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Yaoundé - 25 avril 2024 -

Selon l’hebdomadaire Le Financier d’Afrique, qui cite les statistiques contenues dans le dernier «Tableau de bord trimestriel du marché de la téléphonie mobile» au Cameroun, publié par l’Agence de régulation des télécommunications (ART), le nombre d’abonnés au téléphone mobile au Cameroun a dépassé 13 millions à fin 2012.

Selon le régulateur du secteur des télécommunications, la filiale camerounaise du groupe sud-africain MTN International s’adjuge 54,1% des parts de marché, contre 45,9% pour Orange Cameroun, la filiale de France Télécoms.

Avec 13 millions d’abonnés sur une population officiellement estimée à plus de 20 millions d’habitants, le marché camerounais de la téléphonie mobile demeure donc ouvert, surtout en considérant que parmi les 13 millions d’abonnés actuels, plusieurs disposent des puces des deux opérateurs en activité.

Après l’ouverture du marché de la téléphonie mobile au Cameroun au début des années 2000, Mtn et Mobilis, qui deviendra ensuite Orange, ont été les seuls opérateurs sur le marché jusqu’en 2012. Année au cours de laquelle le gouvernement camerounais à attribué une 3ème licence à la firme vietnamienne Viettel, dont les premières puces seront commercialisées en 2014.

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Au cours d’une conférence de presse sur la prochaine Semaine ivoirienne au Cameroun, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire accrédité à Yaoundé, Adama Dosso, a révélé que son pays et le Cameroun s’apprêtent à introduire dans leurs filières café respectives, de nouvelles variétés de semences améliorées, pouvant entrer en production au bout de 10 mois seulement, contre 3 à 5 ans pour les variétés actuellement utilisées.

Cette information est confirmée par des responsables du Conseil interprofessionnel du cacao et du café (CICC) du Cameroun. En effet, apprend de sources autorisées, ces semences améliorées des cafés robusta et arabica, sont actuellement en expérimentation à l’Institut de recherche agronomique pour le développement (IRAD) à Yaoundé. Mais, soulignent nos sources, leur introduction dans la filière café au Cameroun, va nécessiter des financements importants, qui ne sont pas encore acquis.

Pourtant, apprend-on, ces nouvelles semences déjà utilisées au Brésil, en plus d’entrer en production plus rapidement, permettent de doubler, voire tripler la production à l’hectare et, partant, au plan national.

Depuis au moins 5 ans, en effet, la production nationale des cafés stagne autour de 40 000 tonnes. Le programme de relance des filières cacao-café lancée par le gouvernement depuis quelques années, ambitionne de la porter à 125 000 tonnes d’ici à 2015, dont 100 000 tonnes pour le robusta et 25 000 tonnes pour l’arabica. Un objectif que devrait aider à atteindre les nouvelles semences améliorées en phase d’expérimentation.

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La Coalition camerounaise contre le Tabac (C3T) envisage de lancer un plaidoyer national pour inciter le gouvernement camerounais à augmenter les taxes sur les cigarettes, probablement dès le prochain exercice budgétaire. Selon le quotidien Mutations qui révèle cette information, cette coalition présidée par le Dr Flore Ndembiyembe, vient d’organiser à Yaoundé, la capitale camerounaise, un atelier à ce sujet.

La C3T est convaincue que seule la hausse des taxes sur les cigarettes peut réduire la montée de la consommation de ces produits au Cameroun. D’après l’Oms, en effet, 15% des Camerounais âgés de moins de 15 ans sont concernés par le tabagisme, tandis qu’une enquête de l’Institut national de la statistique (INS) révèle que les revenus de 10% des ménages pauvres au Cameroun sont destinés à la consommation de cigarettes, avec pour corollaire d’importants dégâts sur la santé.

On apprend également de la C3T, qui cite cette fois les statistiques de la Société générale de surveillance (SGS), plaque tournante des opérations d’importations sur le Cameroun, que le chiffre d’affaires des entreprises importatrices de cigarettes a considérablement augmenté ces dernières années.

Il en est ainsi de British American Tobacco (BAT), dont le chiffre d’affaires a atteint 31,4 milliards de francs Cfa en 2012, contre 8,6 milliards de francs Cfa en 2009. Tandis que celui réalisé par la Société de distribution de tabacs et des produits alimentaires, est passé de 3 milliards de francs Cfa en 2008, à 7 milliards de francs en 2012. Un décuplement de l’activité que la Coalition met sur le compte de taxes douanières réduites.

