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Yaoundé - 04 mai 2024 -

Dix ans après son lancement en Afrique, notamment en Côte d’Ivoire, Orange Money, le service de transfert d’argent via le mobile du groupe télécoms français Orange, pèse d’un poids de plus en plus important dans le chiffre d’affaires de cet opérateur en Afrique.

A l’occasion de la célébration du 10ème anniversaire de ce service cette année, le groupe Orange révèle qu’«avec une dynamique de croissance qui s’accélère et un chiffre d’affaires en progression de 60% de 2016 à 2017, Orange Money est devenu l’un des principaux relais de croissance du groupe sur le continent, notamment en Côte d'Ivoire, au Mali, au Burkina Faso, au Sénégal et au Cameroun».

Lancé au Cameroun en 2011, le service Orange Money est rapidement devenu leader sur le marché du transfert d’argent dans le pays, mettant sur la touche, la société Express Union, jadis leader des transferts domestiques, et devançant le service similaire lancé par le concurrent MTN Cameroun.

Le 6 décembre 2016, l’opérateur Orange Cameroun a renforcé son positionnement sur le mobile money, en lançant la carte Visa Orange Money, qui permet à son détenteur d’effectuer des opérations de retraits d’espèces sur l’ensemble des distributeurs automatiques du réseau Visa dans le pays. Le Cameroun devenait ainsi le 2ème pays à expérimenter cette carte Visa, après le Botswana.

Dans une récente étude sur l’usage du mobile banking par les entreprises en 2017, l’Institut national de la statistique (INS) révèle que 40,3% d’entre elles, utilisent le service Orange Money, qui est cependant devancé par le concurrent MTN Mobile Money, utilisé par 40,7% des entreprises camerounaises.

BRM

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Le 3 octobre 2018, de nombreux abonnés à la téléphonie mobile sur le territoire camerounais ont été privés de la possibilité d’effectuer des appels téléphoniques sur certains réseaux pendant plusieurs minutes, tandis que la connexion Internet, elle, a été interrompue durant une bonne partie de l’après-midi.

Après le retour à la normale de la situation, en fin d’après-midi, l’on a pu apprendre de bonnes sources que ce désagrément a été une nouvelle fois causé par une coupure de la fibre optique. D’ailleurs, dans un communiqué rendu public le 3 octobre 2018, l’ART, le régulateur du secteur des télécoms au Cameroun, dénonce «les multiples coupures de la fibre optique», qui sont «la principale cause de la dégradation de la qualité de service» dans le secteur des télécoms dans le pays.

Cette situation est d’autant plus alarmante que, révèle l’institution en charge de la régulation du secteur des télécoms au Cameroun, l’on enregistre «en moyenne une trentaine de coupure de la fibre optique par mois» sur le territoire nationale.

Selon Camtel, l’opérateur public des télécoms, à qui revient la charge exclusive de la gestion de l’infrastructure à fibre optique, ces multiples coupures «sont occasionnées par les travaux de réhabilitation des infrastructures routières» actuellement en cours sur le territoire camerounais.

«En tenant compte de la place de cette infrastructure, l’ART a demandé à Camtel d’assurer un meilleur maillage de son réseau, en tenant compte des besoins en redondance, pour garantir une qualité de service offerte par cette infrastructure essentielle.», peut-on lire dans le communiqué rendu public le 3 octobre 2018 par le directeur général de l’ART, Philémon Zo’o Zame (photo).

Brice R. Mbodiam

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«On tient là une vision, informée -et sans doute documentée- des enjeux d’aujourd’hui et de demain». C’est ainsi que la ministre des Postes et Télécoms (Minpostel) du Cameroun, Minette Libom Li Likeng, perçoit le clin d’œil que le chef de l’Etat, Paul Biya, fait au développement du secteur des télécoms et TIC dans la nouvelle édition révisée de son livre «Pour le libéralisme communautaire», publié pour la première fois il y a plus de 30 ans. 

Dans une note de lecture de ce livre-programme du candidat du parti au pouvoir pour l’élection présidentielle du 7 octobre 2018, le chef du département ministériel en charge des télécoms, relève comme une invitation devenue récurrente du chef de l’Etat camerounais, pour la mise en œuvre d’une politique visant à créer les conditions du développement d’une véritable économie numérique.

«Les Technologies de l’information et de la communication doivent bénéficier d’une grande attention, au regard des succès remarquables qu’elles ont eu en Afrique. Il nous faut en tirer le plus grand profit. L’infrastructure à fibre optique devra être complétée, pour réaliser un véritable backbone national, élément indispensable à l’essor des services de téléphonie et l’Internet. Plus généralement, cette infrastructure doit permettre l’essor de l’économie numérique, qui s’affirme chaque jour un peu plus, et qui est aujourd’hui au cœur de la croissance et de la compétitivité des entreprises et des pays à travers le monde, tant elle contribue à transformer nos modes de production, par l’introduction et l’accroissement du contenu numérique dans les différents secteurs.», souligne en effet, Paul Biya dans la nouvelle édition du livre sus-mentionné.

