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Yaoundé - 04 mai 2024 -

Dans son projet de loi de finances 2015 soumis à l’approbation des députés camerounais, le gouvernement projette des émissions de titres publics sur le marché des capitaux, pour un montant de 380 milliards de francs Cfa. Soit 130 milliards de francs Cfa de plus qu’au cours de l’année 2014, au terme de laquelle obligations et bons du Trésor ont été émis pour un montant total de 250 milliards de francs Cfa.

La hausse significative de ces financements alternatifs tient certainement du succès remporté par les titres publics camerounais, aussi bien sur le marché des titres de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), qu’à la Douala Stock Exchange (DSX), la bourse des valeurs mobilières du pays.

En effet, tout au long de l’année 2014, le Trésor public camerounais, principal animateur du marché de la BEAC depuis 2011, a battu des records de souscriptions, atteignant même des taux de 500%. Mais globalement, toutes les émissions de titres camerounais sur ce marché cette année, se sont achevées avec un taux de souscription moyen de 300%, précise la Direction générale du Trésor.

A la DSX, l’emprunt obligataire de l’Etat camerounais de 2013 s’est soldé par une sursouscription de 30 milliards de francs Cfa, le Trésor public ayant finalement reçu 80 milliards de francs Cfa alors qu’il ne sollicitait que 50 milliards de francs Cfa. En 2010, pour le tout premier appel public à l’épargne de son histoire, le Cameroun avait réussi à mobiliser 203 milliards de francs Cfa en 15 jours, sur les 200 milliards sollicités.

L’augmentation du montant a recherché en 2015 sur le marché des capitaux peut aussi s’expliquer par la fin, en 2015, des remboursements de l’emprunt obligataire 2010-2015 de 200 milliards de francs Cfa. A fin 2014, l’Etat aura remboursé plus de 80% de cet emprunt, et dispose donc d’une bonne marge de manœuvre pour s’endetter davantage sur le marché des capitaux cette année, pour continuer à financer ses projets de développement.

BRM

 

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La Société camerounaise des palmeraies (Socaplam), entreprise cotée à la Bourse des valeurs mobilières de Douala (DSX), a enregistré une baisse de son chiffre d’affaires de 5,1 milliards de francs Cfa au premier semestre 2014, soit 18% par rapport à la même période l’année dernière.

Dans le même temps, révèlent les états financiers à mi-parcours de la Socapalm, le résultat des activités ordinaires de l’entreprise a plongé de 25%. Cependant, le résultat net après impôts, lui, se situe à 5,2 milliards de francs Cfa à fin juin 2014, soit 400 millions de francs Cfa en dessous des 5,6 milliards de francs Cfa enregistrés à fin juin 2013.

A l’origine de ces contre-performances, expliquent les commissaires aux comptes de l’entreprise, le report des ventes d’huile de palme au second semestre 2014, «alors que dans le même temps, on assiste à une légère augmentation de la production de l’huile de palme brute (+1,4%) et d’amandes de palmistes (+4,7%)».

Aussi, l’entreprise agro-industrielle se veut-elle optimiste pour la fin de l’exercice 2014, au terme de laquelle la Socapalm projette «la vente de la totalité de la production». Celle-ci devrait augmenter de 11% par rapport à l’année dernière, pour un chiffre d’affaires final qui devrait avoisiner 46 milliards de francs Cfa, contre des projections de 41 milliards de francs Cfa à la même période l’année dernière, projette-t-on à la Socapalm.

 

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Après une année 2013 catastrophique, caractérisée par une perte sèche de 319 millions de francs Cfa enregistrée en fin d’exercice, la Société des eaux minérales du Cameroun (Semc) a renoué avec les bénéfices au premier semestre 2014, en enregistrant un résultat net de 36,7 millions de francs Cfa, annonce l’entreprise dans un communiqué.

Selon les états financiers de cette société, la toute première à être cotée à la bourse des valeurs mobilières de Douala (DSX), le marché financier camerounais, ce résultat positif est lui-même consécutif à l’augmentation du chiffre d’affaires de la Semc de 10% sur la période considérée, lequel indicateur est passé de 4,2 milliards de francs Cfa au 30 juin 2013, à 4,9 milliards de francs Cfa au 30 juin 2014.

