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Yaoundé - 08 mai 2024 -

Entre 2013 et 2015, la Société camerounaise de transformation métallique (SCTM), le leader du marché de la distribution du gaz domestique dans le pays, a perdu près de 5% de parts du marché, selon les pointages officielles. En effet, les parts contrôlées par cette entreprise sont tombées à un peu plus de 33% au cours de l’année 2015, contre 38% en 2013.

A l’origine de cette perte progressive du terrain sur le marché de la distribution du gaz domestique, apprend-on de sources autorisées, il y a les performances de plus en plus intéressantes de nouveaux arrivants sur le marché, à l’instar de Tradex ; mais surtout les difficultés financières auxquelles fait face la SCTM depuis quelques années, notamment avec le décès du promoteur de l’entreprise.

En effet, apprend-on, les impayés cumulés par le leader de la distribution du gaz domestique au Cameroun vis-à-vis du Groupement des professionnels du pétrole (GPP), au titre de droits de transfert pour l’approvisionnement en produits pétroliers, dépassent désormais 3 milliards de francs Cfa.

L’on se souvient d’ailleurs qu’en se plaignant de l’insolvabilité de la SCTM au cours d’une réunion avec le ministre du Commerce en octobre 2015 à Yaoundé, Perrial Jean Nyodog, le DG de Tradex (société devenue le principal importateur de gaz domestique depuis quelques années) et président du GPP, avait menacé de suspendre les approvisionnements au bénéfice de la SCTM. Cette menace est toujours à l’ordre de jour, selon nos sources, puisque la SCTM n’a pas amorcé le moindre payement de sa dette jusqu’ici.

BRM

 

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Au Cameroun, pendant les fêtes de fin d’année, les populations font souvent face à des pénuries plus ou moins fictives, généralement organisées par les opérateurs économiques pour des fins de spéculation, au regard de la demande grandissante des consommateurs pendant cette période.

Afin de prévenir ce phénomène, le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atanga (photo), vient d’organiser une série de rencontres avec les opérateurs de diverses filières, afin de s’assurer que le marché sera régulièrement approvisionné pendant cette période de grande consommation.

De ce point de vue, les opérateurs économiques rassurent. Selon eux, les stocks disponibles devraient largement dépasser la demande. Ainsi de la filière des oléagineux, qui annonce des stocks d’huiles végétales d’environ 40 000 tonnes, pour une demande mensuelle qui ne dépasse pas 12 000 tonnes. Environ 70 000 tonnes de poissons congelés sont également disponibles, contre une demande mensuelle de 20 000 tonnes, affirme le PDG de Congelcam, importateur qui contrôle plus de 80% du marché du poisson au Cameroun.

Dans le même temps, le Groupement des professionnels du pétrole (GPP), qui met la pénurie actuelle du gaz domestique sur le compte de certains «dysfonctionnements», annonce la mise en circulation prochaine de 50 000 bouteilles, pour éviter aux ménagères de recourir au réchaud à pétrole ou au feu de bois pendant les fêtes de fin d’année.

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Les consommateurs de gaz domestique au Cameroun sont habitués à des pénuries plus ou moins justifiées de ce produit à l’approche des fêtes de fin d’année. Pendant cette période, les populations, à défaut de s’aligner des journées entières devant les dépôts de la SCTM, le leader du marché dont le produit se volatilise toujours à l’approche des fêtes de Noël et du Nouvel An, déboursent souvent jusqu’à 10 000 FCfa (au lieu des 6500 FCfa officiels) pour se procurer la bouteille de gaz de 12 Kg auprès de vendeurs au noir.

