gère le pipeline Tchad-Cameroun, dans les travaux d’adaptation de cet oléoduc au barrage de Lom Pangar, dans la région de l’Est du pays. Les travaux ont été préfinancés à hauteur de 49,4 milliards de francs Cfa par le gouvernement camerounais.

Selon l’«accord transactionnel relatif à la clé de répartition du coût final du projet d’adaptation du pipeline Tchad-Cameroun au barrage de Lom Pangar», signé le 1er novembre 2013 entre l’Etat du Cameroun et Cotco, l’entreprise pétrolière devait rembourser sa quote-part «au plus tard dans un délai de deux (02) mois à compter de l’achèvement administratif et financier des travaux et, en tout état de cause, au plus tard dans un délai de six (06) mois à compter de la signature du procès-verbal de réception des travaux, soit au plus tard le 30 novembre 2014».

Ces travaux ont consisté au renforcement de deux sections du pipeline, longue de 13 Km chacune et enterrées sur le site de construction du barrage de Lom Pangar. Ceci va permettre, a expliqué le DG de Cotco, que cette portion de l’oléoduc «supporte les colonnes d’eau de plus de 20 mètres qui seront là lorsqu’on aura terminé le barrage». Les travaux ont été réalisés en 18 mois par la société SICIM, qui a employé 400 personnes sur le chantier, dont 90% de Camerounais, a-t-on appris.

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La Cameroon Oil Transportation Company (Cotco), qui gère le pipeline Tchad-Cameroun côté camerounais, a achevé, avec succès, les travaux d’adaptation de l’oléoduc au projet de construction du barrage de Lom Pangar, viennent d’annoncer l’entreprise et le gouvernement camerounais. Ces travaux ont été réalisés par la société de droit italien SICIM, suite à un contrat signé le 3 avril 2012 avec Cotco.

Concrètement, avait expliqué Christian Lenoble, le DG de Cotco, ces travaux ont consisté au renforcement de deux sections du pipeline, longue de 13 Km chacune et enterrées sur le site de construction du barrage de Lom Pangar. Ceci devait permettre, avait précisé le DG de Cotco, que cette portion de l’oléoduc «supporte les colonnes d’eau de plus de 20 mètres qui seront là lorsqu’on aura terminé le barrage».

L’on se souvient que le financement de ces travaux d’adaptation avait fait l’objet d’un bras de fer pendant trois ans (2008-2011), entre le gouvernement camerounais et Cotco, l’exploitant du pipeline se refusant de contribuer au financement du projet, dont le coût total est estimé à 49,4 milliards de francs Cfa.

«Vous avez jusqu’à demain midi pour trouver un accord. L’hôtel dans lequel nous nous trouvons dispose d’assez de chambres pour nous héberger tous jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé», avait déclaré Essimi Menyé, alors ministre des Finances, au cours d’un ultime round de négociations le 5 juillet 2011 à Yaoundé. Ce dernier avait ajouté, un brin furieux : «Au moment de construire le pipeline, vous saviez qu’un barrage sera construit sur le site, mais rien n’a été fait pour éviter cette partie du site. Maintenant qu’il faut déplacer le pipeline, il faut qu’on partage les charges. L’Etat ne peut pas le faire tout seul».

Finalement, le 1er novembre 2013, après d’âpres négociations, Alamine Ousmane Mey, devenu ministre des Finances, et la société Cotco, vont procéder à la signature d’un «accord transactionnel relatif à la clé de répartition du coût final du projet d’adaptation du pipeline Tchad-Cameroun au barrage de Lom Pangar».

Cet accord stipule que la quote-part de l’entreprise pétrolière (entre 23 et 25 milliards de francs Cfa) dans ce projet préfinancé par le gouvernement camerounais, doit être payée «au plus tard dans un délai de deux (02) mois à compter de l’achèvement administratif et financier des travaux et, en tout état de cause, au plus tard dans un délai de six (06) mois à compter de la signature du procès-verbal de réception des travaux, soit au plus tard le 30 novembre 2014».

Brice R. Mbodiam

 

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Selon la Cameroon Oil Transportation Company (COTCO), l’entreprise qui exploite l’oléoduc Tchad-Cameroun côté camerounais, le pétrole brut tchadien transporté par cette infrastructure a permis au Trésor public camerounais d’engranger des revenus d’un montant total de 200 milliards de francs Cfa (400 millions de dollars) en 10 ans.

Cette somme intègre, explique COTCO, le droit de transit, l’impôt sur les revenus et les différents droits et taxes payés par cette entreprise pétrolière, qui revendique plus de 1000 employés, dont 95% de nationaux.

Ces revenus issus de l’exploitation du pipeline Tchad-Cameroun deviendront plus importants à partir de cette année 2014, pour deux raisons principales. Il y a d’abord la revalorisation récente du droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais, qui est passé de 195 à 618 francs Cfa le baril.

Ensuite, en plus de nouveaux opérateurs opérant dans les gisements pétroliers du Tchad (la Britannique Griffiths et la China Petroleum), qui souhaitent également utiliser le pipeline Tchad-Cameroun pour évacuer leurs productions, le Niger devrait bientôt exporter son pétrole à travers l’oléoduc Tchad-Cameroun, générant davantage de revenus au Trésor public camerounais.

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Dans un document rendu public à l’occasion de ses 10 années de présence au Cameroun, La Cameroon Oil Transportation Company (COTCO), l’entreprise qui gère le pipeline Tchad-Cameroun côté camerounais, affirme avoir investi 2,2 milliards de francs Cfa (4,5 millions de dollars Us) dans les projets de lutte contre le paludisme, le Vih-Sida et la tuberculose dans le pays.

