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Yaoundé - 06 mai 2024 -

Afriland First Bank, le leader du marché bancaire camerounais, a signé le 30 juillet 2015 à Douala, la capitale économique du pays, un accord de financement d’un montant de 15 millions de dollars, soit environ 8,2 milliards de francs Cfa, avec la Société financière internationale (SFI), filiale du groupe de la Banque mondiale spécialisée dans le financement du secteur privé.

Concrètement, a annoncé l’institution bancaire camerounaise dans un communiqué officiel, grâce à ce financement, «la SFI mettra à la disposition d’Afriland First Bank des garanties pour les opérations liées aux échanges commerciaux, pour une meilleure couverture des flux des entreprises importatrices et exportatrices par les banques correspondantes, renforçant de ce fait leur compétitivité à l’international».

«Je voudrais ici vous assurer qu’Afriland First Bank, avec l’appui de la SFI, met à votre disposition de nouveaux instruments financiers pour vous permettre de faire face à la rude compétitivité internationale, à armes égales avec les acteurs du marché issus d’autres pays ou d’autres continents», a indiqué l’Administrateur directeur général d’Afriland First Bank, Alphonse Nafack, s’adressant aux opérateurs économiques et clients de la banque invités à la cérémonie du 30 juillet 2015 à Douala.

538 milliards FCfa de crédits octroyés au 31 mai 2015

Selon Allen Forlemu, le responsable du département des institutions financières pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale au sein de la Société financière internationale, ce financement est octroyé dans le cadre du Programme de financement du commerce extérieur implémenté par la SFI, et qui permet «aux banques émettrices de fournir des garanties allouant davantage de flexibilité aux entreprises d’import-export».

Cet accord de financement avec la SFI intervient après la signature, le 17 juin 2015 à Beijing, en Chine, d’un accord de financement entre Afriland First Bank et la China Development Bank Corporation, pour un montant total de 26,2 milliards de francs Cfa. Ce financement est destiné, apprend-on, à accompagner les petites et moyennes entreprises.

Au 31 mai 2015, Afriland First Bank revendique un réseau de 38 agences au Cameroun et deux représentations en France et en Chine. Sur la période considérée, cette institution bancaire à capitaux majoritairement camerounais, qui est présente dans une dizaine de pays sur le continent africain, a officiellement injecté dans l’économie locale un volume de crédits de l’ordre de 538 milliards de francs Cfa, tandis que ses dépôts s’élèvent à 586 milliards francs Cfa, pour un total bilan de 758 milliards de francs Cfa.

BRM

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La Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank) a conclu, le 8 juillet 2015 au Caire en Egypte, une facilité de crédit d’un montant total de 15 millions d’euros, soit environ 9,8 milliards de francs Cfa, en faveur de la filiale ivoirienne du groupe bancaire camerounais Afriland First Bank.

Ces fonds, souligne Afreximbank dans un communiqué, serviront à «financer des transactions menées par des PMEs dans les secteurs clés de la croissance» en Côte d’Ivoire. Selon Jean Louis Ekra, le président d’Afreximbank, qui cédera son fauteuil en août prochain, ce financement rentre dans le cadre de l’engagement d’Afreximbank «à transformer les économies africaines à travers le soutien aux PMEs et la promotion du commerce intra-africain».

Cette sollicitude d’Afreximbank à l’endroit de ce groupe bancaire à capitaux majoritairement camerounais, intervient quelques jours seulement après celle de la China Development Bank. En effet, à l’occasion de la visite effectuée par le Premier ministre camerounais en Chine du 17 au 21 juin 2015, Afriland First Bank avait conclu un accord de financement d’un montant de 26,2 milliards de francs Cfa avec la banque chinoise de développement.

Deuxième groupe bancaire de la zone CEMAC derrière le groupe gabonais BGFI, Afriland First Bank est présent dans une dizaine de pays en Afrique, et dispose de bureaux de représentation en Chine et en France.

