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Yaoundé - 20 avril 2024 -

Les organes dirigeants de la Société nationale de transport d’électricité (Sonatrel) affichent désormais complet, ouvrant ainsi la voie à l’entrée en scène effective de ce nouvel opérateur dans le secteur de l’électricité au Cameroun.

En effet, après avoir été constitué par décret présidentiel du 4 février 2016, le Conseil d’administration de la Sonatrel, présidé par le ministre de l’Energie, Basile Atangana Kouna, a tenu le 9 février 2016 ses premières assises. Au cours de celles-ci, Mbemi Nyankga, jusqu’ici préfet du département de la Mefou et Afamba, dans la région du Centre, a été nommé au poste de directeur général.

Cet administrateur civil principal sera assisté par Ruben Minla’a Mengue, nommé au poste de directeur général adjoint. Ces deux nouveaux responsables, apprend-on, seront officiellement installés dans leurs nouvelles fonctions le 11 février 2016, apprend-on de bonnes sources.

Créée par décret présidentiel du 8 octobre 2015, la Sonatrel, dont les deux commis de l’Etat sus-mentionnés prennent les rênes, a pour missions principales «l’exploitation, la maintenance et le développement du réseau public de transport d’énergie électrique et de ses interconnexions avec d’autres réseaux ; la gestion des flux d’énergie électrique transitant par le réseau public de transport ; la planification, la réalisation des études et la maîtrise d’ouvrage des infrastructures et ouvrages de transport d’électricité, ainsi que la recherche et la gestion de financements y relatifs ; etc.»

Dans l’immédiat, cette entreprise publique devra relever le défi de la réhabilitation d’une bonne partie du réseau de transport de l’électricité au Cameroun, devenu vétuste. Cette tâche nécessite des investissements importants, auxquels est disposé à participer la Banque mondiale.

En effet, s’exprimant le 18 janvier 2016 devant la presse, le ministre de l’Economie, Louis Paul Motazé, a récemment révélé que le gouvernement camerounais a déjà reçu un accord de principe de la Banque mondiale, qui est disposé à appuyer la mise en place de la Sonatrel, à hauteur d’un montant d’environ 660 milliards de francs Cfa.

BRM

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Au cours de l’année 2016, le gouvernement camerounais affectera une enveloppe budgétaire de 16 milliards de francs Cfa à la réalisation du projet d’électrification au solaire de 166 localités dans les 10 régions du Cameroun. La révélation a été faite par le ministre de l’Economie, Louis Paul Motazé, en exposant sur le Budget d’investissement public (Bip) lors du conseil de cabinet du mois d’octobre dernier.

Ce projet qui va donc finalement démarrer en 2016 après quelques retards est la première phase d’un chantier global qui permettra l’électrification de 1000 localités camerounaises grâce à l’énergie photovoltaïque, a précisé le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna. C’était le 27 août dernier à Mvomeka’a, dans le Sud, à l’occasion de l’inauguration d’une mini-centrale solaire.

Ce projet sera le tout premier de cette envergure à être conduit au Cameroun en matière de solaire. Il permettra surtout au pays de diversifier son mix-énergétique dans lequel le solaire, l’éolien et la biomasse ne représentent actuellement qu’à peine 1% de la production globale.

 

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293 panneaux photovoltaïques et 93 lampadaires, pour une capacité de production de 73 KW d’énergie électrique par jour. Ainsi se résume la mini-centrale solaire, d’un coût global de 454 millions de francs Cfa, que la firme chinoise Huawei Technologies vient d’offrir à la localité de Mvomeka’a, village natal du chef de l’Etat camerounais situé dans la région du Sud. L’infrastructure a été inaugurée le 27 août 2015 par le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna.

«Ce projet a montré la faisabilité et le grand potentiel de l’énergie solaire pour l’amélioration de l’électricité dans les zones rurales», a déclaré le directeur général de Huawei Cameroun, Ni Zheng, dont la firme a déjà montré un grand intérêt pour la réalisation du projet d’électrification au solaire de 166 localités du pays, projet en cours de finalisation au sein du gouvernement.

Au total, sur le moyen terme, ce sont 1000 localités camerounaises qui bénéficieront de ce vaste programme d’électrification rurale, a rappelé le Ministre Atangana Kouna le 27 août dernier à Mvomeka’a. Le pays pourra ainsi diversifier son mix-énergétique, dans lequel le solaire, l’éolien et la biomasse ne représentent actuellement qu’à peine 1% de la production globale.

 

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, vient de lancer un appel d’offres en deux lots, pour recruter des prestataires devant réaliser le projet de construction de deux mini-centrales solaires dans les régions du Centre et du Sud du Cameroun.

Ces infrastructures énergétiques, dotées de capacités de production respectives de 3,2 MW et 4,5 MW, seront construites dans les localités d’Ekoumdoum, près de Yaoundé, la capitale, et de Mengon, dans l’arrondissement de Meyomessala.

Selon l’avis d’appel d’offres publié par le Ministre Atangana Kouna, les travaux qui coûteront 50 millions de francs Cfa (financés sur le Budget d’investissement public 2015) devront être livrés dans un délai maximum de cinq mois, après la signature du contrat de marché.

