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Yaoundé - 28 mars 2024 -

L’Union camerounaise des brasseries (UCB), société brassicole fondée et contrôlée par l’industriel camerounais, Joseph Kadji Defosso (photo), vient de procéder à une augmentation substantielle de son capital social. Celui-ci est ainsi passé de 2,9 à 25 milliards de francs Cfa, a-t-on appris dans une annonce légale.

Bien que les modalités et les motivations de cette augmentation du capital ne soient pas révélées, il est fort probable que cette recapitalisation précède de nouveaux investissements, sur un marché camerounais sur lequel UCB fait office de petit poucet, avec moins de 5% des parts, contre plus de 80% pour le leader, la Société anonyme des brasseries du Cameroun, environ 15% pour la filiale locale de Guinness.

Un 4ème opérateur devrait d’ailleurs venir renforcer la concurrence sur ce marché au cours des prochains mois. Il s’agit de la société Brasaf, fondée en août 2014 par l’industriel Samuel Foyou, qui détient déjà Fermencam, une distillerie rachetée en 2006 au milliardaire Victor Fotso.

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Afriland First Bank, groupe bancaire à capitaux majoritairement camerounais, va prochainement entrer dans le capital de la Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank), basée au Caire en Egypte. L’information a été révélée le 8 juillet 2015 dans la capitale égyptienne par Paul Kammogne Fokam, le fondateur du 2ème groupe bancaire en Afrique centrale, derrière BGFI. «À cet effet, une des succursales africaines du groupe sera désignée pour le représenter (Afriland) en tant qu’actionnaire», a précisé Afreximbank dans un communiqué.

Afriland First Bank deviendra ainsi la seconde institution bancaire de la zone CEMAC à intégrer le tour de table d’Afreximbank, après la banque gabonaise de développement. Le groupe bancaire camerounais y rejoindra aussi les filiales togolaise, ghanéenne, béninoise et nigériane d’Ecobank, ainsi que la Banque nigériane d’import-export ou encore First Bank of Nigeria…

Afreximbank est une institution financière panafricaine dédiée au financement et à la promotion du commerce intra et extra-africain. Créée en octobre 1993 par les gouvernements africains, les investisseurs privés et institutionnels africains, ainsi que les investisseurs non africains ; Afreximbank revendique à ce jour près de 35 milliards de dollars (environ 17 500 milliards FCfa) de facilités de crédit accordées aux entreprises, dont environ 4,5 milliards de dollars (environ 2250 milliards FCfa) pour la seule année 2014.

Afin d’accroître ses interventions auprès des entreprises africaines, l’Assemblée générale de cette institution financière panafricaine a approuvé, en septembre 2014, une opération d’augmentation du capital à hauteur de 500 millions de dollars, soit environ 250 milliards de francs Cfa.

 

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Tradex, entreprise publique camerounaise opérant dans le trading, le soutage maritime et la distribution des produits pétroliers, vient d’annoncer l’entrée dans son capital du groupe suisse Geogas, présenté comme étant le «leader de la fourniture du gaz butane sur la côte ouest-africaine». Cette prise de participation dont l’ampleur n’a pas été précisée intervient, apprend-on, après «plusieurs années de partenariats» entre les deux entreprises, sur la fourniture du gaz domestique.

Selon Tradex, porte-étendard des nationaux dans la distribution des produits pétroliers au Cameroun, «cet investissement de Geogas découle de la volonté de l’entreprise de renforcer sa présence au Cameroun et de s’allier à un acteur offrant un potentiel de croissance à long terme, afin de développer à ses côtés une présence régionale forte».

Grâce à ce nouvel actionnaire, Tradex s’attache surtout l’expertise et l’expérience d’un opérateur de rang mondial, pouvant contribuer à ses ambitions d’expansion sur le marché pétrolier de l’Afrique centrale. Filiale de la Société nationale des hydrocarbures (SNH), le bras séculier de l’Etat camerounais dans le secteur pétrolier, Tradex, qui est arrivé sur le marché de la distribution des produits pétroliers il y a à peine 10 ans, dispose de nos jours d’un réseau de 76 stations-services au Cameroun, en République centrafricaine et au Tchad.