En plus de ces écrits présidentiels, qui s’apparentent à une feuille de route, la ministre des Postes et Télécoms, comme pour démontrer que Paul Biya reste, selon elle, «attentif aux mutations marquantes de notre époque», s’arrête sur cet extrait du livre, en rapport avec le phénomène des réseaux sociaux : «il importe cependant que nous restions vigilants face aux dérives découlant d’une utilisation inappropriée de ces technologies. J’en appelle donc à plus de responsabilité dans la manipulation de ces outils modernes de communication, afin qu’ils soient des catalyseurs de croissance et de développement et non des véhicules de désinformation, de calomnie et de règlement de comptes de tout genre». 

BRM 

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«Observateur d’un jour». Ainsi est baptisé le concept lancé par le journaliste camerounais, Guibaï Gatama (photo), à l’effet, soutient-il, d’offrir aux Camerounais la possibilité d’exercer leur citoyenneté, en devenant des « observateurs », le 7 octobre 2018, date à laquelle se déroulera l’élection de celui qui sera chef de l’Etat camerounais pour le prochain Septennat.

« Présidentielle 2018. Soyez observateur d’un jour. Avec vos photos et vidéos, où que vous soyez, faites vivre l’élection du 7 octobre dans votre bureau de vote sur la page Facebook de Guibaï Gatama », peut-on lire sur une affiche conçue dans le cadre de cette initiative.

Selon son promoteur, ce concept participe du renforcement du rôle d’acteur que doit jouer tout citoyen en démocratie, qui plus est, à l’ère des réseaux sociaux. Cependant, précise Guibaï Gatama, toutes les dispositions seront prises pour non seulement ne pas être en porte-à-faux avec les lois régissant les élections au Cameroun, mais aussi pour éviter des Fake news, dans le cadre de cette opération.

Aussi, apprend-on, chaque image ou vidéo envoyée (sur le compte whatsapp de l’initiateur ou via messenger), avec précision du lieu, de l’heure et de la circonstance, sera rigoureusement vérifiée et examinée avant d’être publiée sur la page Facebook de Guibaï Gatama qui servira de plateforme de diffusion.

BRM

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Le Country manager Afrique de Yahsat est formel. Selon Yannick Kashila (photo), en lançant officiellement son service de fourniture d’accès à Internet par satellite, YahClick au Cameroun, le 27 septembre 2018 dans la capitale économique du pays, l’opérateur émirati Yahsat ne se positionne pas en concurrent des providers de l’Internet déjà présents sur le marché local, mais apporte une petite révolution dans le secteur.

En effet, apprend-on de cette entreprise des télécoms basée aux Emirats arabes unis, le service YahClick est déployé grâce «à la bande KA, qui arrive au Cameroun pour la première fois», et permettra aux internautes camerounais des villes et des campagnes d’expérimenter «l’Internet satellitaire à haut débit», avec des vitesses de «100 mégabits/s en téléchargement et 25 mégabits/s en distribution», apprend-on.

«Ce sont des vitesses qui correspondent à la super 4G.», précise Eric Plunian, directeur commercial et marketing de Ringo, une société des télécoms bien connue sur le marché camerounais de l’Internet, et qui est partenaire de Yahsat dans le déploiement de YahClick au Cameroun, avec deux autres entreprises locales que sont Swecom et TechforA.

A en croire le Country manager Afrique de Yahsat, le coût, la qualité et la fiabilité de l’Internet satellitaire que déploie cet opérateur permettra tout simplement de «libérer le potentiel des entreprises camerounaises et du service public». «Il y a beaucoup d’entreprises qui n’ont pas connecté leurs sites, parce que les coûts étaient assez importants. Avec la bande KA, les coûts sont divisés par 8 voire 10, comparé à ce qui existe déjà sur le marché.», révèle le directeur commercial et marketing de Ringo. Selon lui, avec ses coûts très abordables, YahClick offrira non seulement la possibilité à beaucoup plus de particuliers et d’entreprises du Cameroun de pouvoir se connecter à l’Internet satellitaire (les coûts des kits à installer sont également divisés par au moins deux, apprend-on), mais contribuera également à booster le volume de leurs activités, grâce à une bande passante plus importante et la «connectivité ininterrompue» qu’offre ce service.

