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Yaoundé - 04 mai 2024 -

Le Camerounais Madiba Olivier réalise de nouvelles prouesses avec Kiro’o Games, le premier studio de jeux vidéo en Afrique francophone. Après l’ouverture, le 4 avril dernier, du capital de cette jeune entreprise camerounaise, des investisseurs internationaux ont déjà souscrit à hauteur de 174 000 dollars US. Soit 101,01 millions de FCFA levés ce 16 avril.

34163 in IC Kiroo Games la start up camerounaise de jeux vido lve plus de 100 millions FCFA auprs des investisseurs internationaux

«En 12 jours, nous avons enregistré 174 000 USD de souscriptions venant des investisseurs privés. Certains ont même déjà concrétisé leurs intentions. » affirme Olivier Madiba, fondateur et CEO de Kiro’o. Et le co-fondateur Jean-Yves Bassangna, de renchérir : «Au-delà de l’argent, Kiro’o ne retiendra que des investisseurs compatibles à notre vision. Nous assurons d’ailleurs une Due Diligence rigoureuse sur les sources de revenus des investisseurs »

Retrouvez ici l’interview vidéo d’Olivier Madiba, son histoire, ses jeux vidéos préférés, ses objectifs…

La jeune entreprise précise qu’elle utilise son fameux process «d’Equity Crowfunding Rebuntu» qui permet à des investisseurs d’acheter des parts à partir de 500 USD (environ 275 000 FCFA). Chaque nouvel actionnaire a un droit de vote et peut participer à la gestion de l’entreprise via un intranet dédié. L’opération est encore en cours et le studio souhaite boucler la levée de fonds en juin 2019.

 Au-delà de son Equity crowdfunding, le studio Kiro’o Games indique qu’il utilise en parallèle des voies plus classiques. La start-up se félicite de ce que, Rebecca Enonchong, une des pointures de la tech en Afrique francophone, est l’une des «Lead investor » de ce round à travers son syndicat de business Angels le « Cameroon Angels Networks ».

Kiro’o Games a forcé l’admiration de la Banque des Etats de l’Afrique centrale dans un de ses rapports en 2018 sur le Crowfundig dans la zone Cemac. Et pour cause, l'entreprise a réussi à financer le plus grand projet de l’industrie vidéoludique d'Afrique francophone, à hauteur de 129,87 millions FCFA (198 000 euros) par financement participatif. Et ceci, sans disposer au préalable de garanties immobilières, d’expérience avérée ou même d’une clientèle clairement identifiée.

SA

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Dans un document intitulé « l’empreinte économique d’Orange Cameroun », le cabinet Goodwill Management dresse le top 5 des secteurs fortement impactés par l’activité d’Orange au Cameroun. Il a été produit à l’occasion de la célébration en 2019, des 20 ans de présence du groupe français des télécoms dans le pays.

Ce classement note que l’impact des activités du numéro 2 de la téléphonie mobile au Cameroun est plus marqué dans l’intermédiation financière et le commerce (33 %). Cette réalité peut s’expliquer par la percée, ces dernières années, du Mobile Money au Cameroun. Ce service offre la possibilité d’effectuer des paiements et transactions bancaires via le téléphone portable.

En étant impacté à seulement 7 % par l’activité d’Orange Cameroun, le secteur des télécoms, pourtant activité principale de cette entreprise, pointe en 4e position sur ce classement, derrière respectivement la santé et l’éducation (13 %), puis l’administration publique (7 %), révèle Goodwill Management.

BRM

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15-04-2019 - Orange revendique 4,5 millions de clients Mobile Money contre plus de 5 millions pour son concurrent MTN   

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Deux nouveaux textes sont en préparation par la Commission bancaire d’Afrique centrale (Cobac), en vue de compléter la régulation déjà existante, des activités d’émission et de paiement de monnaie électronique. L’un des textes consiste à définir les normes prudentielles qui seront applicables aux établissements de paiement.

