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Yaoundé - 20 avril 2024 -

Le ministère camerounais des Marchés publics vient de lancer les premiers appels d’offres internationaux restreints, en vue de l’attribution des contrats pour la réalisation des projets de construction des axes routiers prévus dans le cadre du Plan d’urgence triennal 2015-2017, exécuté depuis l’année dernière par le gouvernement camerounais.

Selon les textes du ministère des Marchés publics, ces contrats portent sur une enveloppe globale de 192,2 milliards de francs Cfa, dont 178 milliards de francs Cfa pour les travaux de construction proprement dits, contre 14,2 milliards de francs Cfa pour les opérations de contrôle des travaux.

Au total, apprend-on, ces travaux consisteront au bitumage de 356 Km de routes dans cinq régions du Cameroun. Il s’agit notamment des régions du Centre, du Sud-Ouest, de l’Extrême-Nord, du Littoral et de l’Est. Les deux dernières régions citées bénéficient du plus long linéaire de routes à bitumer, avec respectivement 95 et 90 Km.

Doté d’une enveloppe totale de 925 milliards de francs Cfa, le Plan d’urgence triennal du gouvernement camerounais vise à accélérer la croissance économique dans le pays et à améliorer les conditions de vie des populations. Ce plan d’urgence s’articule autour de projets dans l’agriculture, l’élevage, l’immobilier, la santé, les infrastructures routières, l’adduction d’eau potable et l’éclairage public.

BRM

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Une délégation d’investisseurs marocains conduite par Mohammed Agoumi, directeur général des activités internationale de la Banque marocaine pour le commerce extérieur (BMCE), a été reçue le 21 janvier 2016 par le secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh (photo), a-t-on appris de bonnes sources.

Ces investisseurs marocains étaient porteurs de projets pour un montant total de 130 milliards de francs Cfa, afin d’appuyer le gouvernement camerounais dans la réalisation de son plan d’urgence triennal (2015-2017) pour la relance de la croissance et l’organisation des coupes d’Afrique des Nations de football en 2016 et 2019.

Afin d’aider le Cameroun dans l’organisation des compétitions sportives sus-mentionnées, les investisseurs marocains, selon nos sources, ambitionnent par exemple de doter le pays de centres d’accueils modernes, de sorte que ces infrastructures survivent aux deux CAN et contribuent à l’augmentation des capacités d’hébergement dans le pays.

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Selon les prévisions du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, 400 000 nouveaux emplois seront créés sur l’ensemble du territoire camerounais au cours de l’année 2016, soit près de 70 000 postes de plus que l’année dernière, rapporte le Quotidien gouvernemental.

En effet, dans son adresse à la Nation le 31 décembre 2015, le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, a annoncé que 337 660 emplois ont été créés dans le pays, selon les statistiques compilées à fin novembre 2015. L’on remarque cependant que le chiffre révélé par le Président Biya est inférieur aux 350 000 emplois annoncés en début d’année par le ministère de l’Emploi.

Selon ce département ministériel, cet objectif n’a pas été atteint à cause, en partie, de la mise en œuvre tardive du plan d’urgence triennal 2015-2017, sur lequel le ministère de l’Emploi avait fait une projection de création de 35 000 emplois au total.

Au demeurant, les responsables de ce département ministériel confessent eux-mêmes que les chiffres sur l’emploi au Cameroun sont quelque peu biaisés, apprend-on, du fait de facteurs tels que «l’insuffisance des ressources financières allouées à la collecte des informations sur l’emploi, la réticence de certaines entreprises à fournir périodiquement les informations sur la main d’œuvre employée ou recrutée et à élaborer les plans de gestion prévisionnelle des effectifs».

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En 2016, l’Etat du Cameroun injectera plus de 1500 milliards de francs Cfa dans la réalisation de projets sur le territoire national. C’est du moins ce qu’indique le projet de budget 2016 actuellement en examen au Parlement. Avec cette enveloppe, le Budget d’investissement public (Bip) représentera 36% du budget global de l’Etat, contre 30% en 2015 et 2014.