Cette année, le phénomène semble survenir un peu trop tôt. En effet, dans les villes de Yaoundé et de Douala, il est difficile de se procurer du gaz domestique depuis plus d’une semaine. Selon les revendeurs, les distributeurs n’ont pas livré le produit depuis quelques temps, malgré les commandes. Une grosse supercherie, selon Maloum Bra, le chef d’agence de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP) à Yaoundé. «Nous sommes interpellés sans cesse par le ministère du Commerce pour ce problème qui ne s’explique pas. Si oui, il y a une spéculation qui se met en place, comme c’est malheureusement le cas à l’approche de la fin d’année», affirme-t-il dans une interview au quotidien gouvernemental.

Ce dernier poursuit : «nous desservons tous les huit marqueteurs du secteur gaz domestique. Chaque jour, ils viennent en prendre. Où vont les bouteilles ? C’est la véritable question à poser. A elle seule, la SCTM a pris 19 tonnes de gaz lundi (le 5 octobre 2015, Ndlr). C’est pratiquement 2 000 bouteilles. En plus de cela, SCTM a un autre centre emplisseur à Douala, qui charge également 2 000 bouteilles tous les jours à acheminer sur Yaoundé. Ça fait un stock quotidien de 4 000 bouteilles pour ce seul marqueteur. Les autres viennent également tous les jours et sont servis suivant leurs demandes exactes, pas une seule bouteille en moins. 8 000 bouteilles sortent par jour pour la seule ville de Yaoundé et nous sommes capables de produire plus, surtout qu’il y a un surplus de butane au niveau de Douala. Qu’on nous parle de pénurie, c’est à ne rien comprendre».

En clair, aussi bien à la SCDP qu’au sein de la population camerounaise, l’on soupçonne les distributeurs, principalement le leader du marché local du gaz domestique qu’est la SCTM (près de 50% de parts du marché), de préparer la sempiternelle pénurie de fin d’année avec la complicité des revendeurs, pour pouvoir céder le produit à prix d’or d’ici un mois.

 

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La consommation du gaz domestique au Cameroun a cru de 14% en 2014, selon les statistiques que vient de révéler la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (Csph). Cette augmentation de la consommation nationale, souligne le régulateur du marché des produits pétroliers raffinés, a induit un «soutien financier de 28,3 milliards de francs Cfa».

Cette somme, fait remarquer la Csph, représente «67,63% des charges sur activités ordinaires de l’organisme». En effet, apprend-on, plus de 80% du gaz domestique consommé au Cameroun est importé, l’unique raffinerie camerounaise, la Sonara, préférant se consacrer à la production du pétrole, du gasoil et du pétrole lampant.

Afin de réduire le volume sans cesse croissant de la subvention à la consommation du gaz domestique au Cameroun, le gouvernement a procédé mi-2014, à une révision à la hausse du prix de la bouteille de gaz de 12 Kg, qui est alors passé de 6000 à 6500 francs Cfa. Ce fut la première augmentation depuis 2006.

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Le secteur de la distribution des produits pétroliers au Cameroun vient de s’enrichir d’un nouvel opérateur. Il s’agit de la Société des produits pétroliers du Cameroun (Sopropec), qui vient d’être lancée avec un capital initial de 500 millions de francs Cfa, a-t-on appris dans une annonce légale.

Sopropec arrive ainsi sur un marché de plus en plus concurrentiel, où les opérateurs nationaux, en dehors de Tradex, la filiale de la Société nationale des hydrocarbures (Snh), ont du mal à s’imposer face aux multinationales telles que Total, l’actuel leader du marché.

Dirigée par Loïc Fokou Fongang, Sopropec ambitionne également de distribuer du bitume, du carburant d’aviation, du fuel lourd, des produits phytosanitaires et, surtout, de créer sa propre marque de gaz domestique, renseigne l’annonce légale relative à la création de cette entreprise.

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Le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique (Minmidt), Emmanuel Bondé, vient d’annoncer que le gouvernement camerounais a décidé de suspendre, pour une durée qui n’a pas été déterminée, la délivrance des autorisations d’exploitation des dépôts de gaz domestique sur le territoire national.

