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Yaoundé - 29 mars 2024 -

Le Tribunal criminel spécial (TCS), juridiction d’exception mise en place au Cameroun pour juger les détourneurs de deniers publics, vient de condamner Charles Metouck (photo), qui a dirigé la Société nationale de raffinage (Sonara) pendant 11 ans, à une peine d’emprisonnement de 15 ans. Au cours du verdict prononcé le 21 octobre 2015 à Yaoundé, M. Metouck a été reconnu coupable de détournement de deniers publics, pour un montant de plus de 500 millions de francs Cfa, au moment où il présidait aux destinées de la Sonara.

C’est la 2ème condamnation qu’écope Charles Metouck en l’espace de 2 ans. En effet, depuis le 23 avril 2013, l’ancien DG de la Sonara purge déjà une peine de 9 ans d’emprisonnement pour destruction de documents. Quelques mois plus tôt, il avait été surpris dans son bureau, trois jours après son limogeage, en train de détruire certains documents, avaient reconnus les juges.

Non seulement il a toujours nié avoir détruit des documents de l’entreprise, mais aussi M. Metouck avait présenté un document signé du PCA de la Sonara, qui l’avait expressément autorisé à rentrer dans son ancien bureau le jour de l’incident, pour une séance de travail avec son remplaçant.

Incarcéré à la prison centrale de Buéa depuis lors, Charles Metouck avait été transféré à la prison centrale de Yaoundé le 8 mai 2013, suite à sa convocation au TCS. Cette juridiction s’était alors saisie des accusations portées contre M. Metouck dans un rapport du Contrôle supérieur de l’Etat sur la gestion de la Sonara.

Rendu public en février 2013, ce rapport accuse l’ancien DG de la Sonara d’avoir causé un préjudice financier de 26 milliards de francs Cfa à la raffinerie camerounaise, à travers 20 fautes de gestion. Pour ces faits, il avait déjà été déchu des droits à diriger une entreprise ou service public camerounais pendant 7 ans. La sentence prononcée le 21 octobre dernier à l’encontre de M. Metouck ne se rapporterait qu’à une partie de ce dossier.

BRM

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Le gouvernement camerounais vient de confier le marché pour le remplacement des toits des bacs à la Société nationale de raffinage (Sonara) à la société chinoise Top International Engineering Corp, pour un montant de 1,154 milliard de francs Cfa, a-t-on appris officiellement. Le délai d’exécution des travaux est de six mois.

L’entreprise chinoise a été préférée au groupe français Frielander, éliminée pour «offre technique insuffisante», ainsi qu’un groupement conduit par la société portugaise Cimontubo, dont l’offre financière a été jugée élevée.

Top International Engineering Corp, filiale de Shaanxi Construction Engineering Group Corporation, fait partie du top 500 des entreprises chinoises. La société est présente dans plusieurs pays d’Afrique centrale et de l’Ouest.

 

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Après la Société nationale de raffinage (Sonara) construite après les indépendances dans la ville de Limbé, région du Sud-Ouest du Cameroun, le gouvernement camerounais ambitionne de se doter d’une seconde raffinerie de pétrole moderne, qui devrait être construite dans la ville de Kribi, dans la région du Sud, apprend-on de bonnes sources.

C’est dans cette optique que la société russe Rusgazengineering Group, basée à Moscou, vient d’être retenue comme entreprise pré-qualifiée, pour le financement et la réalisation des études de préfaisabilité de ce projet ; qui est envisagé au moment où la Sonara est engagé dans un vaste programme de modernisation de ses équipements, pour un investissement global d’environ 400 milliards de francs Cfa.

Avec ce projet de construction d’une raffinerie de pétrole à Kribi, cette ville se positionne davantage comme étant le futur pôle stratégique de l’activité économique au Cameroun. En effet, cette cité balnéaire abrite déjà un port en eau profonde, dont la mise en service est attendue cette année.

Cette infrastructure portuaire, qui catalysera la construction d’une ligne de chemin de fer de 510 Km permettant d’évacuer les minerais de la région de l’Est du Cameroun, sera dotée de terminaux minéralier, hydrocarbures, à conteneurs et polyvalent. Selon les experts, le port en eau profonde de Kribi est crédité du meilleur tirant d’eau sur toute la côte ouest-africaine.

