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Yaoundé - 06 mai 2024 -

La société Camwood Corporation vient d’être déclarée éligible au bénéfice de la loi portant incitation à l’investissement privé au Cameroun, qui offre aux opérateurs économiques locaux et étrangers, l’opportunité de bénéficier d’exonérations diverses, sur 5 à 10 ans, pendant les phases d’installation ou d’exploitation de leurs entreprises.

Camwood Corporation ambitionne, en effet, de construire au Cameroun une unité de transformation du bois, qui permettra de créer 250 emplois directs, apprend-on, pour un investissement global estimé à 16 milliards de francs FCfa.

Pour rappel, depuis quelques années, le bois est devenu le 2ème produit d’exportation du Cameroun derrière le pétrole. Mais, le pays qui exporte généralement son bois après la première transformation, peine à tirer une plus-value substantielle de l’exploitation forestière (6% du PIB), à cause du manque d’unités industrielles assurant les 2ème et 3ème transformation.

 

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Published in Entreprises

La société agro-alimentaire Simco ambitionne d’investir une enveloppe globale d’un milliards de francs Cfa dans la construction d’une unité de fabrication de produits alimentaires laitiers au Cameroun. Cet investissement, selon ses promoteurs, va générer une centaine d’emplois directs.

Ces informations ont été révélées le 3 juin 2015 à Yaoundé, à l’occasion de la signature de la convention entre l’Etat du Cameroun et les responsables de cette société, afin que cette initiative entrepreneuriale bénéficie de la loi portant incitation à l’investissement privée au Cameroun.

Pour rappel, cette loi adoptée par le parlement camerounais en avril 2013, offre aux opérateurs économiques la possibilité de bénéficier des exonérations fiscalo-douanières allant de 5 à 10 ans, pendant les phases d’installation et de production.

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Published in Agriculture

La Cameroon Railways (Camrail), filiale du groupe Bolloré, qui fête cette année son 15ème anniversaire sur le chemin de fer camerounais grâce à un contrat de concession signé avec l’Etat, consentira des investissements globaux d’un montant de 22 milliards de francs Cfa en 2015, a indiqué le magazine panafricain Jeune Afrique.

Selon la même source, ces investissements permettront à l’entreprise de poursuivre sa politique de renouvellement du matériel roulant et de certains tronçons de la voie ferrée camerounaise, de même qu’elle modernisera davantage ses systèmes d’information.

Dans le cadre de ce plan d’investissements 2015, Camrail a déjà réceptionné, en avril dernier, deux nouvelles locomotives d’une capacité de traction de 1500 tonnes de marchandises chacune. Ces engins ont été livrés par la société sud-africaine Grindrod, pour un montant de 3 milliards de francs Cfa. Au total, annonce Camrail, ce sont huit nouvelles locomotives qui seront réceptionnées cette année.

Ces nouvelles acquisitions devraient permettre au transporteur ferroviaire camerounais de booster ses performances, qui ont culminées à plus de 1,5 million de passagers et 1,6 million de tonnes de marchandises transportées en 2014. Le tout pour un chiffre d’affaires estimé à plus de 60 milliards de francs Cfa et un bénéfice de 4 milliards de francs Cfa, indique Jeune Afrique.

 

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Published in Transport

Buetec, entreprise spécialisée dans le tricotage, la teinture et la confection, qui fait actuellement office de leader du marché des articles publicitaires (T-shirt et polos) au Cameroun, vient de se doter d’un plan d’investissements de 650 millions de francs Cfa, en vue de s’attaquer au marché européen sur lequel Buetec compte exporter des articles 100% camerounais d’ici 2017, a-t-on appris de source autorisée.

Selon ce plan, apprend-on, 250 millions de francs Cfa vont être investis en urgence, pour améliorer la productivité et la capacité de production de l’entreprise, tandis que 450 millions de francs Cfa seront investis dans un délai compris entre 1 et 2 ans, dans l’optique d’accroître les capacités de production pour assurer les exportations vers l’Europe.

Grâce à ces investissements et aux exportations vers l’Europe, cette entreprise camerounaise qui importe le fil en Inde, à cause des limites du fil local en matière de tricotage, apprend-on, ambitionne de quadrupler son chiffre d’affaires actuel sur une période de 5 ans, les exportations représentant 60% des ventes totales. En 2014, l’entreprise a annoncé un chiffre d’affaires de 700 millions de francs Cfa.

