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Yaoundé - 29 mars 2024 -

La Mission d’aménagement et de gestion des zones industrielles du Cameroun (Magzi) vient de mettre à la disposition du consortium indo-chinois dénommée Cameroon Automobile Industry Company (CAIS), des terres d’une superficie de 15 hectares, afin que cette entreprise implémente son projet de construction d’une unité de montage de véhicules à Douala.

En plus de cette mise à disposition des terres, a-t-on appris officiellement, la Magzi a reçu du gouvernement camerounais une allocation de 1,5 milliard de francs Cfa, afin de réaliser les aménagements sur ces terres sur lesquelles la pose de la première pierre de la toute première usine de montage de véhicules d’Afrique centrale pourrait avoir lieu au mois de juin 2016.

«La plus grosse contrainte au projet vient enfin d’être levée», a déclaré Roger Ndjakam, l’associé camerounais du consortium CAIS, qui rêve désormais de mettre en circulation le premier véhicule monté au Cameroun dans un an.

Cet investissement d’un montant total de 92 milliards de francs Cfa, qui intègre également la construction d’une 2ème unité de montage dans l’emprise du complexe industrialo-portuaire de Kribi, devrait créer plus de 4000 emplois, selon les estimations officielles.

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La Mission d’aménagement et de gestion des zones industrielles (Magzi) du Cameroun conduit actuellement les travaux d’aménagement d’une zone industrielle dans la ville de Bamenda, située dans la région du Nord-Ouest, a-t-on appris au cours d’une récente descente sur le terrain des responsables de cette entreprise publique.

Cet espace devant servir à l’installation des entreprises dans la ville de Bamenda s’étend sur 44 hectares, et devrait être opérationnel dès la première moitié de l’année 2016, ont annoncé les responsables de la Magzi au cours d’une séance de travail avec les autorités de la capitale régionale du Nord-Ouest.

Selon Christol Georges Manon, le DG de la Magzi, depuis l’année 2012, la structure qu’il dirige a d’ores et déjà payé la somme de 220 millions de francs Cfa aux communautés locales propriétaires de ce site, en guise d’indemnisations. Les travaux à réaliser pour la viabilisation de la future zone industrielle de Bamenda sont déjà exécutés à environ 50%, a-t-on appris.

 

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Le directeur général de la Mission d’aménagement et de gestion des zones industrielles (MAGZI), Georges Christol Manon, vient de publier un appel d’offres restreint, pour la réalisation des études techniques, en vue de l’aménagement de 224 hectares de terrain au bénéfice des entreprises, dans la zone industrielle de l’Est.

Les terrains à aménager sont tous situés dans les arrondissements de Bertoua 1 et 2. Les soumissionnaires intéressés ont jusqu’au 8 janvier 2015, pour faire parvenir leurs offres à la direction générale de la MAGZI, située au quartier Mvan, dans la banlieue de Yaoundé, la capitale camerounaise.

Entreprise à capitaux publics, la MAGZI a pour mission de promouvoir le développement industriel du Cameroun, à travers l’aménagement des terrains devant être mis en location, au profit des industriels désirant investir sur le territoire camerounais.

 

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Le directeur général de la Mission d’aménagement et de gestion des zones industrielles du Cameroun (MAGZI), Georges Christol Manon, a publié le 27 novembre 2013, une série d’avis d’appel d’offres pour la réalisation d’études techniques en vue de l’aménagement de 174 hectares de terrains sur le territoire camerounais.

Ces travaux qui vont permettre l’installation de nouvelles entreprises, vont s’effectuer, apprend-on, dans les zones industrielles de Yaoundé (20 hectares), Bonabéri-Douala (40 hectares), Ombé dans la région du Sud-Ouest (56,6 hectares) et Ngaoundéré (57,5 hectares).

Entreprise à capitaux publics, la MAGZI a pour mission de promouvoir le développement industriel du Cameroun, à travers l’aménagement des terrains devant être mis en location, au profit des industriels désirant investir sur le territoire camerounais.

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De nationalité australienne, le PDG du groupe First Stone Africa Sarl, repreneur de la société forestière Transformation Reef Cameroun (TRC), liquidée il ya quelques mois par la justice, séjourne au Cameroun depuis plusieurs jours.