Longtemps marginalisé au détriment du budget de fonctionnement qui engloutissait parfois jusqu’à 80% de l’enveloppe budgétaire nationale, le BIP monte en puissance dans le budget de l’Etat depuis 2014, à la faveur des grands projets d’infrastructures en cours ou annoncés dans le pays.

En effet, aux barrages et autres projets autoroutiers et routiers en cours, viendront s’ajouter, en 2016, les investissements dans les infrastructures sportives dans la perspective de l’organisation de la CAN 2019, ainsi que les projets contenus dans le plan d’urgence triennal du gouvernement, qui atteindra sa seconde borne en 2016.

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Pour le premier essai du Cameroun sur le marché international des capitaux, le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey (photo), et son équipe, n’ont pas réussi un coup de maître. C’est du moins ce qu’indique le site d’information spécialisé Global Capital, qui révèle que le tout premier eurobond de l’Etat camerounais, qui a finalement été d’un montant de 1,2 milliard de dollars (plus de 650 milliards FCfa), a été souscrit par les investisseurs à environ 98% seulement.

Ce taux de souscription en dessous de 100%, bien moins reluisant que les sursouscriptions atteignant parfois 500% réussies par les eurobonds émis depuis au moins 2 ans par les pays africains, renseigne bien sur le degré de crédibilité de la signature du Cameroun (pays noté B/B- par l’agence Standard & Poor’s) sur le marché international.

L’autre indicateur de cette prudence des investisseurs est le taux d’intérêt de cet eurobond d’une maturité de 10 ans. En effet, apprend-on, ce taux d’intérêt frôle les 10%, soit 9,75% plus précisément. C’est l’un des taux d’intérêt les plus élevés servis par un pays africain (bien moins que le Ghana qui a servi 10,75% cette année) depuis au moins 2 ans, suite à l’émission d’eurobonds. A l’analyse, ce taux aurait pu être plus important n’eut été la garantie partielle fournie par la Banque africaine de développement (BAD).

Cependant, certaines informations crédibles conduisent à ne pas mettre ce taux d’intérêt sur le compte d’une confiance limitée des investisseurs dans la signature du Cameroun. A en croire lesdites informations, le gouvernement camerounais en est arrivé à servir un taux d’intérêt de 9,75%, suite à la réticence des investisseurs à accepter un taux plus bas pour un eurobond d’un montant de 1,2 milliard de dollar seulement. En clair, avec une demande plus importante, le taux d’intérêt aurait pu être revu à la baisse.

Pour rappel, les fonds levés par le Cameroun à la faveur de cet eurobond co-arrangé par la Société générale et la Standard Chartered Bank, serviront à financer le plan d’urgence triennal du gouvernement (2015-2017), doté d’une enveloppe totale de 925 milliards de francs Cfa.

BRM

 

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Le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, vient de procéder dans la ville de Yaoundé, au lancement de la phase de construction du tout premier abattoir moderne du pays, dont les travaux sont réalisés par le groupe espagnol Emmsa. Doté de huit chaînes d’abattage et d’entrepôts frigorifiques d’une capacité de stockage de 10 000 carcasses de 200 Kg, cet abattoir sera également équipé en véhicules de transport frigorifiques.

Des infrastructures du même type, mais d’envergure plus modestes (stockage de 250 à 5000 carcasses de 200 Kg), seront également construites par la même entreprise dans les villes de Kribi, Ngaoundéré et Ebolowa. Ces investissements engloutiront globalement 10 milliards de francs Cfa, apprend-on.

Ces projets, qui visent à moderniser les infrastructures dans les filières bovine et porcine, font partie du plan d’urgence triennal du gouvernement camerounais, pour l’amélioration des conditions de vie des populations et la relance de la croissance, lequel plan est doté d’un budget total de 925 milliards de francs Cfa.

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La 4ème édition du Salon de l’action gouvernementale (Sago 2015) aura lieu du 18 au 21 août 2015 au palais des Sports de Yaoundé, la capitale camerounaise, ont annoncé les organisateurs de l’évènement. L’objectif de ce Salon, apprend-on, est de «promouvoir le travail du gouvernement et à le promouvoir auprès des publics-cibles, en mettant l’accent sur ses réalisations phares».