 

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Published in Entreprises

Kiro'o Games, la jeune entreprise camerounaise qui s'est lancée dans la production d'un jeu vidéo à partir d'un studio local, a annoncé le closing de son capital d'investissement à 182 504 euros (120 millions de francs Cfa), deux ans après son lancement. «Le projet a généré suffisamment de garanties et de visibilité mondiale. Cela s’est ressenti par un effet «dynamite» en générant plus de concrétisations que de souscriptions», a confié à l'agence Ecofin, Olivier Madiba (photo), le jeune DG de l'entreprise, visiblement satisfait.

La somme peut paraître petite, mais dans l'environnement de création de l'entreprise au Cameroun, c'est pratiquement une réussite pionnière. Kiro'o Games est déjà le premier studio de production de jeux installé en Afrique francophone, il est aussi l'une des toute première très petite entreprise à avoir exploré les voies du capital risque pour mobiliser des financements en vue de son expansion.

Selon les données financières publiées par l'entreprise, la mobilisation de ces ressources a suivi trois étapes principales. Une première dite de "tirs rafales", qui consistait à ouvrir le capital à tout le monde. Dans la 2ème année en 2014, il était désormais question de "tirs de précision", avec pour effet d’obtenir peu de souscriptions pour près de 98% de concrétisations. En ce début d'année 2015, le projet a connu un effet "boule de neige", qui s'est caractérisé bien plus rapidement par un grand nombre de concrétisations.

«En observant la courbe de la somme levée cumulée du Tableau 2, on remarque aisément deux pentes brutes entre septembre 2013 et janvier 2014 d’une part, et entre janvier 2015 et avril 2015, d’autre part. Ces pentes traduisent une accélération au niveau des ventes de part et les périodes concernées correspondent respectivement aux parutions des articles sur le projet dans le journal Le Monde et l’ouverture du Studio d’une part, et d’autre part au reportage sur France 24 et la sortie de la démo, d’autre part», explique-t-on chez Kiro'o Games.

74% des participations pour les Camerounais

Les résultats de l’analyse statistiques démontrent que les tranches d’âge les plus sensibles sont de 26 à 30 ans et de 31 à 35 ans, puisqu’elles détiennent 60% du capital ouvert aux investisseurs. Toutefois, la comparaison avec les chiffres de 2013 à 2014 démontre deux choses : Les 26 à 30 ans ont été les plus réactifs, c’est-à-dire les plus aptes à prendre des risques dès la prise de contact. Les 30 à 31 ans ont pris plus de recul, mais une fois décidés, ils ont investi davantage que leurs homologues de 26 à 30 ans

Autre leçon qui ressort des tableaux de l'entreprise, c'est que le projet a accroché une majorité de Camerounais, qui dominent l'actionnariat, avec 74% des participations. Les personnes de nationalité française sont le deuxième gros actionnaire avec une participation de 20%. On retrouve par la suite des Togolais, des Congolais, des Allemands et des Béninois. Toutefois, le gros des Camerounais ayant investi dans le projet résident à l’étranger.

L'entreprise est désormais orientée vers l'optimisation de son capital, afin de tenir les promesses et les engagements pris auprès de ses investisseurs. « J'aime à dire qu'on est parti de loin et aujourd'hui on vit une aventure sans pareille. Personne n'y croyait vraiment sauf nous et aujourd'hui nous avons la confiance de plusieurs personnes. Je ne peux être que confiant et avec nos équipes nous avons à cœur de tenir nos promesses en terme de rentabilité», a confié Olivier Madiba.

Idriss Linge

 

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Published in Télécom

Sur l’enveloppe globale de 37,7 milliards de francs Cfa qu’Eneo, la société de production et de distribution de l’électricité au Cameroun, envisage d’investir dans la modernisation de son réseau en 2015, 10 milliards de francs Cfa seront consacrés à l’amélioration des infrastructures de production. «La majeure partie (de cette enveloppe) sera consacrée aux travaux de réhabilitation et de sécurisation des centrales hydroélectriques de Songloulou, Edea et Lagdo», annonce l’entreprise dans un communiqué.

