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Yaoundé - 04 mai 2024 -

Alain Noël Olivier Mekulu Mvondo Akame, le directeur général (DG) de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS), et son homologue d’Orange Cameroun, Frédéric Debord, ont paraphé, le 22 mai, une convention de partenariat. Elle permettra de payer les cotisations sociales et des allocations familiales via le Mobile Money.

M. Mekulu Mvondo a expliqué qu’après avoir effectué leur télédéclaration sur le site de la CNPS, les employeurs pourront instantanément payer leurs cotisations sociales via la plateforme Orange Money. Pour les assurés volontaires, il suffira de composer un code Mobile Money fourni par l’opérateur de télécoms Orange et se laisser guider par la plateforme.

« Toutes choses qui permettent de mettre un terme aux pénalités de retard dues aux lenteurs dans les banques et longtemps décriées par les employeurs », s’est félicité le DG de la CNPS. De même, les bénéficiaires des allocations familiales n’auront plus qu’à communiquer leur numéro de téléphone Orange, afin de bénéficier de leurs prestations en temps réel dans leur téléphone.

Mais, il faut indiquer qu’après la signature de convention avec Orange Cameroun, d’autres opérateurs de télécoms pourraient suivre. Car, la CNPS, elle-même, indiquait déjà qu’elle était en discussion avec les opérateurs de télécoms MTN, Orange et Nexttel en vue d’implémenter le paiement des cotisations sociales via le Mobile Money. Mieux, l’organisme en charge de la sécurité sociale au Cameroun avait déjà commencé à expérimenter le paiement des prestations avec l’opérateur MTN.

S.A

Published in Télécom

L’École supérieure des Postes et Télécoms et TIC (Sup’ptic) de Yaoundé est la toute première institution camerounaise de l’enseignement supérieur, dont les étudiants seront certifiés Huawei ICT Academy. Le lancement officiel de ce programme de formation porté par l’équipementier chinois Huawei a eu lieu ce 22 mai 2019 dans la capitale du pays.

« Grâce à cette formation, Sup’ptic devient un hub des TIC en Afrique centrale », se réjouit le directeur de cette école professionnelle, Félix Watching. Au total, apprend-on, 200 étudiants de Sup’ptic bénéficieront de cette formation, dispensée par des enseignants ayant préalablement obtenu une certification de la firme chinoise. Les étudiants seront à leur tour certifiés Huawei ICT Academy au bout de 10 semaines de formation.

Selon M. Wu, le directeur des relations publiques de Huawei Cameroun, les 10 meilleurs étudiants au terme de la formation bénéficieront de bourses en cash offertes par Huawei. Par ailleurs, les 30 meilleurs pourront participer à la sélection 2019 du programme « Seeds for Future ». Il s’agit d’une initiative annuelle de Huawei, qui permet à 10 jeunes camerounais de bénéficier d’une formation au siège de Huawei, en Chine.

Dans le cadre de Huawei ICT Academy, l’équipementier chinois revendique une coopération avec plus de 300 universités dans le monde, ainsi que la formation de plus de 10 000 étudiants chaque année. Au Cameroun, quatre institutions d’enseignement supérieur sont en partenariat avec Huawei. Il s’agit de l’École supérieure des Postes et Télécoms et TIC, de l’Institut universitaire de la Côte, une institution privée de la ville de Douala, de l’École nationale supérieure polytechnique de Yaoundé et de l’université de Douala.

BRM

Lire aussi:

13-03-2019 - Huawei ICT Academy livre au Cameroun sa première cuvée de dix enseignants certifiés

08-03-2019 - Judith Yah Sunday, DG de Camtel : « sans la participation de Huawei, le secteur des TIC au Cameroun serait encore à la traîne »

Published in Formation

Orange Cameroun, filiale locale d’Orange, la multinationale française des télécommunications, a renouvelé, le 9 mai 2019 à Yaoundé, le contrat de partenariat qui le lie à la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). Le nouveau contrat s’étend jusqu’en 2023.

Dans le cadre de ce partenariat, a-t-on appris, Orange Cameroun va apporter un appui financier et technologique à la Fécafoot. Mais les détails de ces différents appuis n’ont pas été révélés. Certaines sources révèlent cependant que le numéro 2 du marché local du mobile a revu à la hausse sa contribution financière pour le développement du football au Cameroun.

Pour rappel, le dernier contrat entre les deux parties a été signé le 1er juillet 2015, et s’achève le 30 juin 2019. La période du nouveau contrat intègre l’année 2021, au cours de laquelle le Cameroun devrait finalement organiser sa première Coupe d’Afrique des nations de football depuis 1972, après le retrait de celle de 2019.

