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Yaoundé - 28 mars 2024 -

Comme on pouvait s’y attendre, la croissance économique n’a pas été au rendez-vous dans la zone Cemac en 2015. Selon le Comité de politique monétaire (Cpm) de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac), qui a tenu sa première session de l’année 2016 le 21 mars dernier à Yaoundé, le taux de croissance dans cet espace communautaire à six pays (Cameroun, le Gabon, le Congo, le Tchad, la Guinée équatoriale et la RCA) a culminé à 2,8% l’année dernière, contre 4,8% en 2014, soit une baisse de 2%.

A l’origine de cette contre-performance, a souligné le gouverneur de la Beac au sortir du Cpm du 21 mars dernier dans la capitale camerounaise, se trouvent principalement la baisse des cours mondiaux du pétrole, dont cinq des six pays de la Cemac sont exportateurs ; et l’insécurité aux frontières de certains pays, notamment au Tchad et au Cameroun, avec les exactions de la secte islamiste nigériane Boko Haram.

Tout au long de l’année 2016, projette le Cpm, cet environnement difficile perdurera, induisant un nouveau décrochage du taux de croissance économique dans la Cemac à 2%, en baisse de 0,8% comparé à 2015. Mais, pour en arriver là, le gouverneur de la Beac, Lucas Abaga Nchama, conseille aux Etats de la communauté d’améliorer la dépense publique, notamment les dépenses d’investissements ; et d’améliorer l’environnement des affaires, afin d’attirer des investisseurs étrangers.

Cependant, en 2016, les tensions inflationnistes dans cet espace communautaire se stabiliseront à 2,7% (contre 2,3% en 2015), c’est à dire en dessous de la norme de 3% admise dans la zone Cemac. Pas de crainte également pour les réserves de change qui, malgré la baisse des recettes d’exportation, demeureront «confortables» tout au long de l’année 2016, précise le gouverneur de la BEAC.

BRM

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Au Cameroun, la consommation et la croissance économique ont été moins vigoureuses au cours du troisième trimestre 2015, selon les comptes nationaux publiés par l'Institut national de la statistique. A 2520,4 milliards de FCFA (4 milliards $), la consommation globale de la période de référence s'affiche en repli de 1% comparée aux 2544,7 milliards de FCFA du deuxième trimestre 2015. Dans ces conditions, la croissance économique a connu une progression moins vigoureuse au terme de la période (+1,5%), contre une progression de 2,3% entre le premier et le deuxième trimestre 2015.

Dans une économie qui est plutôt extravertie, le repli de la consommation au cours du troisième trimestre 2015 peut être perçu comme une conséquence ou une cause du recul de 9% de la valeur globale des importations (898,8 milliards de FCFA) comparativement aux 992 milliards de FCFA de biens et services importés au cours du deuxième trimestre 2015. Une situation pas forcément négative car, dans ce contexte, le déficit commercial s'est réduit de 31% sur la période (-285,8 milliards de FCFA au T3 vs -375,5 milliards de FCFA au T2).

Toutefois, il convient de relever que, même si elle a été moins vigoureuse d'un trimestre à l'autre, la somme des valeurs ajoutées de l'économie camerounaise au cours du troisième trimestre 2015, s'est améliorée de 7% en 2015, comparée à celle de la même période au cours de l'exercice 2014. D'un point de vue global, la croissance économique du pays sur les trois premiers trimestres de 2015, s'est amélioré de 5,7% comparativement à la même période en 2014.

Pour certains analystes cette perte de vigueur au sein de l'économie peut s'expliquer, par la pression de la période des vacances et celle exercée sur les ménages par les obligations en rapport aux rentrées académiques, qui absorbent souvent l'essentiel de leurs revenus disponibles. Il faudra attendre les chiffres des comptes du quatrième trimestre, période des fêtes, pour avoir la pleine mesure des niveaux de croissance et de la consommation.

Idriss Linge

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Selon l’édition 2015 de l’indice de croissance des villes africaines rendu public le 2 décembre dernier par le géant mondial des solutions de paiement MasterCard, Yaoundé et Douala, respectivement capitale politique et économique du Cameroun, figurent parmi les 75 villes africaines possédant un fort potentiel de croissance inclusive.

