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Yaoundé - 10 mai 2024 -
dimanche, 08 octobre 2017 04:28

Rapport annuel de la zone Franc 2016

La situation économique et financière dans la zone franc en 2016

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lundi, 15 octobre 2018 04:12

Rapport Annuel de la Zone Franc 2017

Le rapport se concentre sur la situation économique de la zone Franc et présente de façon plus approfondie les actions des institutions régionales, ainsi que les politiques et les évolutions institutionnelles de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) et de l’Union des Comores en 2017.

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Cette étude vise à optimiser le financement humanitaire via le Comité Permanent Interorganisations (CPI). Il s'agit d'améliorer «l'efficacité de l'aide grâce à des mécanismes de financement du développement humanitaire plus efficaces». Il a deux objectifs: documenter dans quelle mesure un financement prévisible et flexible sur plusieurs années est disponible au niveau du programme; et comprendre dans quelle mesure la gestion du financement contribue aux résultats collectifs ou aux exigences des plans humanitaires et de développement interopérables.

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  • Langue Rapport UK
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samedi, 18 septembre 2021 13:36

Cameroon: key issues and U.S. policy

Ce document du Congrès américain indique que depuis le début de la rébellion lancée par les sécessionnistes anglophones au Cameroun, le pays suscite plus l’attention de la communauté internationale et des États-Unis. Il détaille la situation sécuritaire fragile du pays et s’intéresse à la gouvernance ainsi qu’à la situation économique qu'il juge précaire. Il révèle aussi qu’en 2020, l’assistance américaine au pays s’est concentrée sur le secteur de la santé.

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mercredi, 07 février 2024 07:20

L’AFD et le Cameroun

Ce rapport présente les actions de l’Agence française de développement au Cameroun, qui a engagé 1,3 milliard d’euros dans le pays sur la période 2016 à 2023. Il détaille les cinq axes d’intervention de l’Agence, notamment la sécurité alimentaire, le développement territorial et le soutien à l’entrepreneuriat et à la création d’emplois. Le document fournit des chiffres clés sur les engagements financiers de l’AFD au Cameroun, la répartition des financements par secteur, et les impacts des projets sur les populations et les différents domaines d’intervention.

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Ce rapport analyse les répercussions des changements majeurs apportés par l’Union européenne à ses partenariats internationaux et à sa coopération au développement. En se basant sur les exemples du Kenya et du Cameroun, il souligne que bien que l'UE évolue vers des partenariats internationaux plus larges, la coopération reste, dans la pratique, axée sur le développement. L'étude met en évidence les défis de communication de l'UE et la nécessité d'ajustements.

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  • Date Publication vendredi, 01 décembre 2023
  • Langue Rapport FR
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En provenance d’Ethiopie, le président de la République italienne, Sergio Mattarella, arrive au Cameroun ce 17 mars 2016 en début d’après-midi, a officiellement annoncé le Cabinet civil de la Présidence. Sergio Mattarella ne repartira du Cameroun que dans la matinée du 20 mars, après avoir rempli un programme très dense. Lequel prévoit entre autres articulations, un tête-à-tête avec le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, ce 17 mars dans l’après-midi ; et un dîner d’Etat offert dans la soirée par le couple présidentiel camerounais à son hôte.

En plus de la visite des œuvres de certaines associations caritatives italiennes au Cameroun, le programme du séjour de Sergio Mattarella prévoit une visite à l’Université de Yaoundé I, les deux pays entretenant une coopération de longue date dans le domaine de l’éducation. A ce propos, apprend-on officiellement, la communauté estudiantine camerounaise en Italie, forte de 4000 âmes, «est la première communauté africaine et la cinquième mondiale».

Outre les problématiques à caractère politique qui seront certainement évoquées entre les présidents Biya et Mattarella, à l’instar des exactions de Boko Haram dans l’Extrême-Nord du Cameroun et la question des migrants dont l’Italie est l’un des principaux théâtres en Europe ; cette visite d’Etat du président de la République italienne au Cameroun aura une forte coloration économique.

Renforcement et diversification de la présence italienne

De ce point de vue, il est prévu ce 17 mars 2016 dans l’après-midi, une rencontre entre opérateurs économiques camerounais et italiens dans un hôtel de la capitale. En effet, l’Italie, 9ème fournisseur du Cameroun avec une part de marché équivalente à 3,3%, veut renforcer sa présence économique dans ce pays de l’Afrique centrale. A ce propos, les sociétés italiennes Italferr, active dans la construction des chemins de fer, et Iveco, un constructeur de véhicules basé à Turin ; viennent de signifier au gouvernement camerounais leur intérêt pour le secteur des transports.