Citant quelques exemples des transformations apportées par YahClick au sein des entreprises et services publics dans les pays où il est déployé, le Country manager Afrique de Yahsat confie que ce service Internet satellitaire a, par exemple, permis au gouvernement sud-africain de réaliser un projet d’installation de 207 bibliothèques dans la plus grande région du pays, ou encore de connecter à l’Internet, 400 écoles en milieu rural au Kenya.

Par ailleurs, a-t-on appris, c’est grâce à YahClick que la Public Investment Corporation (PIC), l’entreprise en charge de la gestion du fonds de pension des fonctionnaires sud-africains, gère ses assurés sociaux éloignés des grandes villes du pays.

Brice R. Mbodiam  

Lire aussi:

26-09-2018 - Le marché de l’Internet par satellite au Cameroun s’enrichit d’un nouveau concurrent, Yahsat

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La Cour d’appel du Centre a condamné, le 20 juillet 2018, l’opérateur de la téléphonie mobile, MTN Cameroun, dans une affaire de pratique anticoncurrentielle l’opposant à l’opérateur camerounais du transfert d’argent, Express Union. 

Cette juridiction entérine ainsi, après une requête de MTN, une décision rendue contre cet opérateur télécoms, le 24 janvier 2017, par le tribunal de première instance de Yaoundé-Centre administratif, ordonnant à MTN Cameroun de rétablir dans son entièreté, au profit d’Express Union, le portail USSD *050#, sous astreinte de 500 000 FCFA par jour de retard. 

Le portail USSD *050#, apprend-on, permet à tout utilisateur des services d’Express Union Mobile Money d’effectuer des opérations financières sur son compte, à partir d’un téléphone portable, quel que soit l’opérateur de mobile auquel il est abonné.

Express Union a été privé de ce portail, depuis le 07 juin 2016, sans motif, souligne l’entreprise, dans ses différentes correspondances relatives à cette affaire dans laquelle MTN Cameroun est accusé de pratique anticoncurrentielle. Puisque la suspension du code *050# prive les clients d’Express Union du service de transfert d’argent par mobile, activité également pratiquée par MTN Cameroun. 

A la suite d’une plainte d’Express Union auprès de l’Agence de régulation des Télécoms, MTN Cameroun avait été enjoint par le régulateur, le 18 octobre 2016, de rétablir le code USSD *050#, injonction ignorée par l’opérateur de la téléphonie mobile, obligeant Express Union à saisir la justice qui vient de se prononcer en sa faveur pour la 2ème fois.

Pour rappel, une procédure du même type a été déclenchée par Express Union contre l’opérateur de mobile Orange Cameroun, mais cette fois-ci devant la Commission nationale de la concurrence. 

Au sujet des accusations de pratiques anticoncurrentielles portées contre eux, les deux opérateurs de mobile (MTN et Orange) ont toujours clamé leur innocence, rappelant qu’ils n’ont jamais été en partenariat avec Express Union sur le code USSD *050#.   

BRM

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27-11-2017 - Cameroun : le régulateur télécoms s’invite dans le conflit opposant Orange, MTN et Express Union sur le Mobile Money

14-07-2017 - Cameroun : la concurrence farouche sur le marché du Mobile Money suscite des accusations de pratiques anticoncurrentielles 

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La ministre camerounaise des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng (photo) a procédé, le 21 septembre 2018 à Yaoundé, la capitale du pays, à l’inauguration de la Sup’ptic Business Academy, l’incubateur d’entreprises de l’Ecole nationale supérieure des postes, des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication (Sup’ptic).

Cet incubateur a pour objet, apprend-on, d’accueillir, de former, d’héberger et d’accompagner au triple plan technique, organisationnel et financier, des porteurs de projets innovants dans le secteur des postes, des télécommunications et des TIC. «L’inauguration de la structure à laquelle nous avons procédé ce jour est significative à plus d’un titre. Elle témoigne de l’engagement et de la détermination constants du gouvernement à accompagner, selon les standards universellement reconnus, notre jeunesse si créative, dans son épanouissement et son insertion, sans complexe, dans l’économie numérique. Il s’agit d’encadrer des initiatives par des infrastructures, des compétences et des financements.», a confié la ministre.

Et ce membre du gouvernement camerounais d’ajouter : « cette action s’inscrit dans la stratégie de mise en œuvre de la vision du chef de l’Etat. Vous vous souvenez qu’il a dit de l’économie numérique qu’elle est créatrice d’emplois et vecteur de croissance. Ce faisant, Sup’ptic, pour répondre aux besoins d’une formation de pointe, tient par cet incubateur un repère historique de la volonté des pouvoirs publics à en faire un pôle d’excellence en matière de formation. Je lance à ce sujet un vibrant appel à nos jeunes, étudiants, startuppers et autres, pour qu’ils en tirent le meilleur parti».

