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Yaoundé - 19 avril 2024 -

Le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili, et le secrétaire d’Etat au ministère des Transports du Rwanda, Alexis Nzahabwanimana, ont procédé le 6 novembre 2013 à Yaoundé, la capitale camerounaise, à la signature d’un accord aérien entre les deux pays.

Grâce à cet accord, apprend-on de sources autorisées, les vols réguliers et directs entre Yaoundé ou Douala et Kigali, pourraient débuter dès le mois de février 2014. Ce qui va permettre de rallier les deux pays en 4 heures, contre 18 heures actuellement, à cause des différentes escales à travers des villes africaines.

Cet accord aérien, ont reconnu les deux membres des gouvernements camerounais et rwandais, devrait permettre de renforcer les liens économiques entre les deux pays.

Le premier accord aérien entre le Rwanda et le Cameroun remonte au mois de juillet 1983, a précisé le Ministre Robert Nkili.

Le Rwanda pourrait être une bonne destination pour les opérateurs économiques camerounais en quête d’opportunités d’affaires, grâce à un environnement des affaires favorable, ainsi qu’en témoigne son rang au dernier classement Doing Business 2014, qui loge ce pays parmi «les 20 qui ont le plus progressé» ces dernières années.

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Sept entreprises coréennes ont pris part à la 3ème édition du Forum Cameroun-Corée qui vient de s’achever à Yaoundé. Parmi celles-ci, des sociétés à la réputation établie en Corée, à l’instar de Korea Plant Industry, Daewoo Engineering et GS Engineering.

Pendant deux jours, ces opérateurs économiques coréens se sont faits présenter le potentiel énergétique du Cameroun, notamment dans le secteur pétrolier aval, qui intègre les activités de raffinage du pétrole, de distribution des produits pétroliers, de stockage, de transport et de commercialisation.

C’est la raison pour laquelle, outre les représentants du ministère de l’Energie, les opérateurs économiques coréens se sont entretenus avec des responsables de la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (CSPH), de la Société des dépôts pétroliers (SCDP), de la Société nationale de raffinage (SONARA), Euroil, Dana Petroleum…

«Nous sommes intéressés par le Cameroun et des discussions sont en cours avec des opérateurs économiques camerounais, pour des investissements dans le secteur pétrolier aval», a confié au Quotidien de l’Economie, Suh Bo Sung, le Dg de Korea Plant Industry.

Au Cameroun, les Coréens sont plus visibles dans le secteur minier, avec des entreprises telles que C&K Mining, qui exploite l’or, mais surtout est titulaire depuis un an, du permis d’exploitation du gisement de diamant de Mobilong, dans la région de l’Est, l’un des plus importants en Afrique.

Cette année, le gouvernement camerounais a signé une convention avec le géant Coréen de la sidérurgie Posco, pour la construction d’un complexe sidérurgique dans la zone de Kribi, dans la région du Sud du Cameroun.

Afko Cement, une entreprise de joint-venture entre Coréens et Camerounais envisage de construire une cimenterie à Limbe, dans la région du Sud-Ouest, non loin du site devant abriter le futur port en eau profonde de Limbe, également à construire par des Coréens.

Depuis un peu plus de 2 ans, le Chantier naval et industriel du Cameroun est dirigé par des experts de Corée, pays qui appuie également le Cameroun dans la construction de centres de formation aux métiers porteurs.

BRM

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Published in Energie

Une vingtaine de PDG d’entreprises marocaines du secteur des TIC rencontrent le 4 novembre 2013 à Douala, la capitale économique du Cameroun, des responsables d’entreprises exerçant dans le même secteur au Cameroun et au Gabon.

Cette mission des opérateurs économiques marocains au Cameroun va s’achever le 5 novembre 2013 par une rencontre avec des autorités publiques camerounaises, ainsi que des responsables du secteur privé.

L’évènement, selon le communiqué qui annonce cette mission d’affaires et dont l’agence Ecofin a eu copie, est organisé par le Centre marocain de promotion des exportations (Maroc Export), le cabinet marocain Boost Consulting and Events et Baroctech Africa, un cabinet  international de veille stratégique.