La ville de Kribi devrait également être desservie par une autoroute de 120 Km, au départ d’Edéa, de même qu’il y sera construite une usine de liquéfaction de gaz naturel, projet piloté par la Société nationale des hydrocarbures (SNH) et la société française Engie, anciennement connue sous l’appellation de GDF Suez.

En attendant la concrétisation de tous ces projets, la ville de Kribi, qui dispose d’un important potentiel touristique du fait de sa proximité avec la mer, héberge déjà la première centrale à gaz du pays d’une capacité de 216 MW (en cours d’extension à 330 MW) construite par KPDC, ainsi que le terminal de Komé, point de chute de tout le pétrole tchadien qui coule dans le pipeline Tchad-Cameroun.

Brice R. Mbodiam

 

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Le gouvernement camerounais vient de confier à la société française Geocean, basée à Marseille, un marché de 16,4 milliards de francs Cfa, pour la construction d’un pipeline à la Société nationale de raffinage (Sonara), à Limbé, dans la région du Sud-Ouest du pays, a-t-on appris dans un communiqué signé du ministre des Marchés publics, Abba Sadou.

Cette entreprise française n’est pas à sa première expérience au Cameroun, en matière de construction de pipelines sous-marins. En effet, Geocean est intervenu en 2003, apprend-on, sur les travaux de construction de la partie immergée de l’oléoduc Tchad-Cameroun, dans la localité de Kribi, région du Sud.

Au total, Geocean revendique 20 années d’expérience dans la réalisation des travaux sous-marins à travers le monde, notamment au Moyen-Orient et en Afrique, principalement dans des pays tels que la Côte d’Ivoire, le Maroc, l’Angola…

 

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La Société nationale de raffinage (Sonara), l’unique raffinerie de brut du Cameroun, vient de lancer un appel international à manifestation d’intérêt (AMI), pour recruter un consultant devant assurer la maîtrise d’œuvre des travaux de construction d’un nouveau bac de stockage du pétrole brut sur les installation de la société à Limbé, dans la région du Sud-Ouest du Cameroun.

Cette nouvelle infrastructure d’une capacité de stockage de 100 000 m3, apprend-on, est construite dans la perspective de l’augmentation de la production de la Sonara, au terme de la première phase des travaux de modernisation de ses équipements. En effet, après ces travaux, la Sonara ambitionne d’augmenter ses capacités de raffinage du brut, pour les porter à 3,5 millions de tonnes par an, contre 2,1 millions de tonnes actuellement.

Au moyen de cette augmentation de sa production issue du brut importé, la raffinerie camerounaise compte ainsi pouvoir satisfaire la demande locale en produits finis tels que «le gazole, le butane, le super, le distillat, le fuel oil, le pétrole lampant et le carburéacteur», énumère l’entreprise. Dans le cadre de la seconde phase de son programme de modernisation, la Sonara se dotera d’un hydrocraqueur, afin de pouvoir raffiner le brut produit localement.

BRM

 

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Depuis le 15 février 2015, les caboteurs de la Société nationale de raffinage (Sonara) n’ont pas pu effectuer trois voyages en direction du port de Douala, où sont situées les cuves de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP), à partir desquelles les produits raffinés sont livrés dans huit régions du pays, exception faite des régions de l’Ouest et le Sud-Ouest.

Cette situation qui est mise sur le compte de la congestion ambiante au port de Douala, la plus grande infrastructure portuaire du pays, a officiellement causé un manque à gagner de 6 milliards de francs Cfa à l’unique raffinerie du Cameroun, a-t-on appris le 30 mars dernier à Yaoundé. C’était au cours d’une session du comité de pilotage et de suivi du projet de construction d’un pipeline long de 355 Km, en vue de la distribution des produits pétroliers au Cameroun.

