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Yaoundé - 24 avril 2024 -

Le quotidien gouvernemental camerounais, Cameroon Tribune, vient de révéler que, sur instructions des autorités équato-guinéennes, la frontière entre le Cameroun et ce pays voisin, dans la localité de Kyé-Osi, dans la région du Sud du Cameroun, est fermée depuis le 31 décembre 2013 à minuit.

Selon le journal, qui cite une autorité administrative camerounaise exerçant à la frontière Cameroun-Gabon, ainsi que des sources sécuritaires, la même décision a été prise en ce qui concerne la frontière entre le Gabon et la Guinée Equatoriale.

Des sources contactées surplace à Kyé-Osi, où la population vit essentiellement des échanges commerciaux avec la Guinée Equatoriale et le Gabon, confirment l’information, précisant que la fermeture de la frontière a cependant fait naître un commerce transfrontalier nocturne piloté par des contrebandiers avec la complicité d’Equato-guinéens.

La décision de Malabo, peut-on remarquer, est intervenue à l’heure exacte de l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2014, du passeport biométrique dans la zone CEMAC, document qui consacre la libre circulation des hommes et des biens dans cet espace communautaire qui compte le Tchad, le Gabon, le Congo, La Guinée Equatoriale, la République centrafricaine et le Cameroun.

Cette décision d’ouvrir les frontières aux membres de la CEMAC avait été prise en juin 2013 au cours d’un sommet à Libreville, au Gabon. Mais, en novembre 2013, le pays d’Obiang Nguéma Mbasogo (photo) a fait volte-face, au prétexte que la population équato-guinéenne craindrait «une immigration massive» en provenance des pays de la CEMAC les moins nantis.

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L’Etat du Cameroun a bouclé le 23 décembre 2013 son second emprunt obligataire à la Douala Stock Exchange (DSX), avec une cagnotte de 80 milliards de francs Cfa. Soit 30 milliards de francs Cfa de plus, par rapport au montant initialement sollicité (50 milliards de francs Cfa).

Afin de ne pas annuler l’enthousiasme des investisseurs autour de cet appel public à l’épargne, le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey, et l’arrangeur de cette opération, la Société commerciale de banque Cameroun (SCB Cameroun), filiale locale de la Marocaine Attijariwafa, ont demandé et obtenu de la Commission des marchés financiers (CMF), «l’autorisation d’exercer l’option de surallocation contenue dans la note d’information relative à cette émission».

Ce qui signifie que le régulateur du marché financier camerounais a donné son quitus pour que l’Etat du Cameroun encaisse également les 30 milliards de francs Cfa supplémentaires servis par les investisseurs. Mathématiquement, ce nouvel emprunt, dont le taux de sursouscription atteint 50%, aura obtenu de bien meilleurs résultats que celui de 200 milliards de francs Cfa lancé en 2010, et qui avait permis de ne mobiliser que 203 milliards de francs Cfa au total.

Carton plein sur le marché des titres de la BEAC

Mais avant de repartir à la Douala Stock Exchange en décembre 2013, l’Etat du Cameroun a émis, tout au long de l’année, des bons et obligations du Trésor pour un montant d’environ 130 milliards de francs Cfa sur le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC).

Une dizaine d’opérations de mobilisation de fonds toutes couronnées de succès, à l’exception de l’émission de bons du Trésor du 18 décembre 2013 (souscrite à 85%) et des deux émissions d’obligations du Trésor du mois de septembre 2013 (souscrites à 75% seulement).

Calculette en main, depuis le lancement du marché des titres publics de la BEAC, que l’Etat du Cameroun a inauguré fin 2011, le Trésor public camerounais, qui est d’ailleurs le principal animateur de ce marché avec l’Etat gabonais, a déjà levé un total de 290 milliards de francs Cfa.

En plus des 280 milliards de francs Cfa mobilisés en décembre 2010 et décembre 2013 à la Douala Stock Exchange, les émissions de titres publics sur le marché des capitaux ont déjà procuré à l’Etat du Cameroun des financements d’un montant total d’environ 570 milliards de francs Cfa en 3 ans.