Ces rencontres ont pour objectifs, apprend-on, de «renforcer le partenariat institutionnel Maroc-Cameroun, de créer et de relancer les affaires entre le Maroc et le Cameroun, et de promouvoir les échanges Maghreb-Afrique».

De sources marocaines, les échanges commerciaux entre le Maroc et le Cameroun ont atteint 47,98 millions de dollars (environ 21 milliards de FCfa) en 2011 contre 17 millions (environ 7,7 milliards de FCfa) en 2006.

Ces échanges jugés «peu diversifiés», côté camerounais, concerne les exportations de produits tels que le bois, la coton, les bananes fraîches, le café et le cacao et à l'importations du papier et des cartons, ainsi que des machines et appareils électriques, des engrais, des chaussures et vêtements confectionnés, puis des produits alimentaires et des matières plastiques.

Au niveau des entreprises, la Compagnie chérifienne de chocolaterie envisage de s’installer au Cameroun. Elle pourrait rejoindre en territoire camerounais des compatriotes telles que BMCE Bank, le groupe Attijariwafa Bank, Royal Air Maroc, ou encore la Camerounaise des eaux (CDE), l’entreprise concessionnaire du service public de l’eau, après la privatisation de la défunte SNEC.

BRM

Published in TIC

Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental, Cameroon tribune, Karl Olutokun Toriola, le Dg de MTN Cameroon, a révélé que «le Cameroun vient d’être désigné, pour la 2ème année consécutive, comme meilleure filiale du groupe pour son engagement social». «MTN Cameroon est désormais, à côté du Nigeria, de l’Iran, de l’Afrique du Sud et du Ghana, l’une des filiale de référence du groupe MTN», a-t-il ajouté.

M. Toriola, esquissant un bilan des 2 années passées à la tête de la filiale camerounaise du géant sud-africain, indique que sous son magister, la base d’abonnées de MTN Cameroon a connu une croissance de 64%, passant de 5 millions à 8,2 millions d’abonnés.

L’ancien directeur technique de MTN Nigéria, arrivé à la tête de la filiale camerounaise en novembre 2011, annonce également que l’entreprise qu’il dirige, et dont le contrat de concession arrive à expiration en 2015, a sollicité l’obtention d’une licence 3G auprès des autorités camerounaises.

«Si nous n’avons pas la 3G, nos gains vont en prendre un coup et nous serons certainement obligés de réduire certains postes de dépenses, mais nous n’irons nulle part. Que ce soit bien clair, nous sommes au Cameroun pour rester», a-t-il poursuivi.

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Published in Télécom

Selon le classement Doing Business 2014 rendu public ce 29 octobre 2013 par le groupe de la Banque mondiale, le Cameroun arrive au 168ème rang sur 189 pays évalués, alors qu’il était classé 161ème dans les deux précédents classements, sur 185 pays évalués. Il se dégage donc une perte de 7 places. Aucun officiel n’a souhaité commenter ce classement pour l’instant.

Pourtant, au mois de septembre 2013, alors qu’il était en fin de séjour au Cameroun, le Haut commissaire de Grande Bretagne au Cameroun, Bharat Suresh Joshi, avait loué les réformes entreprises depuis 4 ans par le gouvernement camerounais dans l’optique d’améliorer l’environnement des affaires.

«J’entends toujours des plaintes selon lesquelles le Cameroun est un marché difficile, qu’il y a beaucoup de barrières à l’investissement. Mais je peux vous dire qu’au cours des quatre dernières années, j’ai plutôt trouvé que c’est assez facile pour les entreprises qui respectent les règles», avait déclaré le diplomate britannique dans une interview accordée au Quotidien de l’Economie.

Le Cameroun est le 27ème pays africain au classement Doing Business 2014, derrière des pays tels que la Guinée Equatoriale et le Gabon, en Afrique centrale, mais surtout loin derrière la Côte d’Ivoire, le Rwanda et le Burundi, qui figurent parmi les «20 économies ayant le plus progressé depuis 2009».

«L’Afrique subsaharienne a aussi enregistré l’amélioration la plus remarquable sur les indicateurs Doing Business au cours des 5 années précédentes. Les économies à faible revenu ont réduit l’écart qui les séparait de la frontière réglementaire deux fois plus vite que les économies à revenu élevé», constatent les analystes du groupe de la Banque mondiale.