La montée en puissance du mobile money, a vu se créer une multitude d’acteurs non bancaire, dont les activités consistent soit à collecter des dépôts, soit à permettre des retraits d’argent à partir des téléphones portables. Si cela a contribué à la généralisation du mobile money, il subsiste néanmoins un risque latent que le régulateur bancaire de la Cemac veut anticiper.

Garanties

Avec ce projet de régulation qui est d’ordre prudentiel, on devrait s’attendre désormais à ce qu’il faille immobiliser un certain montant d’argent en fonds propres comme garantie, pour exercer cette activité. Il existe en effet des risques. Une situation de faillite ou de détournement pourrait par exemple pousser un établissement à ne plus honorer ses engagements de paiements. Un scénario qui pénaliserait aussi bien les déposants que les émetteurs de monnaie électronique.

Ce risque concerne aussi les prestataires de services de paiement autre que les établissements de paiement, qui vont de la PME à des individus dans des quartiers. Sur ce deuxième point aussi, un texte est en cours de préparation, en vue de réguler les obtentions d’agréments et les modifications de statuts. 

Redistributions de carte

Les nouveaux textes pourraient redistribuer les cartes dans le secteur, notamment du mobile money qui a mis à mal Express Union et Express Exchange, opérateurs classiques de transfert d’argent au Cameroun. L’obligation de disposer d’un matelas de fonds propres en couverture des risques potentiels, pourrait exclure de nombreuses personnes qui proposent ce service et repositionner les leaders déchus, notamment avec l’introduction prochaine de l’interopérabilité dans la sous-région.

Selon un récent rapport de la Beac, le volume d’argent circulant dans les comptes de mobile money, et non encore décaissé, a atteint 125,7 milliards de FCFA à la fin 2018, soit trois fois son encours de la fin 2016. Aussi, le nombre d’utilisateurs actifs de services de monnaie électronique a atteint les 6,7 millions. Enfin, la valeur des transactions de monnaie électronique a atteint les 8300 milliards de FCFA, soit 7 fois le montant de 2016.

Idriss Linge

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Le cabinet indépendant «Goodwill management» a mené une enquête à l’occasion du 20e anniversaire de la filiale camerounaise d’Orange. Cette enquête, publiée le 10 avril dernier, mesure l’empreinte économique du géant français des télécoms au Cameroun en 2018.

Selon «Goodwill management», le service d’Orange Cameroun, baptisé «Orange Money» (services et transfert d’argent par téléphone), est un moteur d’inclusion financière avec 4,5 millions de clients. C’est légèrement moins que les chiffres affichés par son concurrent MTN. Ce dernier revendique actuellement plus de 5 millions de clients au service «MTN Mobile Money».

Le service «Orange Money», toujours selon le cabinet indépendant, produit aujourd’hui des retombées économiques annuelles de 334,8 milliards de FCFA. Ceci grâce au transfert d’argent, au paiement de factures et marchand et aux opérations bancaires.

En termes d'utilisation des services Mobile Money au Cameroun, l’Institut national de la statistique indique dans une récente étude que l'ordre d’importance est le suivant : MTN mobile money (40,7%), Orange money (40,3%), et Afrikpay (8,5%).

S.A

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Joseph Dion Ngute, le premier ministre, a reçu le 11 avril à Yaoundé, une délégation conduite par  Philippe Wang, vice-président de la firme chinoise Huawei et Du Yin, directeur général de Huawei Cameroun.

Les différentes parties ont fait le point sur l’Accord de partenariat stratégique qui lie, depuis le 3 septembre 2018, le Cameroun et Huawei, dans le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC). Selon cet accord, l’entreprise chinoise doit, à terme, numériser des entreprises publiques camerounaises du secteur de l’énergie, la sécurité sociale, le secteur postal, les télécoms, etc.

