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Yaoundé - 08 mai 2024 -

Au 30 septembre 2017, le cimentier nigérian Dangote informe que, selon ses résultats « non vérifiés », il a vendu 938 000 tonnes de ciment au Cameroun. Ce qui représente une augmentation de 16,4% par rapport aux 806 000 tonnes commercialisées au cours de la même période en 2016.

« Nos activités panafricaines enregistrent d’excellentes performances avec une excellente croissance des ventes au Cameroun, en Ethiopie et au Sénégal », se félicite le groupe nigérian. Il revendique actuellement 46% des parts du marché. Le cimentier indique que la tonne de ciment est vendue à 110 dollars (environ 60 000 FCFA). En moins de deux ans, Dangote a ravi à Lafarge-Holcim le leadership sur le marché camerounais du ciment. Les parts restantes sont désormais partagées entre Cimaf et Medecm Cameroun.

Dangote Cement revendique la place de premier producteur de ciment en Afrique avec une production d’environ 46 millions de tonnes (Mt) à travers l'Afrique. Ses activités se présentent comme suit : Cameroun (broyage de clinker 1,5 Mt), Congo (1,5 Mt), Ghana (importation 1,5Mt), Ethiopie (2,5Mt), Sénégal (1,5Mt), Sierra Leone (importation 0,5Mt), Afrique du Sud (2,8Mt), Tanzanie (3Mt), Zambie (1,5 Mt). Sa capacité de production est de 29,25 Mt sur le marché intérieur, au Nigeria.

Sylvain Andzongo

 

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Des membres du secrétariat international de l’Initiative de transparence dans les industries extractives (Itie) séjournent au Cameroun depuis le 3 octobre 2017. Jusqu’au 6 octobre prochain, ils vont passer en revue les efforts faits par le Cameroun après son entrée dans le cercle des pays conformes à cette initiative en 2013. 

«La validation est un élément essentiel du processus Itie dans un pays. Elle est conçue pour fournir à toutes les parties prenantes une évaluation impartiale de la conformité de la mise en œuvre de l’Initiative, au regard des dispositions de la norme Itie», explique Alamine Ousmane Mey (photo), président du comité national de suivi de la mise en œuvre de l’Itie. 

Pour rappel, le Cameroun a adhéré à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives en mars 2005. Il a été déclaré pays conforme le 17 octobre 2013. L’Itie est née de la volonté de démocratiser les informations sur l’exploitation des richesses provenant du sous-sol, afin que toutes les parties prenantes puissent en tirer profit.

BRM 

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28-03-2017 - La Banque mondiale débloque 500 000 $ pour la surveillance des industries extractives en Afrique francophone

13-03-2017 - La société civile de la Cemac à l’école de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives

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Le 29 septembre 2017 à Yaoundé, la capitale camerounaise, le projet de code minier, qui après validation par les instances dirigeantes de la Cemac, sera applicable au Cameroun, au Congo, au Gabon, à la RCA, au Tchad et à la Guinée équatoriale, a été officiellement transmis à la Commission de la Cemac, apprend-on de bonnes sources.

Commentant l’opportunité de ce document intégrateur, le représentant de la Commission à la cérémonie, Jean Eudes Teya, a expliqué qu’il «y a une continuité de gisements miniers sur tout le territoire d’Afrique centrale. Pour que cette richesse soit économiquement rentable, il faut harmoniser les procédures, tant en matière d’exploitation, de détention que de transports des biens miniers entre voisins de la sous-région».

Evoqué pour la première fois en 2012, le code minier communautaire des pays de la Cemac a commencé à être rédigé en 2016, grâce à des financements pourvus par le GIZ, l’organisme de coopération allemand.

«Un code communautaire est adapté aux défis de la sous-région et surtout, aux standards internationaux en matière de transparence, de protection de l’environnement et de vision sociale.», soutient Hans-Dieter Stell, l’ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne au Cameroun.

BRM

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28-11-2016 - Un nouveau Code minier soumis au vote des parlementaires camerounais

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Jingdong Hua (photo), vice-président chargé de la trésorerie de la Société financière internationale (IFC), une filiale du groupe de la Banque mondiale, vient d’achever une visite de travail de deux jours au Cameroun.

