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Yaoundé - 25 avril 2024 -

Le ministère des Travaux publics (Mintp) informe que, la première phase du projet de construction de l’autoroute Yaoundé-Douala, est actuellement réalisé à hauteur de 74 %.

« Les travaux s’étendent à ce jour jusqu’au point kilométrique 60. Les travaux de chaussées sont achevés entre le point kilométrique 00 et le point kilométrique 40. Les terrassements sont en cours entre le point kilométrique 40 et le point kilométrique 60 », renseigne le Mintp. Selon la même source, l’entreprise chinoise China First Highway Engineering Co, en charge des travaux du projet, va livrer cette première phase de l’autoroute à l’horizon 2020 « si toutes les conditions sont réunies ».

L’autoroute Yaoundé-Douala vise à construire un réseau routier moderne d’environ 215 km entre les deux plus importantes villes du pays (Yaoundé et Douala). Le coût global des travaux de la première phase est estimé à 284 milliards FCFA. La phase 1 de cette autoroute permettra de construire sur environ 60 kilomètres, une autoroute de 2 x 2 voies extensibles à 3 voies, du point kilométrique 0 à l’échangeur de Bibodi.

Mais depuis le lancement en 2014, les travaux ont parfois été interrompus à cause, entre autres, des grèves des ouvriers, des problèmes de libération des emprises et des indemnisations des populations riveraines.

S.A

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Au cours du conseil de cabinet présidé le 23 mai, à Yaoundé, par le Premier ministre, Joseph Dion Ngute, le ministre des Travaux publics (Mintp), Emmanuel Nganou Djoumessi, a présenté un exposé sur le renchérissement du coût des infrastructures routières au Cameroun.

Selon Nganou Djoumessi, l’inflation du coût des routes est principalement due aux insuffisances observées dans la réalisation des études techniques et géotechniques. À cela s’ajoutent les contraintes inhérentes à la fiscalité, aux indemnisations et déplacements des réseaux, les incertitudes dans les délais de paiement des entreprises, le recours ou non à la concurrence dans l’attribution des marchés ainsi que l’évolution des prix des principaux intrants tels que le ciment, le fer, le bitume et les granulats.

À en croire le Mintp, la stratégie à l’œuvre pour réduire les coûts des travaux de construction des infrastructures routières porte notamment sur l’adoption d’une nouvelle approche de fixation des prix unitaires fondée sur des sous détails élaborés et non sur des prix moyens pratiqués, la réalisation de la commande publique sur la base des études techniques rigoureuses et conformes aux critères de maturation des projets d’investissement.

Promotion de l’industrie locale

Emmanuel Nganou Djoumessi évoque également le redimensionnement des routes pour diminuer les coûts de terrassement et des chaussées, la promotion des contrats de partenariats public-privé dans la construction, l’exploitation et la maintenance des infrastructures routières et la maîtrise de la fiscalité liée à la construction routière et des coûts des intrants.

Pour le ministre des Travaux publics, la mise en œuvre d’une industrie routière inclusive fondée sur la promotion de quelques champions nationaux, la pratique des études et travaux en régie, la mise à niveau des PME catégorisées devrait contribuer à augmenter le linéaire des routes bitumées à un coût relativement bas.

Selon la Banque mondiale, les coûts des projets routiers camerounais sont deux à six fois supérieurs à ceux de projets similaires dans des pays ayant des niveaux de développement équivalents. À preuve, indique cette institution, l’autoroute Yaoundé-Douala atteindra un coût de 11 millions USD par kilomètre (par rapport à 3,5 millions USD en Côte d’Ivoire et 3 millions USD au Maroc), tandis que l’autoroute Yaoundé-Nsimalen coûte 6,12 millions USD par kilomètre.

Sylvain Andzongo

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Le ministère des Travaux publics (Mintp) informe que l’entreprise française Sogea Satom a engagé les travaux de construction de la section Olama-Bingambo (106 km). C’est sur la nationale 22 qui facilite l’accessibilité au port en eau profonde de Kribi.