Après le super, le pétrole lampant et le gasoil, Tradex s’est lancé dans la distribution du gaz domestique en 2013, et revendique de nos jours le leadership dans la fourniture du GPL (Gaz de pétrole liquéfié) dans la zone CEMAC.

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Ces derniers jours, la direction générale d’Eneo, le concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun, a fait aux délégués du personnel une nouvelle proposition de schéma de rétrocession de 5% du capital de l’entreprise aux employés, a-t-on appris de sources proches du dossier.

L’on se souvient que la rétrocession de ces parts revenant au personnel a été une pomme de discorde permanente entre les responsables de cette entreprise opérant dans le secteur de l’électricité et ses employés, au moment où l’électricien camerounais était encore contrôlé par l’Américain AES, qui a récemment cédé 100% de ses actifs dans le secteur de l’électricité au Cameroun au fonds d’investissement britannique Actis.

Au moment de l’annonce du départ d’AES, les syndicats du secteur de l’électricité avaient d’ailleurs remis le sujet à l’ordre du jour, et invité les autorités camerounaises à accorder une attention particulière à la rétrocession de 5% du capital de l’entreprise au personnel, avant de donner le quitus à la transaction entre AES et le fonds Actis.

Pour rappel, au moment de la privatisation du secteur de l’électricité au Cameroun en 2001, la géographie du capital de ce qui était alors AES Sonel (actuel Eneo depuis son rachat par Actis) était la suivante : 44% pour l’Etat du Cameroun et 56% pour le groupe américain AES, dont 5% à rétrocéder au personnel, selon le contrat de concession.

Mais, au moment de quitter officiellement le Cameroun en mai 2014, soit près de 13 ans après la privatisation de la Sonel (Société nationale d’électricité), AES n’avait pas conclu la rétrocession de 5% des actifs de l’entreprise au personnel. «Le processus de rétrocession engagé sous l’ère AES a été accéléré par Actis, qui espère le boucler rapidement. Ce qui a toujours coincé c’est le schéma de rétrocession. Après des études d’experts réunis en commissions, une série de consultations est engagée en interne à Eneo avec les partenaires sociaux, pour prendre en compte leurs divers avis afin de structurer les modalités finales. La balle est aujourd’hui dans le camp des partenaires sociaux, qui ont reçu une proposition de l’entreprise ces derniers jours», souffle notre source.

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La société camerounaise des produits laitiers, plus connue sous l’appellation de Camlait, a récemment procédé à une augmentation de son capital social, pour un montant de plus d’un milliard de francs Cfa, a-t-on appris dans un annonce légale que vient de publier cette entreprise agro-industrielle.

Le capital de l’entreprise est ainsi passé, apprend-on, d’un peu plus de 2,2 milliards de francs Cfa à plus de 3,3 milliards de francs Cfa. L’Opération d’augmentation du capital de Camlait s’est faite, selon l’annonce légale, au moyen de la création de «111 138 actions nouvelles de 10 000 francs Cfa à libérer par incorporation de la réserve de réévaluation».

Petite société à responsabilité limitée créée en 1972 avec un capital de 15 millions de francs Cfa, Camlait, qui domine depuis des années le marché des produits laitiers (notamment les yaourts) au Cameroun, possède également une filiale en République centrafricaine (RCA) et commercialise également ses produits au Gabon et au Congo. Depuis quelques années, la société a diversifié son offre, en proposant notamment des produits à base de soja, des boissons aux extraits de jus de fruit, ainsi qu’une ligne de margarine.

