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Yaoundé - 05 mai 2024 -

Selon un rapport rendu public le 7 juillet 2014 par l’Autorité portuaire nationale (APN), le trafic au port de Douala en 2013 a augmenté de 9,8%, franchissant pour la première fois de son histoire la barre de 10 millions de tonnes de marchandises traitées, pour se situer à 10.592.021 tonnes, contre 9.642.086 tonnes en 2012.

«Le port de Douala a été conçu pour accueillir un trafic de 10.000.000 de tonnes. Le trafic actuel étant de plus de ce volume (en dépassement de près de 600 000 tonnes), le port se trouve donc mécaniquement en sous-capacité», fait remarquer l’APN, qui rappelle que le trafic sur cette place portuaire représente, à lui tout seul, 99,7% de l’ensemble du trafic maritime dans le pays.

Cette sollicitation à l’extrême du port de Douala intervient au moment où le Cameroun s’apprête à mettre en service le tout nouveau port en eau profonde de Kribi, dont les travaux de la première phase (la construction d’une digue de protection, d’un chenal d’accès des navires, des quais d’accostage, de deux terminaux polyvalent et à conteneurs) sont réalisés à 97%, selon Patrice Melom, le responsable de l’unité de coordination du projet.

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Dans le rapport de l’activité portuaire de l’année 2013 présenté à ses administrateurs le 4 juillet 2014, l’Autorité portuaire nationale (APN) révèle que le ciment et les hydrocarbures ont largement dominé les importations sur le Cameroun l’année dernière. En effet, ces deux produits, souligne l’APN, ont respectivement représenté 16 et 15,1% des importations parvenus au port de Douala qui, apprend-on, a traité 99,7% de l’ensemble des importations du pays.

Dans le détail, précise le rapport, un peu plus de 1,260 million de tonnes de ciment ont été débarquées au port de Douala entre janvier et décembre 2013, du fait certainement de l’abondance des chantiers de construction d’infrastructures en cours dans le pays. Une situation qui crée un déficit, la production nationale culminant désormais à 1,7 million de tonnes par an (1,2 million pour Cimencam et 500 000 tonnes pour Cimaf), pour une demande qui tourne actuellement autour de 4 millions de tonnes, et est officiellement projetée à 8 millions de tonnes.

Dans le même temps, indiquent les statistiques de l’APN, un peu plus de 1,190 million de tonnes d’hydrocarbures ont été importées par le Cameroun en 2013, puisque le pays dispose d’une raffinerie (Sonara), qui ne traite pas le brut produit localement.

Derrière le ciment et les hydrocarbures, viennent le riz et le Clinker (matière première pour la fabrication du ciment), avec respectivement 759 000 tonnes et 655 000 tonnes, soit, en valeur relative, 9,6 et 8,3% des importations totales du pays l’année dernière.

Les produits de la quincaillerie et le blé en vrac pointent aux 5ème et 6ème rangs, avec 558 000 et 543 000 tonnes importées respectivement, soit environ 7,1 et 6,9% des importations totales. Arrivent enfin les poissons congelés (212 000 tonnes, c’est à dire 2,7% de l’ensemble des importations), les produits chimiques industriels (plus de 203 000 tonnes, soit 2,6% des importations), les autres produits alimentaires (190 000 tonnes, soit 2,4% des importations) et les véhicules et engins (187 580 tonnes, représentant 2,1% du trafic import).

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Le Comité national de facilitation du trafic maritime international (Comité FAL), plateforme de concertation des acteurs de la place portuaire de Douala, s’est réuni en «urgence» le 1er juillet 2014 dans la capitale économique camerounaise, afin de plancher sur «la crise que connaît le port de Douala depuis 9 mois», a-t-on appris dans un communiqué rendu public par le président du Comité FAL, André Fotso, par ailleurs président du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam).

Cette «situation préoccupante que connaît le port de Douala» se traduit, apprend-on, par «l’engorgement des espaces et d’autres facteurs circonstanciels entraînent un ralentissement de la cadence de manutention et le rallongement des durées d’attente des navires à la bouée de base. Il en découle un accroissement exponentiel des délais de passage et des coûts à l’import ainsi qu’à l’export, avec des répercussions négatives sur l’économie et l’image de la destination Cameroun à l’heure où les pouvoirs publics et l’ensemble des autres acteurs sont engagés dans une mobilisation générale pour accélérer la croissance», décrit le Comité FAL.

