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Yaoundé - 18 avril 2024 -

Pour ses premières visites officielles de 2016, Christine Lagarde, Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), est arrivée lundi 4 janvier 2016 au Nigéria, pour une rencontre avec les autorités de ce pays, a-t-on appris d'un communiqué de l'institution. « La visite au Nigérian sera l’occasion de renforcer le partenariat qui lie le FMI à la plus grande économie d’Afrique subsaharienne », a fait savoir l'institution

À Abuja, Christine Lagarde rencontrera le président Muhammadu Buhari et d’autres hauts responsables, ainsi que des chefs d’entreprise, des femmes dirigeantes et des représentants de la société civile. Elle s’entretiendra en outre avec les parlementaires. «Les réunions que j’aurai avec le président Buhari et ses collaborateurs s’annoncent productives, à l’heure où le pays doit faire face à de redoutables défis, et notamment aux conséquences de la chute des cours du pétrole», a déclaré Mme Lagarde à la veille de son déplacement.

Après le Nigéria, Christine Lagarde se rendra au Cameroun où il est prévu qu'elle rencontre le président Paul Biya et son équipe économique, de même que des responsables du secteur privé, des femmes dirigeantes et d’autres représentants de la société camerounaises. Il est aussi prévu un échange avec les ministres des finances des six pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).

«Le pays et l’ensemble de la région de la CEMAC sont aux prises avec le double choc de la chute des cours du brut et des perturbations sécuritaires. Le renforcement de l’intégration régionale et la mise en œuvre d’ambitieux programmes de réformes dans les pays de la CEMAC seront déterminants pour assurer la stabilité macroéconomique et rétablir une croissance forte et inclusive dans la région», a fait savoir la DG du FMI dont la tournée africaine prendra fin le 9 janvier prochain.

Idriss Linge

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L’encours de la dette publique du Cameroun s’élève à 3811 milliards de francs Cfa à fin juin 2015, annonce la Caisse autonome d’amortissement (CAA), le gestionnaire de la dette publique du pays, dans son dernier bulletin statistique. Cette dette représente désormais 23,4% du PIB du pays, c’est à dire largement en dessous de la norme de 70% du PIB admise dans la zone CEMAC.

Cependant, la CAA fait remarquer qu’en comparaison avec le premier semestre 2014, la dette publique du Cameroun a augmenté de 28,8%, puisqu’elle n’était que de 2968 milliards de francs Cfa à fin juin 2014, soit 19,5% du PIB du pays. Selon le FMI, qui n’a de cesse de s’inquiéter du rythme d’endettement du Cameroun depuis au moins 3 ans, notamment à cause de la part importante de la dette non concessionnelle, l’accroissement de l’endettement du pays est tel qu’il devrait atteindre 38% du PIB en 2019.

«Le fardeau de la dette du Cameroun reste faible, en partie grâce au vaste allègement obtenu en 2006, mais il se développe de nouveau à un rythme rapide. L'analyse de viabilité de la dette montre que le niveau de risque du fait de la dette extérieure est passé de «faible» à «modéré», en raison de l’augmentation de la dette extérieure non concessionnelle. Selon les tendances actuelles, la dette publique globale devrait doubler en pourcentage du Produit Intérieur Brut, entre 2012 et 2019», indiquait l’institution de Bretton Wood en juin 2014, à l’issue d’une mission d’évaluation au Cameroun.

Cette prévision est d’autant plausible que le Cameroun est engagé dans de gigantesques projets d’infrastructures, qui nécessitent tous d’importants financements. De ce point de vue, le chef de l’Etat camerounais a récemment revu à la hausse le niveau d’endettement du pays pour l’exercice 2015, à 1700 milliards de francs Cfa, dont un eurobond de 650 milliards de francs Cfa en cours de préparation.

BRM

 

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Le Fonds monétaire international (FMI) vient de procéder à la nomination d’un nouveau représentant-résident au Cameroun, en la personne de Kadima Kalondji, qui remplace à ce poste Boriana Yontcheva, arrivée en fin de séjour. Le tout nouveau promu a inauguré son magister par la dernière mission d’évaluation du FMI dans le pays, à laquelle il a participé aux côtés de Mario De Zamaroczy, le chef de la délégation des évaluateurs.

