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Yaoundé - 08 mai 2024 -

Luc Magloire Mbarga Atangana, le ministre camerounais du Commerce et Ernest Ngwaboubou, son collègue du secteur des Mines, viennent d’effectuer une visite au sein de la société Prometal Acierie du Cameroun, à Douala, la capitale économique.

Les membres du gouvernement ont découvert au cours de leur visite, des fours qui fonctionnent sous une température de plus de 2 000 degrés pour la refonte des métaux. Grâce à ces équipements, l’entreprise indique qu’elle produit depuis 2010, dans le cadre d'un partenariat public-privé, plus de 50 produits en acier, adossés sur les standards nationaux et internationaux. Ce qui place Prometal au rang de première entreprise en Afrique subsaharienne d’une capacité de production de 200 mille tonnes de métaux par an. Prometal a aussi présenté un four électrique d’une valeur de 21,1 milliards FCfa, dont le but est de transformer et produire les métaux.

Le ministre des Mines s’est félicité de ce que Prometal offre un choix de qualité aux partenaires des secteurs des travaux publics et matériels métalliques. Dans le futur, elle s’occupera de la transformation du fer de Mbalam (un potentiel de 200 milliards de tonnes) et d’Akom 2.

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Le ministère en charge des Mines (Minmidt) se met à la décentralisation pour ce qui concerne la gestion des dossiers relatifs aux substances explosives et aux détonateurs. 

A cet effet, Ernest Gbwaboubou (photo), le ministre du secteur, vient de signer une note selon laquelle, en application de la loi, les directeurs généraux des sociétés utilisatrices de substances explosives et de détonateurs au Cameroun doivent désormais déposer leurs dossiers (demande d’agrément, déclaration des stocks, demande de dérogation, etc.) auprès des délégations départementales du Minmidt territorialement compétentes.

Les délégations en charge des Mines vont, à leur tour, transmettre les différents dossiers des sociétés à l’administration centrale, via le préfet territorialement compétent. Ce qui est une évolution dans un environnement où les entreprises, même dans les zones reculées, étaient toutes obligées de venir à Yaoundé, la capitale du pays, pour obtenir différents documents du Minmidt.

Toutefois, précise Ernest Gbwaboubou, ces mesures de déconcentration « ne s’appliquent pas aux demandes d’autorisation de transit des substances explosives et des détonateurs, qui peuvent être déposées au courrier central du ministère des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique ».

S.A

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Mohamadou Dabo, le Consul général de la République de Corée au Cameroun, et le ministre en charge des Mines, Ernest Gbwaboubou, ont échangé le 25 avril, à Yaoundé.

M. Dabo a indiqué au cours de cet entretien que la Corée compte réveiller certains projets en dormance au Cameroun. Il a notamment parlé du financement des secteurs agricoles et métallurgiques portés par la société Pasco, sans plus de détails.

Aussi, a informé le diplomate, la partie coréenne va relancer un autre projet, celui-là, lié à la sécurisation des recettes minières, ceci à travers la Korean International Cooperation Agency (Koica), l’Agence coréenne de développement.

En attendant le chronogramme de relance de ces projets, le Consul général en a profité pour revisiter les dossiers en cours dans la coopération entre les deux pays. Il s'agit notamment du système de sécurisation des recettes douanières financé à hauteur de 60 millions FCFA, à travers l’érection d’un Data center à Douala et un Recovery Centre à Yaoundé. Sans oublier la construction de 15 laboratoires à Limbé, en partenariat avec l’Agence des normes et de qualité (Anor).

S.A

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«L’entreprise Hong Kong est sommée de partir dès le 10 avril 2018, elle n’a pas l’autorisation d’exploiter. Quant à Metallicon, cela fait six à sept mois que l’on a fermé la société pour non réhabilitation des sites détruits par l’activité minière. Nous allons aussi fermer Peace Mining qui exploite illégalement avec les documents de Caminco.»

Ainsi s’est exprimé, le 9 avril 2018, le ministre camerounais des Mines, Ernest Gbwaboubou (photo), au cours d’une descente dans les champs miniers de l’Est, rapporte l’Ong Forêt et Développement rural (Foder). 

Outre les sociétés Peace Mining et Hong Kong, dont le membre du gouvernement sus-mentionné a ordonné la fermeture, le ministre Gbwaboubou a également épinglé les société minières Lu et Lang et Scem (Société camerounaise d’exploitation minière), pour non détention des autorisations d’exploitation. 

Des responsables de Scem retrouvés sur place, apprend-on, ont d’ailleurs confessé au membre du gouvernement qu’ils n’étaient en possession que d’une autorisation d’exploration, bien que s’adonnant aux activités d’exploitation.