 

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Himore Medical, la start-up créée par l’ingénieur polytechnicien camerounais, Arthur Zang, en vue de développer son projet de Cardiopad, présenté comme la première tablette médicale africaine, est en panne de financements. En effet, depuis plusieurs mois, le jeune ingénieur et ses collaborateurs s’échinent pour produire, pour le compte des hôpitaux camerounais, les premiers exemplaires de Cardiopad, cet appareil permettant de relever et de transmettre à distance les paramètres cardiaques d’un patient, une invention qui pallie à l’insuffisance de cardiologues dans les hôpitaux du pays.

«Nous avons déjà fabriqué une trentaine d’appareils et mettons au point actuellement une machine mobile qui permettra de faire des échographies à distance. Nous allons mettre sur le marché cent Cardiopad. Il est bien vrai que les demandes fusent de tous les pays d’Afrique et d’Europe, mais pour l’heure, nous voulons satisfaire la demande locale. Les premiers exemplaires seront exclusivement réservés au Cameroun (…) Ce sont les fonds qui nous manquent le plus», affirme l’inventeur du Cardiopad dans une interview au Quotidien gouvernemental camerounais.

Selon le promoteur de Himore Medical, un financement de 20 millions de francs Cfa permettrait de boucler la première phase de production des cent Cardiopad, que les hôpitaux camerounais pourraient s’offrir à deux millions de francs Cfa pièce. «Le ministère de la Santé publique devait pourtant nous passer des marchés, en vue de l’équipement de certains centres hospitaliers. Nous comptions sur l’argent issu de cette transaction pour financer les derniers réglages», regrette-t-il.

L’ingénieur et inventeur camerounais, dont la trouvaille a permis au magazine Forbes de le classer parmi les 20 jeunes les plus influents du monde, poursuit : «nous nous sommes tournés vers les banques qui demandaient toutes sortes de garanties alors que je n’étais qu’un simple chercheur sans ressources à l’époque. Nous avons également été approchés par des structures internationales et des opérateurs économiques, qui ont voulu avoir des parts dans notre structure. Chose qui n’a pas été possible parce que nous ne partagions pas la même ambition. Sauver des vies m’intéresse plus que tout. Faire des bénéfices vient après».

BRM

 

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Le lancement annoncé au Cameroun d’une bourse des matières premières, le Cameroon Commodities Exchange (CCX), devrait consacrer l’entrée en vigueur d’un nouveau mode de financement dans le pays, à savoir le récépissé d’entrepôt. Ce document qui sera délivré aux producteurs ou négociants ayant entreposé des produits pour commercialisation sur le CCX, pourrait permettre à son détenteur de garantir un crédit auprès d’une banque ou un établissement de microfinance, apprend-on.

Afin d’implémenter ce mécanisme qui sera une grande première dans le pays, le cabinet Eleni, qui conseille le gouvernement camerounais sur le projet de création du CCX, suggère qu’au moins deux banques locales parrainant un réseau d’établissements de microfinance (Emf) soient mises à contribution pour un début, afin que celles-ci conçoivent des produits de financement par récépissé d’entrepôt.

Cependant, souligne le cabinet Eleni dans son étude de faisabilité, «d’importants programmes de renforcement des capacités devront être organisés à l'intention des banques et de leurs agences, afin de les aider à concevoir des produits et des procédures de financement par récépissés d'entrepôt pour les producteurs des matières premières en zone rurale».

L’étude insiste sur la nécessité de s’appuyer absolument sur des institutions bancaires parrainant un réseau d’établissement de microfinance parce que, apprend-on, même si un Emf est candidat au financement par récépissé d’entrepôt, sa «limite de crédit par client pourrait être trop petite», surtout pour les grands producteurs ou négociants.

Par ailleurs, fait remarquer le cabinet Eleni, «le règlement d'un prêt octroyé dans le cadre du financement par récépissés d'entrepôt par la chambre de compensation de la Bourse serait difficile, car l'Emf ne sera pas une banque de règlement de la Bourse. Elle peut cependant avoir un compte à la banque de règlement du CCX, probablement sa banque partenaire/de parrainage, qui pourrait être utilisée à cet effet».