Selon la délégation conduite par Philippe Wang, Huawei a commencé le transfert de technologie en matière de TIC ainsi que dans le domaine des câbles optiques sous-marins et les réseaux du Backbone de transmission par fibre optique, mis en place avec le concessionnaire public Camtel. Bien plus, l’on observe des avancées dans l’électrification rurale par énergie solaire photovoltaïque, le concept de ville intelligente par vidéosurveillance au plan national et la gouvernance électronique.

En outre, trois institutions universitaires camerounaises ont déjà souscrit au «Huawei ICT Academy», à savoir, l’Ecole nationale supérieure polytechnique de Yaoundé, l’Ecole nationale supérieure des postes et télécommunications (SUP’PTIC) et l’Institut universitaire de la côte (IUC). A travers le programme «Huawei ICT Academy», le groupe chinois a déjà fait bénéficier à 30 étudiants camerounais, des formations en Chine à raison de 10 étudiants par an, tout comme 10 enseignants camerounais ont pu être formés et certifiés dans le domaine du « Routing & Swithing ».

S.A

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Face à une croissance économique qui stagne, dans la mesure où elle peine à franchir la barre de 3% depuis l’année 2015, le Camerounais Albert Zeufack (photo), économiste en chef pour l’Afrique à la Banque mondiale, invite les gouvernements africains à se pencher résolument sur la transformation numérique, afin d’inverser la tendance.

« La transformation numérique peut apporter à l’Afrique subsaharienne une hausse annuelle de la croissance de pratiquement deux points de pourcentage, et permettre un recul de la pauvreté de quasiment un point de pourcentage par an. », indique-t-il.

En effet, à en croire cet économiste camerounais, la transformation numérique est la «révolution qui changera véritablement la donne en Afrique», soutient-il dans le communiqué annonçant la publication, le 8 avril 2019, du rapport Africa Pulse, baromètre semestriel de la Banque mondiale sur les économies africaines.

BRM

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La filiale camerounaise du groupe de télécommunication sud-africain MTN enregistre un résultat positif mais elle contribue moins au résultat global du groupe.

« Les choses s'annoncent beaucoup plus positives à mon sens. Je pense que vous allez voir un redressement relativement rapide dans la région Afrique de l'ouest et centrale », a fait savoir Rob Shuter le directeur général du groupe dans un échange avec des investisseurs.

En dépit de bonnes performances réalisées sur l’internet et le Mobile Money le chiffre d’affaires de MTN Cameroon a chuté de 16 milliards de francs Cfa, selon la grille de calcul prescrite par le rapport financier du groupe, publié le 7 mars 2019.

Cette contre-performance est le fait de la baisse des recettes sur les voix entrante et sortante. En effet, selon les états financiers du groupe MTN, les revenus engrangés sur la voix sortante au cours de l’année 2018, ont atteint 2,7 milliards de rands (125,2 milliards de francs Cfa), contre 3,02 milliards de rands un an plutôt, (133,3 milliards de francs Cfa).

D'un point de vue dynamique, M. Shuter pense qu'il y a eu une combinaison de baisses de performance sur le marché, mais que cela aura été surtout le fait de l'instabilité socio-économie et des questions d'environnement globalement défavorable, et qu'il y avait bon espoir que les choses s'arrangent.

« Nous savions au début de l’année que nous aurions du travail à faire, en particulier au Bénin et au Cameroun. Sur ces marchés, nous avons bien progressé dans la résolution des problèmes de redevance de fréquence et dans la finalisation des conditions de licence », a fait savoir le responsable.

Idriss Linge

Published in Télécom

La lecture des nominations rendues publiques le 11 mars 2019 par le Conseil d’administration de Camtel, l’opérateur historique des télécoms au Cameroun, révèle le recrutement d’au moins trois anciens cadres de MTN Cameroun, installés à leur propre compte depuis quelques années. 