A l’origine de cette situation, diagnostique le Comité, «le dépassement des capacités structurelles du port ; le dépassement des capacités opérationnelles des différents concessionnaires ; l’afflux soudain des produits à traiter, notamment le bois, suite à la réouverture de la frontière centrafricaine ; la faible appropriation de certaines procédures et l’inadéquation de certaines autres dans une situation de congestion…».

Par ailleurs, le Comité FAL indexe «l’occupation des espaces par des marchandises avariées (exemple du ciment importé depuis 2010) ; les pannes récurrentes du scanner alors qu’il s’agit d’un outil de facilitation ; l’occupation prolongée et disproportionnée des terre-pleins par des camions parfois en attente de la pose des GPS ; la rétention des cautions qui contribue à asphyxier la trésorerie des commissionnaires agréés en douane et retarde la sortie des marchandises… »

Face à cette litanie de problèmes, les participants à la concertation de crise du 1er juillet, apprend-on, «ont identifié des mesures exceptionnelles (14 au total, Ndlr) à engager dans les tout prochains jours, pour résorber la situation actuelle». Il s’agit, par exemple, explicite le Comité FAL, de la suspension provisoire de l’accès du bois (grumes) dans le parc d’exposition, l’allègement des procédures de délivrance de bons à embarquer pour le bois, l’aménagement de nouveaux espaces de stockage de marchandises, la réactivation du parc à bois de Kribi, l’enlèvement du ciment stocké depuis 2010, le réaménagement des horaires de travail sur la place portuaire…

BRM

 

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Douala International Terminal (DIT), entreprise du groupe Bolloré Africa Logistics, concessionnaire du terminal à conteneurs du port de Douala a réceptionné le 10 mai 2014 dans la capitale économique camerounaise, «quatre portiques de parc de dernière génération» de la marque finlandaise Konecranes, a annoncé l’entreprise dans un communiqué. DIT indique, par ailleurs, que les pièces de rechange de ces nouveaux portiques ont été fournies par l’entreprise britannique Paterson Simons, qui en assurera également la maintenance.

Investissement d’un montant total de 4 milliards de francs Cfa, selon DIT, ces appareils de manutention portuaire qui seront assemblés en 12 semaines, apprend-on, vont «permettre d’accroître la compétitivité de DIT au port de Douala», dans ce sens qu’ils vont accélérer «les rythmes de déchargement et d’embarquement lors des opérations de transbordement des navires (…) et accélérer la vitesse de livraison des camions», de même qu’ils «vont permettre à DIT d’augmenter ses capacités de stockage».

Concrètement, ces portiques d’une capacité de levage de 40 tonnes, souligne DIT, revendiquent «une capacité d’environ 30 mouvements de conteneurs par heure, alors que les portiques de quais de la même génération également ont une capacité d’environ 22 mouvements de conteneur par heure». Réagissant à cette nouvelle acquisition, le DG de DIT, Neville Bissett, a indiqué que «par ces investissements, nous démontrons notre engagement pour développer le port de Douala et le Cameroun. Nous mettons tous les moyens en œuvre pour que le pays continue de jouir d'une croissance positive et qu’il devienne rapidement un modèle de développement économique en Afrique».

 

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Selon la réglementation douanière camerounaise, les marchandises arrivées au port de Douala disposent d’un délai de 10 jours francs pour être dédouanées et évacuées, afin d’éviter l’engorgement du port. Passé ce délai, les importateurs propriétaires desdites marchandises sont frappés de pénalités.

 

Mais, afin de faciliter l’approvisionnement du pays en riz, céréale parmi les denrées alimentaires les plus consommées dans le pays, le gouvernement camerounais permet exceptionnellement, depuis 2005, un séjour de 90 jours aux cargaisons de riz arrivées au port de Douala, compte tenu des volumes généralement importés (environ 700 000 tonnes par an, selon l’association des importateurs).