Avant sa nomination au Cameroun, Kadima Kalondji était, depuis mai 2013, Senior Economist au siège du FMI à Washington DC. Le nouveau représentant-résident est arrivé au sein de cette institution financière internationale en 1998 comme spécialiste des questions liées à la dette.

Kadima Kalondji est diplômé de l’Université George Washington, aux Etats-Unis, où il a notamment étudié l’économie, le commerce international et la finance, sur la période 2002-2004.

 

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Selon Mario De Zamaroczy, le chef de la mission d’évaluation que le Fonds monétaire international (FMI) vient d’achever au Cameroun, le taux de croissance du PIB du pays devrait culminer à 6% en 2015, contre des prévisions gouvernementales de 6,3%.

En clair, en dépit de la menace Boko Haram qui a induit une riposte onéreuse des pouvoirs publics camerounais, et la baisse des cours mondiaux du pétrole brut, la croissance économique au Cameroun se situera cette année, pratiquement au même niveau que celui de l’année dernière : 5,9% toujours selon le FMI.

L’institution de Bretton Wood se montre également optimiste sur la maîtrise du taux d’inflation cette année, puisque cet indicateur est projeté en dessous de la norme de 3% admise dans la zone CEMAC, communauté à laquelle appartient le Cameroun.

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Directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal, le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Bissau et la Mauritanie depuis 2011, Vera Songwe, de nationalité camerounaise, est la toute nouvelle représentante-résidente de la Société financière internationale (SFI) au Sénégal, a-t-on appris de bonnes sources.

L’économiste camerounaise renaît ainsi de ses cendres après que, apprend-on, les autorités sénégalaises aient marqué leur désaccord pour sa reconduction au poste de Directrice des opérations de la Banque mondiale (elle a été remplacée depuis juillet 2015 par Louise Cord). En effet, indique la presse sénégalaise, les rapports entre Vera Songwe et le Premier ministre, puis le ministre des Finances du Sénégal, n’étaient plus des plus cordiaux.

A son nouveau poste, même si elle continuera de collaborer avec les autorités gouvernementales, Vera Songwe, qui n’aura plus l’œil sur la gestion des finances publiques sénégalaises, aura davantage le secteur privé comme principal interlocuteur. Puisque la SFI est la filiale de la Banque mondiale spécialement dédiée au financement du secteur privé.

Entrée à la Banque mondiale en 1998 comme cadre dans la Région Asie de l’Est et Pacifique, cette Camerounaise figure dans le classement Choiseul 2014 des «leaders africains de demain», qui «identifie ces femmes et hommes de 40 ans et moins, qui s’engagent sur le chemin de la réussite et dont l’ambition est d’amener l’Afrique au plus haut degré de son développement économique, social et culturel», explique le président de l’Institut Choiseul, Pascal Lorot.

Brice R. Mbodiam

 

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Selon des indicateurs présentés par le Fonds monétaire international (FMI) sur l’économie camerounaise, le rendez-vous pris pour l’émergence du pays à l’horizon 2035 risque de ne pas être respecté, si des mesures concrètes ne sont pas prises, a-t-on appris le 28 avril 2015 en marge de la présentation des perspectives globales de l’économie africaine par le FMI.

«Dans les prévisions de son Document de stratégie pour la croissance et l’emploi, les autorités camerounaises envisageaient d’atteindre une croissance d’au moins 10,2% d’ici 2020. On remarque sur les projections, que 2015 aurait dû être une année décisive. Or, les performances actuelles, selon nos estimations, laissent voir qu’on atteindra difficilement  les 5% de croissance dans les cinq prochaines années», a fait savoir en substance Mario Zamaroczy, un des membres de la mission du FMI, qui connait bien le Cameroun.

En effet, dans le rapport sur les perspectives économiques de l’Afrique présenté par le FMI, les indicateurs sur le Cameroun sont sources de pessimisme. Alors que le pays était parvenu à atteindre une stabilité budgétaire au lendemain de l’atteinte de l’initiative Pays pauvre et très endetté (PPTE) en 2006, sa situation budgétaire et extérieure s’est depuis quelques temps dégradée. Le déficit public continue de croître, malgré la réduction des subventions aux hydrocarbures. Bien qu’il soit toujours soutenable, l’endettement a presque doublé en quatre ans, passant  de 15% du PIB à un peu plus de 30%, tandis que le solde extérieur se détériore.