L’île Maurice en tête

Selon cet indice qui a évalué l’amélioration du climat des affaires dans 189 pays dans le monde, la meilleure destination africaine pour les investisseurs demeure l’île Maurice, classée 20ème. Le quinté de tête en Afrique est complété par le Rwanda (32ème), l’Afrique du Sud (41ème), la Tunisie (51ème) et le Botswana (56ème).

Mais globalement, le Doing Business 2014 place à nouveau Singapour en pôle position dans le monde, suivi de Hong-Kong, La Nouvelle Zélande, les Etats-Unis et le Danemark.

Doing Business 2014, apprend-on, a nouvellement intégré quatre pays dans son évaluation, dont deux en Afrique. Il s’agit de la Libye, du Myanmar, de Saint-Marin et du Soudan du Sud

Publié par le groupe de la Banque mondiale, Doing Business mesure et suit l’évolution des réglementations applicables aux petites et moyennes entreprises des plus grandes mégapoles d’affaires de chaque économie et ce, sur 10 étapes de leur cycle de vie  : création d’entreprise, obtention des permis de construire, raccordement à l’électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats et règlement de l’insolvabilité.

BRM

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L’opérateur de téléphonie mobile MTN Cameroun revendique le nombre de 8,2 millions d’abonnés au second trimestre 2013. MTN dit avoir également enregistré une croissance de 30,9% des abonnés Mobile Money. C’est Sifiso Dabengwa, le président directeur général du groupe qui a dévoilé ces chiffres le 24 octobre 2013, lors de la présentation des résultats financiers de la multinationale des télécommunications à Johannesburg.

Au Cameroun, MTN a augmenté sa base d'abonnés de 7% à 8,2 millions d'abonnés et en maintenant sa part de marché. À travers cette bonne santé, l’opérateur revendique également la place d’opérateur leader au Cameroun, avec 58,1% de parts de marché, devant Orange. Son succès, MTN l’attribue à la large gamme d'offres de bonus, à la gestion efficiente de la base de clients inactifs et à l’amélioration du canal de distribution.

Concernant les résultats généraux du groupe, Siphiso Dabengwa a dévoilé que MTN a augmenté sa base d’abonnés de 1,1% passant ainsi à 203,8 millions d’abonnés dans les 22 pays où il est présent en Afrique et au Moyen-Orient.

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La représentation de la Banque mondiale (BM), pour les six Etats de la CEMAC, basée à Yaoundé, vient de rendre publique la 6ème édition de ses «cahiers économiques» sur le Cameroun.

Ce document relayé par Cameroon Tribune, le quotidien gouvernemental, révèle que la contribution financière de l’Etat dans les dépenses de santé des populations s’élève à 17 dollars (environ 8500 FCfa), soit environ 28% de l’enveloppe globale de 61 dollars (environ 30 000 FCfa) par habitant (la moyenne africaine est de 51 dollars).

En considérant que les bailleurs de fonds internationaux contribuent à hauteur de 8 dollars par habitant, comme le souligne l’analyse de la banque mondiale, les populations camerounaises payent, elles-mêmes, près de 70% de leurs dépenses de santé.

Ces chiffres confirment le poids des soins de santé dans les budgets des ménages camerounais, qui consacrent, selon les statistiques du ministère de la santé, 40% de leurs revenus au traitement du seul paludisme.

En rappel, le système public de sécurité sociale au Cameroun ne permet de couvrir que 10% de la population des travailleurs, selon les statistiques officielles. Depuis 2006, le gouvernement a engagé une réforme de son dispositif de sécurité sociale (qui intègre la création d’une caisse nationale d’assurance maladie), afin d’inverser cette tendance.

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Le communiqué publié le 17 octobre 2013 par le Conseil d’administration de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives est clair : «afin de rester conforme, le pays devra satisfaire à toutes les exigences de la Norme ITIE, récemment révisée», peut-on lire sur ce document posté sur le site internet du Comité national de suivi de la mise en œuvre de l’ITIE au Cameroun.