Cependant, souligne Wilfred Ntuba, directeur financier d’Eneo, la réalisation de ces investissements est étroitement liée au civisme des clients de l’entreprise concessionnaire du service public de l’électricité, en matière de règlement de leurs factures de consommation. «Notre objectif est d’investir 37,7 milliards de francs Cfa, dont 16,2 milliards prêtés par les banques et 21, 5 milliards dégagés de notre cash-flow, donc du produit de nos vente. Nous pensons que nous pouvons y arriver, d’autant plus qu’en 2014 nous avons investi 16 milliards de francs Cfa générés par nos ventes. Malgré notre optimisme, nous précisons que nos prévisions pour 2015 ne seront traduites dans les faits que si nous recouvrons régulièrement et dans les délais 100% des ventes réalisées auprès de nos clients, toutes catégories confondues», prévient Wilfried Ntuba.

En effet, cet opérateur a généralement du mal à recouvrer ses factures auprès de nombre de ses clients, du fait de l’incivisme de ces derniers. En juillet 2014, par exemple, Eneo avait lancé une campagne de recouvrement forcé, dans l’espoir de recouvrer une partie des 34 milliards de francs Cfa réclamés à des clients souvent insolvables. Pour le seul premier trimestre semestre 2014, les impayés des consommateurs culminaient à 14 milliards de francs Cfa,

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La société camerounaise Fafinsa, qui exerce depuis plus de deux décennies dans la filature du coton pour la production du fil à tricoter vendu sur le marché camerounais et les pays de la CEMAC, envisage de se lancer elle-même dans le tricotage et la confection.

Un rapport que viennent de publier la banque mondiale et la coopération allemande sur la filière coton-textile-confection au Cameroun, révèle en effet que cette entreprise vient de consentir d’importants investissements dans l’acquisition des machines destinées au tricotage et la confection, en vue de produire de la layette pour bébés. «Ce marché est actuellement détenu par les importations chinoises», souligne le rapport sus-mentionné.

En effet, selon les statistiques officielles, la filière coton-textile-confection camerounaise ne contrôle que 1% du marché local de l’habillement. L’essentiel des vêtements en circulation dans le pays provient de l’Europe (la friperie) et, surtout, de la Chine, en ce qui concerne la plupart des vêtements neufs.

Le plan d’investissements que vient de boucler la société Fafinsa vise donc à s’attaquer au segment de la layette pour bébés, dans lequel les tricoteuses artisanales locales ne peuvent faire face à la rude concurrence des importations chinoises.

Selon le rapport sus-mentionné, Fafinsa, qui produit annuellement 240 tonnes de fil à tricoter et revendique un chiffre d’affaires de 1,9 milliard de francs Cfa par an, envisage non seulement de diversifier la production, mais aussi d’accroitre de 15% ses ventes sur le territoire camerounais sur le moyen terme, et d’augmenter ses exportations de 30 à 60% dans les pays de la zone CEMAC.

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Louis Yinda, le PDG de la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), le leader du marché camerounais du sucre contrôlé par le groupe français Somdiaa dirigé par la famille Vilgrain, vient d’annoncer que cette entreprise agro-alimentaire investira 10 milliards de francs Cfa en 2015, pour renforcer et moderniser son outil de production.

Bien que ces investissements ne soient pas explicités par Sosucam, l’on sait tout de même que depuis quelques années déjà, l’entreprise est engagée dans un processus d’extension de ses plantations de cannes à sucre dans les localités de Mbandjock et de Nkoteng, dans la région du Centre du pays, grâce à un nouveau bail emphytéotique signé avec l’Etat du Cameroun en avril 2006, sur une superficie de 12 000 hectares. Pour l’heure, Sosucam cultive près de 20 000 hectares sur les deux sites.

A l’analyse, les investissements annoncés pour cette année font partie d’un programme d’investissement global de 110 milliards de francs Cfa étendu sur la période 2013-2017, tel qu’annoncé par le PDG de l’entreprise en octobre 2013 à Yaoundé, au cours d’une conférence de presse. M. Yinda avait alors indiqué que ces investissements permettront à l’entreprise d’atteindre un niveau de production sucrière oscillant entre 165 et 170 000 tonnes, contre 120 000 tonnes actuellement, pour une demande nationale officiellement estimée à 300 000 tonnes.