Brice R. Mbodiam

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Le gouvernement camerounais a conclu deux accords de prêts d’un montant total de 13 milliards de francs Cfa avec la Banque arabe pour le développement en Afrique, Badea (6 milliards FCfa) et le Fonds de l’organisation des pays exportateurs de pétrole pour le développement international, Ofid (7 milliards FCfa), dans le cadre du projet de construction de l’axe routier Yaoundé-Kribi, révèle un décret que vient de signer le chef de l’Etat, lequel décret habilite le ministre de l’Economie à signer lesdits accords de prêts.

Longue de 271 km, la route Yaoundé-Kribi ouvrira plus facilement la capitale camerounaise au port en eau profonde de Kribi. Le premier lot de cet axe routier, sur un linéaire de 67 Km entre Yaoundé et Olama, a déjà été entièrement construit depuis plus de 3 ans.

Il reste à construire les 2ème et 3ème lots, respectivement long de 106 km entre Olama et Bingambo, et de 98 km entre Bingambo et Kribi. Les 13 milliards de francs Cfa que vient d’obtenir le gouvernement comptent pour le financement partiel des travaux de construction du 2ème lot, sur un linéaire de 45 Km, pour une enveloppe globale de 37 milliards de francs Cfa.

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Selon Wei Wenhua, le tout nouvel ambassadeur de Chine au Cameroun, à la fin de l’année 2014, l’Empire du Milieu avait apporté son soutien financier à 21 grands projets réalisés sur le territoire camerounais, pour un montant total d’environ 3 milliards de dollars, soit environ 1850 milliards de francs Cfa. Le diplomate chinois a révélé ce chiffre au sortir d’une audience au ministère des Finances, le 13 avril 2015 à Yaoundé, la capitale camerounaise.

En effet, tous les grands projets infrastructurels en cours ou récemment réalisés dans le pays, dans les secteurs aussi variés que l’énergie (construction des barrages), les transports (construction des ports et des autoroutes) et les télécommunications (pose de la fibre optique) sont financés par Eximbank of China. Les travaux sont également exécutés par des entreprises chinoises.

Tous ces financements consentis par la banque publique d’investissements chinoise ont fini par faire d’Eximbank of China, le premier bailleur de fonds du Cameroun, selon les chiffres de la Caisse autonome d’amortissement (CAA), la structure publique qui gère la dette extérieure du pays.

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La filiale camerounaise du groupe bancaire panafricain Ecobank a été commise par la Cameroon Airlines Corporation (Camair Co), la compagnie aérienne publique, pour mobiliser (certainement en consortium avec d’autres banques locales) des financements d’un montant total de 30 milliards de francs Cfa, afin de lancer l’implémentation du plan de relance de cette compagnie aérienne. L’information est révélée par le DG de Camair Co, Jean Paul Nana Sandjo, dans une interview au quotidien gouvernemental camerounais.

«Les financements sont déjà disponibles. Ils seront mis à notre disposition d’ici deux à trois semaines. A partir de là, nous allons dérouler notre plan de relance qui consiste à acquérir six avions, qui s’ajouteront aux deux MA60. Ce qui portera la flotte de Camair-Co à 11 avions, d’ici juillet-août», annonce le directeur général de la compagnie aérienne camerounaise, qui revendique un endettement de 30 milliards de francs Cfa au bout de 4 ans d’activités.

En dehors du renforcement de la flotte de la compagnie, annonce Jean Paul Nana Sandjo, les financements attendus d’Ecobank serviront à la mise en place d’ateliers de maintenance des aéronefs de la compagnie aérienne camerounaise. En effet, explique le DG, en dépit d’une trésorerie déficitaire, Camair Co dépense énormément pour la maintenance de ses aéronefs à l’étranger, parfois pour des pannes aussi minimes que de simples crevaisons de roues.

L’on se souvient par exemple que quelques semaines seulement après le lancement de ses activités en 2011, une roue envoyée en réparation à Paris avait été oubliée par un concurrent chargé de la convoyée jusqu’à Douala après réparation. Cette situation avait provoqué l’annulation de deux vols successifs entre la capitale économique camerounaise et l’Hexagone, la compagnie ne disposant jusqu’ici que d’un seul aéronef (Le Dja) pour desservir la capitale française.

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Le gouvernement camerounais devrait bientôt conclure avec le Fonds africain de développement (FAD), le guichet de prêts à taux concessionnels du groupe de la Banque africaine de développement (BAD), un accord de prêt d’un montant total de 9,4 milliards de francs Cfa.