Mais, par-dessus tout, l’arrivée de Sergio Mattarella au Cameroun pourrait être une occasion idoine pour accélérer ou boucler certains projets en cours de négociation entre opérateurs économiques italiens et les autorités camerounaises. Il s’agit principalement de la construction d’un stade de 60 000 places dans la banlieue de la ville de Yaoundé par la société Piccini ; ou encore du projet immobilier de la société Pizzarotti, qui ambitionne de construire 10 000 logements au Cameroun.

Autant de projets qui permettront à l’Italie de diversifier sa présence au Cameroun, laquelle est actuellement plus visible dans le secteur de l’exploitation forestière ; l’agro-alimentaire, avec le chocolatier Ferrero qui a installé une usine à Yaoundé ; ou encore dans la pneumatique, grâce à la société Pirelli.

Brice R. Mbodiam

 

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Dans cet entretien, qui sera publié en intégralité dans le magazine Investir au Cameroun à paraître au mois de décembre 2015, l’ambassadeur de Tunisie dévoile les ambitions des entreprises tunisiennes pour le Cameroun.

Les laboratoires tunisiens Teriak vont relancer la production du laboratoire camerounais Cinpharm à Douala, dont ils ont pris le contrôle. Quelle expérience la Tunisie pourrait-elle apporter au Cameroun dans ce domaine ?

Les Laboratoires Teriak, filiale du groupe "Kilani", qui est un acteur majeur de l'industrie pharmaceutique tunisienne, a déjà posé pied au Cameroun en investissant dans deux grands projets à Douala. Le premier d’ordre industriel, en rachetant l’usine de production de produits pharmaceutiques Cinpharm. Et le deuxième à vocation commerciale, en investissant dans une unité de commercialisation de produits cosmétiques. Ces deux unités seront inaugurées sous peu.

Donc, l’implantation industrielle et commerciale de Teriak au Cameroun n’est pas une perspective, mais bel et bien une réalité. Et je crois savoir que ses responsables ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Une réflexion est menée sur d’autres projets, au Cameroun ou dans la sous-région, dans les secteurs de la production et la distribution de produits pharmaceutiques ainsi qu’au niveau de la promotion médicale. Déjà, le groupe projette de mettre en place, à terme, une deuxième unité de commercialisation de produits cosmétiques à Yaoundé.

Les investissements du groupe "Kilani" ont donc ouvert la voie, ce qui est de nature à inciter d’autres entreprises tunisiennes à s’installer au Cameroun et à investir en coopération avec des partenaires camerounais. Dans le même secteur ou dans d’autres, l’éventail des possibilités sectorielles étant large.

L’on constate que les entreprises tunisiennes actives dans le domaine de la santé s’intéressent de plus en plus au Cameroun depuis ces deux dernières années. Votre première sortie officielle en tant qu’ambassadeur au Cameroun a d’ailleurs été lors des journées professionnelles de la santé que votre pays organisait au Cameroun. Qu’est-ce qui, d’après vous, explique cet attrait des professionnels tunisiens de la santé pour le Cameroun ?

En organisant "les journées professionnelles tunisiennes dans le domaine de la santé au Cameroun", en juin 2015 respectivement à Yaoundé et Douala, l’objectif a consisté à identifier les opportunités de coopération, d’établir un cadre de partenariat entre les professionnels tunisiens et camerounais de la santé et de conclure des accords de commercialisation de services, d’équipements et de produits, dans l’intérêt réciproque des deux parties.

Il a été question aussi d’explorer les opportunités d’investissement, de favoriser l’échange d’expériences, de prospecter de nouvelles pistes de coopération mutuellement avantageuses et d’examiner les possibilités de formation, de recyclage et de perfectionnement pour les étudiants et jeunes médecins camerounais, et de mettre l’expertise et le savoir-faire de la Tunisie en matière de soins médicaux à la disposition du Cameroun.

Le principal objectif étant d’installer, dans la durée, une plateforme de coopération et de partenariat entre les professionnels et les établissements tunisiens et camerounais opérant dans le secteur de la santé. En tout cas, rien que le fait que les professionnels des deux pays se rencontrent est déjà un palier franchi. On ne peut pas parler de coopération sans un premier contact. Ce qui a été fait et bien fait. Il revient maintenant aux professionnels de transformer l’essai et concrétiser sur le terrain. Donc, la mission a balisé la voie, ce qui est un succès en soi.

Quelles sont les actions que vous menez pour que les entreprises de votre pays investissent au Cameroun ? A ce jour, quelles sont les principales entreprises de votre pays (grandes et PME) qui investissent au Cameroun ?

A part les investissements du groupe "Kilani", dont je parlais plus haut, et les bureaux d’étude tunisiens implantés au Cameroun, il y a lieu de reconnaitre que l’éventail des investisseurs tunisiens n’est pas vraiment étoffé, pour ne pas dire qu’il est au-dessous des opportunités qu’offre le marché camerounais.  