Cet exemple révélé au cours de la première session du comité de pilotage que préside Basile Atangana Kouna, le ministre de l’Energie, est venu remettre au goût du jour l’importance de ce projet d’oléoduc, dont le premier tronçon s’étirera sur 110 Km entre la ville pétrolière de Limbé, et Douala, la capitale économique. Le 2ème tronçon quant à lui s’étendra sur 70 Km entre Douala et Edéa, tandis que le 3ème tronçon, long de 175 Km, ralliera Yaoundé, la capitale du pays, à partir d’Edéa.

Projet d’un montant total de 218 milliards de francs Cfa, ce pipeline devrait non seulement permettre de se départir des aléas tels que la congestion de l’espace portuaire, mais aussi et surtout de réduire considérablement les coûts des transports des produits pétroliers. En effet, selon le document du projet, la construction de cette infrastructure de transport des produits pétroliers va «permettre de réaliser un gain tarifaire de l’ordre de 46% sur le fret maritime entre Limbé et Douala ; de 24% sur le transport moyen par route et chemin de fer, en supposant que le réseau routier représente 35% et le réseau ferroviaire 65% des transports des produits pétroliers entre Douala et Yaoundé ; de réduire de 28% le coût du transport entre Limbé et Douala et entre Douala et Yaoundé».

 

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La Société nationale de raffinage (Sonara) vient de bénéficier d’une convention de crédit relai d’un montant de 143,5 milliards de francs Cfa signée entre l’Etat du Cameroun et un consortium de quatre banques conduit par la filiale locale de BGFI, chef de file de l’opération. Il s’agit, a-t-on appris le 10 février 2015 à l’occasion de la signature de ladite convention, de la première étape d’un processus de redressement de l’unique raffinerie du Cameroun, processus entamé depuis 2013.

En effet, cette année-là sur appel d’offres, le gouvernement camerounais a recruté BGFI Cameroun comme conseiller financier pour parachever la modernisation et surtout redresser la Sonara, entreprise publique jusqu’ici en proie à d’énormes difficultés financières, a indiqué Edgar Anon, le directeur général de BGFI Cameroun.

Au moment où BGFI Cameroun entame sa mission auprès du gouvernement, a-t-on appris, la Sonara cumule 400 milliards de francs Cfa d’arriérés de créances à verser par l’Etat, ses fournisseurs réclament un volume de dette estimée à 550 milliards de francs Cfa, l’entreprise fait face à un besoin en fonds de roulement de 150 milliards de francs Cfa, une dette bancaire de 200 milliards de francs Cfa, et recherche 400 milliards de franc Cfa pour entamer la seconde phase de son processus de modernisation, avec notamment l’achat d’un hydrocraqueur.

Avant d’obtenir la convention de crédit relai du 10 février 2015, les premières actions de BGFI, a expliqué le DG Edgar Anon, ont consisté à résoudre le problème de fonds de roulement de la Sonara, notamment au moyen de la technique dite du «préfinancement export». Sur ce volet, «la Sonara a bénéficié de 50 milliards de francs Cfa pour la première tranche : 25 milliards de francs Cfa ont été décaissés il y a un mois déjà et la Sonara va bénéficier dès la semaine prochaine de 25 autres milliards de francs Cfa», rassure le DG de BGFI.

Dans le même temps, la filiale du groupe bancaire gabonais a procédé à une restructuration de la dette bancaire à long terme de la Sonara (200 milliards de francs Cfa, dont une bonne partie auprès d’Afriland First Bank, qui a participé au financement de la première phase de la modernisation de cette entreprise pétrolière), à hauteur de 68 milliards de francs Cfa. Ce qui, apprend-on, va permettre à la raffinerie camerounaise de bénéficier de cash-flow pour environ 50 milliards de francs Cfa sur une période de 2 ans.

De même, au moyen de la technique dite du «project finance», a confié Edgar Anon, des financements sont actuellement négociés avec des bailleurs de fonds internationaux, en vue de l’achat d’un hydrocraqueur. Cet équipement devrait permettre à la Sonara de raffiner le brut produit au Cameroun, avec des incidences subséquentes sur les coûts de production des produits raffinés et les prix pratiqués à la pompe.

