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Yaoundé - 28 mars 2024 -

La tendance haussière observée sur la production pétrolière au Cameroun depuis au moins 5 ans s’est confirmée en fin d’année 2015. En effet, selon les chiffres de la Société nationale des hydrocarbures (SNH), en 2015 le Cameroun a produit 34,4 millions de barils de brut, en hausse de 26% par rapport aux 27 millions de barils produits à fin 2014. 

«Cette augmentation résulte principalement, pour ce qui est du pétrole, de la mise en production du champ Bojongo et du relèvement de la production» de trois autres champs pétroliers entrés en production en 2014, à savoir les champs Inter Inoua-Barombi, Barombi Nord-Est et Padouk, souligne la SNH, le bras armé de l’Etat camerounais dans l’industrie pétrolière.

La compagnie pétrolière publique précise par ailleurs que le 21 avril 2015, la production pétrolière au Cameroun a atteint un pic de 102 586 barils, niveau jamais plus atteint depuis l’année 2002.

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La Société nationale des hydrocarbures (SNH), le bras séculier de l'Etat camerounais dans l'industrie pétrolière, a officiellement vendu un peu plus de 21 millions de barils de pétrole brut en 2015, sur un volume de production total qui a finalement atteint 34,4 millions de barils au 31 décembre dernier, contre 27 millions de barils à fin 2014.

Les ventes effectuées par la SNH, dont les statistiques révèlent ainsi une augmentation de la production nationale de plus de 7 millions de barils en 2015, ont culminé à 625,6 milliards de francs Cfa. Sur cette enveloppe globale, 378 milliards de francs Cfa ont été transférés au Trésor public, soit une baisse des recettes pétrolières de 66 milliards de francs Cfa par rapport aux 444,7 milliards FCfa transférés à l'Etat à fin 2014.

A l'origine de cette baisse des transferts de la SNH au Trésor public, la conjoncture internationale morose autour du prix du baril du brut tout au long de l'année dernière. En effet, souligne la SNH dans la dernière édition de son magazine d'entreprise, «entre juin 2014 et juin 2015, le cours moyen du Brent Daté qui sert de référence pour la fixation des prix de vente du brut camerounais s'est dégradé de 46,90% pour s'établir à 57,84 dollars le baril». Alors que dans le cadre de la loi de Finances 2015, le gouvernement camerounais avait tablé sur un baril de brut à 89 dollars.
BRM

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La société camerounaise Tradex, filiale de la Société nationale des hydrocarbures (SNH) spécialisée dans le soutage maritime, le négoce et la distribution des produits pétroliers réaménage actuellement 25 boutiques (25 autres boutiques suivront dans le cadre d’une seconde phase) situées dans ses stations-services des villes de Yaoundé, Edéa et Douala, a-t-on appris officiellement.

Ces aménagements, apprend-on, permettront de doter ces boutiques de connexion internet (wifi) et d’un espace café baptisé Trad’café. Tradex deviendra ainsi le premier marqueter à mettre à la disposition de ses clients la connexion internet dans ses stations-services, les espaces cafés étant déjà disponibles depuis plusieurs mois chez des concurrents tels que Total et Oilybia.

Tradex revendique un réseau global de 79 stations-services dans la zone CEMAC, dont 57 au Cameroun, 20 en République centrafricaine et deux au Tchad. Le 3 novembre 2015, Tradex a officiellement lancé ses activités en Guinée équatoriale, pays dans lequel cette entreprise pétrolière camerounaise ambitionne d’assurer «l’approvisionnement en hydrocarbures de soutes, de chalutiers de pêche et autres navires se déployant dans le Golfe de Guinée».

BRM

 

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A fin octobre 2015, la production pétrolière au Cameroun a bondi de 26% par rapport à la même période l’année dernière, se situant à 28,6 millions de barils, a annoncé la Société nationale des hydrocarbures (SNH), qui projette une production totale de 34,9 millions de barils en fin d’année.