BRM

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L’inventeur camerounais Erik Gyslain Tiam Dzembouong, a été reçu le 10 mai dernier au ministère des Relations extérieures (Minrex), par M. Batha, directeur des Camerounais à l’étranger. Cette réception a été organisée en prélude à son départ pour Viva Technology (rendez-vous mondial des startups et des leaders pour célébrer l’innovation) qui se tiendra en France du 16 au 18 mai 2019.

Au Minrex, M. Dzembouong a expliqué qu’il fait partie des douze startups au monde, et la seule d’Afrique centrale, retenues pour présenter des inventions à Viva Tech. Ingénieur en génie électrique et expert en énergie renouvelable, l’inventeur camerounais a mis sur pied une entreprise dénommée « Global Initiative » au sein de laquelle il a développé l’application « Agropad ».

Cette application est un dispositif technologique qui permet aux agriculteurs d’irriguer leur exploitation agricole à distance en envoyant un simple SMS. Ce service ne dépend ni d’un opérateur téléphonique ni de la couverture réseau et permet une distribution intelligente de l’eau en termes de besoins, de quantité et de temps.

« Agropad » fournit également un bulletin météorologique en temps réel, offrant aux utilisateurs des informations sur la température, la radiation solaire, la vitesse du vent ou encore les précipitations. Des informations qui permettent à ces derniers d’adapter l’irrigation de leurs terres.

En 2018, Erik Gyslain Tiam Dzembouong avait reçu le 2e prix du concours RFI Challenge App Afrique, organisé en partenariat avec Société Générale.

S.A

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Une discrète bataille de positionnement se déroule dans le secteur de la monnaie électronique au Cameroun. Elle est aiguisée par l’imminence de l’interopérabilité des systèmes de paiement au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Cemac). Cette communauté regroupe six pays : le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la République centrafricaine et le Tchad. Et l’interopérabilité devrait booster le marché déjà juteux de la monnaie électronique dans la sous-région. Elle va donner la possibilité de faire des transactions entre différents types de comptes (mobile, bancaires…) et entre les pays de la Cemac.

« Toutes les banques se sont déjà équipées de plateformes qui leur permettront d’émettre leurs propres monnaies électroniques, interchangeables entre divers acteurs », confie à l’Agence Ecofin, une source proche du processus. Des groupes comme Société Générale ont déjà pris les devants. Cette banque a lancé au niveau africain (donc au Cameroun) une plateforme de transactions à travers le mobile baptisée YUP.

Dans un autre registre, les groupes de téléphonie mobile Orange et MTN viennent de mettre sur pied une plateforme. Elle devrait gérer l’interopérabilité de transactions, entre ces deux grands acteurs du Mobile Money en Afrique. Dénommé Mowali, cette plateforme n’est pas encore fonctionnelle. Nextell, le troisième opérateur n’est pas en reste. Il a lancé son service de Mobile Money baptisé Possa.

En attendant la règlementation…

La possibilité offerte à chacun des acteurs d’avoir son propre système de création et de mise en circulation de monnaie électronique participe de la volonté de la Cemac d’accroître l’inclusion financière. Mais il y a encore des réglages à faire pour rendre l’interopérabilité effective à l’échelle de la sous-région. On est en attente de deux règlements qui viendront statuer sur les normes à respecter en termes de réserves et de statut pour les établissements de paiement.

Dans l’attente de ces ajustements, certains opérateurs camerounais des télécommunications appliquent déjà ce principe. Grâce à des accords avec certains établissements de crédit, ils permettent de retirer de l’argent de son compte bancaire via un code tapé sur son téléphone, ou de transférer des unités de Mobile Money vers son compte bancaire. Mais les frais varient d’un opérateur à l’autre et d’une banque à l’autre. Ecobank par exemple prélève 1000 francs lors du transfert d’argent d’un de ses comptes vers un compte Orange Money, mais facture la même opération à 1 % du montant traité lorsqu’il s’agit de MTN Mobile Money.

Au-delà de l’efficacité technique, la bataille de l’interopérabilité risque de se situer dans les prix des prestations. Tout dépendra donc des redevances qu’exigeront, aussi bien le Groupement interbancaire monétique d’Afrique centrale (Gimac) pour l’émission monétaire, que les régulateurs de télécommunication pour les infrastructures techniques.

Au Cameroun, rien que le transfert de monnaie électronique à partir des terminaux mobiles a représenté un marché de 1 500 milliards FCFA. À près de 1 % les frais de retrait, on peut aisément comprendre le gros investissement effectué par l’ensemble des acteurs, pour tirer profit de l’interopérabilité.

