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Yaoundé - 04 mai 2024 -

Du 9 au 23 décembre 2013, les investisseurs de tout bord sont invités à souscrire au second appel public à l’épargne de l’histoire des finances publiques camerounaises, après celui de 200 milliards de francs Cfa lancé en 2010.

Cette opération de lever de fonds qui se déroule à la Douala Stock Exchange (DSX), la bourse des valeurs mobilières du Cameroun, est dénommée «ECMR 5,9% net 2013-2018». Traduction : les fonds ainsi prêtés à l’Etat du Cameroun seront remboursés en 2018 (au bout de 5 ans), à un taux d’intérêt annuel de 5,9%.

Ainsi que l’a révélé l’agence Ecofin il y a quelques semaines, ce nouvel emprunt obligataire porte sur la somme de 50 milliards de francs Cfa et a été arrangé par SCB Cameroun, la filiale locale du groupe marocain Attijariwaffa Bank.

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De sources autorisées, l’agence Ecofin a appris que la Société commerciale de banque (Scb Cameroun), filiale de la Marocaine Attijariwafa Bank, a été retenue comme arrangeur d’un emprunt obligataire que l’Etat du Cameroun lancera au mois de décembre 2013 à la Douala Stock Exchange (DSX).

Cet appel public à l’épargne, le second de l’histoire des finances publiques camerounaises après celui de 200 milliards de francs Cfa bouclé en 15 jours en 2010, se fera, apprend-on, au taux de 5,9%. L’arrangeur s’emploie actuellement a constitué le syndicat de placement.

L’on se rappelle que le ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey, a signé le 16 septembre 2013 une décision portant création, organisation et fonctionnement d’un Comité de pilotage de l’emprunt obligataire de l’Etat, au titre de l’exercice budgétaire 2013.

Ce Comité, selon le document dont l’agence Ecofin a pris connaissance, avait pour missions principales la validation du projet de dossier d’appel d’offres pour le recrutement d’un ou plusieurs Prestataires de services d’investissement (PSI) devant accompagner l’Etat dans cette opération de lever de fonds. Autre mission : la préparation et la mise à disposition des informations nécessaires à la confection de la note d’information exigée pour cet appel public à l’épargne.

Au demeurant, en levant 50 milliards de francs Cfa à la DSX, l’Etat du Cameroun est toujours en dessous de ses objectifs d’émissions d’obligations pour le compte de l’exercice budgétaire 2013. En effet, sur les 150 milliards de francs Cfa autorisés par la loi des finaances, le gouvernement n’a déjà mobilisé que la somme de 25 milliards de francs Cfa par émissions d’obligations sur le marché des titres publics de la BEAC.

Avec la mobilisation annoncée de 50 milliards de francs Cfa à la DSX, l’on sera rendu à 75 milliards de francs Cfa seulement. De quoi donner raison au FMI qui, dans son dernier rapport sur le Cameroun, prédisait que le gouvernement ne respectera pas ses prévisions démissions de titres publics en 2013.

Brice R. Mbodiam

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«Le second semestre 2013 devrait être plus difficile que le premier. Sur le marché de l’huile de palme, même si les prix sont maintenus, la baisse habituelle de la production en fin d’année ne permet pas d’envisager une activité aussi soutenue qu’au premier semestre. Concernant le caoutchouc, une incertitude demeure sur l’évolution des prix internationaux qui semblent suivre une tendance baissière». C’est ainsi que Yanick Vernet, le Dg de la Société africaine forestière et agricole du Cameroun (SAFACAM), projette cette entreprise agro-industrielle à la fin du second semestre 2013.

Pourtant, révèle le compte rendu des activités de cette société cotée à la Douala Stock Exchange (DSX), et dont l’agence Ecofin a pu obtenir copie, le premier semestre 2013 au sein de SAFACAM a été marqué par des résultats plutôt satisfaisants.

En effet, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires en progression de 20%, passant de 6,4 milliards de francs Cfa au 30 juin 2012 à 7,8 milliards de francs Cfa au premier semestre 2013. Cette performance, renseigne-t-on à SAFACAM, est la conséquence «de meilleures productions en début d’année».