Selon le Mintp, une avance de démarrage d’un montant de 13,4 milliards de FCFA a par ailleurs été versée au profit de l’entreprise. Sur le terrain, le taux d’exécution du projet affiche, depuis avril dernier, une évolution située à 10,5 % pour une consommation des délais de 35,23 %.

Les travaux en cours concernent l’aménagement de la base vie de l’entreprise avec un taux de réalisation de 85 % ; la construction des bureaux de l’entreprise (100 %) ; la construction et l’équipement du laboratoire de l’entreprise (95 %) ; les tâches de nettoyage et de débroussaillage effectuées à 60 % ; les travaux de décapage réalisés à 22 % jusqu’au point kilométrique 23, etc.  Cependant, Sogea Satom rencontre quelques défis : non-libération des emprises, la présence du réseau électrique à déplacer.

Le projet de construction de la route Olama-Bingambo est financé par la Banque islamique de développement et l’État du Cameroun à hauteur de 87,7 milliards FCFA. Les travaux devront s’achever en juillet 2021.

S.A

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L’on en sait un peu plus sur le cahier de charges qui attend le groupement Razel BEC-Egis, dans le cadre de la construction de 14 péages automatiques au Cameroun.

Selon le ministère des Travaux publics qui a lancé, le 15 juin 2016, la procédure de sélection d’un partenaire privé chargé de la réalisation dudit projet, les nouveaux postes de péage incluront une zone d’entonnement (zone d’approche) comprenant une chaussée en structure rigide de deux voies chacune (2 X 3,50 m de largeur), deux accotements de 2,00 m de largeur chacun.

La plateforme d’un poste de péage, quant à elle, comprendra : deux chaussées en structure rigide de deux voies chacune, trois îlots de 2,00 m de largeur chacun y compris l’ensemble du génie civil, les équipements et cabines péagers, deux trottoirs de 1,50 m de largeur chacun, l’assainissement de plateforme et des îlots, les équipements de signalisation et d’exploitation.

Les bâtiments des postes de péage, pour leur part, sont constitués d’un rez-de-chaussée, un étage, un parking et une voirie d’accès sécurisé spécifique, d’un groupe électrogène et sa dalle, l’ensemble des réseaux et équipements, l’assainissement et les clôtures. Les zones de stationnement, elles, disposent des espaces marchands en amont et aval des postes de péage.

Localisation

Les 14 postes de péages à construire et les itinéraires des routes sont les suivants : Nsimalen (Yaoundé-Mbalmayo), Mbankomo (Yaoundé-Mbankomo) ; Tiko (Douala-Mutenguene) ; Edea (Douala-Edea) ; Boumnyebel (Edea-Boumnyebel) ; Nkometou (Yaoundé-Obala) ; Bayangam (Bangangte-Bafoussam) ; Bafia (Obala-Bafia) ; Mbanga (Douala-Mbanga) ; Manjo (Mbanga-Manjo) ; Bandja (Bafang-Bafoussam) ; Matazen (Bafoussam-Bamenda) ; Foumbot (Bafoussam-Foumbot) et Dschang (Dschang-Bamougoum).

Il a été sollicité auprès du ministre des Domaines du cadastre et des Affaires foncières (Mindcaf), la signature des additifs aux arrêtés de déclaration d’utilité publique pour les neuf sites maintenus aux postes existants. Les emprises ont été délimitées suivant la nouvelle conception du projet qui nécessite des aménagements sur une plateforme d’environ 300 mètres de long et 120 mètres de large, compte tenu des bâtiments, parkings et espaces marchands prévus.

Les cinq autres postes de péage font l’objet de concertations locales pour une désignation consensuelle des nouveaux sites face aux contraintes géomorphologiques et agglomératives des habitations ou du petit commerce.

