logoIC
Yaoundé - 19 avril 2024 -

«A l’adresse de l’entreprise en charge de la réalisation de l’autoroute : livrer le chantier dans les quatre prochains mois». C’est l’une des principales exigences du ministre en charge des Domaines, Henri Eyebe Ayissi, et celui de l’Habitat, Célestine Ketcha Courtes, dans un communiqué conjoint signé le 23 septembre dernier, suite à une descente sur l’itinéraire de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen (environ 21 Km au total pour la section rase campagne et urbaine).

En procédant à un décompte, l’entreprise chinoise en charge des travaux, China Communications Construction Company Ltd, doit livrer la section rase campagne (11 km) de l’ouvrage autoroutière au plus tard en janvier 2020. Pour parvenir à ce résultat, les deux membres du gouvernement ayant constaté que les travaux sont bloqués, principalement à cause des emprises encore occupées par les populations riveraines, martèlent que « de manière générale, aucune construction ne sera tolérée, ni maintenue ou épargnée dans l’emprise des 200 mètres sécurisés aux abords de l’autoroute ».

A l’endroit des autorités municipales en charge du périmètre concerné, il est demandé de créer et animer des cadres de concertations permanents avec les populations, en vue de sensibiliser lesdites populations sur les bénéfices et impacts positifs de l’infrastructure en cours de construction. Les autorités administratives territorialement compétentes doivent, quant à elles, rassurer les populations sur la prise en compte de leurs requêtes formulées au sujet des dispositions prises pour le paiement effectif et exhaustif, par l’Etat, de leurs indemnités compensatoires, suites aux expropriations décidées.

A l’endroit des populations riveraines, il est demandé de «libérer entièrement et sans délai, les emprises occupées ; en tout état de cause, lesdites démolitions seront engagées par les autorités administratives dès la fin de ce mois de septembre 2019».

En attendant la livraison de la section rase campagne, la section dite urbaine de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen été attribuée à trois entreprises. Il s’agit de Synohydro (5,8 km), de la China Road and Bridge Corporation (1,9 km) et d’Arab Contractors (2,1km).

Le coût total du projet de cette infrastructure autoroutière est de 189,8 milliards FCFA. Les travaux ont démarré le 2 mai 2014 pour une durée de 36 mois, et auraient dû s’achever depuis mai 2017. Seulement, les autorités sont confrontées au problème du paiement des indemnisations et la libération des emprises.

S.A

Published in Gestion publique

La cérémonie de pose de la première pierre de la mini centrale hydroélectrique de Mbakaou, dans la région de l’Adamaoua, a eu lieu le 20 juin 2019. Le projet réalisé par la société IED Invest Cameroon, un producteur indépendant, permettra de débiter 1,4 MW extensible à 2,8 MW.

Officiellement, cette infrastructure, qui coûtera 4,5 milliards de FCFA (y compris la construction de la ligne de transport), sera réceptionnée au cours de l’année 2020. La mini centrale de Mbakaou permettra de connecter au réseau électrique 3000 ménages, dans l’arrondissement de Tibati.

L’énergie produite par IED Invest Cameroon sera rachetée par Eneo. Ce concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun a signé un contrat dans ce sens avec cette entreprise, depuis le 16 juin 2016.  

« Ce projet permettra à la société Eneo de substituer l’énergie onéreuse issue des centrales thermiques de Tibati et de Mbakaou, par une source d’énergie propre avec des économies de l’ordre de 300 millions de FCFA par an », explique Adolphe Ndjouke Thome, le secrétaire général du ministère de l’Eau et de l’Énergie.

BRM

Published in Electricité

Dans le cadre des opérations d’exploration du territoire camerounais, qui ont déjà permis de recenser 300 sites ministres selon le ministère en charge des Mines, la Banque mondiale (partenaire du projet), indique dans une note que le nombre de nouvelles occurrences dépassera largement les 500 d’ici septembre 2019. Cinq régions du pays sont concernées (l’Est, l’Ouest, l’Adamaoua, le Nord et le Centre).