Il s’agit de Christian Gilbert Ngono Onguene, ancien directeur technique de MTN Cameroon,  qui devient directeur des infrastructures chez Camtel ; de Léon Jean Blaise Ottou Bounougou, le nouveau directeur commercial de l’opérateur public des télécoms, qui a été un responsable au service commercial de MTN dans la région du Sud-Ouest ; et de Georges Mpoudi Ngollé (photo), ancien directeur des systèmes d’information chez MTN, qui rejoint Camtel en qualité de directeur des réseaux IP, du multimédia et des services.

Grâce à ces recrutements, Camtel, qui revendique invariablement 220 000 abonnés à la téléphonie depuis une dizaine d’années, espère certainement pouvoir se repositionner sur le marché local, sur lequel il est largué par des concurrents tels que MTN, Orange et Nexttel.

Gérant exclusif de la fibre optique, louée par les autres opérateurs, Camtel peine souvent, selon des sources internes à l’entreprise, à payer les salaires mensuels de ses employés. Il a souvent fallu des perfusions financières de l’Etat, son actionnaire majoritaire, pour pouvoir satisfaire cette obligation vis-à-vis des agents. 

Ces recrutements d’anciens cadres de MTN Cameroun, surviennent quelques mois seulement après la nomination d’une nouvelle directrice générale à la tête de Camtel, en la personne de Judith Yah Sunday, qui a remplacé David Nkotto Emane, dont la gestion de l’entreprise n’a pas été irréprochable, selon différents rapports officiels. 

BRM

Lire aussi:

30-01-2019 - L'opérateur télécoms Viettel Cameroun décrie les défaillances de Camtel dans la gestion de la fibre optique

20-12-2018 - Cameroun : les avenants aux concessions signés avec les opérateurs de mobile ont permis de « sauvegarder la position de Camtel »

16-11-2018 - Cameroun : avec 3 271 employés, l’opérateur public Camtel est le plus gros employeur devant Viettel, MTN et Orange

09-05-2018 - L’opérateur public camerounais des télécoms Camtel, négocie l’apurement de sa dette sociale vis-à-vis de la CNPS

Published in Entreprises

Le ministre d’Etat en charge de l’Enseignement supérieur au Cameroun, Jacques Fame Ndongo, a présidé le 12 mars 2019, dans la capitale du pays, la cérémonie de remise des parchemins aux 10 premiers enseignants du supérieur, qui ont été certifiés dans le cadre de la Huawei ICT Academy, programme de formation aux TIC dédié aux étudiants et universitaires, qui est ouvert à l’international.

Les 10 récipiendaires, qui ont également reçu chacun un ordinateur portable offert par l’équipementier chinois des télécoms, Huawei, proviennent de l’Ecole nationale supérieure des postes, des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication (Sup’ptic), et de l’Institut universitaire de la Côte, un établissement privé.

« Cette académie Huawei prépare les élèves à relever les défis et à saisir les opportunités créées par l’évolution rapide et les innovations multiples de l’industrie des TIC, et produit des ingénieurs multi-qualifiés, à même de travailler sur les technologies actuelles et du futur. Elle vient combler l’écart qui existe entre l’industrie et le milieu universitaire, en améliorant les possibilités pour les employeurs de trouver des personnes ayant les compétences requises par l’industrie », explique l’équipementier chinois, qui revendique une coopération avec plus de 300 universités dans le monde, et la formation de plus de 10 000 étudiants par an, dans le cadre de ce programme.

Au Cameroun, après la formation de cette première cuvée d’enseignants certifiés, apprend-on, la première classe d’étudiants de la Huawei ICT Academy sera ouverte au sein de l’Ecole nationale supérieure des postes, des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication.

En plus de cet institut public d’enseignement supérieur, et de l’Institut universitaire de la Côte, une 3ème institution d’enseignement supérieur camerounaise a rejoint la galaxie Huawei ICT Academy, le 12 mars 2019. Il s’agit de l’Ecole nationale supérieure polytechnique de Yaoundé, située dans la capitale du pays.