A en croire le quotidien gouvernemental, Cameroon Tribune, qui révèle l’information, cet investisseur australien qui se dit prêt à injecter 10 milliards de francs Cfa dans la transformation du bois au Cameroun, et à créer 2000 emplois, est venu parachever le processus de reprise de la société TRC, à travers le payement des droits sociaux dus aux ex-employés (1000 personnes), pour un montant total de 955 millions de francs Cfa.

Un payement bloqué depuis des mois, à cause d’un litige foncier entre la défunte TRC et la Mission d’aménagement des zones industrielles du Cameroun (MAGZI), qui a déjà attribué le site convoité par First Stone Africa à une autre entreprise (les Aciéries du Cameroun). Ce blocage tient en deux volets : la quantification du terrain loué à l’époque par la Magzi à TRC et qui doit être transféré au repreneur First Stone Africa, d’une part, et le payement du loyer de ce terrain, d’autre part.

A la Magzi, l’on soutient dans une correspondance adressée au liquidateur, Paul Awouda Essengué, que TRC, avant sa liquidation, a accumulé des arriérés de loyer pour un montant de 44 millions de francs Cfa, une dette qui doit être réglée par le liquidateur avant toute autre transaction. Dans le même temps, le liquidateur, lui, affirme la main sur le cœur que TRC a « régulièrement payé» sont loyer auprès de la Magzi, et ne reconnaît donc pas la dette de 44 millions de francs Cfa qui lui est réclamée.

Par ailleurs, alors que la Magzi soutient avoir mis à la disposition de TRC un terrain de 93.636 m2, le liquidateur de TRC annonce plutôt que l’espace loué par l’entreprise dont il assure la liquidation était de 143.636 m2. Autant de points de désaccords que tentera de dissiper le PDG de First Stone Africa, pendant son séjour actuel au Cameroun.

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Une partie des 1000 employés que comptait la société de transformation de bois dénommée Transformation Reef Cameroun (TRC), vient d’organiser un sit-in sur les anciennes installations de cette entreprise créée en 1999 et dont la liquidation a été prononcée en 2012 par la justice camerounaise.

Selon le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, qui révèle cette information, ces employés réclamaient le payement de leurs droits sociaux estimés à 950 millions de francs Cfa par le liquidateur, Paul Essengué, mais surtout le transfert des installations de la défunte TRC à sa repreneuse First Stone Africa Sarl. Lequel transfert est actuellement bloqué à cause d’un litige entre la Mission d’aménagement et de gestion des zones industrielles (Magzi) du Cameroun et la TRC. A en croire les manifestants, seule la résolution de ce litige entre les deux entreprises peut ouvrir la voie à la liquidation définitive de leurs droits.

En effet, selon des informations puisées à très bonnes sources par l’agence Ecofin, la mésentente entre la Magzi et le liquidateur de TRC tient à deux volets : la quantification du terrain loué à l’époque par la Magzi à TRC et qui doit être transféré au repreneur First Stone Africa, d’une part, et le payement du loyer de ce terrain, d’autre part.

A la Magzi, l’on soutient mordicus que TRC, avant sa liquidation, a accumulé des arriérés de loyer pour un montant de 44 millions de francs Cfa, une dette qui doit être réglée par le liquidateur avant toute autre transaction. Dans le même temps, le liquidateur, Paul Essengué, lui, affirme la main sur le cœur que TRC a « régulièrement payé» sont loyer auprès de la Magzi, et ne reconnaît donc pas la dette de 44 millions de francs Cfa qui lui est réclamée.

Par ailleurs, alors que la Magzi soutient avoir mis à la disposition de TRC un terrain de 93.636 m2, le liquidateur de TRC annonce plutôt que l’espace loué par l’entreprise dont il assure la liquidation était de 143.636 m2. Autant de points de désaccords qui freinent la conduite de la liquidation de TRC, et sur lesquels les différentes parties sont visiblement décidées à camper. A la Magzi, certaines sources affirment d’ailleurs que le terrain querellé a déjà été mis à la disposition d’une entreprise, et non pas transféré la repreneuse de TRC comme le souhaitent les ex-employés de cette société et son liquidateur.

BRM

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