La même évolution vers la hausse est observée sur le résultat des activités ordinaires, qui s’est établi à 3,8 milliards de francs Cfa au premier semestre 2013, contre 3,4 milliards de francs Cfa sur la même période l’année dernière. Soit une hausse de 12%.

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Le chiffre d’affaires de la Société camerounaise de palmeraies (SOCAPALM), entreprise cotée à la Douala Stock Exchange (DSX), a culminé à 28,3 milliards de francs Cfa au premier semestre 2013, selon des statistiques que vient de publier cette agro-industrie, et dont l’agence Ecofin a eu copie.

Ce chiffre d’affaires, précise les commissaires aux comptes de l’entreprise, est en hausse d’un peu plus de 4 milliards de francs Cfa (+18%) par rapport à la même période en 2012, où ledit chiffre s’était établi à 24 milliards de franc s Cfa.

Cette croissance de son chiffre d’affaires, la SOCAPALM l’explique par «une augmentation de la production et de l’achat des régimes (respectivement +22% et +14%) et, par voie de conséquence, une progression de la production d’huile de palme brut (+19%) et d’amandes de palmistes (+17%)». 

«Nous prévoyons de vendre, en 2013, l’intégralité de notre production et notre chiffre d’affaires annuel devrait être proche de 41 milliards de francs Cfa», souligne la SOCAPALM, qui table également sur un résultat net avant impôts de 7,5 milliards de francs Cfa à fin décembre 2013. Soit environ 1,5 milliard de francs Cfa en moins qu’au 30 juin 2013 (8,9 milliards de FCfa), à cause, précise-t-on à la SOCAPALM, «d’une production plus faible au courant du 2ème semestre» en cours.

 

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De sources sûres, l’agence Ecofin a appris que le ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey (Photo), a signé le 16 septembre 2013, une décision portant création, organisation et fonctionnement d’un Comité de pilotage de l’emprunt obligataire de l’Etat, au titre de l’exercice budgétaire 2013.

Ce Comité, apprend-on, aura entre autres missions, la validation du projet de dossier d’appel d’offres pour le recrutement d’un ou plusieurs Prestataires de services d’investissement (PSI), devant accompagner l’Etat dans cette opération de lever de fonds. Autre mission : la préparation et la mise à disposition des informations nécessaires à la confection de la note d’information exigée pour cet appel public à l’épargne.

Ces deux détails incitent à croire que le prochain emprunt obligataire de l’Etat du Cameroun, après celui de 200 milliards de francs Cfa lancé et réussi en 2010, va se faire à la Douala Stock Exchange (DSX), la Bourse des valeurs mobilières du Cameroun. Et non sur le marché des titres publics de la BEAC.

D’abord, parce qu’on n’a pas besoin de PSI pour les opérations sur le marché de la BEAC, où opèrent plutôt les Spécialistes en valeurs du Trésor (SVT). Ensuite, parce que pour lever des fonds sur le marché des titres publics de la Banque centrale, l’on n’a pas besoin d’une Note d’information, au sens de la décision prise le 16 septembre 2013 par le ministre Alamine Ousmane Mey.

Enfin, parce que sur les deux premières émissions d’obligations du Trésor de l’année 2013, effectuées sur le marché de la BEAC, les 5 juin et 4 septembre derniers, l’Etat du Cameroun a eu du mal à faire le carton plein des 30 milliards de francs Cfa sollicités. Et n’a récolté que 25 milliards de francs Cfa, au total.

Sur le montant de cette opération, l’on peut envisager une opération portant sur 125 milliards de francs Cfa, même si certaines sources au ministère des Finances parlent de 70 milliards de francs Cfa seulement. En effet, la loi des Finances de 2013 prévoit des emprunts obligataires pour un montant total de 150 milliards de francs Cfa.

Or, rendu à trois mois de la fin de l’exercice budgétaire 2013, l’Etat du Cameroun n’a pu récolter que 25 milliards de francs Cfa, par émissions d’obligations sur le marché des titres publics de la BEAC. Mathématiquement, il reste donc 125 milliards de francs Cfa à lever pour combler le déficit budgétaire, selon les termes de la loi des Finances de 2013.

