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Yaoundé - 28 mars 2024 -

Le 10 juin 2019, la banque des États d’Afrique centrale (Beac) a défini « les conditions et modalités d’utilisation hors de la Cemac des instruments de paiement électronique ».

À la lecture de ce document signé par le gouverneur de la Beac, Abbas Mahamat Tolli (photo), il s’agit de mesures de restriction des sorties de devises à travers les cartes bancaires à débit immédiat, les cartes de crédit et les cartes prépayées. « L’utilisation à l’extérieur de la Cemac des instruments de paiement électroniques, est restreinte aux transactions courantes dans la limite des seuils d’allocation des devises prévus par la réglementation des changes », renseigne la Beac.

Le montant des opérations de paiement et de retraits sur des guichets et terminaux situés à l’extérieur de la Cemac est désormais plafonné à cinq millions de FCFA par individu et par voyage. Au-delà de ce montant, le voyageur est contrait de justifier à priori ou a posteriori les montants sollicités.

S’agissant du règlement des transactions à distance, notamment les paiements en ligne, il est désormais plafonné à un million de FCFA par personne et par mois. Au-delà de ce montant, il faut désormais justifier la transaction « par tout moyen laissant trace » et ceci « dans un délai de 30 jours ».

Les émetteurs des instruments de paiement électronique, que sont notamment les banques commerciales, sont chargés de veiller au respect de ces nouvelles conditions et modalités.

Cette batterie de mesures intervient alors que la sous-région connait une pénurie de devises régulièrement dénoncée par les organisations patronales. Mais, de source interne, ces nouvelles dispositions viseraient surtout à lutter contre le blanchiment des capitaux, le terrorisme et le commerce informel qui entraîne une érosion de près de 50 % du PIB de l’Afrique subsaharienne.

PcA

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Published in Finance

Dans un document d’analyse de la compétitivité des prix des produits importés et exportés par les six pays de la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et République centrafricaine), la Beac, institut d’émission de cet espace communautaire, révèle que « les exportations demeurent dominées par le pétrole brut ». Au premier trimestre 2019, le couple pétrole-gaz a, à lui tout seul, représenté 85 % des exportations, dont 77,4 % pour l’or noir.

À en croire la même source, le bois sous toutes ses formes a représenté 7,8 % des exportations des pays de la Cemac au cours de la période sous-revue. Il se classe ainsi comme 2e produit d’exportation de cet espace communautaire, derrière le pétrole, mais devant le gaz naturel (7,6 %). Mais, lorsqu’on exclut le secteur pétro-gazier, le bois représente 39 % des exportations de la Cemac, contre seulement 19 % pour le manganèse.

Avec 3,8 % des exportations globales, le manganèse est le 4e produit le plus vendu à l’extérieur des frontières de la Cemac, devant le cacao, qui pointe au 5e rang. Ce produit de rente, dont la zone Cemac abrite le 5e producteur mondial (Cameroun), représente seulement 3,6 % de l’ensemble des exportations de cet espace communautaire.

Brice R. Mbodiam

Published in Commerce

C’est au mois de juillet prochain que Douala, la capitale économique du Cameroun, devrait accueillir officiellement la bourse unifiée de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Cette annonce a été faite le 13 juin dernier à Ndjamena (Tchad), par le président de la Commission de surveillance du marché financier de l’Afrique centrale (Cosumaf), Nagoum Yamassoum.

A l’occasion de l’atelier de sensibilisation des acteurs de la place de Ndjamena sur le marché financier sous-régional, Nagoum Yamassoum a indiqué que les assemblées générales extraordinaires de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac) au Gabon et de la Douala Stock Exchange (DSX) au Cameroun devraient se tenir le 1er juillet 2019 pour la validation du traité de fusion. De ce fait, « il a été proposé que la nouvelle Bourse unifiée soit effective au plus tard le 5 juillet 2019 à Douala ». La réalisation de ces différentes actions devra alors définitivement sceller l’unification du marché financier de la Cemac.

Toujours selon le président de la Cosumaf, le deuxième semestre de l’année 2019, devrait être marqué essentiellement par la restructuration des différentes entités du marché financier unifié, à savoir le régulateur, la bourse et le dépositaire central, afin de les doter des capacités opérationnelles nécessaires pour le décollage effectif du marché financier régional.