Outre l’exploitation illégale, les champs miniers de la région de l’Est-Cameroun souffrent d’autres maux. Parmi ceux-ci, figurent en bonne place le non-respect des cahiers des charges prescrits aux exploitants, et la destruction de l’environnement.

A titre d’exemple, la non-restauration par les entreprises minières des trous creusés pendant leurs activités d’exploitation, a causé, selon les Ong, la mort d’une quarantaine de personnes au cours de la seule année 2017. 

BRM

Lire aussi:

12-04-2018 - Le gouvernement camerounais planifie la restauration des sites miniers abandonnés dans la région de l'Est 

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Le Capam, programme gouvernemental permettant de sortir des circuits informels l’or produit sur le territoire camerounais, est actuellement en négociation avec deux sociétés pour restaurer des sites miniers exploités et abandonnés dans la région de l’Est. C’est la principale information délivrée par Ernest Gbwaboubou (photo), le ministre en charge des Mines, lors de sa visite dans la région, le 9 avril dernier.

« Nous sommes en train d’étudier les conditions que ces sociétés nous posent. Elles auront besoin des partenaires technico-financiers. Nous sommes en train de voir comment ces partenaires peuvent accepter les conditions du gouvernement avant de signer des conventions qui pourront leur permettre de passer à l’action », a déclaré Ernest Gbwaboubou.

Sur le terrain, le membre du gouvernement a constaté que les sites ne sont pas restaurés après exploitation. Et pourtant, la réglementation en vigueur au Cameroun impose aux exploitants miniers l’obligation de refermer les trous et autres tranchées, creusés au moment de la recherche de l’or. 

L'une des conséquences du non-respect de cette réglementation, indique l’ONG Forêt et développement (Foder) est que 43 orpailleurs ont trouvé la mort en 2017, dans des trous non restaurés par des entreprises minières dans la région de l’Est du Cameroun.

S.A

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Le cimentier nigérian Dangote a publié, le 20 mars, ses résultats audités pour l'exercice clos au 31 décembre 2017. Et il y est indiqué que le Cameroun fait partie du trio africain où ce géant de l'industrie a enregistré une croissance forte des ventes du ciment au cours de la période sous revue. 

A cet effet, Joe Makoju, directeur par intérim du Groupe Dangote, a, entre autres, déclaré : « Nous avons élargi notre empreinte de huit pays à dix avec l'ouverture de nouvelles installations en République du Congo et en Sierra Leone, alors que nos activités au Cameroun, au Sénégal et en Ethiopie ont enregistré une croissance forte des ventes au cours de l'année ».

Avec des volumes de vente de près de 22 millions de tonnes en 2017, le cimentier nigérian affirme qu’il est de loin le principal fabricant de ciment en Afrique subsaharienne. Son chiffre d’affaires a atteint 805,6 milliards de nairas.

Dangote n’a pas encore publié les chiffres définitifs pour ce qui concerne le Cameroun, mais l’on sait qu’au 30 septembre 2017, il a vendu 938 000 tonnes de ciment dans le pays. Ce qui représente une augmentation de 16,4% par rapport aux 806 000 tonnes commercialisées au cours de la même période en 2016.

Sa capacité de production est de 1,5 million de tonnes de ciment par an. Le groupe nigérian est leader du marché camerounais devant Lafarge-Holcim, Cimaf et Medecm Cameroun. 

S.A

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Deux mois après avoir conclu un protocole d'entente avec le Chinois Tidfore Heavy Equipment Group Ltd, pour le développement du projet de minerai de fer de Mbalam-Nabeba, dont le gisement d’un potentiel de 40 millions de tonnes, est situé à cheval entre le Cameroun et le Congo, la junior minière australienne, Sundance Resources, annonce ce 19 mars 2018, que le gouvernement camerounais a consenti à proroger  de six mois sa licence sur ce projet minier.

En effet, face aux difficultés de Sundance à trouver des partenaires pour le développement du projet, le gouvernement avait dû proroger, pour une énième fois, la convention avec cette entreprise australienne jusqu’au 28 janvier 2018, tout en promettant une nouvelle prorogation de six mois, si et seulement si la junior minière australienne avait fait des progrès significatifs dans la recherche de partenaires devant contribuer au développement du projet minier de Mbalam-Nabeba.

Sundance Resources précise dans son communiqué de ce 19 mars 2018, que selon son entendement, puisque la durée de la période d’extension est décomptée à partir de la date d’approbation de l’extension par le gouvernement, sa filiale camerounaise, Cam Iron, jouira de cette nouvelle prorogation de licence jusqu’au mois de septembre 2018.

