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Yaoundé - 19 avril 2024 -

La société Assurances générale du Cameroun (AGC), contrôlée par le milliardaire camerounais Joseph Kadji Defosso, a un nouveau PCA. Il s’agit de Jean Baptiste Sanga, qui remplace à ce poste l’actionnaire majoritaire de la compagnie, apprend-on dans une annonce officielle rendue publique ce 17 mars 2016.

 

Dans le viseur de la CIMA (le régulateur régional) depuis quelques années pour défaillance dans le processus de recapitalisation, AGC a été sanctionné à payer une amende en octobre 2015 pour «manquements graves aux obligations contractuelles qui ont causé des préjudices aux assurés et bénéficiaires de contrats d’assurances».

Dans le même temps, le PCA de la compagnie, qui n’est autre que le milliardaire Joseph Kadji Defosso, écopait d’un avertissement du régulateur, pour «non-exécution des injonctions de la Commission régionale de contrôle des assurances, la non production des états statistiques des exercices 2012 et 2013 et le non-respect des dispositions relatives à la surveillance permanente».

La libération du poste de PCA d’AGC par Joseph Kadji Defosso peut être perçue comme un retrait progressif du milliardaire des activités de certaines de ses entreprises (du fait de son âge notamment), où alors comme une décision visant simplement à redynamiser cette compagnie d’assurances dont certains manquements ont souvent été directement imputés à son actionnaire majoritaire.

BRM

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Une dizaine d’opérateurs économiques camerounais participent, depuis le 21 octobre 2015, au Trade Expo Indonesia, présenté comme étant le plus important rendez-vous des affaires d’Indonésie. La délégation camerounaise est conduite par la Chambre de commerce, de l’industrie, des mines et de l’artisanat (Cima).

Les entreprises camerounaises présentes à cette grand’messe des affaires d’Indonésie, apprend-on, opèrent dans des secteurs tels que l’agro-alimentaire, notamment la production de l’huile de palme ; la distribution des équipements industriels ; la broderie et la confection…

Trade Expo Indonesia, qui est rendu cette année à sa 30ème édition, s’achève le 25 octobre prochain. La rencontre regroupe environ 2000 exposants et plus de 10 000 visiteurs sont attendus au cours des cinq jours que durera l’évènement.

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Le nouveau Secrétaire général de la Conférence interafricaine des marchés d’assurance (CIMA), le gendarme du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest, est le Camerounais Issofa Ncharé, a révélé Financial Afrik. Selon la même source, cette nomination a été entérinée par les ministres des Finances des pays membres de la CIMA le 1er octobre dernier, en marge de la réunion de la zone Franc tenue à Bercy, en France.

Issofa Ncharé remplace à ce poste son compatriote Jean Claude Ngbwa (photo), arrivé en fin de mandat. Au cours des cinq prochaines années, celui qui était jusqu’ici le chef de la division des assurances au ministère des Finances, s’emploiera à réguler le secteur des assurances dans les 14 Etats-membres que compte la CIMA (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée Bissau, Guinée Équatoriale, Mali, Niger, République Centrafricaine, Sénégal, Tchad, Togo).

Selon nos sources, la nomination à ce poste d’un autre Camerounais en remplacement de Jean Claude Ngbwa est une victoire diplomatique, non seulement pour le Cameroun, mais aussi pour l’ensemble de l’Afrique centrale ; tant le poste était convoité par l’Afrique de l’Ouest. En effet, en plus d’aligner huit pays (dont la Côte d’Ivoire qui est le premier marché des assurances de la CIMA) sur les quatorze que compte la CIMA, l’Afrique de l’Ouest compte également plus de compagnies d’assurances qui, de surcroît, évoluent dans un environnement plus dynamique que celui de l’Afrique centrale.

Expert des questions d’assurances, Issofa Ncharé sera secondé dans ses nouvelles fonctions par deux secrétaires généraux adjoints. Il s’agit du burkinabé Boubacar Sangaré, reconduit pour un nouveau mandat de 5 ans, et du nigérien Mamadou Malam.