L’objectif principal de la visite de Jingdong Hua, explique la Banque mondiale, était de discuter avec les autorités camerounaises du renforcement des engagements de l’IFC dans le pays et en Afrique, ainsi que du développement du marché de capitaux au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

A cet effet, M. Hua a eu des séances de travail avec le ministre de l’Economie, Louis Paul Motaze, et avec le ministre des Finances, Alamine Ousmane Mey. Il a également rencontré les responsables du Douala Stock Exchange, la Commission des marchés financiers et les représentants des secteurs bancaires et des assurances. M. Hua a enfin eu une rencontre d’échanges avec des étudiants de l’Ecole supérieure des sciences économiques et sociales de Douala.

« Je me réjouis de la qualité et de la richesse des échanges que j’ai eus au cours de mon séjour dans ce pays qui est une priorité pour notre institution », a déclaré le vice-président de l’IFC. « Ces rencontres m’ont permis de tirer des enseignements importants sur la manière dont l’IFC peut déployer sa gamme de produits financiers et de services conseil afin d’accélérer le développement inclusif du pays, et au-delà celui de la Cemac », a précisé  Jingdong Hua.

En décembre 2016, la communauté des bailleurs de fonds s’est engagée à allouer un montant record de 75 milliards de dollars au profit de l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la Banque mondiale dédié aux pays les plus pauvres. De cette allocation, 2,5 milliards de dollars seront exclusivement dédiés à un Guichet de promotion du secteur privé (PSW en anglais).

Ce Guichet permettra à l’IFC et à l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) d’investir jusqu’à 2,5 milliards de dollars et de mobiliser entre 6 et 8 milliards de dollars en investissements privés auprès d’autres Institutions de développement. Cette ressource additionnelle bénéficiera majoritairement aux pays d’Afrique subsaharienne et notamment au Cameroun. 

Le portefeuille actuel de l’IFC au Cameroun est de 113 millions de dollars. L’institution intervient notamment dans les secteurs des infrastructures, des marchés financiers, des secteurs productifs et l’agriculture.

Sylvain Andzongo

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L'on en sait un peu plus sur l’entreprise camerounaise, Egin S.A, (Entreprise générale industrielle) qui va entrer en production au mois d’octobre prochain. 

Des sources autorisées indiquent qu’Egin est en train de construire une usine de fabrication de ciment, d’une capacité annuelle de production d’au moins 100 000 tonnes dans la zone industrielle du port autonome de Douala (PAD). 

Le fournisseur de solutions techniques d’Egin SA, est la société espagnole Cemengal. Cette dernière est présente depuis plus de 25 ans sur le marché international du ciment. Cemengal est l’inventeur de la solution de production de ciment de dernière génération Plug & Grind®, qui est en train d’être installée au Cameroun, et fournisseur d’usines, dans les plus grandes sociétés mondiales de production de ciment (LafargeHolcim, Cemex, Cimport…). 

Egin ambitionne de fabriquer un ciment de type « 42.5R ». Ce ciment sert aux scellements, aux fondations solides. Il peut aussi servir à la fabrication des mortiers et des parpaings. Il sera ensaché dans des sacs de 50 Kg sous la marque « Lion ».

Sylvain Andzongo

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Au Cameroun, les engagements financiers de la Banque mondiale ont atteint un niveau record à l’issue de l’exercice fiscal qui s’est achevé fin juin, s’établissant à plus de 700 millions $, a annoncé la directrice locale des opérations de la Banque mondiale, Elisabeth Huybens (photo). Dans le même temps, le taux de décaissement a été porté à environ 23%.

« L'année fiscale 2017, c'est une très, très bonne année pour notre collaboration avec le gouvernement du Cameroun, parce qu'on s'est engagé dans de nouveaux projets pour une somme totale plus importante qu'aucune année auparavant. », a-t-elle souligné.

Et d’ajouter : « Sur notre portefeuille entier, on a aussi eu un très, très bon résultat. Comme nous avons des projets qui se mettent en œuvre en moyenne sur une période d'environ cinq ou six ans, ce que nous cherchons, chaque année, c'est d'arriver à des taux de décaissement de 20%. En 2017, on a encore une fois réussi à décaisser à un rythme un peu plus élevé, à presque 23% »

Dans le détail, 325 millions de dollars ont été accordés à la toute nouvelle Société nationale de transport d'électricité (Sonatrel), une entreprise publique créée en 2015. 195 millions de dollars, pour soutenir un projet de développement du secteur des transports qui couvre la réhabilitation en cours de la route Babadjou-Bamenda, longue de 40km et un tronçon de l'axe Bafoussam-Bamenda. Le secteur de l’élevage a reçu 100 millions $ dans le cadre du renforcement de sa compétitivité.