Idriss Linge

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Il y a de la concurrence à l’horizon pour Easy Ride, la start-up camerounaise spécialisée dans la location horaire de véhicules et autres taxis VIP, qui opère actuellement à Yaoundé et Douala, les deux principales villes du pays.

Et pour cause, le 8 mai 2019, Heetch, une plateforme française de voiture de transport avec chauffeur (VTC), a annoncé avoir réussi une collecte de fonds de 34 millions d’euros (environ 23 milliards de FCFA). Ces financements, apprend-on, permettront à cette entreprise de s’implanter au Cameroun, en Côte d’Ivoire, en Algérie et au Sénégal, puis de développer ses activités en Belgique.

« Dans ces pays, on est un peu plus cher que le marché des taxis de rue, mais avec un confort et une sécurité supplémentaires. », a déclaré à l’AFP Teddy Pellerin, le cofondateur de Heetch. Pour le cas particulier du Cameroun, cette société française envisage d’étendre son service aux motos-taxis.

Déjà présente au Maroc (Casablanca, Rabat et Marrakech) depuis un an, la start-up française Heetch fait rouler environ 1 000 chauffeurs en France et en Belgique. Elle bénéficie de la confiance des investisseurs tels que Cathay Innovation, Total Ventures, Idinvest Partners, Innov'Allianz, Alven, Felix Capital et Via-ID. Ceux-ci ont d’ailleurs participé à sa dernière opération de collecte de fonds.

Brice R. Mbodiam

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Le 2 mai 2019 à San Francisco, aux États-Unis, la Camerounaise Manka Angwafo a été désignée lauréate du Cartier Women’s Initiative Awards 2019, pour le compte de l’Afrique subsaharienne, a officiellement annoncé cette entreprise de l’industrie du luxe. 

La jeune camerounaise a été primée grâce à Grassland. Ce service, lancé en 2015, permet de trier et de traiter efficacement des graines de premier choix. Cette trouvaille a permis d’améliorer la vie des agriculteurs dans la région du Nord-Ouest. Elle a un impact direct sur 300 agriculteurs et 1 800 résidents à ce jour.

Manka Angwafo a été inspirée par les difficultés vécues par sa grand-mère, qui l’a élevée dans une ferme céréalière de la région du Nord-Ouest du Cameroun. Elle remplace ainsi sur le podium du Cartier Women’s Initiative Awards, sa compatriote Melissa Bime. Cette diplômée en soins infirmiers avait été récompensée en 2018 grâce à l’originalité de sa plateforme Infiuss. Elle permet aux hôpitaux d’accéder facilement aux réserves de sang.

Pour cette édition 2019, Manka Angwafo a été sélectionnée par un jury international indépendant, parmi près de 2 900 candidats provenant de 142 pays. Son prix est assorti d’une enveloppe d’environ 50 millions de FCFA. La jeune camerounaise bénéficiera également d’un accompagnement personnalisé en entreprise, d’une visibilité dans les médias, des possibilités de mise en réseau, ainsi que de la possibilité de participer à un programme exécutif de l’INSEAD (ISEP).

BRM

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Alamine Ousmane Mey, le ministre camerounais en charge de l’Économie (Minepat) et l’ambassadeur de la République de Corée au Cameroun, Bok-Ryeol Rhyou, ont co-présidé, le 8 mai Yaoundé, l’ouverture de la 8e édition du forum économique et énergétique Cameroun-Corée.

Au menu des travaux, des exposés et des échanges d’expériences sur divers domaines de l’économie, tels que l’énergie, les infrastructures, le commerce, l’industrie, l’agriculture, l’économie numérique. Au cours de la cérémonie d’ouverture, Alamine Ousmane Mey a encouragé le géant coréen des télécoms Samsung C&T à investir davantage au Cameroun.

« La Silicon Mountain à Buea est une référence qui pourrait être dopée grâce au soutien de la Corée. Nous pensons qu’avec Samsung ici présent, nous parlerons de toutes ces opportunités. Nous veillerons à ce que l’expertise coréenne puisse continuer d’accompagner le Cameroun dans les secteurs prioritaires qui feront de notre pays, un pays émergent en 2035 », a déclaré le Minepat. Et d’ajouter : « Dans le domaine des TIC, l’expertise coréenne est à saluer et permet à notre pays de s’en inspirer. Nous voulons mettre en semble le secteur privé coréen et camerounais pour tirer avantage des partenariats publics-privés ».