Brice R. Mbodiam

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Depuis le 22 juin 2015, les parlementaires examinent un projet de loi portant création du Fonds de garantie automobile du Cameroun. A travers la mise en place de cette structure longtemps réclamée par les assureurs locaux, le gouvernement camerounais accède ainsi à une prescription de la Conférence interafricaine des marchés d’assurance (CIMA), le régulateur du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest.

Selon les assureurs, cette structure va permettre de garantir une prise en charge sans exclusive aux personnes victimes des accidents de la circulation (3éme cause de mortalité dans l’espace Fanaf derrière le paludisme et le Sida), et va contribuer, globalement, à une amélioration significative du système d’indemnisation des risques corporels des assurés.

En Afrique, le Cameroun fut l’un des pionniers en ce qui concerne la création de ce type de structure. Mais, mis en place au cours des années 1964-1965, le Fonds de garantie automobile camerounais a dû être liquidé dans les années 90. La création d’un nouveau Fonds, dont le projet est actuellement en examen, survient 14 ans après l’expiration du délai fixé par la CIMA.

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Jean Claude Ngbwa (photo), le secrétaire général de la Conférence interafricaine des marchés d’assurance (CIMA), le gendarme de ce secteur en Afrique de l’Ouest et du Centre, est formel : la micro-assurance recèle un potentiel énorme dans les 14 pays de la CIMA, dont le Cameroun, potentiel qui «peut représenter plusieurs fois le chiffre d’affaires actuel des compagnies d’assurances» de l’espace CIMA, soutient-il.

C’est à l’effet de vulgariser cette assurance pour personnes à revenus modestes, qui ne peuvent pas toujours supporter les coûts d’une police d’assurance classique, que la CIMA organise du 8 au 10 septembre 2014 à Douala, la capitale économique du Cameroun, une session internationale de formation sur la micro-assurance.

Cette rencontre à laquelle participent environ 300 régulateurs, décideurs et représentants du secteur privé, se propose, apprend-on, de «partager les récentes évolutions de la micro-assurance dans le monde et en Afrique, d’évaluer le potentiel et d’identifier les moyens de développer la micro-assurance dans la zone CIMA».

En effet, instituée par un règlement CIMA de 2012, la micro-assurance n’est pas encore vulgarisée dans l’espace CIMA. Pour preuve, apprend-on, elle ne représente qu’environ 10 à 20% du chiffre d’affaires de 154 milliards de francs Cfa que les compagnies camerounaises revendiquaient en 2012.

Pourtant, par ses coûts relativement bas, avec une prime qui ne dépasse pas 3500 francs Cfa par mois et 42 000 francs Cfa par an, puis des délais de règlement des sinistres réaménagés de manière à ne pas excéder 10 jours, la micro-assurance peut contribuer à l’augmentation du taux de pénétration de l’assurance dans les pays de la CIMA.

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Les pertes enregistrées en 2013 par Chanas Assurances, le mastodonte du secteur des assurances au Cameroun, approcheraient la somme de 2 milliards de francs Cfa, vient de révéler Financial Afrik. Selon ce site d’information, «le leader camerounais de la branche IARDT paye là le prix de son instabilité managériale au cours de ces dernières années».

En effet, depuis bientôt deux ans, un bras de fer s’est fait jour au sein de l’équipe dirigeante et du conseil d’administration de Chanas Assurances, créant un climat délétère entre les principaux actionnaires de la compagnie, le tout sur fond d’injonctions et de menaces de sanctions du régulateur du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest, la CIMA.

Le pic de la bataille entre Mme Cassalegno (photo), l’ex-PDG, et les autres actionnaires de Chanas (notamment la SNH), pour le contrôle de cette compagnie,  a été atteint en septembre 2013, avec l’éviction de la toute puissante PDG, contre son gré et en dépit des injonctions de la CIMA en vue de la suppression du poste de PDG ; et la nomination d’un DG, en la personne d’Henri Ewélé.