Brice R. Mbodiam

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Le ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey, et un consortium de quatre banques ayant pour chef de file BGFI Bank Cameroun, et constitué de SG Cameroun, Afriland First Bank et Ecobank Cameroun, ont signé le 10 février 2015 à Yaoundé, une convention de crédits relais d’un montant de 143,5 milliards de francs Cfa, pour le refinancement de la Société nationale de raffinage (Sonara).

Si les filiales camerounaises de BGFI Bank et d’Afriland First Bank se sont alignées toutes seules sur cette opération, a-t-on appris, la Société générale et Ecobank ont dû faire des appels de fonds de leurs filiales congolaise et équato-guinéenne chacune.

Cette sollicitude du secteur bancaire de l’Afrique centrale vis-à-vis de la Sonara a été saluée, aussi bien par le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, que par le directeur général de la Sonara, Ibrahim Talba Malla. Ce dernier a d’ailleurs indiqué que ce crédit relais constitue «le bout du tunnel d’une première étape vers une raffinerie qui fonctionne normalement».

La raffinerie camerounaise est en effet en proie à d’énormes difficultés financières depuis plusieurs années, à cause des manque-à-gagner enregistrés du fait de la politique de subvention des prix des produits pétroliers à la pompe instituée par l’Etat, qui se hâte cependant très lentement de rembourser à l’entreprise pétrolière, comme convenu, le gap entre les prix réels et les prix pratiqués à la pompe. Un temps, ces manque-à-gagner ont atteint 400 milliards de francs Cfa, décrédibilisant même la société pétrolière auprès de ses partenaires financiers et rendant de plus en plus difficile les approvisionnements de la raffinerie.

Dans un de ses rapports sur l’économie camerounaise, le Fonds monétaire international (FMI) s’était même inquiété des conséquences que pouvaient avoir les difficultés financières de la Sonara sur le secteur bancaire camerounais, la Sonara étant l’un des plus gros emprunteurs des banques locales.

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Le gouvernement camerounais a déclaré l’entreprise française d’ingénierie industrielle Ingenica SA, adjudicataire du marché pour la réalisation et l’assistance à la maîtrise d’ouvrage d’un nouveau poste de chargement par camions-citernes à la Société nationale de raffinage (Sonara).

Ce marché, qui sera exécuté en 17 mois, apprend-on dans un communiqué du ministère des Marchés publics, va coûter 1,135 milliard de francs Cfa. Créée en 1991, Ingenica SA est spécialisée dans l’ingénierie et la maîtrise d’œuvre des projets industriels en France et à l’export.

Sur ce marché à la Sonara, l’unique raffinerie de pétrole du Cameroun, l’entreprise française a été préférée au groupe français Ekium, classé 2ème après analyse des offres, et à Petro C2G, dont l’offre technique a été jugée insuffisante.

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Selon Jean Claude Atanga Bikoé, l’administrateur du Fonds routier du Cameroun, moins de 10% du réseau routier camerounais est entretenu de nos jours, à cause de l’insuffisance des ressources allouées à ces travaux. La principale ressource étant une tranche de la taxe spéciale sur les produits pétroliers versée par les distributeurs des produits pétroliers. Elle s’élève actuellement, précise l’administrateur du Fonds routier, à 55 milliards de francs Cfa par an.

Afin de décupler les performances du Fonds routier, sorte de guichet spécial permettant le payement rapide des travaux d’entretien routier sur le territoire national, Jean Claude Abanda Bikoé suggère la collecte directe par le fonds, des différentes ressources allouées à l’entretien routier. Il s’agit d’abord de la tranche de taxe sur les produits pétroliers destinée à l’entretien routier, actuellement collectée par la Société nationale de raffinage (la raffinerie nationale qui est elle-même généralement en proie aux tensions de trésorerie) et la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP).

Ensuite, il y a les redevances sur l’usage de la route, actuellement collectées par le programme de sécurisation des recettes routières, puis les équipes du pesage routier. En effet, apprend-on, la rétrocession au Fonds routier de ces ressources collectées par des entités distinctes se fait souvent avec d’importants retards, limitant ainsi ses capacités d’intervention.

 

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