Des atouts indéniables

Une performance rendue possible grâce à la signature de l’Etat du Cameroun, qui est redevenue rassurante depuis l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte en avril 2006, avec son corollaire d’annulations de dettes.

En effet, grâce au succès remporté dans ce programme rigoureux auquel le FMI soumet certains pays africains lourdement endettés, le Cameroun peu par exemple être noté «BB», à fin 2013, avec «des perspectives stables sur les 12 prochains mois», ainsi que l’a encore indiqué l’agence de notation Standard & Poor’s dans un communiqué rendu public le 13 décembre 2013.

Mais, en plus de cette notation financière plutôt encourageante pour les investisseurs détenteurs de capitaux, le Cameroun, souligne-t-on aussi bien à la BEAC qu’au ministère des Finances, bénéficie actuellement d’un ratio endettement-PIB des plus intéressants.

En effet, alors que les critères de convergence de la CEMAC autorisent un endettement équivalent à 70% du PIB, le Cameroun n’est actuellement qu’à 18%, ce qui donne au pays une marge de manœuvre autour de l’endettement encore plus grande au cours des prochaines années.

Vers une émission obligataire à l’international

C’est certainement fort de ces indicateurs, mais surtout de la maîtrise de plus en plus affinée du marché des capitaux sur lequel le Trésor public camerounais n’est opérationnel que depuis 3 ans, que l’Etat du Cameroun ambitionne de tenter des émissions de titres publics au-delà des frontières nationale et sous-régionale.

En effet, le ministre délégué auprès du ministre des Finances, Pierre Titi, a annoncé en octobre 2013 lors du Forum EMA Invest à Genève, que l’Etat du Cameroun pourrait bientôt expérimenter un emprunt obligataire à l’international, avec le concours des financiers de la place de Genève.

Pareille opération permettrait aux pouvoirs publics camerounais de monter d’un cran dans leur objectif de diversification des sources de financement du budget national. Cependant, selon les experts, une émission obligataire à l’international est encore plus complexe qu’un appel public à l’épargne lancé à la DSX, ou encore une émission de bons du Trésor sur le marché de la BEAC. Mais, soutiennent ces mêmes experts, une opération de ce type, pour un pays comme le Cameroun, ne semble à priori pas impossible à réaliser.

De ce point de vue, les Eurobonds d’un montant total de 400 millions de dollars (environ 200 milliards de francs Cfa) émis par le Rwanda en 2013, ont par exemple été souscrits à 400%. Fort de cet exemple, de la prescription de la loi des finances 2014 qui autorise des émissions de titres publics pour un montant de 280 milliards de francs Cfa, mais surtout de l’expérience acquise sur le marché des capitaux depuis 3 ans maintenant, le Trésor public camerounais franchira-t-il le cap d’une émission obligataire à l’international?

Brice R. Mbodiam

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Selon les statistiques du ministère camerounais du Tourisme, le pays a accueilli, à fin novembre 2013, un total de 912 000 touristes, contre 817 000 à la fin de l’année 2012. Ce qui équivaut à une augmentation de près de 100 000 touristes cette année, soit plus de 10% par rapport à l’année dernière.

Une progression dont se réjouissent les responsables du ministère du Tourisme, ce d’autant que tout au long de l’année dernière, la réputation de la destination Cameroun a été quelque peu mise à mal au niveau international, notamment à cause de l’enlèvement d’une famille de touristes français dans l’Extrême-Nord, et celle, plus récente, d’un prêtre européen.

En effet, à la suite de l’enlèvement de la famille Moulin Fournier, l’on se souvient que plusieurs chancelleries occidentales basées à Yaoundé, la capitale camerounaise, avaient recommandé à leurs ressortissants d’éviter de se rendre dans cette partie du pays, qui est l’une des destinations les plus prisées par les touristes qui débarquent au Cameroun.

