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Yaoundé - 07 mai 2024 -

Le Trésor public camerounais émettra, le 3 septembre 2014, des bons du trésor pour un montant de 10 milliards de francs Cfa, sur le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), annonce, dans un communiqué, le ministre délégué auprès du ministre des Finances, Pierre Titti (photo).

Ces titres de créances de court terme auront une durée de maturité de 26 semaines. Les opérations de souscriptions se déroulent auprès des 13 spécialistes en valeur du Trésor agréés par l’Etat du Cameroun dans la zone CEMAC.

C’est théoriquement la dernière opération du Cameroun sur ce marché des titres publics, pour le compte du 3ème trimestre 2014. Au total, ce sont 50 milliards de francs Cfa, qui ont été mobilisés sur ce marché au cours des trois derniers mois, dont 10 milliards de FCfa par émission d’obligations du Trésor à 2 ans de maturité.

Depuis le début de l’année 2014, l’Etat camerounais enregistre ainsi un sans-faute sur le marché de la BEAC, et s’achemine vers l’atteinte de ses objectifs budgétaires de mobilisation de 100 milliards de francs Cfa cette année, par émission successives de Bons du trésor. Après les 10 milliards récoltés en août dernier par émission d’obligations, un emprunt obligataire de 170 milliards de francs Cfa reste attendu avant la fin de l’exercice budgétaire courant.

 

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Le Fonds africain de Garantie et de Coopération économique (FAGACE) a organisé le lundi 10 juin 2014 à Douala, la capitale économique camerounaise, une communication financière à l'endroit des investisseurs souhaitant souscrire à son emprunt obligataire 5,25% 2014-2019, dont les détails sont aujourd'hui disponibles.

On sait désormais que l'arrangeur de l'opération est La Financière, une société de bourse basée en République du Congo et dirigée par Innoncent Dimi, un ancien de BNI Finance à Abidjan. Le fonds d'investissement camerounais Cenainvest est le Co Chef de file et les deux institutions seront accompagnées par un syndicat de placement conduit par Afriland First Bank, Commercial Bank of Cameroon et EDC Investment Corporation.

Comme récemment annoncé par l’agence Ecofin, l'emprunt d'un montant de 40 milliards de francs Cfa sera coté sur la Douala Stock Exchange (DSX) et la Bourse des Valeurs mobilières d'Afrique Centrale (BVMAC). On apprend aussi que, pour ce premier emprunt réalisé par le Fagace, le produit de la collecte des fonds servira à financer un certains nombre de projets privés, dont quatre ont été clairement identifiés et sont déjà à maturité.

Il s'agit du déploiement de la 4G par Yoomee Africa au Cameroun et au Tchad, du soutien à la mise en place par la société Noha Nyamedjo & Associés (2NSA), d'une usine de transformation de fèves de cacao, du projet d'installation d'une usine de pots par la Congolaise d'Industries et de Commerce, et de la finalisation de l'immeuble siège de Transimex, une entreprise de transit camerounaise avec un rayon d'actions dans la zone CEMAC.

La date de jouissance des titres est fixée le septième  jour ouvré suivant la date de clôture de l’opération. Si cette date n’est pas un jour ouvré, elle sera reportée le jour ouvré suivant et peut être investisseur toute personne physique ou morale résidant ou non dans la zone CEMAC.

Par ailleurs, apprend-on,  les obligations et les intérêts y afférents seront exonérés d’impôts dans les Etats membres du Fagace. Les autres souscripteurs hors Etats membres, sont soumis à la législation fiscale sur les valeurs mobilières en vigueur dans leur pays de résidence au moment du paiement des intérêts et du principal. Les souscriptions sont ouvertes jusqu'au 30 juin prochain.

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Le Trésor public camerounais a de nouveau émis ce 4 juin 2014 sur le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), des bons du Trésor pour un montant total de 10 milliards de francs Cfa, a annoncé la banque centrale dans un communiqué. Ces bons du Trésor, dont les intérêts sont précomptés sur leur valeur nominale, sont d’une durée de maturité de 26 semaines.