A l’origine de cette augmentation d’environ 700 millions de francs Cfa sur son chiffre d’affaires, expliquent les financiers de l’entreprise, «la hausse du niveau d’activité, due au lancement de la promotion sur le format 1,5 litre (bouteille d’eau minérale Tangui) et aux ventes à l’exportation».

Bien que des «difficultés temporaires» soient survenues dans «la production des eaux aromatisées», la Semc, filiale des Brasseries du Cameroun (Sabc), spécialisée dans la production de l’eau minérale de marque Tangui, envisage déjà le second semestre 2014 avec «optimisme». Ceci, apprend-on, à cause du «lancement réussi de nouveaux formats bidons de 5 et 10 litres»

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L’emprunt obligataire de 150 milliards de francs Cfa que l’Etat du Cameroun lancera dans les tout prochains jours à la bourse des valeurs mobilières de Douala (DSX), sera frappé d’un taux d’intérêt annuel de 5,5% au bénéfice des souscripteurs, et sera remboursé au bout de 5 ans, révèle une source proche du dossier.

Ce taux d’intérêt est le plus bas des trois appels publics à l’épargne lancés par l’Etat camerounais depuis 2010. En effet, pour son tout premier emprunt obligataire de l’histoire en décembre 2010 (200 milliards de francs Cfa), l’Etat du Cameroun avait proposé aux souscripteurs un taux d’intérêt de 5,6%, contre 5,9% pour l’emprunt de décembre 2013 (50 milliards de FCfa).

En abaissant ainsi le taux d’intérêt pour sa 3ème opération d’envergure sur le marché des capitaux, peut-on analyser, l’Etat du Cameroun tire logiquement les leçons de l’engouement que ne cessent de manifester les investisseurs pour ses obligations du Trésor.

Pour preuve, alors que l’Etat sollicitait seulement 50 milliards de francs Cfa pour son emprunt de décembre 2013, les investisseurs avaient servi jusqu’à 80 milliards de francs Cfa. En 2010 déjà, pour l’opération inaugurale, sur une enveloppe de 200 milliards de francs Cfa escomptée, 203 milliards de francs Cfa avaient été finalement mobilisés.

Arrangé par la CSB Cameroun, la filiale du groupe bancaire marocain Attijariwafa, l’appel public à l’épargne que le Cameroun s’apprête a lancé était initialement prévu pour juin 2014, mais a dû être reporté à ce mois d’octobre, officiellement pour absence de projets matures à financer.

 

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La Société commerciale de banque (SCB Cameroun) arrange actuellement un emprunt obligataire d’un montant de 150 milliards de francs Cfa, pour le compte de l’Etat du Cameroun, laquelle opération de levée de fonds sera officiellement lancée au mois d’octobre 2014, a-t-on appris de sources proches du dossier.

Au terme d’un appel d’offres lancé en juillet dernier, apprend-on, la filiale du groupe bancaire marocain Attijariwafa a été retenue comme arrangeur de ce nouvel appel public à l’épargne, en devançant un consortium de banques conduit par Ecobank Cameroun.

C’est la seconde opération de ce type que l’Etat camerounais confie à la SCB en un an, après l’emprunt de 50 milliards de francs Cfa arrangé l’année dernière, et qui a connu un franc succès, atteignant 80 milliards de francs Cfa de souscriptions totales.

Toujours l’année dernière, la SCB Cameroun a arrangé l’emprunt obligataire de 85 milliards de francs Cfa pour le compte de l’Etat du Tchad, afin de boucler le financement nécessaire pour la construction de la cité des affaires de Ndjamena, la capitale politique tchadienne.

Le nouvel appel public à l’épargne qu’arrange la SCB Cameroun, est en droite ligne des recommandations du budget 2014 de l’Etat du Cameroun, qui prévoit la mobilisation de 180 milliards de francs Cfa par émission d’obligations du Trésor.