 

Seulement, depuis quelques semaines maintenant, les acconiers sont montés au créneau, pour exiger la suppression du délai exceptionnel de séjour des cargaisons de riz au port, au motif que lesdites cargaisons engorgent les magasins et ralentissent le travail des acconiers. «Les acconiers déchargent un bateau de riz de 10 000 tonnes en 30 jours et ils nous demandent, nous importateurs, de le sortir en 11 jours, ce qui est techniquement impossible», rétorque Hamadama Mouctar, conseiller du président de l’association des importateurs de riz, cité par le quotidien gouvernemental camerounais.

 

Pour ce dernier, la solution à l’engorgement des magasins du port par les cargaisons de riz réside dans la construction de nouveaux magasins par les acconiers. «Ce n’est pas aux acconiers de construire des magasins», rétorque Lin Onana Ndoh, Secrétaire général du Groupement professionnel des acconiers du Cameroun (Gpac). Et d’ajouter, pour soutenir qu’il est possible d’évacuer les cargaisons de riz du port de Douala au bout de 11 jours. «La filière ciment fait plus de stocks que le riz. Mais, ces opérateurs évacuent leur cargaison en 3-4 jours après le déchargement. Nos magasins ne sont pas des lieux d’entreposage à long terme».

 

Globalement, selon la Direction générale des douanes du Cameroun, plusieurs importateurs ont coutume de transformer l’enceinte portuaire en magasins de stockage, préférant le payement de pénalités et la sécurité qu’offre l’espace portuaire, aux entrepôts hors du port, dont les coûts de location sont par ailleurs jugés plus onéreux que les pénalités au port.

 

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«L’arrivée de plus grands navires au Port de Douala au 1er trimestre est un indicateur de ce que l’année 2014 s’ouvre sur des perspectives heureuses», se satisfait Douala International Terminal (DIT), dans un communiqué dont l’agence Ecofin a eu copie. Cet optimisme du concessionnaire du terminal à conteneurs du port de Douala, apprend-on de sources autorisées, procède de la remise en service du portique n°2 de cette place portuaire, après un mois de maintenance de routine, et de la reprise des travaux de dragage du chenal du port, finalement confiés à l’entreprise China Harbour Engineering Corporation (CHEC) après le départ précipité de la Belge Jan de Nul.

Ces deux éléments combinés ont rouvert les portes du port de Douala aux grands navires, décuplant par la même occasion le volume des activités de manutention réalisées par DIT. En effet, souligne l’entreprise dans le communiqué sus mentionné, «le volume des marchandises import/export du mois de Janvier 2014 a battu les records», se situant à «31 506 conteneurs équivalent Teus traités (20 pieds, Ndlr). Ce qui constitue le 2ème plus gros volume des conteneurs traités de tous les temps au DIT».

Une performance largement tributaire de l’état technique des deux portiques du port de Douala, sur lesquels des opérations de maintenance ont été effectuées, respectivement en novembre 2013 et février 2014, faisant passer les cadences des deux appareils «à une moyenne de 23 mouvements par heure, largement supérieures à l’année dernière (19 mouvements par heure en moyenne, avant le début de la maintenance de 2013), soit une amélioration de 21%», soutient DIT, qui annonce par ailleurs «une livraison de nouveaux engins de manutention en mai 2014, pour encore réduire le temps moyen de rotation des camions».

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Selon le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili (photo), l’activité dans les ports du Cameroun a connu une augmentation de 31% en 2013. Cette performance est principalement le fait du port de Douala, a-t-on appris au sortir du conseil de cabinet du gouvernement camerounais le 26 février 2014, qui «concentre 95% du trafic et 98% du chiffre d’affaires».

En effet, a révélé le Ministre Nkili, malgré un ralentissement de ses activités entre novembre et décembre 2013, à cause de la maintenance de l’un des ses portiques, «ce port d’intérêt sous régional a atteint en 2013 le volume record de trafic de 10 millions de tonnes». Pour rappel, le Cameroun compte actuellement quatre ports : Douala, dans le Littoral, Limbé, dans le Sud-Ouest, Garoua dans la Nord et Kribi, dans la région du Sud. Ces infrastructures portuaires, souligne Robert Nkili, «enregistrent des niveaux d’activités très variables».