Ces fonds, selon un décret du président de la République du Cameroun habilitant le ministre de l’Economie à signer cet accord de prêt, serviront au financement partiel du programme de réhabilitation et de renforcement de la résilience des systèmes socio-écologiques du bassin du lac Tchad (Presibalt).

Pour rappel, cette étendue d’eau, qui a perdu plus de 80% de sa superficie au cours des 40 dernières années, est aujourd’hui menacée de disparition. Alors que la vie socio-économique de certaines populations des pays riverains de ce bassin en dépend étroitement.

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Face à la baisse des prix du pétrole brut, dont cinq (Cameroun, Gabon, Congo, Guinée équatoriale et Tchad) des six pays de la zone Cemac sont producteurs (sauf la RCA ne l’est pas), la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) vient de relever les plafonds de refinancement dans ses Etats membres, a-t-on appris au sortir de la première session du Comité de politique monétaire de cette banque centrale, pour le compte de l’année 2015.

En clair, les banques commerciales de ces pays peuvent obtenir davantage de ressources financières auprès de la banque centrale, en cas de besoin de liquidités à redistribuer sous forme de crédits bancaires aux particuliers et entreprises. Ainsi, les banques camerounaises peuvent solliciter jusqu’à 100 milliards de francs Cfa, contre 60 milliards de francs Cfa par le passé. Idem pour le Gabon et le Tchad. Ce plafond de refinancement pour la Guinée équatoriale passe de 60 à 120 milliards de francs Cfa, tandis que celui du Gabon passe de 30 à 40 milliards de francs Cfa et celui de la RCA à 15 milliards de francs Cfa, apprend-on de bonnes sources.

Cependant, malgré cette décision de la BEAC, Lucas Abaga Nchama (photo) se dit optimiste quant à la capacité de résistance des pays de la CEMAC, face à l’actuelle crise du pétrole qui les prive de ressources financières importantes. «Nous avons encore des capacités de financements intéressantes. Pour l’instant, aucun des Etats de la CEMAC ne dépasse un niveau d’endettement équivalent à 20% du PIB, alors que les critères autorisent à aller jusqu’à 70% du PIB», a fait remarquer le gouverneur de la banque centrale.

Fort de cet optimisme, la BEAC projette un taux de croissance global dans la zone CEMAC à 4,2%, contre 4,4% en 2014 ; de même qu’une baisse des tensions inflationnistes à 2,8%, contre 3,2% l’année dernière.

 

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Le Fonds spécial d’équipements et d’intervention inter-communale (Feicom) vient d’accorder des financements d’un montant total de 11,7 milliards de francs Cfa à 60 communes ayant sollicité des crédits. Ces fonds ont été concédés au cours de la 29ème session du comité des concours financiers du Feicom, apprend-on dans un communiqué rendu public le 16 février dernier par la banque des communes camerounaises que dirige Philippe Camille Akoa (photo).

Cette enveloppe, apprend-on, servira au financement de 64 projets initiés par les communes bénéficiaires. Selon la grille de répartition publiée par la banque des communes, les régions de l’Ouest (20%) et du Centre (17%) s’adjugent 37% de cette enveloppe. Viennent ensuite l’Extrême-Nord, avec 12% de l’enveloppe allouée par le Feicom, le Sud et le Sud-Ouest, avec chacun 9%. La région de l’Est s’en tire avec 8% de l’enveloppe, contre 7% pour chacunes des régions du Nord, du Nord-Ouest et de l’Adamaoua, contre 4% pour la région du Littoral.

Ces investissements communaux sont concentrés, apprend-on, dans les infrastructures routières, scolaires et communales ; les projets d’adduction d’eau potable et d’énergie solaire ; l’électrification rurale… A travers ces nouvelles allocations financières, indique le Feicom, la banque des communes fait entrer «en vigueur de nouveaux outils de financement rénovés, adoptés par le Conseil d’administration du 22 décembre 2014. A travers ces outils, le Feicom entend renforcer ses interventions dans les domaines qui touchent directement l’amélioration du quotidien des populations. Il s’agit également de promouvoir la création des emplois pour les jeunes».

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