Toujours dans cette logique d’accompagnement des porteurs de projets dans le secteur des télécoms et TIC, l’on se souvient que la ministre des Postes et Télécoms avait déjà présidé, moins d’une semaine plus tôt, la signature d’une convention de partenariat entre l’entreprise postale publique, Campost, et la Zng Smart Card Factory, entreprise à travers laquelle, le jeune ingénieur camerounais, Arthur Zang, l’inventeur du Cardiopad, vient de lancer la Zcard, une carte à puce permettant d’effectuer des paiements grâce à des terminaux électroniques.

BRM 

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18-09-2018 - Après son Cardiopad, le Camerounais Arthur Zang lance une carte de paiement électronique, en partenariat avec l’entreprise postale

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Quelques mois après le lancement de ses activités en Côte d’Ivoire et au Sénégal, la start-up Baloon, qui revendique le leadership du courtage d’assurance digital sur le continent africain, a officiellement ouvert sa filiale au Cameroun, le 20 septembre 2018 à Douala, la capitale économique du pays, a-t-on appris officiellement.

Agréé depuis le mois de juillet 2018 par le ministère camerounais des Finances, Baloon Cameroun va, dans un premier temps, proposer des offres en assurance automobile de deux grandes compagnies du marché camerounais, à savoir AXA et Saham, précise-t-on au sein de l’entreprise.

Par la suite, la start-up panafricaine fondée par Bertrand Vialle, ancien dirigeant de Gras Savoye sur le continent africain, ambitionne de diversifier ses produits dans d’autres domaines, avec en ligne de mire l’assurance santé, en partenariat avec d’autres compagnies en activité au Cameroun. 

«Fini les files d’attente, les longs formulaires compliqués à remplir ! Avec Baloon, l’assuré se connecte simplement sur le site www.baloon.cm depuis son mobile ou son ordinateur, prend une photo, choisit sa formule, signe et paie par mobile money. Et le voilà assuré ! Jamais cela n’aura été aussi simple et rapide.», explique la start-up, qui entend jouer une partition déterminante dans la progression du taux de pénétration de l’assurance au Cameroun. Ce d’autant que, apprend-on, «dans les autres pays, 40% de ses clients n’étaient pas du tout assurés auparavant».

Pour rappel, le taux de pénétration de l’assurance au Cameroun atteint officiellement à peine 2%. Selon Protais Ayangma, ancien dirigeant de compagnies d’assurances et promoteur d’«Assuretech», une initiative visant à impulser le développement de l’assurance à travers la digitalisation, au Cameroun, «la digitalisation pourrait quintupler le chiffre d’affaires des assurances et améliorerait sa contribution au PIB». 

Brice R. Mbodiam

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22-08-2017 - Protais Ayangma Amang : « La digitalisation pourrait quintupler le chiffre d’affaires des assurances et améliorerait sa contribution au PIB » 

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Le 21 septembre 2018, le ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Guy Bertrand Mapangou, a procédé au lancement des travaux d’interconnexion par fibre optique du Gabon au Cameroun et à la Guinée Equatoriale.

Les villes qui accueilleront la fibre optique jusqu’à la frontière avec les deux pays sont Bouée, Lalara, Mitzic, Oyem, Bitam, Meyo-Kyé, Oyane et Lambaréné.

La connexion du Gabon au Cameroun et à la Guinée Equatoriale entre dans le cadre du projet Central Africa Backbone- composante Gabon. Le chantier financé par la Banque mondiale et supervisé par l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (ANINF) sera réalisé par l’entreprise coréenne Korea Telecom (KT).

Le lancement par le Gabon de l’interconnexion par fibre optique avec le Cameroun et la Guinée Equatoriale intervient après le bouclage en avril 2018 de sa liaison par fibre optique avec le Congo voisin. 1100 km d’infrastructure avaient été déployés par la China Communications Service International (CCSI) à travers le pays jusqu’à la frontière congolaise.

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La fondation lancée par l’opérateur des télécoms Orange Cameroun a officiellement installé le 19 septembre 2018, sa 25ème école numérique dans le pays, à l’école publique «Petit Joss» de Douala, la capitale économique camerounaise, apprend-on officiellement.

Dans le cadre de ce projet visant à numériser les enseignements dès l’école primaire au Cameroun, la Fondation Orange a fait à cette école publique, une dotation d’un kit contenant un mini serveur de contenus éducatifs connecté à 50 tablettes, ainsi qu’un vidéo projecteur et un écran.

Grâce aux 25 écoles numériques ouvertes sur le territoire camerounais à ce jour, souligne Orange Cameroun, pas moins de 10 000 enfants sont désormais connectés au projet «Ecoles numériques», officiellement lancé au mois de mars 2017 dans la petite localité de Nkolbewa, dans la région du Centre du pays.

BRM

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