Seules villes de l’Afrique centrale à figurer sur ce classement avec Kigali, la capitale rwandaise, les deux capitales camerounaises arrivent cependant loin derrière Maputo (Mozambique), Casablanca (Maroc), Lagos (Nigeria), Abidjan (Côte d’Ivoire) et Dar es Salam (Mauritanie), qui constituent le quinté de tête du MasterCard African Cities Growth Index 2015.

Ce classement qui distingue les grandes, moyennes et petites villes du continent africain, apprend-on, prend en compte des critères tels que le PIB par habitant, l’accès à l’électricité et à l’eau pour la population urbaine, la santé, l’éducation, la bancarisation des citoyens, la participation des investissements directs étrangers (IDE)  dans le PIB ou encore la croissance des dépenses des ménages.

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L'Institut national des statistiques (INS) au Cameroun a publié ses comptes nationaux pour le compte du deuxième trimestre 2015. Il en ressort que le Produit intérieur brut (PIB) du pays a été de 2910,6 milliards de francs Cfa, soit une progression de 5,7% comparée à cet indicateur pris pour le compte de la même période en 2014.

Une performance que les indicateurs mettent sur le compte de la bonne tenue du secteur secondaire, notamment l'activité du secteur extractif, fortement influencé par une hausse de la production annoncée par la Société nationale des hydrocarbures (SNH). Cette hausse est venue compenser les mauvais effets de la baisse du dollar américain sur la monnaie d'Afrique centrale.

A l'analyse de ces comptes nationaux, l’on peut cependant constater que le secteur extractif qui a tiré la croissance du Pib dans le pays est très peu pourvoyeur d'emplois et donc induit une limite dans la distribution effective des richesses créées. Dans le secteur primaire, celui qui emploie plus de 80% de la population active du pays, la croissance est restée assez faible à seulement 0,7% (d'un trimestre à l'autre) au cours de la période de référence, contre 1,5% au cours du trimestre précédent, et 1,6% sur la même période en 2014.

Dans le tertiaire (commerce et service), qui mobilise aussi une proportion significative de la main d'œuvre résidente, la croissance entre deux trimestres s'affiche à 1,3%, comparée au repli de 1,3% constaté au cours du premier trimestre 2015. En valeur absolue, la différence des valeurs ajoutées (pris en compte pour calculer le PIB) est de 17,3 milliards de francs Cfa, avec une prédominance de la commercialisation des biens et services importés.

Enfin, la répartition de la progression du PIB par composante donne une lecture particulière. On peut se rendre compte que, même si la consommation des ménages, notamment privés (2196 milliards de FCFA), continue de tirer la croissance économique au Cameroun, celle-ci semble s'être refroidie et affiche une progression atone (+0,5%), inférieure à la progression de trimestre à trimestre de 1,4% obtenue sur la même période en 2014.

Idriss Linge

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Selon Mario De Zamaroczy, le chef de la mission d’évaluation que le Fonds monétaire international (FMI) vient d’achever au Cameroun, le taux de croissance du PIB du pays devrait culminer à 6% en 2015, contre des prévisions gouvernementales de 6,3%.

En clair, en dépit de la menace Boko Haram qui a induit une riposte onéreuse des pouvoirs publics camerounais, et la baisse des cours mondiaux du pétrole brut, la croissance économique au Cameroun se situera cette année, pratiquement au même niveau que celui de l’année dernière : 5,9% toujours selon le FMI.

L’institution de Bretton Wood se montre également optimiste sur la maîtrise du taux d’inflation cette année, puisque cet indicateur est projeté en dessous de la norme de 3% admise dans la zone CEMAC, communauté à laquelle appartient le Cameroun.

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Dans un communiqué qu’il vient de rendre public sur la situation de l’économie nationale, le Comité monétaire et financier du Cameroun suggère «des investissements nécessaires pour porter la capacité de production d’électricité à en environ 3 millions de kilowatts (soit 3000 MW)». Une telle capacité de production, apprend-on, «permettrait, d’après les simulations, d’arriver à un taux de croissance d’environ 9,5%  en termes réels, à partir de 2018».

Selon le ministre de l’Economie, Emmanuel Nganou Djoumessi, qui s’est exprimé sur le sujet à l’occasion d’une rencontre entre opérateurs économiques camerounais et des responsables de la BAD à Douala, fin juin 2014, le programme d’investissements du gouvernement dans le secteur de l’électricité dans le pays, ne prévoit l’atteinte de cette capacité de production de 3000 MW qu’en 2020. Soit 2 ans après la date souhaitée par le Comité monétaire et financier du Cameroun.