Comme en 2010, et au regard de certaines contingences (recrutement par appel d’offres d’un arrangeur et des PSI, attente du décret du chef de l’Etat habilitant le ministre des Finances à lancer cette opération, l’organisation de la campagne de communication autour de l’opération en direction du public des investisseurs…), il y a fort à parier que ce 2ème appel public à l’épargne lancé à la DSX par l’Etat du Cameroun, va se dérouler au mois de décembre 2013.

BRM

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«L’existence et la vivacité d’une place boursière dépendent de facteurs fondamentaux qui sont l’offre et la demande de titres, la qualité de la gouvernance et la régulation. Si on peut dire que la demande des titres est réelle, l’offre, elle, est inexistante. Quand à la gouvernance d’entreprise, elle est quelque peu hasardeuse et les conditions d’accès à la DSX sont prohibitives, certainement du fait même de cette gouvernance». Telles sont, selon le président de la Commission des marchés financiers, Chief Edjangué, les raisons pour lesquelles la bourse de Douala ne parvient pas à décoller, 12 ans après sa création.

Pour mémoire, la DSX a été créée par les autorités camerounaises en 2001, au sortir d’un sommet des chefs d’Etats de la CEMAC tenue à Ndjamena, au terme duquel Libreville avait été préféré à Douala, pour abriter le siège de la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale alors en gestation.

Cependant, depuis le lancement des activités de la bourse du Cameroun en 2006 avec l’arrivée à sa cote de la Société des eaux minérales du Cameroun (SEMC), la DSX cote seulement trois lignes d’actions (SEMC, SAFACAM et SOCAPALM) et trois lignes d’obligations (Etat du Cameroun, BDEAC et SFI). En 12 ans d’existence et 7 ans de fonctionnement effectif.

Au mois d’août 2013, le régulateur qu’est la CMF a sanctionné la DSX au payement d’une amende pécuniaire, pour avoir joué un rôle qui n’est pas le sien (PSI) dans l’emprunt obligataire de 200 milliards de Franc Cfa de l’Etat du Cameroun. C’était en décembre 2010

BRM

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La Douala Stock Exchange (DSX), la Bourse des valeurs mobilières du Cameroun, et la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC), basée à Libreville, au Gabon, devraient être unifiées d’ici à 2015-2016.

La révélation est faite par Chief Edjangué, le président de la Commission des marchés financiers (CMF), le régulateur du marché boursier camerounais, dans une interview accordée au quotidien gouvernemental, Cameroon Tribune.

«On peut et on doit même parler, non plus de rapprochement des deux places boursières, mais de leur intégration, qui constitue l’étape ultime d’un rapprochement. C’est la voie de cette intégration que nous avons tracée en mai 2012 avec le leadership de la COSUMAF (régulateur du marché de Libreville), en mettant en place un schéma et une feuille de route dont le suivi par les différentes parties prenantes devait aboutir en 2015-2016, à l’émergence d’infrastructures et d’institutions du marché unifiées, avec un régulateur unique», a-t-il confié au journal à capitaux publics.

En rappel, la BVMAC et la DSX, à travers leurs régulateurs respectifs (COSUMAF et CMF), se livrent une bataille depuis des années. Généralement, cette guerre larvée prend la forme de communiqués invitant tantôt les investisseurs à ne pas souscrire à une opération lancée sur la place de Libreville, tantôt réaffirmant la supranationalité de la COSUMAF, et par conséquent sa prépondérance sur la CMF en matière d’octroi de visas pour les opérations en bourse sur toute l’étendue de la région Afrique centrale.

BRM

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La filiale camerounaise du groupe Attijariwafa Bank, SCB Cameroun, a été choisie par l’Etat tchadien comme co-arrangeur d’un emprunt obligataire de 85 milliards de francs Cfa, que le Tchad s’apprête à lancer conjointement à la Douala Stock Exchange (Dsx), la bourse des valeurs mobilières du Cameroun, et à la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac), basée à Libreville au Gabon.