Pour rappel, c’est lors de sa session extraordinaire du 31 octobre 2017 que la Conférence des chefs d’État de la Cemac a scellé l’unification des marchés financiers de la Cemac. Elle a décidé que le siège de la Cosumaf, autorité unique de régulation, sera basé à Libreville (Gabon) et celui de la bourse régionale des valeurs mobilières à Douala (Cameroun). La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) joue le rôle de dépositaire central des titres, à titre transitoire.

S.A

Published in Bourse

La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) vient de publier une analyse de l’évolution des cours des principaux produits de base exportés par la Cemac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad) au 1er trimestre 2019.

Selon la Beac, l’indice global des cours des produits de base exportés par la Cemac a régressé de 6,2 % par rapport au quatrième trimestre de l’année 2018, sous l’effet d’une chute des cours des produits énergétiques. La Banque centrale indique que, malgré la légère reprise de la plupart des prix des produits non énergétiques, l’indice global a été largement tiré à la baisse par les prix du gaz naturel.

Dans le détail, les cours des produits énergétiques ont reculé de 8,2 % au premier trimestre 2019 en variation trimestrielle. Elle reflète principalement le repli du prix du gaz naturel dans un contexte de baisse de la demande. Ceci s’explique par le redémarrage des centrales nucléaires au Japon d’une part, et la hausse des exportations de gaz naturel liquéfié aux États-Unis, en Australie et au Qatar, d’autre part.

Les cours du pétrole quant à eux, ont connu une hausse régulière depuis le début de l’année, atteignant 64 dollars en fin mars 2019. Cette hausse est liée aux importantes réductions de production des membres de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) et de leurs partenaires, suivant la décision en fin décembre 2018 de durcir leur accord de limitation de la production afin de faire remonter les cours.

Perspectives

Pour ce qui est des produits agricoles, ils ont opéré un léger redressement au premier trimestre 2019, après le repli marqué au cours de l’année 2018. Cette situation s’explique par le relâchement des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine et les perspectives défavorables de la production agricole aux États-Unis. La plus forte croissance a été observée sur le marché du caoutchouc (+ 17,9 %), en lien avec l’accroissement de la demande chinoise et indienne.

L’indice des cours des produits forestiers a aussi connu une légère hausse, passant de 82 % au 2e trimestre 2018 à 83 % au premier trimestre 2019. Cette hausse, observée sur le marché des feuilles de placages (1,2 %), et dans une moindre mesure sur le marché des grumes (0,5 %), est essentiellement due à une forte demande mondiale.

Dans la prospective, la Beac se base sur les analyses de la Banque mondiale. Elles prévoient que les cours du pétrole devraient rester stables, autour d’une moyenne de 66 dollars le baril, compte tenu des perspectives de croissance mondiale plus faible que prévu et une hausse de la production pétrolière dans les pays non membres de l’Opep.

Par contre, les prix des métaux et des produits agricoles devraient connaître un redressement, pour ensuite s’accélérer en 2020, sous l’effet essentiellement du renchérissement du prix de l’or.

S.A

Published in Export

La Plateforme des organisations professionnelles des transports routiers du Cameroun a levé son mot d’ordre de grève le 9 juin. Ceci suite à une concertation tenue à Yaoundé avec le gouvernement camerounais représenté par les ministres du Commerce (Luc Magloire Mbarga Atangana), du Travail (Grégoire Owona) et des Transports (Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe). Il n’y a donc pas grève des transporteurs ce 10 juin.

En effet, abordant spécifiquement les doléances, objet du préavis de grève de la Plateforme, les deux parties ont examiné, entre autres, la suppression des frais d’escorte des camions en direction de la République centrafricaine (RCA). « Étant entendu que ce problème concerne un pays voisin, le gouvernement s’engage à prendre les dispositions appropriées pour qu’il soit examiné et résolu », indique le communiqué final de la concertation.

Le point précis sur les frais d’escorte des camions en RCA fait suite à une mission de la Banque africaine de développement (BAD) au début de l’année 2019. La BAD relève alors un problème d’insécurité entre Garoua-Boulaï (Cameroun) et Bangui (RCA) nécessitant, trois fois par semaine, le déplacement en convoi sous escorte de l’ONU ou des Forces armées centrafricaines. Un service d’un coût de 50 USD (près de 30 000 FCFA) par camion et par voyage tant au départ de Garoua-Boulaï que de Bangui. Cela signifie que les 4995 camionneurs camerounais paient par voyage à peu près 150 millions FCFA. Les Camerounais ne veulent plus payer cette escorte-là.