L’institution de Bretton Woods a également accordé à l’exécutif camerounais, une enveloppe financière de 23 millions $ dans le cadre d’une assistance technique pour la gouvernance et la réglementation dans le domaine des ressources minières. Un montant équivalent a été débloqué pour renforcer le développement du potentiel hydroélectrique sur le fleuve Sanaga. D’autres projets et secteurs ont également reçu les apports de l’institution financière, selon la responsable.

Pour l’année fiscale qui vient de débuter, la banque a déjà approuvé un financement de 160 millions $ pour un projet de développement urbain. Le secteur de l’éducation de base pourrait également bénéficier dans les tout prochains jours de l’approbation d’un appui financier évalué à 100 millions $.

Fiacre E. Kakpo

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La Société nationale des hydrocarbures (SNH) annonce qu’elle a servi à l’Etat un dividende de 5 milliards de FCFA et payé un impôt sur les sociétés de 1,128 milliard de FCFA.

En dehors du volet dividende, les ventes effectuées par la SNH ont permis de transférer au Trésor public, après déduction des charges de production, la somme cumulée de 291,244 milliards de FCFA en 2016, sur une prévision annuelle de 247,2 milliards de FCFA.

Toutes ces performances financières ont été atteintes, d’après la SNH, grâce à une production nationale de pétrole brut qui s’est établie en 2016 à 33,69 millions de barils, soit presqu’au même niveau qu’en 2015 (34,97 millions de barils). « Cette stabilité de la production a notamment été rendue possible grâce au forage de 8 puits producteurs dans le bassin du Rio del Rey, qui ont permis de mettre en lumière des réserves additionnelles d’huile estimées à 24,49 millions de barils », relève la Société nationale des hydrocarbures.

L'autre partie des ressources financières de la SNH provient de la production gazière qui s’est, quant à elle, établie à 12 612,5 millions de pieds cubes contre 13 048,2 millions de pieds cubes en 2015.

S.A

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Alamine Ousmane Mey (photo), le ministre des Finances (Minfi), informe que la deuxième validation du Cameroun à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie) est en cours depuis le 1er juillet 2017.

Dans le cadre de cette 2e validation qui concerne la période post-conformité, indique le Minfi, le Secrétariat international de l’Initiative effectuera une mission au Cameroun du 2 au 6 octobre 2017. Cette mission sera conduite par deux directeurs pays. Il s’agit de Gisela Granado et Alex Gordy. Leur mission est, entre autres, de compléter la collecte des données en cours et consulter les parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre de cette politique de transparence en matière des industries extractives.

« La validation est un élément essentiel du processus Itie dans un pays. Elle est conçue pour fournir à toutes les parties prenantes une évaluation impartiale de la conformité de la mise en œuvre de l’Initiative au regard des dispositions de la norme Itie », explique Alamine Ousmane Mey.

A titre de rappel, le Cameroun a adhéré à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives en mars 2005. Il a été déclaré pays conforme le 17 octobre 2013. L’Itie est née du constat selon lequel, dans de nombreux pays riches en ressources naturelles, les recettes provenant de la production pétrolière, gazière et minière profitaient souvent à un petit groupe de personnes et s’associaient généralement à la pauvreté, aux conflits et à la corruption.

Ainsi, au lieu d’être une chance, l’abondance des richesses naturelles semble paradoxalement être une «malédiction» affectant la grande partie des populations de ces pays. Afin de renverser ce paradoxe, l’Itie a donc été lancée à Johannesbourg (Afrique du Sud) sous l'impulsion de l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair, lors du Sommet mondial sur le développement durable, tenu du 26 août au 4 septembre 2002.

Sylvain Andzongo

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L’entreprise camerounaise, Egin S.A, (Entreprise générale industrielle) est le nouvel acteur qui va animer le marché du ciment. A cet effet, Egin a signé le 29 août 2017 à Yaoundé, des conventions d’investissement avec le gouvernement, sous l’accompagnement de l’Agence de promotion des investissements (API).

Jean-Pierre Belobo, chef du projet, a annoncé à cette occasion que les premiers sacs de ciment seront produits dès le mois d’octobre 2017 sous la marque « Lion ». Même s’il est resté peu disert sur la production de l’usine, il a indiqué qu’elle est basée à Douala. Taux d’installation : 90%. Les matières premières sont déjà commandées. Le coût de cet investissement est estimé à 8,2 milliards de Fcfa pour 32 emplois prévisionnels à créer.