Côté gaz, l’embellie observée dans la production depuis plusieurs mois s’est poursuivie au cours des 10 premiers mois de l’année 2015. En effet, apprend-on, les champs gaziers du pays ont débité 11 3030,3 millions de pieds cubes de gaz à fin octobre 2015, en hausse de 26,9% par rapport à octobre 2014. A la fin de l’année 2015, la production nationale de gaz, projette la SNH, devrait atteindre 13 783 millions de pieds cubes.

Sur cette production pétro-gazière, la SNH annonce des ventes globales de 17,7 millions de barils de pétrole, contre 9 430 millions de pieds cubes de gaz. Ce qui a permis à la société bras séculier de l’Etat camerounais dans l’exploration et l’exploitation pétro-gazière, de verser au Trésor public une somme de 343,4 milliards de francs Cfa, sur une prévision annuelle de 264 milliards de francs Cfa. Ce, en dépit d’une conjoncture pétrolière internationale morose.

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Gazprom Marketing & Trading Singapore Pte Ltd a décroché le statut privilégie de seul partenaire d’off-take auprès de FLNG terminal pour huit ans sur la production du projet du gaz naturel liquéfié sur une unité flottante au large de Kribi au Cameroun.

La compagnie pétrolière Perenco a annoncé, le 27 novembre, la signature de l’accord à cet effet à Yaoundé entre  Gazprom Marketing & Trading Singapore Pte Ltd, la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), Perenco Cameroon S.A, Golar Hilli and Golar Cameroon.

La filiale à 100% du major mondial PAO Gazprom a été retenue au terme d’un appel d’offre international pour un contrat de vente de 1,2 million de tonnes de gaz naturel liquéfié par an, a-t-elle précisé.

Selon Perenco, les premières livraisons de gaz naturel liquéfié à partir du terminal devront commencer au cours du second trimestre 2017. Le projet gazier porte sur l’attribution de 500 milliards pieds-cubes de  réserves de gaz naturel que livreront Perenco Cameroon S.A et la Société Nationale des Hydrocarbures à partir des champs Sanaga Sud et Ebome.

FLNG terminal sera détenu et opéré par Golar Hilli and Golar Cameroon via le navire flottant Hilli dont la modification est en cours au chantier naval Keppel Shipyard au Singapour.

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En termes de recettes pétrolières pour l’année 2016, le Cameroun a décidé d’opter pour l’extrême prudence, au regard de la conjoncture internationale toujours pas reluisante autour du prix du baril du brut. En effet, selon le projet de loi de Finances actuellement en examen au Parlement, le gouvernement table sur des recettes pétrolières d’un montant de 397,2 milliards de francs Cfa en 2016, contre des prévisions de 774,9 milliards de francs Cfa en 2015, soit une réduction de près de 50%.

A l’origine de cette baisse drastique des prévisions, qui ramène la proportion des recettes pétrolières dans le budget de l’Etat camerounais à peine à 10%, contre 25% par le passé, la chute des cours mondiaux du pétrole. En effet, souligne la Société nationale des hydrocarbures (SNH) dans la dernière édition de son magazine d’entreprise, «entre juin 2014 et juin 2015, le cours moyen du Brent Daté qui sert de référence pour la fixation des prix de vente du brut camerounais s’est dégradé de 46,90% pour s’établir à 57,84 dollars le baril».

Au cours du 1er semestre 2015, apprend-on de la même source, le prix du baril du brut camerounais s’est davantage déprécié, pour culminer à 55 dollars seulement. Suffisant pour que l’Etat camerounais, qui table pourtant sur une production pétrolière en hausse à 34,6 millions de tonnes en 2016, voit moins grand en termes de prévisions de recettes.

Aussi, pour se mettre à l’abri des surprises prévisibles sur le marché du pétrole tout au long de l’année prochaine, le gouvernement camerounais, en confectionnant son budget 2016, a-t-il pris l’option de tabler sur un prix du baril à 40 dollars, bien que le cours actuel soit bien supérieur à cette borne.