Organisé cette année sous le thème «mise en œuvre du plan d’urgence et efficacité du travail gouvernemental», le Sago 2015 sera ponctué par des conférences culturelles, des ateliers, des expositions et une soirée de gala, indiquent ses promoteurs.

Plus de 75 000 visiteurs sont attendus à ce rendez-vous de l’action gouvernementale, auquel devront participer les ministères, les collectivités locales décentralisées, les entreprises aussi bien publiques que privées.

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Selon des indicateurs présentés par le Fonds monétaire international (FMI) sur l’économie camerounaise, le rendez-vous pris pour l’émergence du pays à l’horizon 2035 risque de ne pas être respecté, si des mesures concrètes ne sont pas prises, a-t-on appris le 28 avril 2015 en marge de la présentation des perspectives globales de l’économie africaine par le FMI.

«Dans les prévisions de son Document de stratégie pour la croissance et l’emploi, les autorités camerounaises envisageaient d’atteindre une croissance d’au moins 10,2% d’ici 2020. On remarque sur les projections, que 2015 aurait dû être une année décisive. Or, les performances actuelles, selon nos estimations, laissent voir qu’on atteindra difficilement  les 5% de croissance dans les cinq prochaines années», a fait savoir en substance Mario Zamaroczy, un des membres de la mission du FMI, qui connait bien le Cameroun.

En effet, dans le rapport sur les perspectives économiques de l’Afrique présenté par le FMI, les indicateurs sur le Cameroun sont sources de pessimisme. Alors que le pays était parvenu à atteindre une stabilité budgétaire au lendemain de l’atteinte de l’initiative Pays pauvre et très endetté (PPTE) en 2006, sa situation budgétaire et extérieure s’est depuis quelques temps dégradée. Le déficit public continue de croître, malgré la réduction des subventions aux hydrocarbures. Bien qu’il soit toujours soutenable, l’endettement a presque doublé en quatre ans, passant  de 15% du PIB à un peu plus de 30%, tandis que le solde extérieur se détériore.

Plan d’urgence gouvernemental

Ajouté à cela, le Cameroun doit aujourd’hui faire face à un double choc. Le premier est lié à la baisse des cours mondiaux du pétrole, cette matière constituant aujourd’hui  près de 20% de ses recettes budgétaires et 54% de ses recettes d’exportation. L’autre choc que traverse le pays est la situation d’insécurité dans certaines de ses frontières, notamment à l’Est du pays, région frontalière à la RCA en crise, mais surtout dans l’Extrême-Nord avec une forte mobilisation de ressources pour la lutte contre le mouvement terroriste nigérian Boko Haram.

A ces indicateurs pessimistes, les autorités camerounaises mettent un bémol, en soutenant que le gouvernement a anticipé sur cette question, en prenant des mesures d’urgence à l’instar du plan d’urgence triennal doté d’une enveloppe de 925 milliards FCfa actuellement implémenté par l’Etat du Cameroun. Certains observateurs sont cependant très sceptique, quant à la capacité du plan d’urgence à véritablement relancer la machine économique, déjà en raison du retard que prend  la mobilisation des ressources extérieures (750 milliards FCfa) devant servir au financement de la plus grosse partie de ce plan.

En guise de solutions, le FMI est resté constant dans ses propositions : construire des matelas budgétaires, éliminer les subventions au carburant, améliorer le climat des affaires pour accroitre les investissements privés, promouvoir le développement inclusif et optimiser la stratégie d’endettement. Ce panier  de solutions est aussi fortement critiqué par certains experts camerounais.

«Ce que le FMI ne dit pas dans ses solutions, c’est comment toutes ces mesures seront financées et, surtout, quel sera le coût réel de leur mise en œuvre. De l’autre côté, si on fait tout cela et qu’on doit toujours sortir des quantités importantes d’argent pour importer des biens et services, nous restons dans un système de rente et aucun pays ne peut se développer pleinement dans de telles conditions. Ce qu’il faudrait faire, c’est de complètement réorienter notre stratégie économique et notre gestion de la monnaie. Or, cela, le FMI ne le dit pas du tout», a fait savoir Dieudonné Essomba, un ingénieur statisticien camerounais, auteur d’un livre sur les vertus de la monnaie binaire.