La junior minière australienne ajoute qu’elle poursuivra ses discussions avec les sociétés chinoises Tidfore, Ccecc, et tout autre partenaire intéressé par le développement du projet minier de Mbalam.

Pour rappel, en vertu du protocole d'entente signé en janvier 2018 entre la junior minière australienne et la partie chinoise, «Sundance vendra 51% de sa participation dans Cam Iron à Tidfore, pour une valeur à convenir…», consacrant ainsi la prise de contrôle du chinois Tidfore sur le projet de Mbalam-Nabeba.

La visite du chef de l’Etat camerounais en Chine, du 22 au 24 mars 2018, pourrait accélérer la conclusion de cet accord entre Tidfore et Sundance Resources, et ainsi mettre véritablement sur les rails le projet minier le plus avancé du pays.

Ce d’autant que le positionnement de cette entreprise chinoise sur le projet de Mbalam-Nabeba est tel que, apprend-on, Tidfore a d’ores et déjà signé un accord-cadre de coentreprise avec la China Civil Engineering Construction Corporation (Ccecc), filiale de l'entreprise publique China Railway Construction Corporation (Crcc).

Dans cette joint-venture, Tidfore devrait s’occuper de la construction du terminal minéralier du port en eau profonde de Kribi, qui permettra d’exporter le fer extrait de la mine de Mbalam ; tandis que la société Ccecc, elle, s’occupera de la construction du chemin de fer, qui s’étirera sur 500 Km entre Mbalam et Kribi.

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

23-01-2018 - Le Chinois Tidfore Heavy Equipment Group sur le point de prendre le contrôle du projet minier de Mbalam-Nabeba

22-08-2017 - Face aux hésitations de China Gezhouba, le Cameroun et Sundance recherchent des investisseurs alternatifs pour le fer de Mbalam

31-07-2017 - Cameroun : 6 mois supplémentaires pour que Sundance Resources trouve un partenaire financier dans le projet minier de Mbalam

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L’on en sait désormais un peu plus sur les dessous de l’audience accordée le 21 février 2018, par le secrétaire général de la présidence de la République du Cameroun, Ferdinand Ngoh Ngoh, a William Alan Buckovic, fondateur de Geovic Mining Corp, junior minière américano-canadienne, détentrice, depuis 2003, du tout premier permis d’exploitation minière du Cameroun.

Ce sésame a été délivré pour le gisement de nickel, cobalt et manganèse de Nkamouna, localité située dans l’arrondissement de Lomié, région de l’Est du Cameroun.

 En effet, selon des sources proches du dossier, le fondateur de Geovic Mining n’est pas seulement venu annoncer la reprise du projet de Nkamouna, à l’abandon depuis 5 ans. Il est surtout aller au palais de l’Unité pour tenter d’obtenir des autorités camerounaises, de ne pas retirer le permis d’exploitation délivré à la filiale camerounaise de Geovic depuis 15 ans, mais qui n’a jusqu’ici produit aucun effet sur le développement de ce projet minier.

A en croire nos sources, face à l’incapacité de cette junior-minière à faire avancer le projet de Nkamouna depuis 2003, le gouvernement camerounais envisage, depuis la fin de l’année 2017, de retirer ledit permis. 

Il est ensuite prévu de lancer un appel d’offres international, afin de recruter un nouveau partenaire capable de véritablement enclencher l’exploitation du gisement de nickel-cobalt-manganèse de Nkamouna, qui intéresserait d’ailleurs déjà d’autres investisseurs financièrement plus solides.

 C’est à l’effet d’empêcher le gouvernement camerounais d’aller jusqu’au bout de cette logique, que William Alan Buckovic a débarqué au Cameroun en février dernier, puis a été reçu au palais d’Etoudi.

Pourtant, apprend-on de bonnes sources, cette junior minière a été exclue en 2014 de la bourse de Toronto (Canada), où elle était listée, pour non-respect des règles de fonctionnement de ce marché financier.    

«Geovic ne peut pas développer le projet minier de Nkamouna, simplement parce que cette entreprise n’a pas de ressources. La preuve, c’est qu’ils n’ont rien fait depuis 15 ans. Ce qui les intéresse, c’est de vendre leurs actifs sur ce projet au plus offrant.», commente une source proche du dossier. 

Brice R. Mbodiam

Lire aussi:

23-02-2018 - Après avoir déserté le Cameroun depuis 2013, Geovic veut relancer le projet d’exploitation du nickel et du cobalt de Lomié

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Le 21 février 2018, le secrétaire général de la présidence de la République du Cameroun, Ferdinand Ngoh Ngoh, a reçu en audience William Alan Buckvic, fondateur de Geovic Mining Corp. Geocam, filiale camerounaise de cette junior minière américano-canadienne, détient depuis le 11 avril 2003, le tout premier permis d’exploitation minière du pays, délivré pour le gisement de nickel, cobalt et manganèse de Nkamouna, localité située dans l’arrondissement de Lomié, région de l’Est du Cameroun.