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Selon la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), la dernière émission de Bons du Trésor (BTA) effectuée par le gouvernement camerounais le 18 décembre 2013, pour un montant total de 10 milliards de francs Cfa, n’a été souscrite qu’à 85%.

En effet, apprend-on, sur les 13 Spécialistes en valeurs du Trésor (SVT) agréés sur le marché des titres publics de la BEAC, seulement cinq on participé à cette opération de mobilisation de fonds, ne servant finalement à l’Etat du Cameroun que 8,5 milliards de francs Cfa. Soit 1,5 milliard de francs Cfa de moins que le montant sollicité.

Depuis l’arrivée de l’Etat du Cameroun sur le marché des titres publics de cette banque centrale en 2011, c’est la première fois qu’une séance d’adjudication de BTA émis par le Trésor public camerounais s’achève par un taux de couverture du montant sollicité inférieur à 100%.

Tout au long de l’année 2013, par exemple, les émissions de BTA du Cameroun ont toujours été souscrites à un taux moyen de 180%. Le pic a même été atteint lors de la séance d’adjudication du 8 mai 2013, au terme de laquelle l’offre avait culminé à 37 milliards de francs Cfa, pour une demande de 10 milliards de francs Cfa seulement. Soit un taux de couverture de la demande de près de 400%.

Ce peu d’engouement des investisseurs pour la dernière émission de BTA de l’Etat camerounais, fait remarquer un expert, peut s’expliquer par l’atteinte, par la majorité des banques, du seuil des ratios prudentiels autorisés par la Commission bancaire de l’Afrique centrale (COBAC), le régulateur sous-régional.

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Le président de la République du Cameroun, Paul Biya, vient de signer un décret habilitant le ministre de l’Economie, Emmanuel Nganou Djoumessi, à signer avec le Fonds africain de développement (FAD), un accord de prêt d’un montant de 934 millions de francs Cfa.

Selon le texte présidentiel, cet argent servira au financement partiel des études du projet d’interconnexion des réseaux électriques du Cameroun et du Tchad.

Ce projet est entièrement financé par le groupe de la Banque africaine de développement (BAD), et va permettre à la République du Tchad de bénéficier de l’immense potentiel hydroélectrique du Cameroun.

Le projet vise la réalisation d’une ligne de transport électrique de 700 km entre Ngaoundéré, Maroua au Cameroun et Ndjamena au Tchad, d’une bretelle de 250 km entre Maroua au Cameroun, Mogrom et Ndjamena au Tchad, et d’un programme d’électrification rurale le long de chaque couloir de ligne.

En rappel, un projet d’extension du réseau ferroviaire camerounais au Tchad est également en cours de négociation, et sera conduit par Camrail, le concessionnaire du chemin de fer au Cameroun.

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Selon le magazine spécialisé La Marine, le groupe espagnol Aresa International vient de livrer à la marine camerounaise, deux patrouilleurs et un navire de débarquement. Ces trois navires neufs ont été discrètement réceptionnés le 21 novembre 2013 à Douala.

A en croire la même publication, cette entreprise espagnole, qui «est récemment devenu un fournisseur important de la marine du Cameroun», lui a livré en 2013, pas moins de douze embarcations d’intervention rapide.

Deux patrouilleurs de 32 mètres, apprend-on, seront également livrés à la marine camerounaise par ce groupe espagnol au mois de février 2014.

Créé en 1961 et spécialisé dans la construction navale, le groupe Aresa International revendique des contrats dans 25 pays dans le monde. Le groupe est constitué de six entreprises qui sont : Aresa Marine S.L, Innama, Sermar Catalunya, Innova Composite, Sermar Angola et Sermar Algérie.

Published in Industrie

Du 9 au 23 décembre 2013, les investisseurs de tout bord sont invités à souscrire au second appel public à l’épargne de l’histoire des finances publiques camerounaises, après celui de 200 milliards de francs Cfa lancé en 2010.

Cette opération de lever de fonds qui se déroule à la Douala Stock Exchange (DSX), la bourse des valeurs mobilières du Cameroun, est dénommée «ECMR 5,9% net 2013-2018». Traduction : les fonds ainsi prêtés à l’Etat du Cameroun seront remboursés en 2018 (au bout de 5 ans), à un taux d’intérêt annuel de 5,9%.