Toujours selon la Banque mondiale, le Projet de renforcement des capacités dans le secteur minier (Precasem) mené depuis 2014 a déjà permis des levées aéromagnétiques et gravimétriques avec plus de 18 000 échantillons prélevés. La présence de divers minéraux tels que l’or, le cobalt, le nitrate, le manganèse, les métaux de base, les éléments de terres rares, le rutile, l’uranium et bien d’autres, a été signalée dans les régions sous étude.

En attendant la présentation des résultats définitifs de ces études minières en septembre prochain, le ministère en charge des Mines indique que, le Cameroun abrite la majeure partie de la ceinture du minerai de fer de l’Afrique centrale qui s’étend du Congo au Cameroun en passant par le Gabon.

Dans cette zone, l’on trouve des gisements de fer de classe mondiale comme Mbalam (Sundance de l’Australie y est positionné), le gisement de fer de Nkot, le minerai de fer des mamelles de Kribi (Sinosteel de Chine y est positionné), le plus grand gisement latéritique de cobalt du monde à Lomié (Geovic y est positionné), le rutile d’Akonolinga, etc.

S.A

Published in Mines

Le hall de l’hôtel Mont Fébé, dans la capitale camerounaise, a été transformé en une mini chocolaterie le 22 juin 2019. C’était à la faveur d’une cérémonie baptisée « journée du chocolat fin camerounais ». Organisée par l’interprofession cacao-café du Cameroun et l’association des chocolatiers et confiseurs de France, cette grand-messe du chocolat était placée sous le patronage du gouvernement camerounais, à travers le ministère du Commerce.

La rencontre s’est articulée autour de la présentation du processus de traitement des fèves de cacao issues des centres d’excellence de traitement post-récolte, de la présentation du processus de production du chocolat, mais surtout d’une dégustation de différents chocolats faits à base de fèves de cacao camerounaises.

Au total, onze chocolats, tous produits par des maîtres chocolatiers français et fabriqués à base de fèves de cacao achetées au Cameroun, ont été soumis à la dégustation. Il s’est agi de chocolats au lait, noir ou encore à la noisette ; mais aussi de combinaisons surprenantes telles que « les noisettes enrobées de chocolat noir et de poivre de Penja ». « Le cacao camerounais est de très bonne qualité », soutient Claude Krajner, un maître chocolatier français ayant donné à déguster une « bicouche pâte d’amande de Provence et ganache nature », produite à base de fèves de cacao camerounais.

Le cacao camerounais fait sensation dans le monde

« Il y a une variété de cacao appelée Criollo, qui représente 3 % du cacao mondial. Ce criollo est présenté comme étant le meilleur cacao au monde. Chaque fois que j’organise des dégustations, je présente cette variété sud-américaine, une variété haïtienne et du cacao camerounais. Je prends souvent la peine de dire aux participants aux séances de dégustation qu’ils goûteront peut-être pour la première fois au cacao camerounais. À la fin des dégustations, lorsque j’interroge mes dégustateurs sur la variété qu’ils auront le plus appréciée, 80 % des réponses sont favorables au cacao camerounais », raconte Christophe Bertrand. Ce maître chocolatier français, grâce à sa rencontre avec les fèves camerounaises, est à l’origine du partenariat entre les producteurs camerounais et les chocolatiers français.

Cette rencontre entre cacaoculteurs camerounais et producteurs français de chocolats a d’abord été « un mariage d’intérêt », a indiqué le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana. Elle est ensuite devenue « un mariage de raison », poursuit ce membre du gouvernement camerounais, avant de conclure : « nous avons été convaincus et nous sommes conquis après cette séance de dégustation. Après ce que nous avons vu, l’on est fondé de s’interroger : à quand la délocalisation de cette industrie chocolatière au Cameroun ? »

En effet, selon le ministre Mbarga Atangana, bien que le partenariat entre les producteurs locaux et les chocolatiers français permettent déjà une meilleure rémunération des cacaoculteurs, la production locale des chocolats par les chocolatiers et confiseurs de France sera encore plus bénéfique pour la filière. Ceci dans la mesure où elle pourvoira des emplois, facilitera le transfert des technologies et procurera de la plus-value à l’ensemble de l’économie camerounaise.