Cette première opération de l’Etat du Cameroun sur le marché de la BEAC pour le compte du mois de juin intervient après une séance d’adjudication du 28 mai 2014 largement en dessous des performances réalisées depuis le début de l’année par ces titres publics. En effet, le 28 mai, le taux de souscription des bons du Trésor à 52 semaines émis par l’Etat camerounais a culminé à 203% seulement, contre une moyenne de 400% pour l’ensemble des opérations de levée de fonds effectuées depuis janvier 2014.

Selon le calendrier prévisionnel publié par le gouvernement camerounais, l’opération prévue sur le marché de la BEAC ce 4 juin devrait concerner des obligations du Trésor, d’une durée de maturité de 2 ans. Mais, le Trésor public camerounais a visiblement changé d’avis, certainement à causse de la non maturation des projets devant être financés par ce prêt à moyen terme. Cette absence de projets matures, a-t-on appris au ministère des Finances, a d’ailleurs poussé à différer l’emprunt obligataire de 180 milliards de francs Cfa initialement prévu pour ce mois de juin 2014.

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Finalement, le gouvernement camerounais ne lancera pas un emprunt obligataire de 180 milliards de francs Cfa au mois de juin 2014, comme initialement prévu dans le chronogramme prévisionnel de ses opérations sur le marché financier mis à la disposition de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) en début d’année. «L’opération est renvoyée à plus tard», s’est contentée d’indiquer à l’Agence Ecofin une source autorisée à la Direction générale du Trésor du ministère des Finances.

Pour preuve, rendu à la fin du mois de mai 2014, le comité de pilotage du projet, généralement mis en place plusieurs mois à l’avance par le ministre des Finances, afin d’assurer la préparation de l’opération, n’a pas encore été créé ; de même qu’aucun appel d’offres n’a été lancé jusqu’ici, pour le recrutement d’un arrangeur. A l’origine du différemment de cette opération de levée de fonds, dont personne ne confirme plus si elle aura finalement lieu cette année, «la non maturation des projets destinés à être financés» par ce nouvel appel public à l’épargne, indiquent nos sources.

En 2011, un emprunt obligataire de 150 milliards de FCfa prévu dans la loi des finances avait déjà été abandonné pour les mêmes raisons, avait expliqué le ministre des Finances d’alors, Essimi Menyé. En 2013, certaines sources annonçaient qu’une partie des 200 milliards de francs Cfa mobilisés à l’issu du premier emprunt obligataire de l’histoire des finances publiques camerounaises en 2010, pantouflait encore dans le compte de l’Etat camerounais à la banque centrale, faute de projets matures à financer.

Au demeurant, si ce coup de frein donné à la mobilisation des financements sur le marché des capitaux est quelque peu préjudiciable à l’optimisation de la conduite des projets structurants dans le pays, il devrait être très apprécié des bailleurs de fonds internationaux, notamment le FMI, qui ne voit pas d’un bon œil la propension de l’Etat camerounais à privilégier les emprunts non concessionnels ces derniers temps, à la faveur des nombreuses opérations de levées de fonds lancées depuis 2010 sur le marché des capitaux.

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La Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) annonce que l’Etat du Cameroun procèdera, le 30 avril 2014, à une nouvelle émission de bons du Trésor assimilables (BTA), pour un montant total de 5 milliards de francs Cfa. Cette séance d’adjudication inaugurera les opérations du Cameroun sur le marché des titres publics de la banque centrale, pour le compte du 2ème trimestre 2014.

Selon un calendrier prévisionnel des opérations de l’Etat du Cameroun publié par la BEAC, le pays lèvera, au cours du trimestre courant, entre 25 et 30 milliards de francs Cfa. Soit trois émissions de bons du Trésor, pour un montant total de 20 milliards de francs Cfa, et une émission d’obligations du Trésor, pour un montant qui oscillera entre 5 et 10 milliards de francs Cfa.