Cette reprise en main apparente de l’entreprise autrefois outrancièrement contrôlée par Mme Cassalegno, ne durera finalement que le temps d’une rose. En effet, sept mois seulement après sa nomination, Henri Ewélé, fortement contesté par Jacqueline Cassalegno, bientôt 89 ans,  sera limogé au profit d’Albert Pamsy, réputé très proche de celle qu’on a «surnommé la dame de fer».

Cependant, cet ancien chef de la Division des assurances du ministère des Finances, arrivé à la tête de Chanas Assurances en avril 2014, ne saurait être comptable des pertes colossales cumulées par la compagnie. A l’analyse, ces pertes découlent du refus de Mme Cassalegno de conclure certains contrats, pour des raisons «personnelles», mais aussi de la rupture entre l’Ex-PDG de Chanas et la Société nationale des hydrocarbures (SNH), actionnaire de taille et grand client de Chanas. Ce désaccord, a-t-on appris de bonnes sources, a d’ailleurs conduit à la décision de la SNH de résilier, pour l’exercice 2014 courant, tous ses contrats avec Chanas Assurances.

BRM

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Le Camerounais Jean Claude Ngbwa (photo), Secrétaire général de la Conférence interafricaine des marchés d’assurance (CIMA), a séjourné au Cameroun du 15 au 16 juillet dernier, pour peaufiner la préparation de la rencontre internationale sur la microassurance, que le gendarme du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest organise dans la capitale économique camerounaise du 8 au 12 septembre 2014, indique un communiqué de la CIMA.

Dénommée «Microinsurance Learning Sessions», cette rencontre internationale qui regroupera les responsables des compagnies d’assurance et les experts, aura pour thème : «Protéger les petits travailleurs…», et vise à sensibiliser les participants sur l’importance de ce type d’assurance dans l’accroissement du taux de pénétration de l’assurance en Afrique.

En effet, la microassurance, explique la CIMA, «est un mécanisme d’assurance visant à protéger les personnes à faible revenu contre des risques spécifiques. Elle est caractérisée principalement par la faiblesse des primes ou des capitaux assurés, par la simplicité des couvertures, par la souplesse des formalités de souscription, de gestion des contrats, de déclaration de sinistres et d’indemnisation des victimes».

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Le tribunal de grande instance du Wouri, à Douala, a rendu le 26 février 2014, la décision de mise en liquidation de la compagnie d’assurances camerounaise dénommée Alpha assurances, a appris l’agence Ecofin de sources proches du dossier. Le tribunal a, par ailleurs, désigné l’expert comptable Marcel Tchagongom comme liquidateur.

Ce dernier a d’ailleurs rendu public le 6 mai 2014, un communiqué invitant les créanciers d’Alpha assurances à lui produire lesdites créances dans un délai de 30 jours, à compter de la date de diffusion du communiqué sus mentionné, pour les créanciers résidant sur le territoire camerounais, et 60 jours, pour ceux résidant à l’étranger.

En rappel, la totalité des agréments d’Alpha assurances avait été retirée en mars 2013 à Dakar au Sénégal, au terme d’une réunion de la Commission régionale de contrôle des assurances (CRCA), l’instance de contrôle de la Conférence interafricaine des marchés d’assurances (CIMA), le gendarme du secteur en Afrique de l’Ouest et du Centre. Le 7 mai 2013, la CIMA avait rendu publique une liste de griefs ayant conduit à cette décision d’interdire à Alpha assurances tout droit d’exercer dans la zone CIMA.

Entre autres reproches faits aux dirigeants de la compagnie, la CIMA avait énuméré un besoin de financement en 2008 de 1,269 milliard de francs Cfa, qui s’est accentué en décembre 2010 pour se situer à 3,575 milliards de francs Cfa ; l’incapacité de la compagnie à honorer ses engagements vis à vis des assurés ; la perception indue des fonds de la société par le président du Conseil d’administration et des agents de la compagnie ; le non remboursement d’une créance de 250 millions de francs Cfa détenue par Alpha Assurances sur Socadhya, une entreprise appartenant au PCA d’Alpha assurances.