Pour rappel, au premier semestre 2015, le pays a connu une perte de 58 milliards de francs Cfa sur ses prévisions initiales de recettes pétrolières. Une statistique plutôt appréciable, au regard du volume des pertes annoncées en début d’année (300 milliards de francs Cfa), face à la baisse continue des cours du baril observée sur le marché international.

BRM

 

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L'Institut national des statistiques (INS) au Cameroun a publié ses comptes nationaux pour le compte du deuxième trimestre 2015. Il en ressort que le Produit intérieur brut (PIB) du pays a été de 2910,6 milliards de francs Cfa, soit une progression de 5,7% comparée à cet indicateur pris pour le compte de la même période en 2014.

Une performance que les indicateurs mettent sur le compte de la bonne tenue du secteur secondaire, notamment l'activité du secteur extractif, fortement influencé par une hausse de la production annoncée par la Société nationale des hydrocarbures (SNH). Cette hausse est venue compenser les mauvais effets de la baisse du dollar américain sur la monnaie d'Afrique centrale.

A l'analyse de ces comptes nationaux, l’on peut cependant constater que le secteur extractif qui a tiré la croissance du Pib dans le pays est très peu pourvoyeur d'emplois et donc induit une limite dans la distribution effective des richesses créées. Dans le secteur primaire, celui qui emploie plus de 80% de la population active du pays, la croissance est restée assez faible à seulement 0,7% (d'un trimestre à l'autre) au cours de la période de référence, contre 1,5% au cours du trimestre précédent, et 1,6% sur la même période en 2014.

Dans le tertiaire (commerce et service), qui mobilise aussi une proportion significative de la main d'œuvre résidente, la croissance entre deux trimestres s'affiche à 1,3%, comparée au repli de 1,3% constaté au cours du premier trimestre 2015. En valeur absolue, la différence des valeurs ajoutées (pris en compte pour calculer le PIB) est de 17,3 milliards de francs Cfa, avec une prédominance de la commercialisation des biens et services importés.

Enfin, la répartition de la progression du PIB par composante donne une lecture particulière. On peut se rendre compte que, même si la consommation des ménages, notamment privés (2196 milliards de FCFA), continue de tirer la croissance économique au Cameroun, celle-ci semble s'être refroidie et affiche une progression atone (+0,5%), inférieure à la progression de trimestre à trimestre de 1,4% obtenue sur la même période en 2014.

Idriss Linge

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En 2016, la production pétrolière au Cameroun culminera à 34,6 millions de tonnes, selon les estimations du gouvernement contenues dans le projet de loi des finances 2016 qui sera soumis à l’examen des parlementaires dans les prochains jours. Cette production est de nouveau en hausse par rapport aux 27 millions de barils produits en 2014 et aux 24,4 millions de barils de 2013.

Cependant, ces estimations sont largement en dessous des premières projections de la Société nationale des hydrocarbures (SNH) et de la Banque mondiale, qui tablaient plutôt sur une production 2016 qui doublerait celle de 2013, pour atteindre 57 millions de barils en fin d’année.

Cet optimisme était motivé par l’entrée en production de nouveaux champs depuis 2013, lesquels ont d’ailleurs permis que le production journalière franchisse la barre des 100 000 barils par jour cette année, contre une moyenne de 60 000 barils, ce qui n’avait jamais été revu dans le pays depuis 2002, soulignait alors la SNH dans son rapport à fin juin 2015.

Finalement, en 2016 donc, le Cameroun produira bien moins de pétrole que prévu, soit environ 23 millions de barils en moins sur les 57 millions de barils initialement projetés. Le prix actuel de l’or noir sur le marché international a-t-il entamé l’enthousiasme et le dynamisme des opérateurs du secteur pétrolier amont au Cameroun ?

Bien qu’il soit bien difficile de répondre à cette interrogation, l’on peut cependant remarquer que malgré la hausse annoncée de la production, la courbe des recettes, elle, sera plutôt descendante en 2016, du fait d’une conjoncture internationale toujours défavorable. En effet, le pays table sur une enveloppe globale de recettes pétrolières de 397,2 milliards de francs Cfa seulement, contre 774 milliards de francs Cfa cette année.