BRM

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29-06-2018 - 24 jeunes camerounais dans les starting-blocks, pour une formation au siège de l’opérateur télécoms chinois Huawei  

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Au cours de l’année 2018, en dépit de bonnes performances réalisées sur la data (Internet) et le Mobile Money par la filiale au Cameroun du groupe de télécoms sud-africain MTN International, le chiffre d’affaires de cette entreprise a chuté de 16 milliards de francs Cfa, selon la grille de calcul prescrite par le rapport financier du groupe, publié le 7 mars 2019.

En effet, en se basant sur un taux de change moyen entre le franc Cfa et le rand sud-africain, équivalant à 1 rand pour 45,07 francs Cfa en 2018, et à 1 rand pour 44,06 francs Cfa en 2017, les revenus globaux engrangés par MTN Cameroun en 2018, ont culminé à 4,549 milliards de rands (223,5 milliards de francs Cfa), contre 5,373 milliards de rands en 2017 (239,6 milliards de francs Cfa), en baisse de 16 milliards de francs Cfa.

Cette contre-performance est imputable à la baisse des recettes sur les voix entrante et sortante. En effet, selon les états financiers du groupe MTN, les revenus engrangés sur la voix sortante au cours de l’année 2018, ont atteint 2,778 milliards de rands (125,2 milliards de francs Cfa), contre 3,026 milliards de rands un an plutôt, équivalant à 133,3 milliards de francs Cfa. Sur ce seul poste de recettes, MTN Cameroun a perdu 8 milliards de francs Cfa sur la période d’un an allant de 2017 à 2018.

Sur la voix entrante, les états financiers du groupe révèlent une perte sèche de 6 milliards de francs Cfa en 2018, puisque les revenus sur ce poste ont culminé à 515 millions de rands (23,2 milliards de francs Cfa) l’année dernière, contre 663 millions de rands en 2017 (soit 29,2 milliards de francs Cfa).

Calculette en main, sur les seuls revenus des voix entrante et sortante, les recettes de MTN Cameroun ont chuté de 14 milliards de francs Cfa (sur une baisse des revenus globaux de 16 milliards de francs Cfa) au cours de l’année 2018, comparés à ceux de l’année 2017.

Selon la Direction générale de la filiale camerounaise de MTN Group, cette baisse des revenus est principalement la conséquence des revendications séparatistes empreintes de violences, en cours dans les régions anglophones du Cameroun (Nord-Ouest et Sud-Ouest) depuis 2017.

«Nos performances (…) sont fortement impactées par la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, où MTN détient 60 % des parts de marché du secteur des télécommunications.», confiait Hendrik Kasteel (photo), le directeur général de MTN Cameroun, au cours d’une rencontre avec la presse, le 31 janvier 2019 dans la capitale économique du pays.

A titre d’illustration, Massey Njiti Bongang, Corporate communications manager chez MTN Cameroun, a révélé en fin d’année 2018 à la plateforme NewsWatch, que dans les deux régions anglophones du Cameroun, «un total de 206 sites MTN ont été vandalisés (…), ou alors sont en panne, à cause des difficultés à pouvoir y accéder pour des raisons d’insécurité».

Parmi les éclaircies observées sur le tableau peu reluisant des performances de MTN Cameroun en 2018, en dehors de la croissance des revenus data et Mobile Money, l’on retrouve l’augmentation de la base clientèle.

Celle-ci a officiellement atteint 8 millions d’abonnés à fin 2018 (contre 7,1 millions à fin 2017), avec notamment le recrutement de 800 000 abonnés au cours du 4ème trimestre, grâce probablement à un nouvel enrôlement d’une partie des 3 millions d’abonnés désactivés par MTN Cameroun, en vertu de la réglementation en vigueur en matière d'identification des abonnés à la téléphonie dans le pays.

Brice R. Mbodiam 

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12-02-2019 - Péril sur les 60 % de parts de marché détenues par MTN Cameroun dans les régions anglophones, en proie aux revendications séparatistes

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