Cette mesure gouvernementale, apprend-on, ne sera levée que lorsque les autorités publiques auront achevé de mettre en place une nouvelle réglementation plus rigoureuse en matière de sécurisation des dépôts de gaz domestique. «Il nous a été instruit de voir comment est-ce qu’on peut avoir des dépôts de gaz standards, parce que nous nous sommes rendus compte que les dépôts de gaz qui explosent sont ceux qui ne sont pas conformes et non-autorisés», explique Bagoutou Djembele, sous-directeur des risques industriels au Minmidt.

Cette décision de suspension intervient six mois après l’explosion d’un dépôt de gaz dans la capitale camerounaise. En effet, le 22 novembre 2014 dans la nuit, une grande explosion avait réveillé les populations du quartier Etoudi, qui abrite le palais présidentiel. Une cargaison d’environ 3000 bouteilles de gaz avait alors été détruite, non sans avoir endommagé des transformateurs et des lignes de transport de l’entreprise distributrice de l’électricité, plongeant une partie de la ville dans le noir.

 

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Une concurrence plus farouche se profile à l’horizon pour la Société camerounaise de transformation métallique (Sctm), le leader actuel de la distribution du gaz domestique au Cameroun avec plus de 40% des parts du marché. En effet, la société Tradex, qui vient de céder 26% de ses actifs à Geogas, négociant suisse du gaz butane, révèle que l’arrivée de ce partenaire «aidera à bâtir les infrastructures nécessaires» à l’implémentation de «l'un des axes stratégiques du développement de Tradex», qui «est d'accroître la distribution du gaz» domestique.

Perrial Jean Nyodog (photo), le DG de Tradex, qui a révélé cette information au panafricain Jeune Afrique, justifie le choix de cet axe stratégique par le fait que «la demande annuelle (de gaz domestique au Cameroun) se situe autour de 85 000 tonnes métriques. Ce qui est très faible comparé à des économies africaines de même niveau où elle tourne autour de 200 000 tonnes métriques».

Filiale de la Société nationale des hydrocarbures (SNH), Tradex, entreprise publique d’abord spécialisée dans le Trading, le négoce du pétrole et le soutage maritime, s’est lancée depuis plus de 10 ans dans la distribution des produits pétroliers dans la zone Cemac, et a lancé sa propre marque de gaz domestique en 2013. En 2014, le chiffre d’affaires de cette entreprise qui contrôle désormais 22% du marché de la distribution des produits pétroliers au Cameroun, a culminé à 270 milliards de francs Cfa, apprend-on de bonnes sources.

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Le groupe français Parlym construira et mettra en service une cuve d’une capacité de stockage de 1000 mètres cubes de gaz domestique au centre emplisseur de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (Scdp) de la ville de Yaoundé, pour un montant de 3,3 milliards de francs Cfa. Selon le communiqué du ministre des Marchés publics attribuant ce contrat, le groupe français a postulé pour ce marché, en groupement avec la société Paresa.

Ce projet devrait aider à résorber les tensions généralement observées dans le pays en matière d’approvisionnement du marché en gaz domestique pour les ménages, du fait notamment de faibles capacités de stockage de ce combustible. De sources autorisées, les capacités de stockage actuelles ne dépassent guère l’équivalent de quatre jours de consommation.

Parlym, l’adjudicataire de ce marché de construction d’une cuve de stockage de 1000 m3, revendique 25 années d’expérience dans le secteur pétrolier. Notamment l’exploration et la production onshore et offshore, la construction des infrastructures de stockage, le transport par pipeline et la distribution à travers des stations-service et les centres emplisseurs de gaz.