Sylvain Andzongo

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L’entreprise Ellipse Projects SAS France, en charge de l’installation de 55 ponts préfabriqués modulaires en acier au Cameroun, vient de réceptionner, à Douala, 412 containers contenant les éléments métalliques de 44 ouvrages fabriqués par la société américaine Acrow Corporation of America.

Selon Geoffray Terrain, directeur du projet au sein d’Ellipse Projects, 19 ouvrages sont déjà en cours de construction. Le responsable du projet prévoit l’achèvement de 14 ouvrages en 2019 et les cinq autres vers le 31 mars 2020. Ce qui représente une petite avancée dans ce projet en gestion depuis bientôt cinq ans.

En effet, c’est en décembre 2014 qu’Eximbank USA s’est positionnée dans ledit projet comme étant le garant de 25 milliards de FCFA, sur l’accord de prêt d’un montant total de 46 milliards FCFA signé entre le Cameroun et le groupe bancaire français, Société Générale.

Jusqu’en mars 2019, le projet connaissait de gros défis pour ce qui concerne le dédouanement des ponts métalliques au port de Douala. Ce qui a même amené Olivier Picard, président d’Ellipse Projects SAS France, a rencontré, le 8 mars dernier à Yaoundé, le ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi. Les deux personnalités ont finalement convenu de trouver une solution permettant le dédouanement des containers convoyés par Acrow Corporation.

Si tout se passe bien, certaines grandes zones de production agricole du Cameroun bénéficieront de ces ouvrages d’art flexibles dont la longueur varie de 27 à 150 m, afin de faciliter le mouvement des personnes et des biens.

Ellipse Projects SAS France doit, à terme, construire 11 ponts métalliques dans la région de l’Est et 9 dans le Nord-Ouest. Les régions de l’Ouest et du Sud auront chacune 7 ponts. L’Adamaoua et du Centre recevront chacun 5 ponts. La région du Sud-Ouest attend 4 ponts. Le Littoral, 3 ponts et les régions du Nord et de l’Extrême Nord, 2 ponts chacune.

S.A

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Célestine Ketcha Courtès (photo), ministre en charge de l’Habitat (Minhdu) a déjà tenu deux réunions publiques entre fin mars et début avril afin de résoudre, entre autres, le problème des habitations situées sur l’emprise de l’autoroute en construction, Yaoundé-Nsimalen, d’un linéaire de près de 11 km dans la section rase campagne.

Le 26 mars dernier, le membre du gouvernement a pris acte de la disponibilité des fonds destinés au paiement des indemnisations pour les 100 premiers mètres déjà libérés dans la section rase campagne. Ensuite, elle a ordonné que dans un délai de 72 heures, le problème soit réglé pour les 300 autres mètres.

Seulement, malgré les 72 heures prescrites pour libérer le site où est construite l’autoroute Yaoundé-Nsimalen, Mme Ketcha Courtès a été obligée d’organiser le 4 avril, à Ahala, banlieue de Yaoundé, une autre réunion de consultations publiques des riverains. La Minhdu a invité les populations à trouver un site de relocalisation provisoire de l'Ecole publique située sur l'emprise au niveau de l'échangeur de Meyo. Une fois de plus, elle a demandé que les habitations sur l’emprise de l’autoroute soient démolies dans les plus brefs délais.

Mais, il se trouve que des riverains revendiquent toujours le paiement des indemnisations. Et pourtant, le gouvernement, lui, rétorque qu’à la 3ème phase de l’opération, 179 personnes ont encaissé une enveloppe globale de près de 1,4 milliard FCFA.

D’un coût total de 189,8 milliards FCFA, le projet de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen a démarré le 2 mai 2014 pour une durée de 36 mois. Les travaux auraient dû s’achever depuis mai 2017. Cela afin de relier la capitale du Cameroun Yaoundé et l’aéroport international de Nsimalen.

