(Investir au Cameroun) - A la Une de son édition d’avril 2021, qui vient de paraître et est gratuitement téléchargeable sur notre plateforme, le magazine Investir au Cameroun conclut qu’en matière de gestion des personnels de l’Etat, « un régime minceur s’impose ». C’est que, dans son dossier du mois qui adresse la question de la rémunération des agents publics, votre journal, s’appuyant sur les documents officiels, lève le voile sur le casse-tête que deviennent progressivement les dépenses des personnels de l’État du Cameroun.
En effet, entre tripatouillages du fichier solde, erreurs de calcul volontaires ou involontaires engendrant des paiements indus, ou encore les recrutements massifs à la fonction publique, dont le corollaire est l’alourdissement de la masse salariale ; le Trésor public camerounais consacre une part importante de ces ressources pour garantir la paie et les avantages dus à ses employés.
À côté de ce dossier chiffré, l’édition de votre magazine consacre l’interview du mois à la directrice du Bureau de mise à niveau des entreprises (BMN), au lendemain de l’entrée en vigueur de la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) et de la mise en œuvre de la 5e phase du processus de démantèlement tarifaire dans le cadre des APE avec l’Union européenne.
Dans cet entretien, Chantal Elombat Mbedey esquisse non seulement le bilan de cette structure étatique, indispensable pour la compétitivité des entreprises locales, mais aussi et surtout souligne l’importance pour les créateurs de richesses à se mettre à niveau, dans un environnement économique global de plus en plus concurrentiel, en raison de la chute progressive des barrières douanières entre les États.
Au-delà des deux temps forts sus-mentionnés, l’édition d’Investir au Cameroun d’avril 2021 c’est le rand-up des évènements majeurs qui auront marqué l’économie camerounaise au cours des dernières semaines.
BRM