 

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La société camerounaise des gaz liquéfiés de pétrole, plus connue sous l’appellation de Camgaz, a procédé au mois de juin 2014 à une augmentation substantielle de son capital social, qui est passé de 10 à 500 millions de francs Cfa, en hausse de 490 millions de francs Cfa, révèle une annonce légale publiée le 26 janvier 2015. Cette hausse du capital s’est faite, apprend-on, par incorporation de l’écart de réévaluation (381,3 millions de FCfa), d’une part, et par prélèvement sur le compte report à nouveau (108,6 millions de FCfa), d’autre part.

Cette opération d’augmentation du capital, qui ouvre d’importantes marges de manœuvre en matière d’investissement au numéro 2 du marché de la distribution du gaz domestique au Cameroun (15,5% de parts de marché derrière SCTM avec près de 50%), apparaît comme une réaction à la concurrence de plus en plus féroce dans ce secteur d’activités. En effet, le marché du gaz a connu d’importantes mutations au Cameroun en 2013, avec l’arrivée dans le secteur de l’opérateur Tradex.

Les parts de marché de ce nouvel opérateur évoluent sans cesse, probablement à cause de ses bouteilles neuves (70% des bouteilles usitées au Cameroun sont vieilles et exposent les consommateurs aux explosions, selon une enquête du ministère du Commerce), avec contrôleur de consommation incorporé. Lybia Oil, un autre opérateur du secteur, a procédé la même année à un renouvellement de son parc de bouteilles, tandis que MRS a pu conquérir de nouvelles parts de marché en étendant son réseau de distribution.

Autant de mutations devant lesquelles Camgaz est jusqu’ici resté atone, à défaut d’alimenter la chronique des faits divers, avec notamment cette affaire d’importation de bouteilles hors normes, et la découverte, sur ses installations, de pratiques de siphonage de bouteilles de gaz domestique mises sur le marché.

L’augmentation du capital sus-mentionnée devrait induire d’importants investissements, avec pour but de permettre au numéro 2 du marché national du gaz domestique de ne pas perdre pied dans un secteur d’activités de plus en plus concurrentiel, et qui recèle d’innombrables opportunités avec des projets en cours dans les domaines de la production (projet Perenco-SNH) et du stockage (SCDP).

BRM

 

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La société camerounaise Amla, dirigée par Esaïe Massoume, vient de concevoir un dispositif innovant, en vue de limiter les fraudes dans le circuit de la distribution des bouteilles de gaz domestique. Il s’agit d’un scellé électronique, qui permet de tracer la bouteille de gaz, depuis le centre d’enfûtage jusqu’au distributeur. Le même dispositif permet de mesurer le poids exact de la bouteille à l’achat, de même qu’il donne la possibilité à une ménagère de savoir la quantité de gaz restante dans la bouteille à tout moment.

Selon le promoteur, ce dispositif électronique devrait révolutionner la lutte contre les fraudes sur les quantités actuellement en cours dans le secteur du gaz domestique. En effet, selon divers rapports de la Brigade de répression des fraudes du ministère du Commerce, des milliers de bouteilles de gaz domestique mises en vente au Cameroun pèsent bien moins que les 12 Kg réglementaires, les distributeurs ayant mis en place des réseaux de siphonage desdites bouteilles avant leur mise sur le marché.

Afin de vulgariser sa trouvaille, la société Amla, apprend-on, discute actuellement des modalités pratiques d’utilisation de ce dispositif avec les marqueteurs et autres entreprises détentrices de centres emplisseurs de gaz domestique. Il s’agit notamment de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP) et de la Société camerounaise de transformation métallique (SCTM), le leader du marché du gaz domestique dans le pays.

Même si des accords venaient à être conclus entre ces opérateurs, l’utilisation du dispositif d’Amla devra encore être validé par le ministère camerounais du commerce, qui a déjà agrée la société Amla comme partenaire dans le cadre des travaux métrologiques.

Le dispositif sus-cité apparaît comme une version améliorée de celui incorporé sur les bouteilles de gaz domestique commercialisées par Tradex, le porte flambeau des nationaux dans le secteur de la distribution des produits pétroliers au Cameroun.

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