En effet, souligne un inspecteur des impôts, le taux du droit d’accise imposé aux importateurs de cigarettes, oscille entre 0 et 25% dans tous les Etats de la zone Cemac (dont le Cameroun), alors qu’en Afrique de l’Ouest, apprend-on, ce même droit d’accise oscille entre 15 et 45%, selon les pays.

Selon un expert invité par la C3T à Yaoundé, l’augmentation des taxes sur les cigarettes en Afrique du Sud à partir de 1994, avait provoqué une baisse considérable du taux de consommation de ces produits, tout en rapportant plus de revenus à l’Etat sud-africain.

Published in Gestion publique

«J’entends toujours des plaintes selon lesquelles le Cameroun est un marché difficile, qu’il y a beaucoup de problèmes, qu’il y a beaucoup de barrières à l’investissement. Mais, je peux vous dire qu’au cours des quatre dernières années, j’ai plutôt trouvé que c’était assez facile pour les entreprises qui respectent les règles». C’est ce que pense Bharat Suresh Joshi, Haut commissaire de Grande Bretagne arrivé en fin de séjour au Cameroun, dans une longue interview accordée au Quotidien de l’Economie.

Le diplomate britannique réitère : «Le Cameroun a beaucoup changé, il a beaucoup évolué. Mais il reste une grande marge entre la perception du Business au Cameroun et la réalité (…) Il ya des changements, mais c’est la réputation du Cameroun qui gêne un peu, qui freine le développement».

Après avoir révélé qu’environ 25 entreprises britanniques sont présentes sur le territoire camerounais, ce dernier confie que ces entreprises «ont trouvé plus facile de faire les affaires dans les mines, dans l’énergie et, surtout, dans les hydrocarbures».

Cette perception de l’environnement des affaires au Cameroun, telle que déclinée par le Haut commissaire de Grande Bretagne en fin de séjour, est aux antipodes de la perception de Bruno Gain, ambassadeur de France également en fin de séjour au Cameroun. Dans une récente sortie médiatique, ce dernier a confié que «l’environnement des affaires au Cameroun laisse à désirer».

BRM

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Le mois dernier, David NKoto Emane, le directeur général de l’opérateur historique Cameroon Telecommunications (Camtel), a répondu à une lettre de convocation du procureur près le Tribunal criminel spécial (TCS). L’entretien a porté, à en croire nos sources, sur sa gestion de l’entreprise des télécommunications.

Selon le journal l’Epervier, le Dg pourrait être inquiété dans les prochains jours par l’opération nationale de lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics, qui a déjà emporté plusieurs hauts commis de l’Etat. Depuis plusieurs années, de supposés dossiers de mauvaise gestion auraient été accumulés par David Nkoto Emane, qui serait aussi soupçonné de distractions de fonds. C’est ce qui expliquerait pourquoi Camtel, chargé de gérer la fibre optique, peine à dominer le marché local des télécommunications.

Depuis son arrivée à la tête de l’entreprise en 2005, le Dg de Camtel a considérablement augmenté le personnel de la société, dont les femmes sans qualifications professionnelles seraient les plus nombreuses grâce à la «promotion canapé», soutient le journal l’Epervier, ceci au détriment d’ingénieurs parfois renvoyés en masse au ministère des Postes et Télécoms.

C’est le cas de Godfroid Ondoua Ella, qui a adressé le 5 juillet 2011 une correspondance au chef de l’Etat camerounais, avec ampliation à la justice, à la police judicaire, aux services du Contrôle supérieur de l’Etat, à l’Agence nationale d’investigation financière, à la Commission nationale anti-corruption… pour dénoncer la gestion de M. Nkotto Emane.

Dans ce brulot, l’ingénieur et ancien collaborateur du Dg de Camtel révèle par exemple qu’à cause de la piteuse qualité du service offert aux abonnés, «plus d’un abonné Ctphone sur deux abandonne le réseau, (…) près de 500 abonnements à Internet ne sont pas renouvelés chaque mois ; et l’on est obligé de maintenir dans la base de données, des années durant, des abonnés qui ont depuis longtemps oublié qu’ils ont jamais souscrit un abonnement au réseau Ctphone, dans un souci de maquillage des chiffres officiels, tactique que l’on retrouve d’ailleurs sur le réseau fixe, où des dizaines de milliers d’abonnés continuent de recevoir des factures mensuelles, alors que leurs lignes sont hors service depuis de nombreuses années déjà». Résultat des courses : depuis plus de 6 ans, Camtel revendique invariablement un parc de 220 000 abonnés.