Les prestataires intéressés ont jusqu’au 27 août 2015 à 11h, pour faire parvenir leurs offres au service des marchés de la direction des affaires générales du ministère de l’Energie et de l’Eau à Yaoundé.

 

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La centrale thermique d’Ahala, située dans la banlieue de la capitale camerounaise, a été remise en service le 10 juin 2015, après un arrêt de plusieurs semaines, a annoncé dans un communiqué le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna. Selon ce membre du gouvernement camerounais, cette remise en service est consécutive à la finalisation des discussions en cours depuis plusieurs mois, entre la société britannique Aggreko, propriétaire de ladite centrale, et l’Etat du Cameroun, en vue du rachat de cette infrastructure énergétique.

«Sous réserve de la signature sans délai, par le ministre en charge des Marchés publics, du marché d’acquisition de ladite centrale par l’Etat du Cameroun», a précisé le Ministre Atangana Kouna dans son communiqué, la centrale thermique d’Ahala, dont «la disponibilité actuelle est de 40 MW (au lieu des 60 MW attendus)», injecte donc de nouveau, depuis le 10 juin dernier, de l’énergie supplémentaire dans le réseau électrique géré par la société Eneo, contrôlée par le fonds d’investissement britannique Actis.

Au demeurant, si la contribution de cette centrale vient quelque peu atténuer le déficit quotidien de 80 à 100 MW annoncé depuis quelques semaines par Eneo, suite à une crise hydraulique qui se manifeste par une baisse du niveau des eaux dans les barrages, le prix auquel l’Etat du Cameroun rachète cette infrastructure énergétique à la société Aggreko suscite la polémique.

En effet, dans un rapport d’audit technique de cette centrale effectué par la société de patrimoine Electricity Development Corporation (EDC), et transmis au ministre de l’Energie et de l’Eau le 4 juin 2015, les auditeurs s’étonnent de ce que la société Aggreko exige de l’Etat du Cameroun la somme de14 milliards de francs Cfa (soit 21,5 millions d’euros), pour lui céder la centrale thermique d’Ahala.

Cette somme, souligne le rapport révélé par le Quotidien privé Mutations, représente quasiment le prix d’acquisition d’un équipement du même type à l’état neuf, puisqu’Aggreko a acquis cette centrale à 15,8 milliards de francs Cfa, soit environ 24,1 millions d’euros. Or, apprend-on, «en considérant la valeur du taux d’amortissement déterminé par Edc, soit 28,3%, il ressort que les équipements seront amortis en 3,5 ans (…) la valeur résiduelle au mois de juin 2014 serait de 9 418 999 827 FCfa», soit 4,3 milliards de francs Cfa de moins que la somme exigée par Aggreko.

BRM

 

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Les textes règlementaires relatifs à la création d’une Agence de promotion des énergies renouvelables au Cameroun ont été «transmis au gouvernement depuis quelques jours», a révélé le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna (photo), dans une interview publiée le 10 juin 2015 dans le Quotidien gouvernemental.

Cet organisme public, dont la création est préconisée par la loi de 2011 régissant le secteur de l’électricité au Cameroun, va certainement donner un coup d’accélérateur à la promotion et au développement des énergies renouvelables dans le pays, notamment le solaire, l’éolien et la biomasse, qui sont actuellement les parents pauvres du secteur.

En effet, selon les statistiques officielles, le mix énergétique du Cameroun est actuellement dominé par l’hydroélectricité, qui représente 73,3% de la production nationale, contre 1% seulement pour la biomasse et moins d’1% pour le solaire et l’éolien. Les centrales thermiques produisent quant à elles 25% de l’énergie électrique consommée dans le pays.

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Selon le directeur des études de l’Agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel) au Cameroun, Issiaka Fonfatawouo, après le premier Salon consacré aux investissements dans le secteur de l’électricité (Invest’Elect) organisé à Yaoundé en mars 2015, «un voyage d’étude est en ce moment en cours à Madagascar, pour permettre aux participants de vivre en direct la riche expérience de ce pays-frère» dans le domaine des énergies renouvelables.

Pour rappel, au cours du Salon Invest’Elect, a-t-on appris officiellement, 13 protocoles d’accords sur les projets d’énergies renouvelables à implémenter au Cameroun ont été signés. A Madagascar, les opérateurs camerounais s’imprègneront davantage d’une expérience de collaboration entre un opérateur public et une dizaine d’opérateurs privés exploitants de mi-centrales hydro-électriques.

Un partenariat public-privé visiblement efficace, puisqu’il a permis à «la part des opérateurs privés dans la production d’énergie électrique d’augmenté progressivement de l’ordre de 4 % de la production totale avec 34 801 MWH en 2001, pour atteindre 288 586 MWH, soit 22 % de la production totale en 2011», révèle un rapport diagnostic du ministère malgache de l’Energie.