La présence industrielle tunisienne au Cameroun gagnerait à être accrue. Il faut garder à l’esprit que pour tout investissement, il n’y a pas vraiment de secret. Tout est question de capacité d’investissement, d’opportunité, de partenariat et d’environnement d’affaires. Peut-être que les investisseurs potentiels tunisiens ont manqué de moyens ou d’opportunités ou de partenaires, vraiment engagés à collaborer.

Mais, les lignes commencent à bouger. Outre les laboratoires Teriak, je sais que certaines sociétés tunisiennes comptent investir dans le domaine de la santé et des soins médicaux, à travers la construction de cliniques, polycliniques et unités de soins, surtout si les partenaires camerounais sont disponibles et bien disposés à s’associer. Aussi, d’autres investisseurs sont en cours de réflexion sur des projets de partenariat et de joint-ventures dans les secteurs de l’agroalimentaire et du tourisme. Tout cela pour dire que la situation commence à évoluer.

Entretien mené par Beaugas Orain-Djoyum

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Comme on pouvait s’y attendre, la lutte contre Boko Haram a été au cœur de la visite que le chef de l’Etat nigérian, Muhammadu Buhari, achève au Cameroun ce 30 juillet 2015. «Monsieur le Président, au moment où nous vous accueillons, un nuage sombre plane au-dessus de nos pays. Un même danger nous menace et risque d’ébranler les fondements de nos Nations. Ce danger a pour nom, Boko Haram», a indiqué le Président Biya le 29 juillet 2015 à Yaoundé, à l’occasion du toast qu’il a prononcé lors du dîner d’Etat offert à l’hôte du Cameroun.

Selon le chef de l’Etat camerounais, l’on ne peut «pas laisser cette gangrène prospérer», ce d’autant que les conséquences des exactions de Boko Haram au Cameroun et au Nigéria sont fâcheuses. «Ses crimes compromettent la paix sociale autour du Lac Tchad et particulièrement dans nos deux pays. Les morts et autres victimes se multiplient. Les activités économiques se crispent dans les zones perturbées, le nombre de réfugiés et de déplacés ne cesse de s’accroître (…) Nous devons mutualiser nos moyens, conjuguer nos forces, partager nos expériences. Je sais votre détermination à mettre un terme, sur le sol nigérian, aux activités de Boko Haram et à coopérer avec les autres pays touchés. Je salue donc à leur juste valeur vos initiatives sur le sujet», a indiqué Paul Biya, en s’adressant à son homologue nigérian.

Répondant au toast de son homologue camerounais, le chef de l’Etat nigérian, Muhammadu Buhari, a une nouvelle fois dit sa détermination à éradiquer Boko Haram du Nigeria, pays dans le lequel cette secte islamiste a tué des milliers de personnes depuis 2009. Comme à Ndjamena, au Tchad, où il avait déjà souligné la nécessité d’une stratégie concertée pour combattre Boko Haram, le Président Buhari a, une nouvelle fois dans la capitale camerounaise, dit sa disponibilité à coopérer pleinement avec les autres pays dans lesquels les exactions de Boko Haram sèment la désolation.

A l’analyse, cette première visite du chef de l’Etat nigérian au Cameroun pourrait déboucher sur des résolutions telles que le renforcement de la coopération entre les forces de défense camerounaise et nigériane le long de la frontière de 1500 Km que partagent le Nigeria et le Cameroun, ou encore la reconnaissance du droit de poursuite, qui donnerait alors aux forces de défense des deux Etats la possibilité de pourchasser les adeptes de Boko Haram sur les deux territoires.

BRM

 

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L’Algérie veut redynamiser sa coopération économique avec le Cameroun, en organisant entre mars et avril 2016 à Douala, des journées économiques algériennes, a-t-on appris le 10 juillet 2015 à l’occasion d’une audience accordée par le gouverneur de la région du Littoral à Merzak Bedjaoui, l’ambassadeur d’Algérie au Cameroun.

Selon le diplomate algérien, le Cameroun à beaucoup à gagner de l’expertise algérienne dans les secteurs de l’eau, de l’énergie, des transports, des logements sociaux, de l’approvisionnement du pays en gaz butane ou encore des travaux publics ; qui sont autant de secteurs dans lesquels les opérateurs économiques algériens entendent faire des propositions à leurs homologues et aux pouvoirs publics camerounais.

Ces journées économiques algériennes à Douala devraient coïncider avec l’ouverture annoncée par Air Algérie, des lignes de transport aérien reliant Alger à Douala et Yaoundé, les deux principales villes camerounaises.

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