Ces investissements, apprend-on, ont été consentis grâce aux contributions financières de la firme pétrolière Exxon Mobil (membre du consortium ayant construit le pipeline Tchad-Cameroun), à travers la Fondation Exxon Mobil.

En dehors du secteur de la santé, souligne l’entreprise que dirige Christian Lenoble (photo), COTCO a contribué à «l’amélioration des moyens d’existence des communautés riveraines du pipeline de Dompta, à Kribi», dans la région du Sud du Cameroun, pour un montant d’environ 250 millions de francs Cfa (500 000 dollars).

Ces investissements communautaires, apprend-on, ont pris la forme de centres hospitaliers et d’infrastructures scolaires et routières construits, de remises du matériel agricole aux populations, des projets d’adduction d’eau…

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Entre le 1er janvier et le 15 novembre 2013, un total de 26,5 millions de barils de pétrole brut tchadien a transité par le Cameroun, à travers l’oléoduc qui relie les deux pays. Ce qui a permis au Trésor public camerounais d’engranger un peu plus de 7 milliards de francs Cfa, au titre du droit de transit, révèle le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (CPSP), dans un communiqué dont l’agence Ecofin a eu copie.

A en croire le CPSP, cette somme a davantage été calculée sur la base de l’ancien barème (0,41 dollars le baril) sur les 9 premiers mois de l’année, le nouveau barème (1,30 dollars le baril), lui, n’étant entré en vigueur qu’à partir du 30 septembre 2013.

En effet, le 29 octobre 2013, l’Etat du Cameroun et la Cameroon Oil Transportation Company (COTCO), l’entreprise qui gère le pipeline Tchad-Cameroun côté camerounais, ont signé un avenant à la convention d’établissement de COTCO, afin de revaloriser le droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais, qui est passé du simple au triple.

Le CPSP annonce également que les «contrats relatifs au transport des hydrocarbures de deux autres nouveaux expéditeurs opérant en territoire tchadien, ont été finalisés. Il s’agit des sociétés canadienne Griffiths et chinoise China National Petroleum Corporation International Chad (CNPCIC)».

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Le directeur général de la Cameroon Oil Transportation Company (COTCO), Christian Lenoble, et le ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey, ont procédé le 1er novembre 2013 à Yaoundé, à la signature d’un «accord transactionnel» relatif à la clé de répartition du coût final du projet d’adaptation du pipeline Tchad-Cameroun au barrage de Lom Pangar.

Selon le Ministre Ousmane Mey, à travers cet accord, COTCO, l’entreprise qui gère le pipeline côté camerounais, s’engage à verser au Trésor public, entre 23 et 25 milliards de francs Cfa représentant sa quote-part dans les travaux de déplacement de la partie du pipeline Tchad-Cameroun se trouvant sur le site du barrage de Lom Pangar, en construction dans la région de l’Est.

Ces travaux dont l’enveloppe budgétaire globale s’élève à 49,4 milliards de francs Cfa, a-t-on appris, sont actuellement réalisés à 75% et pourraient être livrés en avance au mois d’avril 2014, au lieu de juin 2014 comme initialement prévu.

Selon l’accord Etat du Cameroun-COTCO, la quote-part de l’entreprise pétrolière dans ce projet préfinancé par le gouvernement camerounais, doit être payée «au plus tard dans un délai de deux (02) mois à compter de l’achèvement administratif et financier des travaux et, en tout état de cause, au plus tard dans un délai de six (06) mois à compter de la signature du procès-verbal de réception des travaux, soit au plus tard le 30 novembre 2014».

Trois ans de négociations

En effet, environ 26 Km de l’oléoduc Tchad-Cameroun se trouvent sur le site du futur barrage de Lom Pangar. COTCO et l’Etat du Cameroun ont convenu de déplacer cette partie de l’oléoduc, avant la mise en eau du barrage prévue en juillet 2015. Le co-financement de ce projet découle d’âpres négociations entre les deux parties.

En effet, pendant 3 ans (2008-2011), COTCO avait toujours manifesté des réticences à participer au financement du déplacement du pipeline sur le site du barrage de Lom Pangar. Face à ce refus, le ministre des Finances d’alors, Essimi Menyé, avait dû frapper du poing sur la table au cours d’une nouvelle séance de négociation à Yaoundé le 5 juillet 2011.

«Vous avez jusqu’à demain midi pour trouver un accord. L’hôtel dans lequel nous nous trouvons dispose d’assez de chambres pour nous héberger tous jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé», avait déclaré le Ministre Essimi Menyé. Avant d’ajouter : «Au moment de construire le pipeline, vous saviez qu’un barrage sera construit sur le site, mais rien n’a été fait pour éviter cette partie du site. Maintenant qu’il faut déplacer le pipeline, il faut qu’on partage les charges. L’Etat ne peut pas le faire tout seul».

Finalement, c’est dans la nuit du 7 juillet 2011 que le gouvernement réussira à arracher un accord de co-financement. Le protocole d’accord de préfinancement des travaux par l’Etat du Cameroun, quant à lui, avait été paraphé le 17 février 2012. Et prévoyait en son article 22, que l’Etat et COTCO entameront «dans un délai d’un an, des discussions pour décider de bonne foi d’une répartition équitable des coûts» relatifs à ce projet.

Brice R. Mbodiam

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