Dans la loi des finances de l’Etat de 2014, ce sont 250 milliards de francs Cfa qui seront mobilisés sur le marché des capitaux tout au long de cette année, dont un emprunt obligataire de 180 milliards de francs Cfa prévu, en principe, au mois de juin prochain.

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Au rang des «mesures décisives pour faire sortir les chefs d’entreprise de la déprime ambiante», l’Etat du Cameroun pourrait procéder à «l’apurement des crédits de TVA (dus aux entreprises, Ndlr) en recourant, si besoin est, à un emprunt obligataire spécifique», a confié André Fotso, le président du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam), dans une interview accordée à l’agence Ecofin. L’on se souvient qu’au cours d’une assemblée générale de ce regroupement patronal tenu en décembre 2013 à Douala, le président du Gicam avait déjà révélé que le montant des crédits TVA que l’Etat doit reverser aux entreprises camerounaises à fin 2013, était estimé à 52 milliards de francs Cfa, dont 12,5 milliards de francs Cfa seulement déjà validés et en attente de payement.

Cette situation récurrente, souligne-t-on au Gicam, est préjudiciable aux entreprises, dans la mesure où elle obère considérablement leur trésorerie, et bloque les investissements. Au ministère des Finances, l’on invoque l’indisponibilité des moyens financiers pouvant permettre d’effectuer ces remboursements de crédits TVA, qui représentent le solde qui se dégage lorsqu’on fait la différence entre la TVA payée par les entreprises lors de l’acquisition de leurs biens et services, et celle collectée par ces dernières sur leurs clients.

En dehors de «l’emprunt obligataire spécifique» recommandé par le président du Gicam, ce dernier suggère également aux pouvoirs publics camerounais, dans l’optique de donner un coup de fouet au développement du secteur privé, «l’incorporation directe des entreprises existantes dans le dispositif du code d’incitations à l’investissement, la construction de zones économiques à Douala et Yaoundé, le démarrage effectif des chantiers autoroute Yaoundé-Douala, entrées Est et Ouest de Douala, l’ouverture des guichets de la banque des PME et de la banque de l’agriculture, l’élaboration d’une loi coercitive sur le respect des délais de paiement contractuels, et la mise en service de l’Agence de promotion des exportations».

Dans l’interview sus-mentionnée, qui sera intégralement publiée dans l’édition du magazine Investir au Cameroun du mois d’avril 2014, André Fotso revient également sur la stagnation du taux de croissance au Cameroun, les craintes que suscite la signature annoncée des APE, la gestion du déficit énergétique par les entreprises camerounaises, la contribution des opérateurs économiques locaux à la réalisation des projets structurants, l’état de l’environnement des affaires, les 100 propositions du Gicam pour l’émergence du Cameroun à l’horizon 2013…

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Selon un rapport-bilan de la Direction générale du Trésor (DGTC) sur l’emprunt obligataire 2013-2018 lancé par l’Etat du Cameroun en décembre 2013, et pour lequel la somme de 80 milliards de francs Cfa a été mobilisée en deux semaines, 12,3% des souscriptions sont venus d’investisseurs équato-guinéens. Le pays d’Obiang Nguéma (photo) est de ce fait le premier pays étranger ayant répondu à cet appel public à l’épargne du gouvernement camerounais.

En effet, renseigne la DGTC du ministère des Finances, les autres pays étrangers recensés parmi les souscripteurs, à savoir le Congo (1,8%), le Gabon (1,2) et la Côte d’Ivoire (0,01%), n’ont véritablement pas cassé leur tirelire pour le Trésor public camerounais au cours de cette opération, leurs souscriptions cumulées ne représentant qu’un peu plus de 3% des participations reçues. Contre plus de 84% pour les investisseurs camerounais et 12,3% pour ceux de la Guinée Equatoriale.