Après les 10 milliards de francs Cfa mobilisés sur le marché des titres publics de la BEAC en août dernier, et les 150 milliards de francs CFa que le Trésor public s’apprête à lever à la Douala Stock Exchange (DSX), le gouvernement camerounais dispose encore d’une marge de manœuvre sur 20 milliards de francs Cfa.

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La Compagnie du Cambodge, entreprise du groupe Bolloré, qui détenait jusqu’ici 20,32% des actions de la Société anonyme forestière et agricole du Cameroun (SAFACAM), a cédé ses actifs (en conservant une seule de ses 84 127 actions, ce qui lui permet de continuer à siéger au Conseil d’administration) à la Française SAFA, maison-mère de SAFACAM, également contrôlée par l’industriel Vincent Bolloré (photo), a annoncé le groupe éponyme dans un communiqué.

A la suite de ce reclassement des titres du groupe Bolloré, SAFA conforte sa position d’actionnaire majoritaire de SAFACAM avec désormais «68,93% du capital social et des droits de vote», tandis que la participation totale du groupe lui-même dans cette entreprise agro-industrielle cotée à la Douala Stock Exchange (DSX), demeure inchangée.

Cette transaction, dont les motivations n’ont pas été précisées par le groupe Bolloré, apprend-on, a eu lieu le 4 juin 2014. «L’opération a été réalisée hors marché et a fait franchir à SAFA, à la hausse, les seuils de 50% et de 66,57% du capital et des droits de vote de SAFACAM, et à la Compagnie du Cambodge, à la baisse, les seuils de 20%, 10% et 5%. Pour les 12 mois à venir, SAFA n’envisage pas d’opération sur les titres SAFACAM (…) et n’a pas l’intention de demander la radiation de SAFACAM de la cote», indique le communiqué susmentionné.

SAFACAM exploite environ 6000 hectares de palmiers à huile et d’hévéa dans le département de la Sanaga maritime, région du Littoral du Cameroun. Selon les états financiers rendus publics par l’entreprise en mai 2014, son résultat net comptable à fin 2013 a dégringolé de près de 40%, pour se situer à 2,871 milliards de francs Cfa, contre 4,363 milliards de francs Cfa l’année précédente.

BRM 

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Le Fonds africain de Garantie et de Coopération économique (FAGACE) a organisé le lundi 10 juin 2014 à Douala, la capitale économique camerounaise, une communication financière à l'endroit des investisseurs souhaitant souscrire à son emprunt obligataire 5,25% 2014-2019, dont les détails sont aujourd'hui disponibles.

On sait désormais que l'arrangeur de l'opération est La Financière, une société de bourse basée en République du Congo et dirigée par Innoncent Dimi, un ancien de BNI Finance à Abidjan. Le fonds d'investissement camerounais Cenainvest est le Co Chef de file et les deux institutions seront accompagnées par un syndicat de placement conduit par Afriland First Bank, Commercial Bank of Cameroon et EDC Investment Corporation.

Comme récemment annoncé par l’agence Ecofin, l'emprunt d'un montant de 40 milliards de francs Cfa sera coté sur la Douala Stock Exchange (DSX) et la Bourse des Valeurs mobilières d'Afrique Centrale (BVMAC). On apprend aussi que, pour ce premier emprunt réalisé par le Fagace, le produit de la collecte des fonds servira à financer un certains nombre de projets privés, dont quatre ont été clairement identifiés et sont déjà à maturité.

Il s'agit du déploiement de la 4G par Yoomee Africa au Cameroun et au Tchad, du soutien à la mise en place par la société Noha Nyamedjo & Associés (2NSA), d'une usine de transformation de fèves de cacao, du projet d'installation d'une usine de pots par la Congolaise d'Industries et de Commerce, et de la finalisation de l'immeuble siège de Transimex, une entreprise de transit camerounaise avec un rayon d'actions dans la zone CEMAC.

La date de jouissance des titres est fixée le septième  jour ouvré suivant la date de clôture de l’opération. Si cette date n’est pas un jour ouvré, elle sera reportée le jour ouvré suivant et peut être investisseur toute personne physique ou morale résidant ou non dans la zone CEMAC.