S.A

Published in Grands Travaux

Réceptionné par le gouvernement camerounais en décembre 2018, le 2è pont sur le Wouri doit de nouveau faire l’objet de travaux de la part de Sogea Satom, le constructeur.

En effet, Emmanuel Nganou Djoumessi, le ministre des Travaux publics (Mintp) explique dans un communiqué du 29 mars que, de fortes pluies enregistrées dans la ville de Douala, la capitale économique du Cameroun, ont révélé un «dysfonctionnement prononcé de l’ouvrage hydraulique» situé sur la bretelle d’accès à l’ancien pont sur le Wouri. Ce qui a entraîné des inondations sur la section principale d’accès au 2è pont sur le Wouri.

«Il est apparu que la capacité d’évacuation des eaux de cet ouvrage hydraulique est réduite en raison, d’une part, de la présence à son exutoire d’une conduite d’eau Camwater [concessionnaire public du secteur de l’eau au Cameroun] de 1200 mm et d’autre part, de son encombrement par des matériaux solides rejetés par les usagers», explique M. Nganou Djoumessi.

D’ores et déjà, précise le membre du gouvernement, il a été demandé à l’entreprise Sogea Satom, mandataire du groupement d’entreprises ayant conçu et réalisé le projet de construction du 2è pont sur le Wouri et ses aménagements complémentaires, d’engager les mesures correctives dans le cadre des obligations qui lui incombent en période de garantie.

«Une équipe technique des ingénieurs du ministère des Travaux publics s’est jointe à l’équipe-projet, dès ce jour [29 mars 2019], pour arrêter définitivement les mesures correctives appropriées devant mettre un terme à ce dysfonctionnement», tente de rassurer le Mintp.

D’un coût total de 141,6 milliards FCFA, le second pont sur le Wouri est constitué d’un viaduc routier long de 756 m et un viaduc ferroviaire de 746 m. C’est un ouvrage stratégique qui permet de fluidifier la circulation dans la zone industrielle et le centre-ville de Douala. C’est aussi en passant par ce pont que Douala est relié aux régions du Nord-Ouest, du Sud-Ouest et de l’Ouest du Cameroun.

Sylvain Andzongo

Published in Grands Travaux

A Bafoussam, la capitale régionale de l’Ouest, la société du BTP Razel, expérimente actuellement l’utilisation du béton compacté à rouleau (BCR), pour la construction des routes dans le cadre du programme «Capitales régionales», financé par les fonds C2D (Contrat désendettement développement) du gouvernement français.

Selon les informations publiées par le quotidien gouvernemental, ce matériau permet de donner à la route une durée minimale de 30 ans, contre 15 ans pour les routes jusqu’ici construites à base du «béton bitumineux» (BB), cette dernière durée étant par ailleurs conditionnée par un entretien tous les 3 à 5 ans.

Le BCR, matériau utilisé au Canada depuis 60 ans, et qui permet d’avoir des «chaussées trois fois moins chers», selon un expert interrogé par le journal à capitaux publics, sera également mis à contribution dans la réalisation des travaux du programme «Capitales régionales» dans les villes de Bertoua et de Garoua.

BRM

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Des tombes situées dans l’emprise du Projet d’alimentation en eau potable de la ville de Yaoundé, à partir du fleuve Sanaga, (Paepys) seront bientôt déplacées.

Dans cette optique, Dieudonné Ombala, directeur général du projet, a lancé, le 18 mars dernier, un appel d’offres national pour les besoins de la cause. Les travaux consistent au déplacement des tombes situées entre la station de prise d’eau à Nachtigal et le réservoir d’eau potable de Ndindan, à Yaoundé.