Toujours au cours de la réunion du 9 juin à Yaoundé, les parties ont abordé le sujet des tracasseries routières. « Le gouvernement s’engage, dans un délai de 30 jours, à trouver des solutions idoines aux préoccupations soulevées. Des concertations spécifiques seront organisées à cet effet avec l’ensemble des parties prenantes », lit-on dans le communiqué final.

S.A

Published in Transport

Le gouvernement camerounais a procédé, le 5 juin 2019, à une émission d’obligations du Trésor assimilables (OTA) sur le marché des titres de la Beac, l’institut d’émission des six pays de la Cemac. Cet emprunt d’une maturité de 5 ans est assorti d’un taux d’intérêt de 5,6 %.

Cette opération de levée de fonds, précise un communiqué officiel, vise à mobiliser une enveloppe située entre 50 et 100 milliards de FCFA. Cette émission de titres publics fait partie d’une série de trois, lancée depuis le 15 mai 2019, afin de mobiliser une enveloppe globale de 150 milliards de FCFA sur le marché monétaire de l’Afrique centrale.

Ces financements, selon une note d’information produite à cette occasion par le ministère des Finances, serviront à la réalisation de certains projets d’infrastructures dans le pays. Le plus important de ces projets est la construction de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen, qui engloutira 25 milliards de FCFA sur l’enveloppe globale à mobiliser.

BRM

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Published in Gestion publique

Dans le cadre de la facilitation du transit des marchandises sur le corridor Douala (Cameroun) — Ndjamena (Tchad), le gouverneur de la région de l’Est, Grégoire Mvongo, a présidé, le 1er juin, une séance de travail avec les membres du Comité interministériel ad hoc en charge de cette question.

À l’issue des travaux, Grégoire Mvongo a donné instruction à tous les préfets de la région de prendre des dispositions « dans les meilleurs délais possible », en vue de la réduction « drastique » des postes de contrôle situés sur les axes routiers relevant de leurs unités de commandements respectives.

Cette décision du gouverneur intervient à la suite d’une enquête de la Banque africaine de développement (BAD) publié en avril 2019. Selon ladite étude, le corridor Douala-Ndjamena, long de plus de 1500 km, est parsemé de 60 postes de contrôle entre Douala et Garoua-Boulaï. Chaque camionneur verse systématiquement entre 6 USD (près de 3 500 FCFA) et 10 USD (5 500 FCFA) à chaque poste.

En faisant un calcul rapide, les 4 995 camionneurs camerounais versent à ces 60 postes de contrôle par voyage entre 17,4 millions FCFA et 27,4 millions FCFA. Pourtant, il n’y a même pas d’aires de repos aménagées pour les transporteurs, augmentant ainsi les risques d’accident.

Sur le terrain, la BAD a relevé que les délais de route peuvent atteindre facilement 5 à 8 jours, entrecoupés de nombreux points de contrôle et de stations de pesage. Cette situation a régulièrement provoqué des mouvements d’humeur chez les camionneurs.

S.A

Published in Commerce

La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), institut d’émission des six États de la Cemac, vient de lancer un appel d’offres international ouvert, pour la sélection de prestataires devant fournir divers outils de communication pour le compte de l’année 2020.

Les participants à cet appel d’offres en deux lots distincts (agendas et calendriers) devront s’assurer du paiement de frais de participation non remboursables d’un montant de 200 000 FCFA, ainsi que d’une garantie bancaire d’un million de FCFA.

Les dossiers de soumissions, apprend-on de sources officielles, doivent être déposés au plus tard le 11 juillet 2019 au siège de la Beac à Yaoundé, la capitale camerounaise. L’ouverture des offres se fera le même jour.

BRM

Published in Entreprises

Réunis en assemblée générale le 16 mai 2019 à Douala, la capitale économique du pays, les membres du Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam), la principale organisation patronale locale, ont de nouveau exprimé leur préoccupation face à la rareté des devises.

« Pour 71 % des patrons membres du Gicam, l’accès aux devises est une préoccupation majeure », avait déjà indiqué Célestin Tawamba, le président du Gicam, au cours d’une rencontre avec les banquiers, le 4 avril 2019 dans la capitale économique camerounaise.