En effet, apprend-on, pour se maintenir dans le cercle très fermé des 25 «pays conformes» à l’ITIE, le Cameroun doit publier le rapport ITIE 2013 au plus tard le 1er juillet 2014, tandis que celui de 2012 devra être publié «au plus tard le 31 décembre 2014, en accord avec les dispositions de la Norme ITIE». Bref, chaque année, le pays devra désormais s’assurer de la production d’un nouveau rapport répondant aux exigences de l'ITIE.

En outre, souligne le conseil d’administration de l’ITIE, le Cameroun devra renouveler son examen de passage devant le comité international dans un délai de 3 ans, c'est-à-dire en octobre 2016. Cependant, rappelle le comité international ITIE, le pays conforme peut anticiper sur ces délais, et «demander une nouvelle validation à tout moment, avant cette date s’il estime que le processus a besoin d'être examiné».

En revanche, averti la même instance, «s’il existe des raisons valables de penser qu'un pays, après être devenu conforme, n'aurait plus appliqué les normes de mise en œuvre requises pour maintenir la conformité, le Conseil d’administration se réserve le droit d'exiger de ce pays qu'il subisse une nouvelle validation ou qu’il s'expose à la radiation de l'ITIE».

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Moustafa Mahamat, en qualité de représentant du Premier ministre tchadien, vient de rencontrer à Douala, la capitale économique du Cameroun, les opérateurs économiques camerounais, pour promouvoir l’emprunt obligataire de l’Etat du Tchad, d’un montant de 85 milliards de francs Cfa.

A Douala, ce haut responsable de l’Etat Tchadien a exalté le taux de croissance annuel du PIB au Tchad (8,9% en 2012), les perspectives optimistes en matière de production pétrolière et l’éventuelle annulation de la dette multilatérale de ce pays par le Fonds monétaire international.

Pour cette opération de fonds, l’Etat tchadien a confié l’arrangement et la constitution du syndicat de placement sur le marché boursier camerounais à SCB Cameroun, filiale de la Marocaine Attijariwafa, tandis que la Gabonaise BGFI Bourse est co-arrangeur et tête de file du syndicat de placement de cet emprunt obligataire sur le marché boursier de l’Afrique centrale (Bvmac).

Les 85 milliards de francs Cfa recherchés par l’Etat tchadien vont permettre de compléter l’enveloppe de 250 milliards de francs Cfa nécessaire pour la construction de la Cité internationale des affaires de N’djaména, la capitale politique du Tchad.

L’opération de charme des autorités tchadienne en direction des investisseurs camerounais est d’autant importante pour la réussite de cette opération qu’en 2011, l’appel public lancé par l’Etat du Tchad pour la mobilisation de 100 milliards de francs Cfa, avait été souscrit, apprend-on, à plus de 50% par les investisseurs camerounais.

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Published in Finance

La ministre camerounaise de la Recherche scientifique, Madeleine Tchuinté, a procédé le 21 octobre 2013 à Yaoundé, la capitale camerounaise, à l’ouverture de la 3ème édition du congrès africain du riz. Le rendez-vous de Yaoundé est placé sous le thème : «La science rizicole pour la sécurité alimentaire à travers le renforcement de l’agriculture familiale et l’agro-industrie en Afrique».

Jusqu’au 25 octobre 2013, près de 600 experts, producteurs, chercheurs, ONG, producteurs et autres représentants des secteurs public et privé, qui ont fait le déplacement pour la capitale camerounaise, vont débattre des avancées possibles en matière de production de riz en Afrique.

Entre 2000 et 2007, la production de riz paddy en Afrique n'a augmenté que de 2,8 millions de tonnes, contre 4,7 millions pour la période 2007-2012, selon l'analyse d'AfricaRice. Mais malgré des chiffres optimistes et des efforts consentis dans le domaine de la recherche, apprend-on, le riz, qui est pourtant la denrée alimentaire la plus consommée par les humains, selon AfricaRice, continue d’être importé dans la majorité des pays africains.

La rencontre de Yaoundé est organisée conjointement par le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) et l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), en collaboration avec le gouvernement du Cameroun.

Published in Agriculture
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