A l’observation, cette fois-ci, le gouvernement camerounais a opté pour l’extrême prudence autour de la volatilité des prix du brut, en confectionnant son budget 2016 sur la base d’un prix du baril à 40 dollars (bien que l’on soit au-dessus de ce prix actuellement), contre 89 dollars en 2015.

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La Société nationale des hydrocarbures (SNH), le bras séculier de l’Etat camerounais dans l’exploration et l’exploitation pétro-gazière, a annoncé le 30 septembre 2015, avoir signé avec les groupes français Perenco et bermudien Golar LNG, «la toute première convention gazière» du Cameroun, «négociée dans le cadre de l’application de la loi du 19 avril 2012 portant code gazier».

Cette convention gazière, précise la SNH, est relative à l’installation et l’exploitation d’une usine flottante de liquéfaction du gaz naturel au large de Kribi, dans la région du Sud du Cameroun. Ce projet présenté comme étant «une grande première en Afrique», consiste, apprend-on, en «la conversion du méthanier Golar Hilli de la société Golar Hilli Corporation, en une installation de liquéfaction. Les travaux de conversion du méthanier sont actuellement en cours dans les chantiers naval de Keppel, à Singapour».

Ce navire doté d’une capacité de 1,2 million de tonnes de gaz naturel liquéfié par an, livrera ses premières productions exportables à partir de la mi-2017, souligne la SNH. L’unité flottante pour laquelle Golar LNG investira plus de 700 milliards de francs Cfa (1,3 milliards de dollars US) permettra également de produire 30 000 tonnes de gaz domestique chaque année, et 5000 barils de condensat chaque jour, apprend-on de sources officielles.

La conversion du méthanier Golar Hilli en unité flottante de liquéfaction vise à anticiper sur la production du gaz naturel liquéfié au Cameroun, en attendant la construction d’une usine de pied non loin du port en eau profonde de Kribi, dans le cadre d’un projet piloté par la SNH, avec pour partenaires les groupes français Perenco et Engie.

Selon la SNH, plus de 400 milliards de francs Cfa seront investis dans ce projet, qui permettra de créer, apprend-on, environ 1000 emplois pendant la phase de construction, et 100 emplois directs pendant la phase d’exploitation de l’usine.


Brice R. Mbodiam

 

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Certains détails financiers de la convention de partage de production pour la recherche pétrolière sur le bloc Thali, signée le 15 septembre 2015 entre l’Etat du Cameroun et Tower Resources, opérateur pétro-gazier coté à Londres, sont désormais connus. Au total, sur une période de 7 ans, apprend-on, cet explorateur pétro-gazier pourrait investir près de 24 milliards de francs Cfa pour explorer ce bloc couvrant 119,2 Km2 dans l’offshore camerounais.

En effet, selon un communiqué officiel de la SNH, l’entreprise pétrolière publique, à la faveur de ce contrat, Tower Resources s’est engagé à investir 13 millions de dollars (plus de 7 milliards de francs Cfa) pour conduire des travaux de recherche sur une première période «ferme de 3 ans». Ces travaux intègrent, apprend-on, «la réalisation d’études géologiques et géophysiques ; l’acquisition, le traitement et l’interprétation de 100 Km2 de données sismiques 3D ; et le forage d’un puits d’exploration».

En fonction des résultats obtenus, indique la SNH, Tower Resources pourra prétendre à un renouvellement de sa convention d’exclusivité, pour deux nouvelles périodes de 2 ans chacune. Dans ce cas, l’opérateur pétro-gazier britannique forera un nouveau puits au cours de chaque période de renouvellement de son contrat. Ce qui correspond, révèle la SNH, à des engagements financiers d’environ 15 millions de dollars (environ 8,2 milliards FCfa) pour chaque nouvelle période, soit environ 16,5 milliards de francs Cfa sur 4 ans.

Avec cette nouvelle convention de partage de production, le Cameroun totalise désormais 21 contrats de ce type avec des opérateurs pétro-gazier, depuis la promulgation de la loi du 22 décembre 1999 portant Code pétrolier en République du Cameroun.

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