C’est cette expérience de promotion des investissements privés dans le secteur de l’électricité que le gouvernement camerounais compte dupliquer, grâce à sa panoplie de projets qui visent «l’implantation de mini-centrales solaires dans 166 localités à moyen terme et 1000 localités à terme», a indiqué Basile Atangana Kouna (photo), le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau. C’était au cours du conseil de cabinet du 30 avril 2015.

 

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Les gouvernements camerounais et coréen réfléchissent actuellement à la mise en place d’une stratégie de développement des énergies renouvelables dans le pays. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre les deux parties qui vient de se tenir à Yaoundé, la capitale camerounaise, au sortir d’une tournée de prospection ayant impliqué des experts de la société coréenne Dohwa Engineering, de l’agence coréenne de coopération internationale (Koica), des responsables du ministère de l’Energie et du ministère de l’Economie.

Cette prospection, qui s’est déroulée dans les régions du Centre, de l’Est, du Littoral, du Sud-Ouest et de l’Ouest, a permis d’identifier des sites susceptibles d’abriter des projets de construction de mini-centrales hydro-électriques, de développement de l’énergie solaire, éolienne et la biomasse, apprend-on de bonnes sources.

Pour rappel, le Cameroun, qui croule sous le poids du déficit énergétique n’exploite qu’à peine 1% de son potentiel dans les énergies renouvelables, selon le ministre de l’Energie, Basile Atangana Kouna. Aussi, ce membre du gouvernement camerounais voit-il en ce projet de mise en place d’un plan de développement des énergies renouvelables avec le concours de la Corée, une opportunité idoine pour transformer le potentiel du pays dans le secteur en une véritable richesse.

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Depuis le 15 février 2015, les caboteurs de la Société nationale de raffinage (Sonara) n’ont pas pu effectuer trois voyages en direction du port de Douala, où sont situées les cuves de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP), à partir desquelles les produits raffinés sont livrés dans huit régions du pays, exception faite des régions de l’Ouest et le Sud-Ouest.

Cette situation qui est mise sur le compte de la congestion ambiante au port de Douala, la plus grande infrastructure portuaire du pays, a officiellement causé un manque à gagner de 6 milliards de francs Cfa à l’unique raffinerie du Cameroun, a-t-on appris le 30 mars dernier à Yaoundé. C’était au cours d’une session du comité de pilotage et de suivi du projet de construction d’un pipeline long de 355 Km, en vue de la distribution des produits pétroliers au Cameroun.

Cet exemple révélé au cours de la première session du comité de pilotage que préside Basile Atangana Kouna, le ministre de l’Energie, est venu remettre au goût du jour l’importance de ce projet d’oléoduc, dont le premier tronçon s’étirera sur 110 Km entre la ville pétrolière de Limbé, et Douala, la capitale économique. Le 2ème tronçon quant à lui s’étendra sur 70 Km entre Douala et Edéa, tandis que le 3ème tronçon, long de 175 Km, ralliera Yaoundé, la capitale du pays, à partir d’Edéa.

Projet d’un montant total de 218 milliards de francs Cfa, ce pipeline devrait non seulement permettre de se départir des aléas tels que la congestion de l’espace portuaire, mais aussi et surtout de réduire considérablement les coûts des transports des produits pétroliers. En effet, selon le document du projet, la construction de cette infrastructure de transport des produits pétroliers va «permettre de réaliser un gain tarifaire de l’ordre de 46% sur le fret maritime entre Limbé et Douala ; de 24% sur le transport moyen par route et chemin de fer, en supposant que le réseau routier représente 35% et le réseau ferroviaire 65% des transports des produits pétroliers entre Douala et Yaoundé ; de réduire de 28% le coût du transport entre Limbé et Douala et entre Douala et Yaoundé».

 

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L’entreprise chinoise Sinohydro, qui construit le barrage hydroélectrique de Memevé’élé, dans la localité de Nyabizan, située dans la région du Sud du Cameroun, a réussi, fin février 2015, la seconde dérivation du fleuve Ntem sur le site de cette infrastructure énergétique, annonce le ministre camerounais de l’Energie, Basile Atangana Kouna (photo), dans un communiqué.

A en croire ce membre du gouvernement, qui évalue le taux de réalisation global des travaux à 60% à ce jour, cette opération de dérivation marque la fin de la première phase de la construction de cet ouvrage, dans ce sens qu’elle ouvre la voie «à la suite puis la fin des travaux de construction de la digue principale». Eu égard à cet état d’avancement du chantier, le Ministre Atangana Kouna indique que les différentes parties prenantes du projet ont réaffirmé leur engagement à livrer «cet important ouvrage en 2017».

Les travaux de construction de ce barrage ont été officiellement lancés par le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, le 15 juin 2012. Cet ouvrage hydroélectrique permettra la production de 201 MW d’énergie supplémentaire, et contribuera ainsi à la réduction de l’important déficit énergétique dont souffre le Cameroun.

Le montant global de l’investissement est estimé à 420 milliards de francs Cfa, dont 243 milliards de francs Cfa d’Eximbank of China, 112 milliards de francs Cfa de la Banque africaine de développement (BAD) et 65 milliards de francs Cfa mis à disposition par l’Etat du Cameroun.

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