Pour rappel, bien qu’il possède le 2ème potentiel hydroélectrique en Afrique derrière la République démocratique du Congo, avec 12 000 MW, le Cameroun dispose actuellement d’une capacité installée d’environ 1200 MW seulement, pour une demande qui évolue annuellement entre 6 et 8%, selon les statistiques officielles. A l’effet d’inverser cette tendance, le gouvernement a lancé un vaste programme de construction d’infrastructures dans ce domaine.

Il en est ainsi du barrage de retenue de Lom Pangar, le plus grand jamais construit dans le pays, dont la mise en service est annoncée pour 2015, tandis que ceux de Mekin et de Memvé’éle sont également en cours de construction. Les processus de lancement des travaux de construction des barrages de la Menchum et de Bini à Warak sont très avancés, de même que les discussions entre partenaires pour la construction de la centrale hydroélectrique de Natchigal. De nombreux projets de construction de parcs solaires dans différentes régions du pays sont également en cours.

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Selon la Banque mondiale (BM), il sera difficile pour le Cameroun de devenir un pays émergent à l’horizon 2035, tel qu’envisager par les autorités du pays, eu égard au retard accusé dans ses prévisions de croissance jusqu’ici. En effet, fait remarquer l’institution financière internationale dans la dernière édition de ses cahiers économiques sur le Cameroun, «le taux de croissance moyen observé de 2010 à 2013 dans le pays est de 4,1 %, soit un point de pourcentage en dessous des cibles de la «Vision 2035» (et 0,8 point de pourcentage de moins que dans le scénario de référence du DSCE».

Pour renverser la tendance et «rattraper ce retard et atteindre les objectifs officiellement fixés pour 2020, il faudrait un taux de croissance annuel de 9,5 % sur la période 2014-2020, à comparer aux 4,8 à 5,4 % établis dans les projections de la Banque mondiale. Cette situation appelle une attention renouvelée aux sources de la croissance au Cameroun. Compte tenu de l’impact important de l’éducation sur la croissance à long terme, une révision des sources de la croissance devrait commencer par regarder la qualité du capital humain», analyse la Banque mondiale.

A l’appui de sa recommandation, l’institution de Bretton Woods révèle que «les théories de la croissance endogène ont été testées au cours des trois dernières décennies dans un grand nombre de pays et ont confirmé que le capital humain joue un rôle essentiel dans la croissance économique». A cet égard, conclu la BM, «l’éducation, ainsi que la santé peuvent contribuer d’une manière importante à l’aspiration du Cameroun à devenir une économie émergente à l’horizon 2035».

Aussi, les analystes de la Banque mondiale conseillent-ils au gouvernement camerounais d’investir massivement dans l’éducation. Car, apprend-on, «bien que les dépenses publiques d’éducation aient augmenté au Cameroun, passant de 1,9 % du PIB en 2000 à 3,3 % en 2003, elles ont depuis marqué le pas et restent en dessous de la moyenne régionale de 4,3 %».

 

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Le plan d’urgence examiné lors du dernier conseil de cabinet du gouvernement camerounais (photo), le 21 avril 2014, et qui attend d’être validé par le chef de l’Etat, avant son implémentation, porte sur une enveloppe globale de 343 milliards de francs Cfa, a appris l’agence Ecofin de sources internes au ministère de l’Economie. Ce plan d’urgence, dont l’objectif principal est de permettre au pays d’atteindre un taux de croissance de 6% en 2014, au lieu des 4,8% initialement projetés, prévoit un programme d’investissements prioritaires dans les infrastructures, apprend-on, pour un montant total de 26 milliards de francs Cfa.

De même, il y est stipulé que, sur la base des 98 000 entreprises recensées au Cameroun par l’Institut national de la statistique (INS), le gouvernement impulsera la création de deux emplois par entreprise, en contrepartie d’incitations fisclao-douanières, de manière à créer au moins 200 000 nouveaux emplois cette année.