Les nouveaux investissements de Sosucam surviennent dans un contexte marqué par la signature prochaine d’une convention cadre entre le gouvernement camerounais et Cosumar, le leader du marché du sucre au Maroc, pour la reprise d’un projet de développement d’un complexe sucrier à Batouri, dans la région de l’Est du pays.

D’un montant total de 60 milliards de francs Cfa, ce projet qui vise la création de plantations de cannes à sucre sur 32 000 hectares et une production initiale de 60 000 tonnes par an, a commencé à être développé par le consortium indo-camerounais Justin Sugar Mills, dont la convention avec l’Etat du Cameroun a ensuite été résiliée, officiellement pour divers «dysfonctionnements». Suite à un nouvel appel à investisseurs, Cosumar a été préféré à Somdiaa, groupe auquel fait déjà partie la Sosucam.

BRM

 

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Une vingtaine de chefs d’entreprises belges participeront au Salon de l’Entreprise Promote 2014, qui se déroulera du 6 au 14 décembre 2014 à Yaoundé. Ces promoteurs de PME belges, apprend-on, «souhaitent investir en Afrique et au Cameroun en particulier. Au cours de leur séjour, ces promoteurs visent les chefs d’entreprises camerounais, intéressés par des collaborations et projets d’extension de leurs activités. A cet effet, ils projettent des entrevues avec les responsables d’entreprises et d’organismes publics, privés, patronaux, syndicats et associations professionnelles. L’objectif étant de nouer des contacts effectifs, qui aboutiront à des partenariats ou des accords commerciaux».

La délégation d’opérateurs économiques belges à Promote 2014 sera constituée d’entreprises exerçant dans les secteurs aussi variés que la formation, l’informatique, la conception de logiciels, la transformation du bois, l’énergie, la sonorisation, la production du matériel ferroviaire, l’automobile, la production d’emballages industriels, les produits pharmaceutiques, les transports (réseau de Tramway)…

Au cours de leur expédition camerounaise, ces promoteurs d’entreprises belges seront encadrés par L’Agence wallonne à l'exportation et aux investissements étrangers (AWEX), «département de la Région wallonne de Belgique en charge de la promotion du commerce extérieur et des investissements étrangers» ; et par Brussels Invest & Export, qui «œuvre au développement économique de la Région de Bruxelles-Capitale».

 

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Au mois d’octobre 2014, annonce la Société d’exploitation des parcs à bois du Cameroun (SEPC), le concessionnaire du parc à bois du port de Douala, dans la capitale économique du pays, a évacué 122 562 m3 de bois (91 196 m3 de grumes et 31 366 m3 de débités), ce qui porte à 246 196 m3 de grumes et 82 550 m3 de bois débités, les quantités totales de bois livrées entre août et octobre 2014.

Ces performances qui permettent de désengorger le parc à bois de Douala, renseigne la SEPC, ont été rendues possibles grâce à l’acquisition récente de nouveaux équipements de manutention, destinés à renforcer les capacités opérationnelles du concessionnaire. Il s’agit notamment, apprend-on, d’une chargeuse Volvo, engin de manutention des charges allant jusqu’à 12 tonnes, et d’une barge de marque Speed Appro, sorte de bateau à fond plat, dépourvu de moteur, généralement utilisé en convois et poussé sur les rivières et canaux à grand gabarit. Elle peut transporter jusqu’à 400 tonnes de chargement, apprend-on.

D’un montant total de 382 millions de francs Cfa, ces investissements de l’année 2014 seront portés à «plus de 2 milliards de francs Cfa avant la fin de l’année», soutient l’entreprise, grâce à l’acquisition d’une grue de quai Treillis. Aussi, les responsables de la SEPC affichent-ils davantage d’optimisme face à la décongestion définitive du parc à bois du port de Douala, qui, pendant plus de 9 mois, est resté engorgé.

«Nous allons maintenir le cap des performances actuelles. Et je dois dire aussi que le dialogue qui a prévalu entre les acteurs de la filière bois et SEPBC, face à la congestion, nous a permis de nous solidariser et d’unir nos efforts pour améliorer les performances de notre terminal à bois. Nous atteignons aujourd’hui des pics de chargement de l’ordre de 4.700 m3 par jour. Nous avons l’ambition d’atteindre le cap de 6.000 m3 de bois évacués quotidiennement», confie Eric Gerbet, le DG de la SEPBC.

 

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