William Alan Buckvic, apprend-on, est allé révéler au secrétaire général de la présidence de la République, l’intention du groupe minier qu’il a fondé, de relancer le projet de Nkamouna, quidepuis 15 ans, n’a jamais véritablement décollé, et est totalement en berne depuis 5 ans. En effet, depuis 2013, révèlent des sources locales, le site de Nkamouna est à l’abandon, les engins ont disparu et les bureaux de la direction générale à Yaoundé ont été vidés de leur contenu.

Ce qui avait tout l’air d’un départ de Geovic du Cameroun, survenait après une tentative manquée de cette junior minière, de céder tous ses actifs sur le projet de Nkamouna, à la société chinoise Jiangxi Rare Metals Tungsten Group Holdings Company Ltd (JXTC).

L’on se souvient, en effet, que c’est le 23 juillet 2013 que Geovic Mining Corp avait annoncé avoir signé «un accord définitif» avec ce groupe chinois. « Cet accord définitif représente un progrès significatif sur le chemin de l’exploitation du projet de Nkamouna. Le développement du projet devrait commencer dès que les financements seront disponibles et permettra la création d’emplois et de diversifier l’économie camerounaise.», avait déclaré le Pdg de Geovic Mining Corp, Michael Mason, qui accompagnait William Alan Buckvic au Palais de l’Unité, le 21 février dernier.

Mais au final, ce qui avait pourtant été présenté comme «un accord définitif» en juillet 2013 ne sera finalement pas respecté par les parties, la Société nationale des investissements (SNI), bras armé de l’Etat camerounais et porteuse des parts des opérateurs nationaux dans ce projet minier (39,5%), n’ayant pas vu ses conditions satisfaites par le partenaire chinois.

Au demeurant, cet échec était en réalité le énième épisode d’un long feuilleton fait de promesses non tenues, d’hésitations et, surtout, d’annonces juteuses sur le potentiel sans cesse réévalué du gisement de Nkamouna.

Conséquence, fait remarquer une source proche du dossier, l’action de cette junior minière n’a cessé de grimper sur la bourse de Toronto, au Canada ; tandis que les populations de l’arrondissement de Lomié, elles, continuent de caresser, depuis 15 ans,  le rêve de voir la localité de Nkamouna abritée la première mine du Cameroun.

«En tout cas, plus personne ne les écoute ici. Les populations n’y croient plus», confiait en décembre 2014, à Investir au Cameroun, Célestin Assama Mbongo, ancien maire de la commune de Lomié.

Brice R. Mbodiam

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03-12-2014 - Cameroun : Geovic Mining Corp abandonne le projet d’exploitation du Nickel et Cobalt de Nkamouna

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Le Cameroun et la Namibie projettent une collaboration dans le secteur minier. A cet effet, le ministre camerounais en charge des Mines (Minmidt), Ernest Gbwaboubou, a reçu en audience, le 20 février, à Yaoundé, Shipoh Peingeon Djabi Titus, Haut-Commissaire désigné de la République de Namibie au Cameroun avec résidence à Abuja, au Nigéria.

La partie camerounaise renseigne que l’objectif de cette audience était la prise de contact entre le diplomate namibien et le Minmidt en vue de la mise en place de plateformes de collaboration bilatérale dans le secteur des mines, de l’industrie et du développement technologique. Par ailleurs, ces plateformes pourraient conduire les responsables camerounais à visiter la Namibie pour découvrir les activités dans ce secteur et vice-versa. Ernest Gbwaboubou a souligné la disponibilité de son département ministériel à coopérer avec ce « pays frère ».

Le Cameroun pourrait tirer bénéfice de sa collaboration avec la Namibie qui présente un secteur minier solide. A titre de preuve, au deuxième trimestre 2017 par exemple, la Chambre namibienne des mines avait indiqué qu’au moment où la performance générale de l'économie locale était négative, la mine était un des deux secteurs à afficher une forte croissance de 25,8%, contre 19,4% au même trimestre 2016.

Paradoxalement, le Cameroun qui, de son côté, dispose du plus grand gisement d’Afrique en nickel et cobalt, de la deuxième réserve d’Afrique en bauxite, du plus grand corridor d’Afrique centrale en gisement de fer, du rutile, de l’or, du diamant, de l’uranium... n’a exploré jusqu’ici que 40% de son potentiel minier.

S.A

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