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Yaoundé - 08 mai 2024 -

Zhao Yujian, le président de China Petroleum Pipeline Bureau (CPP), membre du consortium 3PL retenu par l’Etat du Cameroun pour le financement et la construction d’un pipeline long de 355 Km en vue de la distribution des produits pétroliers, achève ce 5 novembre 2015 une visite au Cameroun entamée le 3 novembre dernier.

Selon nos sources, Zhao Yujian est non seulement venu réaffirmer l’engagement de la CPP, filiale de la China national Petroleum Corporation (CNPC), à participer à ce gigantesque projet, mais aussi donner un coup d’accélérateur aux négociations actuellement en cours entre le consortium 3PL et l’Etat du Cameroun.

Long de 355 Km, le premier tronçon de l’oléoduc en question s’étirera sur 110 Km entre la ville pétrolière de Limbé et Douala, la capitale économique ; tandis que le 2ème tronçon s’étendra sur 70 Km entre Douala et Edéa. Quant au 3ème tronçon, long de 175 Km, il ralliera Yaoundé, la capitale du pays, à partir d’Edéa. Une fois construite, l’infrastructure sera exploitée par 3PL sur une période de 27 ans, avant d’être rétrocédée à l’Etat du Cameroun.

Le coût global de ce projet est estimé à environ 218 milliards de francs Cfa, sous réserve des évaluations définitives. Aussi bien au sein du gouvernement camerounais que du côté de 3PL, l’on s’accorde à dire que la réalisation de cette infrastructure contribuera à baisser les coûts des produits pétroliers sur le territoire camerounais de plus de 20%.

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Les travaux de construction au Cameroun d’un pipeline de 355 Km de long au total débuteront en janvier 2017, par un premier tronçon de 110 Km entre les villes de Limbe, dans la région du Sud-Ouest, et de Douala, la capitale économique du pays située dans la région du Littoral. C’est ce qui ressort du chronogramme des activités de ce projet que le comité de pilotage vient de révéler au gouvernement camerounais.

Après l’oléoduc Douala-Limbé, le consortium 3PL qui conduit ce projet réalisera le pipeline entre les villes de Douala et d’Edéa, sur une distance de 70 Km, puis le plus long tronçon (175 Km) entre Edéa et Yaoundé, la capitale camerounaise.

Pour financer cette infrastructure destinée à transporter les produits pétroliers raffinés, 3PL compte sur un «tour de table des investisseurs originaires de Corée, Suisse, Chine, Russie, Nigeria… Ils apporteront 30% des capitaux. Nous emprunterons le reste auprès des banques», explique Chrysanthus Esunge Longonje, le DGA de 3PL.

Selon Mohammadou Dabo, le PCA du consortium 3PL, le coût global de ce projet est estimé à environ 218 milliards de francs Cfa, sous réserve des évaluations plus affinées. Aussi bien au sein du gouvernement camerounais que du côté de 3PL, l’on s’accorde à dire que la réalisation de cette infrastructure contribuera à baisser les coûts des produits pétroliers sur le territoire camerounais de plus de 20%.

 

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Depuis le 21 juin 2015 dans la matinée, il est impossible pour les populations des trois régions de la partie septentrionale du Cameroun (Nord, Adamaoua et Extrême-Nord), de se connecter à l’Internet ou de passer des coups de fil sur le réseau de la Cameroon telecommunications (Camtel), l’entreprise publique des télécoms et unique opérateur du téléphone fixe dans le pays.

Dans un communiqué signé le 22 juin 2015, l’opérateur historique des télécoms au Cameroun attribue ce bug sur son réseau à une «rupture partielle du câble en fibres optiques sur l’emprise du pipeline (Tchad-Cameroun), entre les régions de l’Est et de l’Adamaoua, à 45 Km de la localité de Kongolo». Selon Camtel, ces perturbations s’étendent jusqu’à «une partie du Tchad voisin».

C’est le énième incident du même type qui survient sur le réseau Camtel, dont certains experts ont souvent dénoncé la manière peu orthodoxe de déployer la fibre optique, qui est souvent enterrée à quelques centimètres seulement du sol à certains endroits.

Dans son communiqué sus-mentionné, l’entreprise des télécoms, qui annonce un retour à la normale «dès la fin des travaux» de réparation, promet par ailleurs d’apporter «une réponse définitive à ce genre d’incidents, très souvent liés à des attaques de rongeurs, des sinistres naturels ou même des actes délibérés d’incivisme».

 

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La Cameroon Oil Transportation Company (Cotco), la société qui gère l’oléoduc Tchad-Cameroun du côté camerounais, vient de récompenser les meilleurs élèves des écoles primaires et du secondaire de l’arrondissement de Nanga-Eboko, dans la région du Centre du pays, a annoncé l’entreprise.

Au total, 864 élèves ont reçu des bons d’achat pour une valeur globale de 22 millions de francs Cfa, afin de leur permettre d’acheter les fournitures scolaires pour la prochaine rentrée. Commentant ce geste de Cotco, le maire de la commune de Nanga-Eboko, Romain Roland Eto, a indiqué que «Cotco est une entreprise capitaliste à visage humain. En ciblant la jeunesse, elle fait un pari sur l’avenir».