 

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A cause des attaques répétées de la secte islamiste nigériane Boko Haram, près d’une centaine d’écoles de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun ont été fermées, et leurs élèves réfugiés vers les zones plus sécurisées, où les capacités d’accueil des écoles sont largement dépassées, du fait de l’afflux des populations qui fuient Boko Haram.

Afin d’accroître les capacités d’accueil de ces écoles prises d’assaut par les élèves dont les parents sont en débandade à cause de Boko Haram, le gouvernement camerounais vient d’annoncer le déblocage d’une enveloppe de 5,3 milliards de francs Cfa devant permettre la réalisation d’un plan d’urgence de construction des infrastructures scolaires dans cette partie du pays.

«Il est question pour nous d’agir dans l’urgence pour que tous ces élèves qui ont abandonné les classes dans les zones sinistrées et qui sont redéployés plus à l’intérieur du pays retrouvent un cadre idéal de formation qui leur permettra de rattraper leurs camarades des autres localités du Cameroun. Cet argent servira à la construction de 79 forages, 196 salles de classe, 83 blocs de latrines, 20 dortoirs, 10 cantines et des branchements électriques dans 106 localités de la région», explique le gouverneur de l’Extrême-Nord, Midiyawa Bakari, qui ajoute que ces travaux vont être exécutés dans un délai de 40 jours.

Pour ce faire, apprend-on, le gouvernement a requis les services du génie-militaire, service spécialisé de l’armée, qui s’attèlera à la construction de ces infrastructures scolaires dans les zones jugées à risque, tandis que les opérateurs économiques réaliseront ce plan d’urgence dans les zones plus calmes, c’est-à-dire très peu exposées aux attaques de la secte Boko Haram.

 

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Le plan d’urgence annoncé au Cameroun semble ne pas avancer à grande vitesse, au regard de son niveau d’exécution trois mois après l’annonce de son financement par le président de la République, Paul Biya. En effet, ce n’est que le 26 février 2015 que le ministère des Marchés publics a publié un appel d’offres invitant «les cabinets, bureaux d’études techniques et entreprises» à soumissionner pour participer aux différents projets.

La date limite du dépôt des dossiers de candidatures pour les entreprises souhaitant participer au plan d’urgence est fixée au 6 mars. Il est difficile de dire combien de temps prendra la publication des résultats. Afin d’éviter une prolongation des délais, le ministre Nganou Djoumessi de l’Economie avait exprimé le souhait de voir les procédures de commandes être effectuées par la procédure d’urgence, dans le cadre de ce plan.

En tout cas, à l’observation, le stade d’évolution actuel des activités ne semble pas cadrer avec la vitesse à laquelle l’opinion publique attend de voir être implémenté ce plan d’urgence, dont l’objectif officiel est de donner un coup d’accélérateur à la croissance du pays. Pour l’heure, selon nos sources, seulement quelques projets sont complètement matures. Il s’agit notamment de la construction des logements sociaux dans les dix régions du pays et du plan d’amélioration des plateaux techniques de certains hôpitaux.

Ces deux composantes du plan d’urgence seront financées par Banque Atlantique et exécutées par le groupe  marocain Alliances. Le deuxième projet qui est déjà presque mature est celui de la construction des abattoirs et entrepôts frigorifiques, qui  seront financés par la Deutsche Bank. Pour le reste des projets, soufflent des responsables du ministère de l’Economie, les niveaux de maturation sont encore faibles.

Par ailleurs, on attend toujours des nouvelles du groupe français  Société Générale et de Standard Chartered Bank Cameroun, qui ont reçu le mandat du gouvernement camerounais, de mobiliser à l’international une bonne partie du financement du plan d’urgence triennal (1,5 milliards de dollars, soit 750 milliards de francs Cfa). Le 10 février 2015, en remettant la lettre de mandat du gouvernement aux deux banques co-arrangeurs de cet emprunt, le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey, s’était montré confiant quant à la possibilité du pays de pouvoir mobiliser la somme souhaitée.

 

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