(Investir au Cameroun) - « Entreprises publiques, un fardeau pour l’État ». Tel est le titre du dossier que livre le magazine Investir au Cameroun, dans son édition de mars 2020 actuellement disponible S’inspirant du rapport 2019 de la Commission technique de réhabilitation des entreprises du secteur public et parapublic (CTR), votre magazine scrute les performances de ces entreprises publiques, qui, selon le FMI, sont passées maîtresses dans l’art de produire de « piètres résultats ».
Pour preuve, nombre d’entre elles, au lieu de procurer des dividendes à l’État-actionnaire, sont devenues des espèces de parasites, qui vivent au dépend du Trésor public, dont elles menacent d’ailleurs l’équilibre en raison de leur endettement abyssal. Mais, il n’y a pas que du mauvais dans le portefeuille de l’État. Il y’en a aussi qui, du fait de leurs performances enviables, donnent à espérer de l’entreprenariat public dans le pays.
La nouvelle livraison de votre magazine c’est également un entretien avec le tout nouveau patron en Afrique centrale de la Société financière internationale (SFI), filiale de la banque mondiale dédiée au financement du secteur privé. Basé à Douala, la capitale économique camerounaise, l’Ivoirien Sylvain Kakou révèle les ambitions de cette structure de financement pour le Cameroun, notamment la fenêtre ouverte aux start-ups.
Comme à l’accoutumée, la nouvelle livraison de votre magazine revient sur les faits marquants qui ont ponctué l’actualité économique dans le pays au cours des dernières semaines. Avec notamment la première introduction d’une structure financière à la bourse sous-régionale, basée à Douala, opération dont la particularité est de pouvoir acheter des actions via le Mobile Money. Ce mode de paiement s’impose de plus en plus dans les transactions commerciales et financières dans la zone Cemac, notamment au Cameroun.
BRM