Guillaume Kwelle, le Directeur des relations publiques de Cotco, a profité de cette occasion pour réitérer que l’entreprise pétrolière entend «renouveler tous les ans cette action qui pour elle est le symbole de la reconnaissance de l’excellence scolaire». Bien avant Nanga-Eboko cette année, les localités de Kribi, Belabo, Belel, Touboro, Ngoumou et Lolodorf, toutes traversées par le pipeline Tchad-Cameroun, ont déjà bénéficié de cette action de Cotco.

Published in RSE

Le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp) vient d’annoncer que l’Etat du Cameroun a apuré toutes les dettes contractées auprès des bailleurs de fonds internationaux, afin de financer sa contrepartie dans le projet de construction du pipeline Tchad-Cameroun, infrastructure qui s’étire sur 1070 Km entre Komé (Tchad) et Kribi (Cameroun).

Bien que le Cpsp ne précise pas le volume de cette dette, l’on se souvient que dans le cadre de ce projet, l’Etat du Cameroun avait contracté un prêt de 53,4 millions de dollars (environ 27 milliards FCfa) auprès de la BIRD, le guichet non concessionnel du groupe de la banque mondiale, et un autre prêt de 5,7 millions de dollars (environ 3 milliards FCfa) sur les fonds IDA, le guichet concessionnel de la banque mondiale. Au total, cela fait une enveloppe d’environ 30 milliards de francs Cfa, plus les intérêts.

Pour rappel, l’oléoduc Tchad-Cameroun, qui permet d’évacuer le brut tchadien aux fins d’exportation, a été construit entre octobre 2000 et octobre 2003, date de sa mise en service. Cette infrastructure considérée comme étant le plus gros investissement privé en Afrique subsaharienne, a coûté 4,2 milliards de dollars, soit environ 2100 milliards de francs Cfa, majoritairement financé par un consortium de sociétés pétrolières constitué par Exxon Mobil, Petronas et Chevron.

Depuis 12 ans, le Trésor public camerounais a engrangé plusieurs dizaine de milliards de francs Cfa au titre du droit de transit du pétrole tchadien au Cameroun, puisque le pipeline permettant d’évacuer le brut des champs pétroliers tchadien traverse le territoire camerounais sur environ 900 Km. A la demande des autorités camerounaises, et après d’âpres négociations, ce droit de transit a été revalorisé le 29 octobre 2013, passant de 195 francs Cfa (0,41 dollars) le baril, à 618 francs Cfa (1,30 dollars) le baril.

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Le gouvernement camerounais vient de confier à la société française Geocean, basée à Marseille, un marché de 16,4 milliards de francs Cfa, pour la construction d’un pipeline à la Société nationale de raffinage (Sonara), à Limbé, dans la région du Sud-Ouest du pays, a-t-on appris dans un communiqué signé du ministre des Marchés publics, Abba Sadou.

Cette entreprise française n’est pas à sa première expérience au Cameroun, en matière de construction de pipelines sous-marins. En effet, Geocean est intervenu en 2003, apprend-on, sur les travaux de construction de la partie immergée de l’oléoduc Tchad-Cameroun, dans la localité de Kribi, région du Sud.

Au total, Geocean revendique 20 années d’expérience dans la réalisation des travaux sous-marins à travers le monde, notamment au Moyen-Orient et en Afrique, principalement dans des pays tels que la Côte d’Ivoire, le Maroc, l’Angola…

 

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Le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp), structure qui coordonne au plan institutionnel la gestion du pipeline Tchad-Cameroun côté camerounais, vient d’annoncer qu’un nouvel acteur est opérationnel sur cet oléoduc depuis le mois de janvier 2015. Il s’agit, apprend-on, de la China National Petroleum Company (CNPCIC), qui est active dans les champs pétroliers du Tchad.

En l’espace d’un an, China National Petroleum Co est le 2ème nouvel opérateur qui arrive sur le pipeline Tchad-Cameroun, 10 mois seulement après la compagnie canadienne Caracal Energy Inc, en contrat de partage de production sur les blocs Mangara/Badila au Tchad. Caracal Energy avait effectué l’enlèvement de sa première cargaison (950 000 barils) du brut tchadien via le pipeline Tchad-Cameroun le 24 mars 2014.

Les activités de ces nouveaux opérateurs ont occasionné une hausse de 51% des quantités de brut tchadien ayant transité par l’oléoduc Tchad-Cameroun à fin avril 2015. En effet, révèlent les chiffres rendus publics par le Cpsp, 15,76 millions de barils de pétrole tchadien ont été enlevés via cet oléoduc sur la période sus-mentionnée, contre 10,46 millions de barils sur les quatre premiers mois de l’année 2014.

Ces enlèvements du brut tchadien, apprend-on, ont généré au Trésor public camerounais un droit de transit d’un montant total d’un peu plus de 12 milliards de francs Cfa, en hausse de près de 86%, comparé aux 6,5 milliards engrangés sur la même période l’année dernière.