Selon les informations de l’agence Ecofin, la SCB Cameroun est également tête de file du syndicat de placement qu’elle va s’atteler à constituer pour la réalisation de cette opération de levée de fonds sur le marché financier camerounais, tandis que la Gabonaise BGFI Bourse est co-arrangeur et tête de file du syndicat de placement de cet emprunt obligataire sur le marché de l’Afrique centrale (Bvmac).

Les 85 milliards de francs Cfa recherchés par l’Etat tchadien à travers cet appel public à l’épargne, apprend-on de sources autorisées, vont permettre de compléter l’enveloppe de 250 milliards de francs Cfa nécessaires pour la construction de la Cité des affaires de N’djaména, la capitale politique du Tchad.

Avant le Tchad, la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (Bdeac) et la Société financière internationale (Sfi), avaient déjà refusé de prendre un parti (en opérant un choix entre les deux marchés) dans la guerre larvée que se livrent la Bvmac et la Dsx, les deux marchés financiers qui existent dans la zone Cemac.


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Chief Théodore Edjangué, le président de la Commission des marchés financiers (Cmf), l’organe de régulation de la Douala Stock Exchange (Dsx), la bourse des valeurs mobilières du Cameroun, vient de semer la confusion dans le landernau du marché des capitaux au Cameroun. En effet, le 3 août dernier, le président de la Cmf a rendu publique une série de communiqués sanctionnant sept banques pour perception de commissions injustifiées lors de l’opération de lancement du tout premier emprunt obligataire de l’Etat du Cameroun (200 milliards de francs Cfa) en 2010.

Mais, Chief Edjangué précisait cependant dans ces communiqués que la Cmf a décidé de «ne pas prononcer la restitution à l’Etat des sommes indûment perçues… » au regard du « faible niveau d’ »activité sur le marché financier camerounais ».

Cependant, dans une interview qu’il vient d’accorder au quotidien gouvernemental Cameroon Tribune à l’effet d’expliquer le bien fondé de ces sanctions qui interviennent 3 ans après le bouclage de l’emprunt obligataire de 2010, le président de la Cmf rame à contre courant du contenu des communiqués sanctionnant les parties prenantes à cette opération de levée de fonds. «L’action de la Cmf a pu empêcher que l’Etat verse à certains de ces acteurs des sommes injustifiées, alors qu’il était à deux doigts de le faire», affirme par exemple le président de la Cmf qui ajoute : «La Cmf a également amené ces acteurs à restituer à l’Etat une partie des sommes qu’ils avaient indûment perçues».

En rappel, dans les communiqués que les propos du président de la Cmf semblent aujourd’hui contredire, Afriland First Bank, Sgbc, Bicec, Scb Cameroun, Citibank, Banque Atlantique et UBA qui avait joué soit le rôle d’arrangeur de l’opération ou alors celui de Prestataire de services d’investissements (Psi) avaient été sanctionnés pour avoir injustement perçues la somme totale de 2,5 milliards de francs Cfa. Somme qui représentait les commissions de placement, alors que certains placements que la Cmf appellent plutôt « investissements» avaient été «réalisés pour compte propre».


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Le président de la République du Cameroun, Paul Biya, par décret présidentiel, vient de nommé Elung Paul Ché au poste de directeur général de la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (CSPH). Cet inspecteur du Trésor diplômé de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature remplace Ibrahim Talba Malla, nommé au poste de DG de la Sonara depuis le 15 février 2013.

A 46 ans, Elung Paul Ché revient ainsi aux affaires après son limogeage du poste de directeur général du Trésor au Ministère des finances intervenu en 2010 alors qu’il était en mission au Canada. Il avait été promu à ce poste en 2008. Mais avant de devenir le second Directeur général du Trésor de l’histoire du Cameroun, Elung Paul Ché a assumé les fonctions de Trésorier payeur général du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.

Avant sa nomination à la tête de la CSPH, Elung Paul Ché était également administrateur de la DSX, la bourse des valeurs mobilières du Cameroun.

 

Published in Energie
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