Par ailleurs, apprend-on,  les obligations et les intérêts y afférents seront exonérés d’impôts dans les Etats membres du Fagace. Les autres souscripteurs hors Etats membres, sont soumis à la législation fiscale sur les valeurs mobilières en vigueur dans leur pays de résidence au moment du paiement des intérêts et du principal. Les souscriptions sont ouvertes jusqu'au 30 juin prochain.

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Selon un «avis à convocation aux actionnaires» rendu public par l’entreprise, la Société africaine forestière et agricole du Cameroun (Safacam), cotée à la Douala stock Exchange (Dsx), devrait tripler son capital social au terme d’une Assemblée générale mixte convoquée à Douala, la capitale économique du pays, le 12 juin 2014.

A l’issue de cette opération qui se fera par «incorporation de l’intégralité de l’écart de réévaluation et d’une partie du report à nouveau», le capital de cette entreprise agro-industrielle sera porté de 2,070 milliards de francs Cfa à 6,2 milliards de francs Cfa, soit une augmentation de plus de 300%.

En rappel, Safacam, entreprise agro-industrielle qui exploite l’hévéa et le palmier à huile au Cameroun a achevé l’année 2013 sur une performance en forte baisse. En effet, selon les états financiers «non vérifiés» publiés par l’entreprise, le résultat net comptable à fin 2013 a dégringolé de près de 40% à 2,871 milliards de francs Cfa, contre 4,363 milliards de francs Cfa l’année précédente.

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Au cours d’une Assemblée générale mixte convoquée pour le 12 juin 2014 à Douala, le capital de la Société camerounaise de palmeraies (Socapalm) devrait passer à 45,7 milliards de francs Cfa, contre 15,2 milliards de francs Cfa actuellement, soit une augmentation substantielle de 300%, selon un communiqué publié le 21 mai 2014 par cette entreprise agro-industrielle.

Cette augmentation du capital de la Socapalm, apprend-on du communiqué, se fera «par incorporation de l’intégralité de l’écart de réévaluation (10,2 milliards de FCfa), de l’intégralité de la prime d’émission (9,3 milliards de FCfa), de l’intégralité des réserves libres (1,7 milliards de FCfa) et d’une partie du report à nouveau, à hauteur de 9,1 milliards de francs Cfa».

Entreprise cotée à la Douala Stock Exchange (DSX), la bourse du Cameroun, la Socapalm a clôturé l’année 2013 avec un résultat net en hausse de près de 50% par rapport à 2012. En effet, selon les états financiers de l’entreprise, la Socapalm a affiché un bénéfice net d’impôts de 5,167 milliards de francs Cfa en 2013, contre 3,6 milliards de francs Cfa seulement en 2012.

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Première entreprise cotée à la Douala Stock Exchange (Dsx), la bourse des valeurs mobilières du Cameroun, la Société des eaux minérales du Cameroun (Semc), filiale des Brasseries du Cameroun du groupe français Castel, va procéder à une augmentation de son capital social. Ce sera au cours d’une Assemblée générale mixte convoquée pour le 10 juin 2014 dans la ville de Douala, indique un communiqué publié par l’entreprise.

Au terme de cette opération, la Semc affichera désormais, apprend-on, un capital social de 1,924 milliard de francs Cfa, contre 920 millions de francs Cfa actuellement, soit une hausse d’un peu plus de 100%. Cette augmentation se fera par «intégration de la totalité de l’écart de réévaluation et par prélèvement sur les réserves libres» de l’entreprise, explique le communiqué. Concrètement, l’entreprise indique «qu’il sera créé 100 635 actions nouvelles entièrement libérées, qui seront distribuées gratuitement aux actionnaires, au prorata de leurs droits dans le capital social ancien».

Cette recapitalisation intervient alors que cette filiale des Brasseries du Cameroun a achevé l’exercice 2013 avec une perte sèche de plus de 319 millions de francs Cfa, contre un déficit de 50,5 millions de francs Cfa en 2012, selon les états financiers de l’entreprise. Ce qui n’empêchera pas aux actionnaires de distribuer pour 60,7 millions de francs Cfa de dividende (660 FCfa par action) prélevés sur «les réserves libres», pour le compte de l’année 2013.

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