Plan d’urgence gouvernemental

Ajouté à cela, le Cameroun doit aujourd’hui faire face à un double choc. Le premier est lié à la baisse des cours mondiaux du pétrole, cette matière constituant aujourd’hui  près de 20% de ses recettes budgétaires et 54% de ses recettes d’exportation. L’autre choc que traverse le pays est la situation d’insécurité dans certaines de ses frontières, notamment à l’Est du pays, région frontalière à la RCA en crise, mais surtout dans l’Extrême-Nord avec une forte mobilisation de ressources pour la lutte contre le mouvement terroriste nigérian Boko Haram.

A ces indicateurs pessimistes, les autorités camerounaises mettent un bémol, en soutenant que le gouvernement a anticipé sur cette question, en prenant des mesures d’urgence à l’instar du plan d’urgence triennal doté d’une enveloppe de 925 milliards FCfa actuellement implémenté par l’Etat du Cameroun. Certains observateurs sont cependant très sceptique, quant à la capacité du plan d’urgence à véritablement relancer la machine économique, déjà en raison du retard que prend  la mobilisation des ressources extérieures (750 milliards FCfa) devant servir au financement de la plus grosse partie de ce plan.

En guise de solutions, le FMI est resté constant dans ses propositions : construire des matelas budgétaires, éliminer les subventions au carburant, améliorer le climat des affaires pour accroitre les investissements privés, promouvoir le développement inclusif et optimiser la stratégie d’endettement. Ce panier  de solutions est aussi fortement critiqué par certains experts camerounais.

«Ce que le FMI ne dit pas dans ses solutions, c’est comment toutes ces mesures seront financées et, surtout, quel sera le coût réel de leur mise en œuvre. De l’autre côté, si on fait tout cela et qu’on doit toujours sortir des quantités importantes d’argent pour importer des biens et services, nous restons dans un système de rente et aucun pays ne peut se développer pleinement dans de telles conditions. Ce qu’il faudrait faire, c’est de complètement réorienter notre stratégie économique et notre gestion de la monnaie. Or, cela, le FMI ne le dit pas du tout», a fait savoir Dieudonné Essomba, un ingénieur statisticien camerounais, auteur d’un livre sur les vertus de la monnaie binaire.

 

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Le 25 février 2015, le gouvernement camerounais a rendu public une liste de 31 sociétés d’Etat et d’organismes publics devant bénéficier d’une dotation financière de 30 milliards de francs Cfa au cours de l’année 2015, afin de réaliser certains de leurs projets. Pourtant, la loi des finances 2015 révèle que malgré des subventions similaires accordées aux 21 sociétés appartenant à 100% à l’Etat en 2013, le chiffre d’affaires de ces entreprises a baissé de 9 milliards de francs Cfa, passant de 269 à 260 milliards de francs Cfa.

Ces contre-performances sont d’ailleurs signalées dans un rapport du FMI sur l’économie camerounaise, avec pour recommandation aux autorités camerounaises de confier désormais des cahiers de charges plus rigoureux aux dirigeants de ces entreprises qui s’illustrent par des «piètres résultats», dixit le FMI, et qui apparaissent plutôt comme de véritables gouffres sous, au lieu d’être des outils de production.

En novembre 2014, c’est la Commission des marchés financiers (CMF), le régulateur de la bourse des valeurs mobilières de Douala (DSX), qui, dans sa note d’information sur le dernier emprunt obligataire de l’Etat (150 milliards Fcfa), lui déconseillait de continuer à emprunter de l’argent pour les sociétés de son portefeuille. La CMF suggérait plutôt que les entreprises publiques soient encouragées à aller elles-mêmes sur le marché des capitaux, ce qui suppose qu’elles justifient au préalable d’indicateurs de performances capables de convaincre les investisseurs.