Le lot 1 de ce marché concerne les arrondissements de Batchenga et d’Obala, dans le département de la Lekié. Ici, 1176 tombes (439 aménagées et 737 non aménagées) doivent être déplacées. Coût de l’opération : 352,8 millions FCFA. Le lot 2 concerne les arrondissements de Soa et Yaoundé I. Dans ces deux circonscriptions, 419 tombes seront déplacées, dont 219 aménagées et 200 non aménagées. Le coût prévisionnel est de 125,7 millions FCFA. Soit un total cumulé de 478,5 millions FCFA pour 1595 tombes. Ce qui fait un ratio de 300 000 FCFA par sépulture.

La participation à cet appel d’offres est ouverte aux entreprises de droit camerounais installées au Cameroun et expérimentées dans la réalisation de déplacement de tombes. La remise des offres est fixée au 25 avril 2019.

A fin septembre 2018, le ministère de l’Eau et de l’Energie (Minee) a indiqué un taux d’avancement global de 30% du Projet d’alimentation en eau potable de la ville de Yaoundé, à partir du fleuve Sanaga.

Le Paepys est financé par Eximbank China, pour un coût total de 399 milliards FCFA et exécuté par l'entreprise chinoise Sinomach). Il devrait mettre un terme au déficit en eau potable de la ville de Yaoundé, en apportant dans sa phase initiale un complément de 300 000 m3/j, puis 400 000 m3/j dans la phase d’extension. Il permettra également de couvrir les villes et localités riveraines, notamment : Batchenga, Obala, Nkometou, Soa et Ntui.

S.A

Published in Grands Travaux

C’est une passe d’armes qu’on observe actuellement entre la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) et un candidat au marché de construction d’un immeuble de la Banque centrale à Ebolowa, dans le Sud-Cameroun.

Dans une lettre datée du 25 février 2019, Amadou Hamadou, promoteur camerounais de l’entreprise de BTP, DNB International Sarl, a saisi le président de la République Paul Biya. Objet : « Requête aux fins d’intervention ». Selon M. Amadou, son entreprise a participé à l’appel d’offres de la Beac du 18 juillet 2018 et aurait été classée 1ère par le maître d’œuvre avec une « une offre financière la moins élevée » se chiffrant à 12,417 milliards FCFA.

« Alors qu’on se serait attendu à ce que ce marché fût attribué à cette entreprise nationale qui avait la meilleure offre technique suivant l’évaluation du maître d’œuvre, et le prix le moins élevé, le marché est en passe d’être attribué à une entreprise tchadienne ayant sa maison-mère au Soudan, au mépris de la règle de préférence nationale qui aurait dû être prise en compte. », écrit Amadou Hamadou à Paul Biya.

La Banque centrale elle, rejette en bloc toute ces accusations. A travers une mise au point, la Beac explique qu’une cellule interne dénommée, Cellule de gestion administrative des marchés (CGAM), organise de «façon transparente la procédure d’attribution et diligente les différentes étapes de sa mise en œuvre par des commissions ad hoc instituées pour chaque marché».

La Beac poursuit en indiquant que, les différentes offres (techniques et financières) sont alors analysées par ces commissions qui comprennent, outre les cadres de la CGAM, des agents de la Direction générale du contrôle général et du département des affaires juridiques et de la réglementation, notamment. Les conclusions des travaux de ces commissions sont consignées dans un rapport soumis au gouvernement de la Beac qui statue de manière collégiale.

«Au final, l’attribution du marché est prononcée par le Gouvernement de la Banque, sur la base du rapport de la commission. La décision d’attribution du marché est matérialisée par une décision signée par les six membres du gouvernement de la Banque et notifiée à la commission. Celle-ci, à son tour, publie les résultats qui sont affichés sur le site Internet de la Beac et transmis à chaque soumissionnaire.», se défend la Banque centrale. Elle conclut : «s’agissant du marché de construction d’un immeuble de la Beac à Ebolowa au Cameroun, cette procédure a été strictement respectée».  

Sur le site Internet de la Beac, l'on note ce 21 mars 2019, que ce marché à Ebolowa a finalement été attribué à  la société AFCORP.

S.A

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