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

31-10-2017 - Le cacao camerounais entame une belle aventure dans la chocolaterie de Meudon, en France

26-09-2018 - Le cacao camerounais bientôt labélisé «pure origine», en collaboration avec les chocolatiers français

27-06-2018 - Des artisans français lancent le label «Destination chocolatiers engagés», en faveur des cacaoculteurs camerounais

27-12-2016 - Aschenti Cocoa, la chocolaterie artisanale qui fait la promotion du cacao camerounais au Canada

Published in Agro-industrie

Les levées de fonds effectuées depuis fin 2010 par l’État du Cameroun sur le marché des capitaux (local et international) ont essentiellement servi à financer des projets dans les secteurs de l’eau, de l’énergie et des infrastructures routières.

Selon une répartition faite par la direction générale du Trésor du ministère des Finances, ces trois domaines ont, à eux seuls, capté 72,5 % de l’enveloppe de 2 616 milliards de FCFA levée sur différents marchés par l’État camerounais, entre fin 2010 et début 2019.

Avec la construction de trois nouveaux barrages (Lom Pangar, Memvé’élé et Mekin), ainsi que des stations de traitement d’eau, le secteur de l’eau et de l’énergie s’en tire avec plus de 44 % de l’enveloppe globale. Viennent ensuite les infrastructures routières, avec plus de 28 % des financements mobilisés depuis 2010 sur le marché des capitaux.

La construction et la réhabilitation des stades de football, en prélude à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), ont capté 13,5 % des financements, contre un peu plus de 6 % pour l’industrie et les services.

Les plus petits bénéficiaires de ces fonds mobilisés sur le marché des capitaux par l’État sont les projets miniers (un peu plus de 3 %), les infrastructures portuaires (2,6 %), les projets agricoles (1,5 %) et le secteur des télécoms (0,6 %).

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

09-05-2019 - Depuis 2010, le Cameroun a levé plus de 2600 milliards de FCFA sur le marché des capitaux

Published in Gestion publique

Le Philippin International Container Terminal Services est la société qui vient d’être déclarée adjudicataire pour la concession des activités de développement, d’exploitation et de maintenance du terminal polyvalent du port de Kribi, situé dans le sud du Cameroun.

À la lecture du communiqué signé de Patrice Melom, le directeur général dudit port, l’on apprend qu’il s’agit d’une concession « provisoire ». Ainsi, l’entreprise sort vainqueur d’un appel d’offres international restreint à laquelle ont pris part quatre autres groupements short-listés : Coega Development Corporation/Transnet, Marsa Maroc/AIIF3, Medlog/Wide Resources Limited, et Port d’Anvers/Sinotrans/Comexas Afrique.

Sauf changement, le logisticien philippin va remplacer le consortium d’entreprises camerounaises appelé Kribi Polyvalent Multiple Operators (KPMO). Il avait signé le 9 juillet 2018, un contrat de sous-traitance de deux ans, portant sur l’exploitation, en régie, de certaines activités du terminal polyvalent du port de Kribi.

KPMO, lui-même, avait remplacé le logisticien français Necotrans, déclaré « défaillant » par le gouvernement camerounais en janvier 2018. En 2020, il reviendra donc à International Container Terminal Services de gérer le terminal polyvalent du port de Kribi dont la capacité nominale d’hébergement est de 1,2 million de tonnes de produits par an.

Sylvain Andzongo

Published in Transport

Au cours des quatre premiers mois de l’année 2019, le Cameroun a exporté vers la Chine des produits pour 329,8 millions de dollars, soit près de 193 milliards de FCFA. Selon ces statistiques révélées par la douane chinoise, ces exportations sont en hausse de 49 % par rapport à la même période en 2018.

En effet, apprend-on, entre janvier et avril 2018, les exportations camerounaises vers l’Empire du Milieu avaient culminé à seulement 221,2 millions de dollars (129,4 milliards de FCFA), ce qui révèle une différence de près de 60 milliards de FCFA par rapport à la même période en 2019.