En guise de réponse, Bok-Ryeol Rhyou a indiqué que, le géant Samsung C&T, l’une des plus grandes entreprises au monde, parlera au cours de ce forum de ses projets actuels et futurs sur le continent africain et au Cameroun en particulier. « La Corée est prête à partager ses expériences du développement économique avec le Cameroun et elle est prête à investir davantage dans le pays en tant que le partenaire le plus fidèle et le plus fiable », a conclu la diplomate coréenne.

Sylvain Andzongo

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Le Premier ministre camerounais a reçu en audience, ce 6 mai 2019, un émissaire de son homologue vietnamien à la tête d’une délégation de plusieurs personnes. Au centre des échanges entre Joseph Dion Ngute et Nguyen Quoc Cuong, par ailleurs vice-ministre des Affaires étrangères du Vietnam, la recherche des solutions à l’affaire Viettel Cameroun SA (Nexttel, de son nom commercial). Il s’agit de la bataille pour le contrôle de cette entreprise de télécommunication que se livrent ses deux actionnaires à savoir : Viettel Global et Bestcam. La première société, détenue par l’armée vietnamienne, contrôle 70 % des parts de Nexttel et la seconde société, propriété du milliardaire camerounais Baba Danpullo, détient le reste des parts, soit 30 %.

Au terme de son audience à Yaoundé, Nguyen Quoc Cuong a déclaré que le Premier ministre vietnamien, Nguyen Xuan Phuc, accordait une attention particulière à la résolution pacifique de ce conflit du fait de son attachement à la coopération entre les deux pays. « Le gouvernement vietnamien est responsable de la protection des entreprises vietnamiennes à l’étranger, y compris de l’investissement de Viettel au Cameroun, d’un montant évalué à 210 milliards de FCFA, et a appelé le gouvernement camerounais à exprimer les points et actions de protection des investissements étrangers de Viettel Global, conformément à la législation et aux accords bilatéraux signés par le Cameroun et aux engagements internationaux de chaque partie », a ajouté l’émissaire vietnamien.

Perspectives

«Nous espérons que le gouvernement camerounais comprendra pleinement la bonne volonté du Vietnam et considèrera les avantages essentiels du peuple camerounais comme une solution aux différends de Nexttel. La voie diplomatique et la politique de protection des investissements étrangers, en conformité avec le droit camerounais et la pratique internationale, ainsi que l’accord entre les deux entreprises communes sont le moyen le plus raisonnable de régler le conflit avant que l’affaire ne soit traduite devant le tribunal international», a déclaré, pour sa part, Do Manh Hung, le directeur général de Viettel Global, au sujet de la possibilité d’organiser une réunion bilatérale de haut niveau.

Selon Viettel Global, Baba Danpullo a pris « de nombreuses mesures illégales pour empêcher les Vietnamiens de travailler dans les bureaux de la coentreprise de Viettel au Cameroun à partir de novembre 2018 ». Ces griefs sont rejetés par l’actionnaire camerounais qui accuse la partie vietnamienne d’importer massivement la main-d’œuvre, au détriment des Camerounais qui seraient ainsi marginalisés par l’actionnaire majoritaire de Nexttel.

L’arbitrage des autorités camerounaises reste attendu. La visite de l’envoyé spécial du Premier ministre vietnamien se poursuivra jusqu’au 7 mai 2019. En plus de travailler avec le ministère des Affaires étrangères, Nguyen Quoc Cuong devrait tenir des réunions sur la coopération commerciale avec plusieurs autres membres du gouvernement camerounais.

Sylvain Andzongo

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Brice Dounkeng Zélé et Wilfried Joh Ekoka, deux étudiants camerounais en management des systèmes d’informations, viennent de mettre au point l’application Viamap. Elle permet de lutter contre l’insécurité dans les zones urbaines.

« Viamap est une application mobile permettant à une communauté d’utilisateurs d’identifier et de mapper des zones potentiellement à risques, afin d’informer le grand public sur les zones dangereuses de nos villes», explique Brice Dounkeng Zélé.

Concrètement, il s’agit d’une communauté numérique au sein de laquelle les témoins ou victimes de différents actes d’insécurité, ou alors ayant des informations sur des pratiques peu orthodoxes (consommation de la drogue, par exemple) pouvant entraîner l’insécurité dans une zone donnée, préviennent les membres de ladite communauté.

 Les concepteurs de Viamap souhaitent que cette trouvaille, développée « dans le cadre d’un devoir de classe », apprend-on, puisse contribuer à faire baisser drastiquement le taux de criminalité dans les villes camerounaises.

Ceci dans la mesure où, en plus de prévenir les utilisateurs sur les zones potentiellement dangereuses dans une ville, les informations véhiculées sur la plateforme Viamap peuvent servir de base de données aux forces de maintien de l’ordre, pour une meilleure programmation de leurs interventions.

BRM

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