À en croire le Gicam, cette rareté a fait exploser les taux sur le marché du change, notamment avec l’euro (745 FCFA pour 1 euro, contre 655 FCFA pour 1 euro par le passé). Cette réalité, apprend-on, plombe les transactions à l’international, puisque les entrepreneurs peinent de plus en plus à payer leurs fournisseurs à l’étranger. Selon les opérateurs économiques, si cette situation perdure, le pays pourrait bientôt se retrouver en situation de pénurie, notamment sur les produits importés.

Interrogés sur les raisons de cette rareté des devises observée dans l’ensemble de la zone Cemac depuis un an, les banquiers et la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) se rejettent la responsabilité. Pour les banquiers, accusés par le Gicam de faire aux opérateurs économiques des « propositions indécentes » frisant des taux usuraires, la rareté des devises est imputable à la Beac. La Banque centrale est accusée de rejeter beaucoup de dossiers sur les transferts internationaux, transmis par les établissements de crédit.

« La banque centrale dispose de devises en quantité suffisante pour répondre, à tout moment, aux besoins des économies des États membres de la Cemac », avait répondu le gouverneur de la Beac en début d’année 2019, face aux plaintes des opérateurs économiques. Abbas Mahamat Tolli avait cependant précisé qu’« il est apparu clairement que beaucoup de banques de la communauté sont en marge des règles encadrant le mécanisme de règlement des opérations internationales (…) Habituée à détenir des avoirs extérieurs injustifiés et à solliciter parallèlement les concours de la Banque centrale pour le règlement des opérations internationales, la majorité des banques affichent des comportements similaires face au suivi des dispositions réglementaires en matière de change, dont notamment véhiculer la mauvaise information aux opérateurs privés, ou refuser volontairement de régler leurs opérations ».

Dans la foulée, la Banque centrale a adopté une nouvelle règlementation relative à l’activité de change dans la Cemac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad). Celle-ci durcit notamment les conditions d’ouverture de comptes en devises hors de la zone Cemac.

Brice R. Mbodiam

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Published in Finance

Ce 22 mai 2019, le Trésor public camerounais aura une idée claire de l’accueil que les investisseurs du marché des titres publics de la Beac ont réservé à son émission d’Obligations du Trésor assimilables (OTA) d’une maturité de 3 ans. Cette première opération d’une série de trois a été lancée le 15 mai 2019 dans la capitale économique camerounaise. Elle vise à lever une enveloppe de 50 milliards de FCFA, à un taux d’intérêt de 4 %.

« Les enchères ont effectivement débuté le 15 mai dernier et s’arrêtent ce 22 mai à 13 h. Nous saurons alors le volume des financements mis à notre disposition par les différents spécialistes en valeur du Trésor (SVT), puis nous déciderons de ce que nous pouvons prendre. Cela signifie que les investisseurs peuvent souscrire jusqu’à 100 milliards de FCFA, mais si les taux d’intérêt ne nous satisfont pas, nous ne prenons rien du tout », explique une source autorisée au ministère des Finances.

Dès le 23 mai 2019, apprend-on officiellement, les enchères seront de nouveau lancées pour la 2e émission d’OTA pour 50 milliards de FCFA, d’une maturité de 4 ans cette fois-ci. Cette seconde opération de levée de fonds, pour laquelle les offres s’arrêteront le 29 mai 2019, est rémunérée à 4,7 %.

Avantages

Au mois de septembre 2019 (et non plus en mai comme initialement prévu), le Trésor public camerounais ambitionne de lancer la 3e émission d’OTA pour le même montant, mais pour une durée de maturité de 5 ans et un taux d’intérêt de 5,6 %, apprend-on officiellement. Au total donc, c’est une enveloppe globale de 150 milliards de FCFA que le Cameroun recherche sur le marché de la Beac, pour le financement de certains projets d’infrastructures.

Selon nos sources, le marché de la Beac a été préféré à la bourse pour des besoins de recentrage sur le marché monétaire, plus adapté pour les États et les banques, explique-t-on au ministère des Finances.

Par ailleurs, apprend-on, le marché monétaire offre des délais de remboursement beaucoup moins contraignants. En effet, l’emprunteur y est invité à rembourser le principal à la fin de la durée de maturité des titres, alors que dans le cadre d’un emprunt obligataire à la bourse, le remboursement se fait par quart à partir de la 2e année de maturité.

Brice R. Mbodiam

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Published in Gestion publique
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