Globalement, la hausse des exportations camerounaises vers la Chine est soutenue depuis l’année 2018. Cette année-là, en effet, ces exportations avaient littéralement explosé, atteignant 640 milliards de FCFA (1, 095 milliard de dollars), en hausse substantielle par rapport à l’année 2017 (556,3 millions de dollars, soit 325,4 milliards de FCFA).

Cette hausse vertigineuse des exportations vers la Chine depuis l’année 2018 peut s’expliquer par l’entrée en service à Kribi, dans le sud du Cameroun, d’une unité flottante de liquéfaction du gaz. Baptisée Hilli Episeyo, cette infrastructure entrée en exploitation en mars 2018 a livré sa première cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL) au Chinois PetroChina le 14 juin 2018.

Au 30 septembre 2018, indique la Société nationale des hydrocarbures (SNH), le Cameroun a exporté sept cargaisons de GNL, dont quatre à destination de l’Inde, deux à destination de la Chine et une à destination de Taïwan.

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

07-02-2019 - En hausse de 115% en 2018, les importations provenant de la Chine ont creusé le déficit commercial du Cameroun de 345 milliards FCFA

01-02-2019 - Au 30 septembre 2018, 100% du gaz naturel liquéfié camerounais est allé vers l’Asie

10-04-2019 - Les importations du Cameroun se chiffrent à 3 405,2 milliards FCFA en 2018, en hausse de 11,5 %, tirées par les achats de carburant

Published in Commerce

Entre 2014 et 2019, des opérations d’exploration du territoire camerounais ont permis de mettre en évidence 300 nouveaux sites miniers, vient de révéler le ministre des Mines, Dodo Ndocké, au cours d’une conférence de presse. Cette annonce a été faite en prélude au Cameroon International Mining Exposition (Cime). Ce grand rendez-vous du secteur minier au Cameroun aura lieu du 2 au 4 septembre 2019 dans la capitale du pays.

Ces indices de minéraux, apprend-on, ont été mis en évidence dans les régions de l’Est, de l’Ouest, de l’Adamaoua, du Nord et du Centre. Les minéraux enfouis dans le sous-sol de ces nouveaux sites miniers sont variés. Il s’agit notamment de l’or, du zinc, des terres rares, de l’uranium, du nickel, du rutile ou encore du manganèse.

Ces découvertes ont été faites dans le cadre du Projet de renforcement des capacités dans le secteur minier (Precasem), programme financé par la Banque mondiale. L’on se souvient que grâce à ce projet, le gouvernement camerounais avait officiellement lancé, le 24 janvier 2017, un programme de cartographie géologique et géochimique dans six régions du pays (Adamaoua, Centre, Est, Littoral, Nord-Ouest et Sud-Ouest). Ces travaux de prospection de sites miniers avaient été confiés à un groupement de cabinets constitué par BRGM, la société camerounaise BEIG3 et le Finlandais GTK.

Toujours dans le cadre du Precasem, le gouvernement camerounais avait initié, en janvier 2014, des opérations de « levé géophysique aéroporté » couvrant une superficie de 160 000 km2 répartie dans six régions du pays (Nord, Adamaoua, Ouest, Est, Littoral et Centre). Toutes ces activités de prospection visent à évaluer le potentiel minier réel du Cameroun, pays dont seulement 40 % du territoire avait déjà fait l’objet d’exploration minière au moment du lancement du Precasem.

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

22-01-2014 - Geotech Airbone signe un contrat de 2,1 milliards de FCfa pour inventorier le potentiel minier camerounais

Published in Mines

Selon le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (CPSP), le droit de transit du pétrole tchadien au Cameroun, à travers l’oléoduc qui relie les deux pays, a généré des recettes d’un montant de 11,5 milliards de FCFA au Trésor public camerounais.

Ces recettes sont en hausse de 38,1 % par rapport à la même période en 2018 (8,3 milliards de FCFA), en raison de « l’accroissement des volumes de pétrole brut enlevés au terminal du pipeline, du fait de l’augmentation de la production des nouveaux expéditeurs », souligne le CPSP.