Ainsi que l’a révélé l’agence Ecofin il y a quelques semaines, ce nouvel emprunt obligataire porte sur la somme de 50 milliards de francs Cfa et a été arrangé par SCB Cameroun, la filiale locale du groupe marocain Attijariwaffa Bank.

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L’Etat du Cameroun, habitué à obtenir des financements du guichet IDA (Association internationale de développement) de la Banque mondiale (BM), envisage de se faire ouvrir le guichet de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), une autre institution du groupe de la Banque mondiale.

C’est ce qui ressort d’une séance de travail que vient d’avoir à Yaoundé, Véronique Kessler, économiste principale à la BM, avec des responsables du ministère de l’Economie du Cameroun.

A la différence des crédits IDA qui sont octroyés à des taux concessionnels (généralement inférieurs à 1%), les crédits de la BIRD sont non concessionnels, mais sont également remboursables sur le long terme.

Littéralement étranglé par l’endettement avant l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte en 2006, le Cameroun, qui est engagé dans de grands projets nécessitant d’importants moyens financiers, est actuellement crédité d’un niveau d’endettement appréciable.

Officiellement, le ratio endettement-PIB du pays est actuellement de 18%, alors que la norme en vigueur dans la zone CEMAC autorise un endettement représentant jusqu’à 70% du PIB.

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Dans une interview au Quotidien de l’Economie, Abdelaziz Habili, le directeur de l’agence algérienne de promotion du commerce, annonce la tenue à Yaoundé, au mois de février 2014, d’une foire algérienne à laquelle va prendre part une quarantaine d’opérateurs économiques de ce pays du Maghreb.

A cet effet, apprend-on, une mission a été conduite au Cameroun du 25 au 29 novembre 2013, par des responsables du ministère algérien du Commerce. Les échanges commerciaux entre l’Algérie et le Cameroun, apprend-on, sont estimés à environ 3 milliards de francs Cfa, dont 70% en faveur du Cameroun.

De ce point de vue, la foire algérienne annoncée à Yaoundé apparaît comme une opportunité idoine pour la promotion des produits et du savoir-faire des opérateurs économiques algériens au Cameroun, à l’effet de conquérir des débouchés dans le pays.

En juin 2013, le ministre camerounais du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, avait conduit une délégation d’opérateurs économiques camerounais à Alger, dans le cadre des Journées économiques du Cameroun, que ce département ministériel organise depuis quelques années dans plusieurs pays africains.

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S’exprimant au cours d’une journée thématique organisée à l’occasion de la 2ème édition de PMExchange (la grand messe des PME camerounaises) qui s’achève le 7 décembre prochain à Douala, le Haut Commissaire du Canada au Cameroun, Benoît-Pierre Lamarée (photo), a révélé que les échanges commerciaux entre le Canada et le Cameroun sont passés de 18 à 25,5 milliards de francs Cfa entre 2010 et 2012, soit une hausse de 41,6%.

Ces échanges, apprend-on, sont plus dynamiques dans les secteurs de l’agro-alimentaire, de l’industrie pharmaceutique, des infrastructures et des mines, des équipements mécaniques, du textile, du bois et ses dérivés…

Cet accroissement des échanges commerciaux entre le Cameroun et le Canada peut être mis sur le compte des accords gouvernementaux visant à booster la coopération entre les deux pays, mais également des initiatives privées qui ont fleuri aussi bien au Canada qu’au Cameroun.

Il en est ainsi du Forum Africa, organisé tous les 2 ans par le groupe Afrique Expansion, appendice du cabinet Geram Communications du Camerounais Gerba Mallam, qui depuis 10 ans met en contact des opérateurs économiques canadiens et africains. Ou encore du Salon Promote organisé tous les 2 ans à Yaoundé, la capitale camerounaise, et dont la délégation canadienne est souvent parmi les plus importantes.

BRM

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