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Ce 23 avril 2014 est jour de clôture des productions des créances au liquidateur de la compagnie Samiris Assurances SA, en ce qui concerne les créanciers résidants sur le territoire camerounais. Dans un communiqué de rappel publié le 22 avril 2014, le liquidateur, Messio à Bediong, rappelle que les créanciers résidants hors du territoire camerounais ont, quant à eux, jusqu’au 23 mai 2014 pour produire leurs créances. Passé les deux délais sus-mentionnés, souligne le liquidateur de Samiris, «toute créance non produite encourt la forclusion».

La liquidation de l’assureur Samiris entre ainsi dans sa phase pratique, au moment où une plainte pour «faux et usage de faux» déposée par les anciens responsables de la compagnie contre le Secrétaire général de la CIMA (Conférence inter-africaine des marchés des assurances), Jean Claude Ngwba (photo), est pendante devant la justice camerounaise.

En effet, depuis le retrait de l’agrément de cette compagnie par le gendarme du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest, en octobre 2012, les dirigeants de Samiris n’ont cessé de crier au complot, accusant la Commission régionale de contrôle des assurances (CRCA) de la CIMA, d’avoir pris cette décision suprême sur la base d’un «faux» document de dénonciation d’une transaction immobilière supposé provenir de la Commission nationale anti-corruption du Cameroun (Conac).

Un «faux» confirmé par la Conac, mais qui n’a pas induit la réhabilitation de Samiris. Car, souligne-t-on à la CIMA, le retrait de l’agrément de cette compagnie d’assurance n’a pas été prononcé sur la base de ce document finalement «faux», mais davantage à cause de l’incapacité des dirigeants à recapitaliser l’entreprise, près de 2 ans après l’injonction de la CIMA.

En effet, un contrôle effectué au sein de la compagnie d’assurance Samiris en 2010 a révélé des besoins de financement d’un montant d’environ 813 millions de francs Cfa. Les responsables de la compagnie étaient alors enjoints par le régulateur de mobiliser des financements à cette hauteur, pour maintenir une activité normale. Mais, au fil des sessions de la CRCA, les dirigeants de Samiris ont invariablement présenté un plan de refinancement jugé insatisfaisant, soutient-on à la CIMA. Une situation d’impasse qui a conduit au retrait d’agrément de la compagnie en octobre 2012, au cours d’une session de la CRCA à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

BRM

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L’assureur  marocain RMA Watanya vient d’annoncer l’acquisition de quatre compagnies d’assurances opérant dans «trois pays clefs» de la zone CIMA (Conférence interafricaine des marchés d’assurances), le gendarme du secteur des assurances en Afrique centrale et de l’Ouest.

La filiale spécialisée dans les assurances de FinanceCom, le holding de l'homme d'affaires marocain Othman Benjelloun, a précisé que ces trois pays de la zone CIMA ont été «ciblés en raison de la taille de leur marché et de leur niveau de développement», sans révéler les pays en question, ni l’identité des sociétés rachetées. 

Selon des sources médiatiques, cependant, ces compagnies seraient les quatre filiales du groupe ivoirien Belife Insurance, en l’occurrence Beneficial Life Insurance S.A Cameroun et Beneficial General Insurance S.A Cameroun, dont l’assureur marocain à racheté 38% du capital pour 3,1 milliards de francs Cfa (environ 6,2 millions de dollars) ; puis Beneficial Life Insurance S.A Togo et Belife Insurance S.A Côte d’Ivoire. En rappel, la Côte d’Ivoire et le Cameroun sont les deux premiers marchés de la zone CIMA. Le Togo quant à lui arrive au 7ème rang.

RMA Watanya précise, par ailleurs, dans son communiqué, que ces acquisitions sont le premier pas sur le chemin d’une expansion africaine de plus grande ampleur. L’objectif du groupe  d’«être présent dans plus d’une dizaine de pays africains à la fin de la décennie et de viser un  niveau cumulé de primes de 400 à 500 millions de dollars (200 à 250 milliards de FCfa)».

A noter que FinanceCom opère déjà dans le secteur de la finance en Afrique subsaharienne, notamment au Cameroun,  à travers sa filiale BMCE, qui a acquis en 2008 Bank of Africa, l’un des principaux réseaux bancaires du continent.

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