En effet, au cours des quatre premiers mois de l’année 2019, apprend-on officiellement, 15,1 millions de barils de pétrole tchadien ont été enlevés au terminal de Kribi, dans la région du Sud du Cameroun, contre seulement 12 millions de barils entre janvier et avril 2018.

Bien plus, l’augmentation de ce droit de transit peut également s’expliquer par la revalorisation de cet impôt le 30 septembre 2018, passant officiellement de 1,30 dollar à 1,32 dollar US le baril. Cette réévaluation a été faite en application des dispositions de l’avenant n° 2 de la convention d’établissement de Cotco, l’entreprise qui gère l’oléoduc côté camerounais.

BRM 

Lire aussi:

22-03-2019 - En 2018, le droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais a rapporté 30 milliards FCFA au Trésor public

20-01-2014 - Le pipeline Tchad-Cameroun a généré 200 milliards de FCfa au Trésor public camerounais en 10 ans

31-10-2013 - Le droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais revalorisé de 195 à 618 FCfa le baril

Published in Hydrocarbures

Le ministère des Travaux publics (Mintp) informe que, la première phase du projet de construction de l’autoroute Yaoundé-Douala, est actuellement réalisé à hauteur de 74 %.

« Les travaux s’étendent à ce jour jusqu’au point kilométrique 60. Les travaux de chaussées sont achevés entre le point kilométrique 00 et le point kilométrique 40. Les terrassements sont en cours entre le point kilométrique 40 et le point kilométrique 60 », renseigne le Mintp. Selon la même source, l’entreprise chinoise China First Highway Engineering Co, en charge des travaux du projet, va livrer cette première phase de l’autoroute à l’horizon 2020 « si toutes les conditions sont réunies ».

L’autoroute Yaoundé-Douala vise à construire un réseau routier moderne d’environ 215 km entre les deux plus importantes villes du pays (Yaoundé et Douala). Le coût global des travaux de la première phase est estimé à 284 milliards FCFA. La phase 1 de cette autoroute permettra de construire sur environ 60 kilomètres, une autoroute de 2 x 2 voies extensibles à 3 voies, du point kilométrique 0 à l’échangeur de Bibodi.

Mais depuis le lancement en 2014, les travaux ont parfois été interrompus à cause, entre autres, des grèves des ouvriers, des problèmes de libération des emprises et des indemnisations des populations riveraines.

S.A

Published in Transport
Page 1 sur 61
le-cameroun-confie-un-contrat-de-10-ans-a-l-ivoirien-impact-palmares-r-d-pour-la-securisation-de-son-visa-electronique
Le ministère des Relations extérieures a révélé que la société ivoirienne Impact Palmarès R&D SAS va gérer pendant 10 ans, renouvelables, son service...
capitalisation-boursiere-la-bvmac-toujours-loin-de-ses-objectifs-malgre-une-hausse-de-pres-de-37-en-2023
Selon le dernier rapport sur la politique monétaire de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac), publié en mars 2024, l’activité boursière dans la...
visas-d-etudes-en-france-erratum
Le communiqué "Visa d’études en France : 7 structures spécialisées dans la fourniture d'attestations de virement irrévocable reconnues illégales",...
cemac-les-projets-miniers-devraient-porter-la-croissance-moyenne-annuelle-a-3-7-entre-2025-et-2027-beac
Après un taux de croissance économique de 3,6% attendue dans la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA et Guinée équatoriale) en 2024, soit son plus...

A la Une du magazine


Investir au Cameroun n121:Mai 2022

Les marges de progression du secteur télécom camerounais


Pourquoi les entreprises camerounaises cachent autant leurs comptes ?


Business in Cameroon n110: April 2022

Covid-19, war in Europe: Some Cameroonian firms will suffer


Albert Zeufack: “Today, the most important market is in Asia

  1. Plus lus 7 jours
  2. partagés 1 mois
  3. lus 1 mois
next
prev