Pourtant, dans le même temps, apprend-on dans cette correspondance, les recettes de l’entreprise publique de téléphonie «dépassent difficilement 30 milliards de Fcfa/an, le Ctphone [produit phare de l’entreprise] ne parvenant même pas à faire des recettes de 500 millions de Fcfa/mois, soit moins de 6 milliards/an, sur un budget annuel de plus de 100 milliards, budget néanmoins continuellement révisé à la hausse, visiblement pour tromper la vigilance du Chef de l’Etat».

Alors que dans les faits, la situation est alarmante. Selon des sources internes à l’entreprise, en effet, Cami Toyota a dû retirer de nombreux véhicules à Camtel, pour non payement des traites, la Sgbc rechigne désormais à faire des avances de trésorerie à Camtel à cause de l’insolvabilité de cette entreprise, de nombreux fournisseurs de la société attendent le payement de leurs factures depuis des mois. Selon les employés de cette entreprise des télécommunications, les salaires sont de plus en plus payés en retard, pour cause de tensions de trésorerie.

On apprend également dans la correspondance de Godfroid Ondoua Ella, que malgré «de nombreux rapports dénonçant la violation systématique des règles de l’art lors de la conduite des travaux de pose de plusieurs centaines de km de câbles à fibres optiques en régie (…) et en dépit du refus systématique des opérateurs Gsm que sont Mtn et Orange [manque à gagner de plusieurs milliards pour Camtel] d’emprunter une infrastructure visiblement de qualité douteuse», le Dg de Camtel a poursuivi ces travaux d’un montant de 38 milliards de Fcfa, rendant ainsi «la situation des près de 6.000 km d’infrastructures de câbles à fibres optiques hautement précaire».

BRM

 

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Selon l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Cameroun, Adama Dosso, la 2ème édition de la Semaine ivoirienne au Cameroun aura lieu du 7 au 13 octobre 2013 à Douala, la capitale économique du Cameroun. Sont attendus à ce rendez-vous de promotion et de partage du savoir-faire ivoirien, apprend-on, 50 exposants, dont des entreprises telles qu’Uniwax et Wooding, qui produisent les pagnes, ainsi que le Conseil cacao-café, produits pour lesquels la Côte d’Ivoire excelle dans la production, notamment le cacao, dont ce pays d’Afrique de l’Ouest est le premier producteur mondial.

Selon le diplomate ivoirien, la Semaine ivoirienne au Cameroun, édition 2013, va s’articuler autour d’une exposition-vente de produits ivoiriens, qui va se dérouler du 9 au 12 octobre, des rencontres B to B entre opérateurs économiques ivoiriens et camerounais, ainsi que des débats, dont l’un portera, apprend-on, sur la nécessaire convertibilité entre le Cfa utilisé en Afrique centrale et celui de l’Afrique de l’Ouest.

Un projet sur lequel travaillent déjà la Bceao et la Beac, les deux banques centrales des pays de l’Afrique de l’Ouest et centrale, à en croire Adama Dosso. Au cours de la célébration du quarantième anniversaire de la Beac à Malabo, en Guinée Equatoriale, en novembre 2012, les gouverneurs des deux banques centrales avaient d’ailleurs confirmé l’existence de groupes de travail à ce sujet.

Published in Gestion publique

Au mois de juillet 2013, les salaires des fonctionnaires et agents de l’Etat du Cameroun qui sont encore payés en espèces à travers les perceptions du pays, culminaient à 10 milliards de francs Cfa, pour plus de 90 000 personnes, révèle le directeur général du Trésor au ministère des Finances, Sylvester Moh (notre photo).

Selon ce dernier, suite à un communiqué de presse du ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey, enjoignant dès le 13 août les fonctionnaires dont les salaires sont supérieurs ou égaux à 100 000 francs Cfa à ouvrir des comptes bancaires au plus tard le 30 septembre prochain, cette masse salariale des personnels de l’Etat non encore bancarisés, est tombée à 9 milliards de francs Cfa au mois d’août passé.

Le directeur général du trésor, dans une interview au Quotidien Mutations, se réjouit ainsi des premiers résultats de l’opération de bancarisation des fonctionnaires camerounais, qui, selon lui, vise d’abord à réduire la manipulation des espèces par les services du trésor, toute chose qui expose les agents ç des dérapages. Et puis, de manière générale, ajoute-il, cette opération qui n’est pas la première au Cameroun, vise à booster le taux de bancarisation du pays, qui est à peine de 7% officiellement, en incluant le secteur de la microfinance.

