Ce rapport présente les dommages environnementaux causés par l’exploitation minière illégale en Afrique centrale. Il souligne les obstacles entravant la lutte contre l’exploitation minière illégale, y compris les lacunes dans la criminalisation de ces activités et les peines non rigoureuses. Le document note l’implication d’acteurs étatiques et non étatiques dans l’exploitation minière illégale, ce qui sape l’autorité et les capacités réglementaires des Etats.
Dans la tradition des éditions précédentes, ce rapport détaille les revenus que le Cameroun a tiré de son secteur extractif au cours de l’année 2019. Il indique que ces revenus sont en hausse par rapport à 2018. Tout en appréciant les progrès réalisés en matière de transparence, le rapport relève les manquements qui subsistent et fournit des recommandations.
Ce document se focalise sur la situation des industries extractives au Cameroun en 2018. Il fournit ainsi des détails sur les revenus générés par le pétrole, l’or et le diamant, entre autres, et leurs niveaux de production. Le respect des normes édicté par l’ITIE est aussi analysé et le rapport formule une série de propositions à l’endroit des acteurs.
Ce rapport fait le point de la dernière évaluation de la mise en œuvre de la Norme ITIE par le Cameroun. Il met en évidence les principaux accomplissements du pays, notamment la publication des états financiers audités de la Société nationale des hydrocarbures (SNH) et la transparence accrue dans le secteur minier. Le document souligne également les domaines d’amélioration, tels que la réponse aux allégations de corruption impliquant Glencore et la nécessité d’une meilleure gouvernance de l’ITIE au Cameroun.
Ce rapport présente l’état du secteur des industries extractives au Cameroun. Il indique qu’en 2020, les revenus versés par les entreprises extractives à l’Etat ont atteint une valeur de 663,05 milliards de FCFA. Il indique que le secteur des hydrocarbures est le premier contributeur au Budget de l’État avec un total de 490,79 milliards de FCFA. Il s’interroge toutefois sur la fiabilité de ces informations et formule des recommandations pour plus de transparence.
Sur l'année 2017 quels ont été les grands faits marquants de l'activité minière au Cameroun. Quels ont été les revenus de l'état et les concessions accordées ? Quelles sont les recommandations qui pourront permettre d'accroÎtre la transparence du secteur minier ? Ce rapport s'intéresse à toutes ces questions.
Quel a été l'état de l'activité minière au Cameroun en 2016 ? Quelles ont été les recettes que ce secteur a permis à l'état d'encaisser, les règles de transparence ont-elles été respectées ? Ce rapport s'intéresse à ces questions sur fond d'analyses et de recommendations.
Etude sur l'impact des exonérations fiscales sur le secteur extractif au Cameroun, suivie de recommandations.
Ce rapport met en lumière les performances des industries extractives (Mines et Hydrocarbures) au Cameroun en 2021. Il fournit les données de production du secteur extractif au cours de la période et sa contribution économique, notamment en matière d’emplois et de revenus d’exportations. Le document aborde aussi la réglementation en vigueur dans les Mines et les Hydrocarbures et offre un panorama des principaux projets en phase d’exploration ou d’exploitation dans les deux secteurs. Le rapport formule également des recommandations pour améliorer la gouvernance du secteur extractif au Cameroun.
Dans le cadre des opérations d’exploration du territoire camerounais, qui ont déjà permis de recenser 300 sites ministres selon le ministère en charge des Mines, la Banque mondiale (partenaire du projet), indique dans une note que le nombre de nouvelles occurrences dépassera largement les 500 d’ici septembre 2019. Cinq régions du pays sont concernées (l’Est, l’Ouest, l’Adamaoua, le Nord et le Centre).
Toujours selon la Banque mondiale, le Projet de renforcement des capacités dans le secteur minier (Precasem) mené depuis 2014 a déjà permis des levées aéromagnétiques et gravimétriques avec plus de 18 000 échantillons prélevés. La présence de divers minéraux tels que l’or, le cobalt, le nitrate, le manganèse, les métaux de base, les éléments de terres rares, le rutile, l’uranium et bien d’autres, a été signalée dans les régions sous étude.
En attendant la présentation des résultats définitifs de ces études minières en septembre prochain, le ministère en charge des Mines indique que, le Cameroun abrite la majeure partie de la ceinture du minerai de fer de l’Afrique centrale qui s’étend du Congo au Cameroun en passant par le Gabon.
Dans cette zone, l’on trouve des gisements de fer de classe mondiale comme Mbalam (Sundance de l’Australie y est positionné), le gisement de fer de Nkot, le minerai de fer des mamelles de Kribi (Sinosteel de Chine y est positionné), le plus grand gisement latéritique de cobalt du monde à Lomié (Geovic y est positionné), le rutile d’Akonolinga, etc.
S.A