Mais, l’épine dorsale de ce plan d’urgence, indiquent nos sources, est l’accroissement des investissements dans le secteur agricole, qui emploie 70% de la population active du pays. En effet, apprend-on, le nouveau plan d’urgence gouvernementale préconise l’accroissement de la production du riz (actuellement de 100 000 tonnes), qui est certainement la denrée la plus consommée dans le pays, mais dont les importations visant à combler un déficit de 200 000 tonnes sont estimées à environ 120 milliards de francs Cfa chaque année. Il est également question de booster la production halieutique, mais aussi celles du maïs et du soja, deux filières dont le développement sera assuré par «le Projet d'investissements des marchés agricoles (PIDMA)», que vient de financer la Banque mondiale à hauteur de 50 milliards de francs Cfa.

Le gouvernement espère aussi un accroissement de la production nationale du ciment, dont la demande nationale est projetée à 8 millions de tonnes annuelles, avec les grands projets en cours. Cet espoir repose certainement sur la mise en service annoncée depuis mars 2014, de Dangote Cement, l’usine du milliardaire nigérian qui devrait ajouter 500 000 tonnes de ce produit sur le marché, en plus des 1,2 million de tonnes de Cimencam, filiale locale de Lafarge, et des 500 000 tonnes du Marocain Cimaf, dont l’usine de Douala est entrée en production en février dernier.

Selon nos sources, ce plan d’urgence du gouvernement sera financé sur le budget de l’Etat, pour le compte de l’exercice 2014, notamment par le biais de l’accélération de «la mise en vigueur des accords de financement, pour une utilisation plus conséquente des ressources issues de la coopération bilatérale et multilatérale». Au demeurant, apprend-on, des financements additionnels de l’ordre de 260 milliards de francs Cfa devraient être identifiés, au cours d’une concertation qui sera bientôt organisée par les ministères de l’Economie et des Finances.

BRM

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Selon le dernier rapport sur les perspectives économiques de l’Afrique sub-saharienne présenté le 22 novembre 2013 à Yaoundé par la représentation locale du Fonds monétaire international (FMI), le taux de croissance du Cameroun en 2013 va culminer à seulement 4,7% (contre des prévisions gouvernementales de 6,1% en début d’année), alors qu’une moyenne de 5% sera enregistrée en Afrique sub-saharienne.

Par ailleurs, même si ce taux de croissance est jugé satisfaisant au regard de l’évolution de la courbe dans d’autres parties du monde, d’une part, et des taux réalisés au Cameroun respectivement en 2011 (4,1%) et 2012 (4,6%), d’autre part, le FMI fait remarquer que ces performances ne permettent pas encore au pays de réaliser son ambition d’émergence à l’horizon 2035.

A titre d’exemple, souligne le FMI, si le Cameroun reste sur la tendance actuelle, le taux de croissance du pays ne pourra pas dépasser 5,4% en 2020, alors que le Document de stratégie pour la croissance et l’emploi (DSCE), cadre de référence du gouvernement pour le développement du pays à long et à moyen terme, projette ce taux de croissance à 10,2% sur la même période.

Aussi, le FMI conseille-t-il au gouvernement camerounais de redoubler d’efforts dans l’amélioration du climat des affaires, la réduction de subventions diverses, la construction des infrastructures, la mise en place de mécanismes pour le développement des PME, la supervision du secteur bancaire, l’augmentation de la production nationale…

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Selon une note gouvernementale de cadrage budgétaire pour l’exercice 2014, à laquelle l’agence Ecofin a pu avoir accès, le gouvernement camerounais tablerait sur un taux de croissance du PIB de 5,8% en 2014.

Ce taux de croissance serait alors légèrement en hausse par rapport à celui de 2013, projeté à 5,5%, selon la loi des Finances de l’année dernière. Mais au premier semestre 2013, eu égard à certaines contingences au plan national et international, le ministère des Finances, dans une note de conjoncture économique, avait révisé ce taux de croissance, le projetant finalement à 5,3%.

Dans sa projection du taux de croissance du PIB du Cameroun à 5,8% en 2014, le gouvernement, apprend-on, compte sur un accroissement du PIB pétrolier de l’ordre de 14,8% l’année prochaine, pour se situer à 23,6% ; contre 8,8% en 2013. Dans le même temps, l’on va observer un léger recul du PIB non pétrolier à 5,1% en 2014, contre 5,3% cette année.

BRM

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