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Dans ses propositions au gouvernement camerounais, en vue du lancement du Cameroon Commodities Exchange (CCX), la bourse des matières premières agricoles du pays, le cabinet Eleni LLC, qui assiste le gouvernement dans ce projet, suggère que l’actionnariat de la société de bourse reflète un modèle de partenariat public-privé, «qui favorise la propriété commune tant par les investisseurs du secteur public que ceux du privé, avec l'État ou les établissements publics comme actionnaires minoritaires».

Concrètement, selon le cabinet Eleni LLC, le capital de la future bourse devrait être détenu à 80% par un consortium d’investisseurs du secteur privé, contre 10% pour l'État du Cameroun et 10% pour les employés de la bourse. Il est également recommandé au gouvernement que le consortium du secteur privé, qui sera majoritaire dans l’actionnariat, soit composé de 4 à 6 investisseurs, «avec des participations équilibrées», de sorte «qu'aucun investisseur n'ait une participation majoritaire et qu'il n'y ait pas la possibilité de vote groupé pour des investisseurs».

Présenté comme le futur hub du commerce des matières premières agricoles dans la zone CEMAC, le CCX devrait être la plateforme des transactions pour huit produits agricoles, que le cabinet Eleni propose d’introduire progressivement à la bourse sur une période de 4 ans. Il s’agit du cacao et du maïs (1ère année), du sorgho, du mil et du manioc séché (2ème année), de l’huile de palme et du riz paddy (3ème année), puis du coton (4ème année).

Prévu pour être opérationnel 12 mois après la fin de l’étude de faisabilité intervenue en septembre 2014, le lancement des activités du CCX devrait prendre plus de temps que prévu, à cause de la batterie de textes réglementaires à mettre en place pour d’encadrer ses activités, mais aussi la recherche des financements qui ne sont pas toujours acquis.

 

Brice R. Mbodiam

 

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L’opérateur de téléphonie mobile Orange Cameroun a récemment procédé à une augmentation de son capital social, pour le faire passer de 15 milliards de francs Cfa à 46,8 milliards de francs Cfa, en hausse de 300%, a-t-on appris dans une annonce légale. Cette augmentation s’est faite, en partie, par voie d’incorporation de l’écart de la réévaluation légale et d’une partie du compte "réserves Libres", indique l’entreprise.

Cependant, le principal levier sur lequel l’opérateur télécoms a actionné pour réaliser cette augmentation du capital, est le relèvement substantiel de la valeur de l’action de la société. En effet, apprend-on, cette valeur est passée de 10.000 francs Cfa à 31.200 francs Cfa, soit une réévaluation à la hausse de 300%, ce qui correspond à la proportion même de l’augmentation globale du capital.

Pour rappel, après une licence 2G exploitée pendant 15 ans, la filiale camerounaise du groupe français Orange est détentrice, depuis le 11 mars 2015, d’une licence 3G et 4G d’une période de validité de 15 ans. Pour cela, l’entreprise a dû débourser 75 milliards de francs Cfa en faveur du Trésor public camerounais.

 

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Published in Télécom

La société Alubassa, filiale de la société Aluminium du Cameroun (Alucam), a récemment procédé à une augmentation de son capital social, qui est passé de 185,5 millions de francs Cfa à 278 millions de francs Cfa, soit une hausse d’un peu plus de 50%, a-t-on appris dans une annonce légale rendue publique le 18 février 2015.

L’opération s’est faite au moyen, d’une part, du relèvement du montant de l’action de 15 000 francs Cfa, pour le porter de 10 000 à 25 000 francs Cfa ; du prélèvement de la totalité du poste «écarts de réévaluation», d’autre part ; et du prélèvement d’une partie du poste «réserves libres», par ailleurs.

Entité du groupe Alucam spécialisée dans la production des ustensiles de cuisine en aluminium, Alubassa, à travers cette réévaluation de son capital, dispose ainsi d’une bonne marge de manœuvre pour doper sa production et ses exportations vers les six pays de la zone CEMAC, qui a admis l’entreprise au régime préférentiel de cet espace communautaire le 30 avril 2014.