Ces performances, de l’avis de nombre d’observateurs, ne sont pour l’instant pas au rendez-vous pour diverses raisons : la rente de la subvention étatique, la longévité des DG qui finissent par se lasser de toute initiative d’innovation, les recrutements fantaisistes, les malversations financières, la mauvaise qualité de service, la complicité entre les DG et les organes de contrôle tels que les conseils d’administration…

 

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Sur les 150 milliards de francs Cfa recherchés par l’Etat du Cameroun par appel public à l’épargne lancé le 24 novembre 2014, plus de 63 milliards de francs Cfa sont destinés au financement de la construction ou la réhabilitation des infrastructures routières. Dans le même temps, renseigne la note d’information du gouvernement, 40,8 et 25 milliards de francs Cfa sont respectivement destinés aux projets énergétiques et portuaires, tandis que 21 milliards de francs Cfa serviront à financer les «participations de l’Etat» dans cinq entreprises publiques.

Il s’agit notamment de Camair Co, la compagnie aérienne nationale, qui vit presqu’exclusivement sous assistance financière du Trésor public. Elle recevra une enveloppe de 3 milliards de francs Cfa. 2,04 milliards de francs Cfa seront affectés à la Cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam), dont les performances sont plombées depuis quelques années par les tissus de contrebande en provenance de Chine.

Le Parc national du matériel de génie-civil (Matgénie) recevra un peu plus de 2,5 milliards de francs Cfa, certainement pour accroître son parc à engins lourds ; contre 2,5 et 11 milliards de francs Cfa respectivement pour EDC, le bras séculier de l’Etat dans les infrastructures énergétiques, et Camwater, qui gère les infrastructures en matière de distribution d’eau dans le pays.

Ces transferts de fonds aux sociétés d’Etat ne devraient pas plaire aux institutions financières internationales telles que le FMI, qui a fait remarquer dans un récent rapport sur le Cameroun que ces entreprises publiques, généralement qualifiées de gouffres à sous, obtiennent de piètres résultats», malgré les perfusions financières étatiques. Aussi, le fonds a-t-il suggéré au gouvernement d’assortir ses subventions aux sociétés d’Etat de cahiers de charges plus rigoureux, de manière à les contraindre à la performance.

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Mis à part la République centrafricaine (RCA), tous les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) sont actuellement producteurs de pétrole et souffrent d’un excès de liquidités, qui nuit à leur politique monétaire.

«L'excès de liquidités devrait être réduit pour renforcer les canaux de transmission de la politique monétaire», a confié Mario de Zamaroczy, chef d’une mission du FMI auprès de la Cemac et du Cameroun. C’était le 7 novembre 2014 à Yaoundé, au cours d’une séance de travail avec le gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac).

En effet, selon le FMI, les banques commerciales et les établissements de microfinance de la Cemac sont surliquides, alors que l'activité économique dans cet espace communautaire n’est pas suffisamment financée. Pour M. de Zamaroczy, «les banques ne prêtent pas assez parce qu'elles n'ont pas un système de garantie suffisamment efficace pour octroyer des crédits».

Aussi, préconise-t-il, faut-il «réformer le cadre régional de surveillance budgétaire actuel, pour assurer la viabilité à long terme des pays riches en pétrole de la Cemac». Le chef de la mission du FMI suggère également de mettre en œuvre une application plus stricte des normes prudentielles et d'accélérer la restructuration des banques non viables. Pour rappel, la Cemac regroupe le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Tchad, la Guinée équatoriale et la RCA.

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L’Agence française de développement (AFD) et le gouvernement camerounais ont signé, le 1er novembre 2014 à Yaoundé, la capitale du pays, un accord de financement d’un montant total de 11,8 milliards de francs Cfa, dédié au développement des secteurs de l’agriculture, de la santé et de l’éducation.

Concrètement, apprend-on, cet accord, qui s’inscrit dans le cadre du Contrat désendettement développement (C2D) de 2ème génération, va permettre l’approvisionnement du pays en antirétroviraux, l’apurement des arriérés de l’Etat envers la Centrale nationale d’approvisionnement en médicaments essentiels (Cename), la réalisation des travaux préparatoires au recensement agricole, l’approvisionnement en intrants agricoles ainsi que le paiement des salaires des enseignants du privé confessionnel.

Doté d’une enveloppe totale de 214 milliards de francs Cfa, le deuxième C2D (2011-2016), initiative additionnelle du gouvernement français à l’initiative Ppte du Fonds monétaire international (FMI), a été essentiellement consacré à l’agriculture et au développement rural.

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