Toujours selon M. Belobo, Egin S.A a réussi à convaincre des partenaires internationaux d’accompagner les promoteurs camerounais. « Le Cameroun sera donc désormais dotée d’une technologie de dernière génération pour la production du ciment.», a-t-il renchéri.

Le nouveau cimentier fait son entrée dans la filière au moment où la bataille pour le leadership fait rage. Fin avril 2016, le cimentier nigérian Dangote a annoncé qu’il est leader avec 50,18% de parts de marché sur le territoire camerounais. Les parts restantes sont désormais partagées entre Cimencam (Lafarge-Holcim), Cimaf et Medecm Cameroun.

S.A

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Annoncée pour signature en décembre 2015, puis reportée à une date ultérieure, la convention de partenariat avec la société China Gezhouba, pour la réalisation des travaux de construction des infrastructures (chemin de fer de plus de 500 Km et terminal minéralier du port en eau profonde de Kribi) liées au projet d’exploitation du gisement de fer de Mbalam, à cheval sur le Cameroun et le Congo, se fait toujours attendre plus d’un an et demi plus tard.

Les espoirs de voir cette convention être signée semblent même finalement s’évanouir. C’est du moins ce que laisse penser le rapport d’activité à fin juin 2017 de la junior minière australienne Sundance Resources, le développeur de ce projet devant permettre l’exploitation de ce gisement de fer d’un potentiel officiellement estimé à 40 millions de tonnes.

En effet, face aux réticences de China Gezhouba, qui, après un accord préalable avec l’Etat camerounais, invoque désormais la mauvaise conjoncture autour des cours mondiaux du minerai de fer pour ne pas s’engager dans ce projet, Sundance Resources révèle dans le rapport susmentionné, qu’il accompagne désormais le gouvernement dans la recherche d’investisseurs alternatifs, y compris parmi des entreprises chinoises. Et que les discussions avec ces potentiels nouveaux partenaires se poursuivent depuis le début de ce 3ème trimestre 2017.

Cette démarche de la junior minière australienne peut s’expliquer par la pression mise sur ce groupe minier (auquel il incombe la recherche des financements pour la construction de la mine) par le gouvernement camerounais.

En effet, confessent les responsables de Sundance dans leur rapport d’activité au premier semestre 2017, bien qu’ayant de nouveau étendu la convention de ce groupe minier australien sur le projet de Mbalam jusqu’au 26 janvier 2018, le gouvernement camerounais conditionne une dernière extension sur une nouvelle période de six mois (soit juin 2018), au fait que «Sundance puisse justifier d’importants progrès sur le financement du projet de minerai de fer de Mbalam, soit par lui-même, soit avec un partenaire crédible».

En clair, après plusieurs années de développement de ce projet minier, sur lequel les investisseurs n’accourent pas jusqu’ici, l’Etat du Cameroun (qui peine lui-même à trouver des investisseurs pour la construction des infrastructures liées au projet) donne à Sundance Resources jusqu’à juin 2018 pour trouver des partenaires nécessaires pour construire la mine, ou alors se retirer du projet, dans le cas contraire.

Une situation qui pourrait ne pas déplaire à China Gezhouba qui, selon des sources proches du dossier, aurait discrètement confié aux autorités camerounaises son vœu de se positionner tout seul sur ce projet minier (éventuellement avec d’autres partenaires chinois), et non en partenariat avec le développeur initial qu’est le groupe minier australien.

Pour rappel, face à l’incapacité de Sundance Resources à pouvoir mobiliser la totalité des financements nécessaires pour le lancement de l’exploitation du gisement de fer de Mbalam, le gouvernement camerounais s’est engagé, dès juin 2015, à trouver lui-même les financements pour la construction du chemin de fer Mbalam-Kribi (entre 1000 et 1500 milliards de francs Cfa, selon les évaluations officielles), d’une part, et d’autre part, du terminal minéralier du port en eau profonde de Kribi (environ 450 milliards de francs Cfa), qui permettra d’exporter le fer exploité à partir du gisement de Mbalam. Seuls les financements pour la construction de la mine restent dans le cahier des charges de Sundance.

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

02-07-2015 - L’Etat camerounais renforce son positionnement sur le projet d’exploitation du fer de Mbalam

02-12-2015 - Le Cameroun est proche d'un accord définitif avec des Chinois sur le chemin de fer Mbalam-Kribi

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