Une statistique que Mathieu Mandeng, le président de l’Association professionnelle des établissements de crédits du Cameroun, situe, lui, à environ 4,5%.

Mais en plus de cela, explique M. Sylvester Moh, avoir un compte bancaire offre aux agents de l’Etat de bénéficier de services bancaires tels que les crédits, possibilité que n’offre pas le trésor public. Aussi, le directeur général du trésor encourage-t-il les agents de l’Etat et fonctionnaires (ils sont officiellement environ 170 000 au total) à ouvrir des comptes dans les «banques, pour leur propre intérêt».

BRM

 

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Le mois d’août au Cameroun est rythmé par les remboursements de l’épargne scolaire effectuée par les membres des tontines, dans lesquelles circulent environ 190 milliards de francs Cfa, selon le document de stratégie de la microfinance au Cameroun réalisé par le ministère des Finance en avril 2013.

Ce document indiquent par ailleurs que 58% de Camerounais préfèrent les tontines, parce les placements y sont très rémunérateurs, et l’accès au crédit moins contraignants que dans les banques et les établissements de microfinance.

En effet, dans une enquête publiée par le Quotidien de l’Economie dans son édition du 28 août 2013, l’on apprend par exemple que pour une épargne de 84 000 francs Cfa au mois d’août, le membre d’une tontine peut se retrouver avec une enveloppe de 125 000 francs Cfa 12 mois plus tard, soit 67% de son épargne, à cause des prêts accordés à d’autres membres de la même tontine à des taux oscillant entre 5 et 10% par mois.

Fort de ce dynamisme et des difficultés d’accès au crédit rencontrés par les agents économiques dans les établissements dédiés, les tontines, analyse le rapport sus mentionné, constitue même l’une des plus importantes sources de financement de nombre de PME camerounaises. Au grand bonheur des adhérents qui en tire d’importants bénéfices.

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Selon un communiqué du Comité monétaire et financier de la République du Cameroun, que vient de rendre public le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey, le crédit intérieur au Cameroun a augmenté de 19% au 30 avril 2013, soit une augmentation chiffrées de 269 milliards de francs Cfa.

L’enveloppe des crédits, apprend-on, est ainsi passée de 1403 milliards de francs Cfa l’année dernière sur la même période, à 1672 milliards de francs Cfa en 2013. Cette performance, souligne le communiqué, est à mettre sur le compte de l’augmentation des crédits accordés par les banques installées au Cameroun.

En décembre 2012, par exemple, la Cicam a levé 5,5 milliards de francs Cfa sur le marché bancaire camerounais, tandis que la Sodecoton, en janvier 2013, a réussi à lever 15 milliards de francs Cfa sur le même marché. L’activité bancaire a été également caractérisée, apprend-on, par une hausse du taux de liquidité (ratio des réserves sur les dépôts bancaires) de 31 à 34%, apprend-on.

Baisse des recettes publiques

Le Comité monétaire et financier de la République du Cameroun révèle également que les recettes publiques ont baissés de 3,5% au 31 mars 2013, passant de 626 milliards de francs Cfa en 2012, à 603,6 milliards de francs Cfa en 2013, soit une régression de 22 milliards de francs Cfa.

Dans le même temps, apprend-on, les dépenses publiques ont baissé de 6%, passant de 579,2 milliards de francs Cfa sur la même période en 2012, à 544,3 milliards de francs Cfa (-34 milliards de francs Cfa) en 2013.

BRM

 

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La salle des marchés de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) a abrité le 28 août 2013, la seconde opération d’émission de bons du trésor (maturité de 13 semaines) de l’Etat du Cameroun, pour le compte du 3ème trimestre 2013. Cette fois-ci, le gouvernement camerounais recherche 5 milliards de francs Cfa, afin de résorber ses problèmes ponctuels de trésorerie. Les résultats de cette émission seront connus ce 29 août 2013 à 12h, souligne-t-on à la banque centrale.

Dès le 4 septembre prochain, l’Etat du Cameroun ira à nouveau sur le marché des titres publics de la BEAC, pour émettre des obligations du trésor pour la seconde fois depuis le début de l’année, pour un montant qui va osciller entre 5 et 10 milliards de francs Cfa, renseigne un responsable de la Direction générale du Trésor du ministère des Finances.

Une semaine après, c’est-à-dire le 11 septembre 2013, des bons du trésor pour un montant de 10 milliards de Fcfa, seront à nouveau émis. Selon le budget de l’Etat du Cameroun pour l’exercice en cours, 250 milliards de francs Cfa doivent ainsi être levés sur le marché des titres publics en 2013.


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