Cette explosion du droit de transit, en plus d’être la conséquence de l’arrivée d’un nouvel expéditeur sur le pipeline, découle davantage de la revalorisation de cette redevance intervenue le 29 octobre 2013. Elle est passé de 195 francs Cfa (0,41 dollars) le baril, à 618 francs Cfa (1,30 dollars) le baril, après d’âpres négociations entre l’Etat du Cameroun et la société COTCO, qui gère l’oléoduc côté camerounais.

BRM

 

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Depuis le 15 février 2015, les caboteurs de la Société nationale de raffinage (Sonara) n’ont pas pu effectuer trois voyages en direction du port de Douala, où sont situées les cuves de la Société camerounaise des dépôts pétroliers (SCDP), à partir desquelles les produits raffinés sont livrés dans huit régions du pays, exception faite des régions de l’Ouest et le Sud-Ouest.

Cette situation qui est mise sur le compte de la congestion ambiante au port de Douala, la plus grande infrastructure portuaire du pays, a officiellement causé un manque à gagner de 6 milliards de francs Cfa à l’unique raffinerie du Cameroun, a-t-on appris le 30 mars dernier à Yaoundé. C’était au cours d’une session du comité de pilotage et de suivi du projet de construction d’un pipeline long de 355 Km, en vue de la distribution des produits pétroliers au Cameroun.

Cet exemple révélé au cours de la première session du comité de pilotage que préside Basile Atangana Kouna, le ministre de l’Energie, est venu remettre au goût du jour l’importance de ce projet d’oléoduc, dont le premier tronçon s’étirera sur 110 Km entre la ville pétrolière de Limbé, et Douala, la capitale économique. Le 2ème tronçon quant à lui s’étendra sur 70 Km entre Douala et Edéa, tandis que le 3ème tronçon, long de 175 Km, ralliera Yaoundé, la capitale du pays, à partir d’Edéa.

Projet d’un montant total de 218 milliards de francs Cfa, ce pipeline devrait non seulement permettre de se départir des aléas tels que la congestion de l’espace portuaire, mais aussi et surtout de réduire considérablement les coûts des transports des produits pétroliers. En effet, selon le document du projet, la construction de cette infrastructure de transport des produits pétroliers va «permettre de réaliser un gain tarifaire de l’ordre de 46% sur le fret maritime entre Limbé et Douala ; de 24% sur le transport moyen par route et chemin de fer, en supposant que le réseau routier représente 35% et le réseau ferroviaire 65% des transports des produits pétroliers entre Douala et Yaoundé ; de réduire de 28% le coût du transport entre Limbé et Douala et entre Douala et Yaoundé».

 

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Victoria Oil & Gas Plc (VOG), détenant le projet de gaz thermique Logbaba au Cameroun, a achevé trois raccordements au gaz thermique après son pari réussi de faire passer sous la rivière Wouri son réseau de distribution pour connecter Bonaberi, la rive industrielle de la ville portuaire Douala.

L’achèvement de ces raccordements, annoncé le 8 décembre, a été aussitôt suivi de la connexion de nouveaux clients à Bonabéri qui représentent un «volume relativement faible mais une étape importante » pour la filiale Gaz du Cameroun (GDC), a commenté Kevin Foo (photo), président de VOG. Le pétro-gazier vient d’ajouter l’industrie textile Sotex de Douala à son réseau, après trois industries alimentaires de Bonaberi qui est « un important nouveau marché pour le gaz », a souligné M. Foo. « Malgré la récente tendance au recul du prix du baril du pétrole, notre gaz demeure la solution énergétique la plus économique et la plus propre pour le secteur industriel de Douala », a –t-il estimé.

La compagnie pétro-gazière, cotée à Londres, s’est imposée sur le marché local via sa filiale Gaz du Cameroun (GDC) en accompagnant les industries dans leur passage du régime du fuel lourd au gaz thermique.

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Le droit de transit du pétrole tchadien sur le territoire camerounais, à travers le pipeline Tchad-Cameroun, a généré des recettes d’un montant total de 17,5 milliards de francs Cfa au Trésor public camerounais, selon le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp), que préside Adolphe Moudiki, par ailleurs ADG de la Société nationale des hydrocarbures (SNH).

Ce montant, apprend-on, est la rente versée au Trésor public camerounais pour le transit de 27,5 millions de barils de pétrole tchadien. A fin octobre 2013, ce même droit de transit avait rapporté seulement 5,8 milliards de francs Cfa, pour le transit de 24,6 millions de barils de brut en provenance des champs pétroliers tchadiens.

Cette explosion du droit de transit est la conséquence de sa revalorisation intervenue le 29 octobre 2013. Il est passé de 195 francs Cfa (0,41 dollars) le baril, à 618 francs Cfa (1,30 dollars) le baril, après d’âpres négociations entre l’Etat du Cameroun et la société COTCO, qui gère l’oléoduc côté camerounais.

 

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