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La société Les ciments d’Afrique (Cimaf), filiale du groupe marocain Addoha, qui a lancé une cimenterie dans la capitale économique camerounaise au début de l’année 2014, a procédé à une augmentation de son capital social, à hauteur de 2 milliards de francs Cfa. Ledit capital a ainsi été porté de 3 à 5 milliards de francs Cfa, a-t-on appris dans une annonce légale rendue publique le 15 janvier 2015.

Selon la même source, cette augmentation du capital de Cimaf Cameroun SA s’est faite «au moyen de compensation des créances en compte courant associé». Les nouveaux actionnaires, dont l’arrivée dans le tour de table a induit une modification des statuts de l’entreprise, selon nos sources, ont acquis les 666,67 nouvelles actions créées pour les besoins de cette augmentation du capital.

A l’analyse, cette ouverture puis augmentation du capital de Cimaf, pourrait conduire à l’extension de son usine de la zone industrielle de Bonabéri à Douala, dans un contexte marqué par l’arrivée sur le marché camerounais, dans les jours à venir, des premiers sacs de ciment de Dangote Cement Cameroon SA. En effet, Cimaf produit actuellement 500 000 tonnes, mais, soutiennent les promoteurs du projet, cette capacité peut être doublée en cas d’extension de l’usine de production.

Avec son niveau de production actuel, Cimaf, qui a pourtant mis un terme à 48 ans de monopole du groupe Lafarge (avec Cimencam) sur le marché du ciment au Cameroun, sera la plus petite cimenterie du pays, à côté de Dangote, qui lancera son unité de production avec 1,5 million de tonnes. Les cimenteries du Cameroun, contrôlées par le groupe Lafarge, culminent actuellement à 1,6 million de tonnes. Avec les projets d’infrastructures en cours et annoncés dans le pays, les besoins locaux sont pourtant projetés à 8 millions de tonnes d’ici à 2018, selon le ministère de l’Industrie.

BRM

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La raison n’a pas été clairement présentée,  l’opération ayant déjà eu lieu. Mais, tout compte fait, Advans Cameroun a procédé en fin 2014, à une augmentation de son capital, le portant de 2,5 milliards de francs Cfa à 3,35 milliards de francs Cfa, a-t-on appris dans une annonce légale.

L’opération s’est déroulée à travers l’émission de 85 000 actions nouvelles d’une valeur nominale de 10 000 francs Cfa, entièrement libérées et souscrites. Ce qui fait une augmentation de 850 millions de F.Cfa. L’information ne précise pas si cette augmentation du capital a vu entrer dans le tour de table de l’entreprise de nouveaux actionnaires.

Mais, le fait qu’il n’y ait pas eu de modification des statuts laisse envisager que cela n’a pas été le cas, et que les actions nouvelles ont été souscrites par les actionnaires existants, qui  du reste sont des institutionnels. Il s’agit notamment de la filiale camerounaise du groupe bancaire Société générale, la Société financière internationale (SFI) et le groupe Advans SA SICAR, une société d'investissement basée au Luxembourg.

D’ailleurs, d’après les informations disponibles sur le site web du groupe Advans, l’on apprend qu’Advans SA reste l’actionnaire majoritaire de sa filiale camerounaise avec 72,6%, suivi de l’IFC avec 16%, de la Société générale Cameroun avec 10% et enfin des particuliers qui détiennent 1,4%.

Advans Cameroun est un établissement de Microfinance de deuxième catégorie avec une présence dans 17 localités du pays, et dont les activités ont débuté en 2007. A la fin 2014, elle comptait dans huit principales villes du pays plus de 40 000 clients avec un encours de crédit global d’environ 18,7 milliards de francs Cfa (28,5 millions d’euros) et un encours de dépôts d’environ 12,2 milliards de francs Cfa (18,6 millions d’euros).

Récemment, cet établissement de microfinance spécialisée dans le financement de très petites entreprises (TPE), a lancé son projet de crédit agricole, qui vise à offrir des services financiers dans les zones rurales du pays.

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