C’est ainsi que le port de Limbé «affiche une activité essentiellement tournée vers le petit cabotage local et le transport de passagers avec les pays voisins». Mais en dépit de ce «trafic essentiellement informel, le port de Limbé a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires d’environ 800 millions de Cfa». En attendant la livraison du tout nouveau port en eau profonde de Kribi, l’ancien port de la localité «abrite sur son ancien site des activités de cabotage, de pêche artisanale et de plaisance».

Le port fluvial de Garoua, «qui contribue aux échanges avec le Nigeria, a été confié à la Communauté urbaine de cette ville depuis 2004 et se trouve presque à l’abandon en raison de l’ensablement notamment», renseigne le ministre des Transports.

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Selon les résultats de l’appel d’offres international ouvert pour la réalisation des travaux de dragage du chenal du port de Douala, que vient de publier le ministre des Marchés publics, Abba Sadou, le marché est attribué à l’entreprise China Harbour Engineering Corporation (CHEC).

L’entreprise chinoise qui construit actuellement le port en eau profonde de Kribi bat ainsi ses concurrents qu’étaient le Belge Jan de Nul, le Néerlandais Boskalis, Dredging International ou encore l’Espagnol Assigna.

Depuis au moins un an, les travaux du dragage du chenal du port de Douala ont été suspendus par Jan de Nul, le dernier adjudicataire de ce marché, à cause, apprend-on, d’une facture de 11 milliards de francs Cfa réclamée au gouvernement camerounais.

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Finalement, a appris l’agence Ecofin de bonnes sources, sur le 9 entreprises ayant achetés le dossier d’appel d’offres pour le recrutement d’une entreprise devant réaliser les travaux de dragage du chenal du port de Douala, seulement 5 ont déposés des offres technique et financière le 6 janvier 2014 au ministère des Marchés publics, qui a immédiatement procédé au dépouillement.

Les 5 postulants, selon nos sources, sont la société belge Jan De Nul et sa compatriote Dredging International, la Néerlandaise Boskalis, la China Harbour Engineering Company (CHEC) et l’entreprise espagnole Assignia.

En attendant l’analyse des offres techniques de ces entreprises, les offres financières révélées le 6 janvier 2014 lors de la séance de dépouillement, présentent des différentes plus ou moins importantes. Par exemple, apprend-on, alors que Jan De Nul envisage de réaliser les travaux de dragage du chenal du port de Douala à 16,7 milliards de francs hors taxes, Dredging International réclame un peu plus de 22,6 milliards de francs Cfa.

Dans le même temps, Boskalis croit pouvoir réaliser la même prestation à 18,4 milliards de francs Cfa, contre 15,7 milliards de francs Cfa pour CHEC et, surtout, 64,9 milliards de francs Cfa pour l’Espagnole Assignia. Financièrement donc, peut-on observer, les meilleures offres viennent de Jan De Nul, qui connaît bien le chenal du port de Douala, et de CHEC, l’entreprise chinoise qui, elle, connaît plutôt bien le port en eau profonde de Kribi qu’elle est en train de construire dans la région du Sud Cameroun.

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Le ministre des Marchés publics, Abba sadou, vient de publier un appel d’offres international ouvert, pour le recrutement d’une entreprise devant effectuer les travaux de dragage d’entretien à «la profondeur 7m du chenal d’accès au port de Douala».

Le dossier d’appel d’offres est disponible au ministère des Marchés publics, et les soumissionnaires, précise le communiqué, peuvent le retirer contre versement d’une somme non remboursable de 800 000 francs Cfa.

Les soumissionnaires, qui sont par ailleurs informé de ce que le contrat sera d’une durée de 24 mois (4 campagnes de 4 mois chacune), doivent s’assurer du versement d’une caution bancaire de 300 millions de francs Cfa, avant le dépôt des dossiers de soumissions, dont le délai de recevabilité est fixé au 10 décembre 2013.

Le dernier contrat de dragage du chenal du port de Douala, passé avec l’entreprise belge Jean De Nul, a été suspendu il y a quelques mois, à défaut d’avoir pu être renégocié, comme l’avait prescrit le gouvernement camerounais en 2012.

A l’origine de ces tentatives de renégociation, l’augmentation substantielle de l’enveloppe destinée au dragage, qui est passé de 3 milliards de francs Cfa par an, à près de 8 milliards de francs Cfa à partir de 2008.

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