Le classement par types de souscripteurs révèle pour sa part «que 648 entités ont participé à cette opération. Celles-ci sont constituées à plus de 90% par des personnes physiques qui ont obtenu une part de titres de 13,1%». En clair, bien qu’étant plus nombreux, les particuliers n’ont pas pu surpasser les entreprises, dont les souscriptions culminent à 86,9% de l’enveloppe globale.

En rappel, cet emprunt obligataire 2013-2018, le deuxième le l’histoire des finances publiques camerounaises après celui de 2010, a été introduit à la cote du Douala Stock Exchange (DSX) depuis janvier 2014, permettant ainsi au marché boursier camerounais d’ajouter une nouvelle ligne d’obligations à sa cote.

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Selon un communiqué de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), l’Etat du Cameroun a de nouveau procédé, le 12 mars 2014, à une émission de bons du Trésor pour un montant total de 5 milliards de francs Cfa. Les résultats de cette séance d’adjudication demeurent attendus.

Au demeurant, depuis le début de cette année, le Trésor public camerounais enchaîne des records de souscription sur le marché des titres publics de la banque centrale. Ce taux a atteint 570% lors de la séance d’adjudication du 26 février 2014. Il s’agit de la plus grande performance réalisée par le Trésor public camerounais, depuis son arrivée sur ce marché en 2011.

En rappel, cette année, le Trésor public camerounais ambitionne de mobiliser 100 milliards de francs Cfa, par émissions successives de bons du Trésor sur le marché des titres publics de la BEAC. La loi des Finances 2014 de l’Etat a également prévu une émission obligataire d’un montant de 150 milliards de francs Cfa.

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Selon des sources internes à la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), l’Etat du Cameroun a procédé ce 12 février 2014, à une nouvelle émission de bons du Trésor d’une valeur de 5 milliards de francs Cfa sur le marché des titres publics de cette banque centrale.

Ces bons du Trésor d’une durée de maturité de 26 semaines permettent à l’Etat camerounais d’effectuer sa 3ème opération sur ce marché des capitaux depuis le début de l’année 2014. Les deux premières séances du mois de janvier se sont soldées par des records de souscriptions de 465 et 510% respectivement.

L’opération de ce 12 février 2013 devrait porter à 15 milliards de francs Cfa la somme totale déjà mobilisée par le Cameroun sur le marché de la BEAC depuis janvier, sur les 25 milliards de francs Cfa souhaités au premier trimestre 2014.

En rappel, 250 milliards de francs Cfa de titres publics seront émis cette année sur les marchés des capitaux, dont un emprunt obligataire de 180 milliards de francs Cfa prévu au mois de juin 2014.

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L’emprunt obligataire «Etat du Tchad 6% 2013-2018» a été souscrit au Cameroun à hauteur de 58,3 milliards de francs Cfa, soit près de 70% des 85 milliards de francs Cfa recherchés par le pays d’Idriss Déby (photo), a appris l’agence Ecofin de sources autorisées.

Au total, apprend-on des mêmes sources, ce sont finalement 90,2 milliards de francs Cfa (le montant recherché a été dépassé de 5,2 milliards de FCfa) qui ont été mobilisés à l’occasion de cet appel public à l’épargne, par les deux arrangeurs de l’opération que sont BGFI Bourse (pour le marché boursier de l’Afrique centrale, la BVMAC) et SCB Cameroun (pour la Douala Stock Exchange).

En 2011, le premier emprunt obligataire de l’Etat du Tchad, d’un montant total de 100 milliards de francs Cfa, avait déjà été souscrit à plus de 50% sur le marché boursier camerounais.

Les 85 milliards de francs Cfa recherchés par l’Etat tchadien cette fois-ci, a-t-on appris, vont permettre de compléter l’enveloppe de 250 milliards de francs Cfa nécessaire pour la construction de la Cité internationale des affaires de N’djaména, la capitale politique du Tchad.

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