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Yaoundé - 03 mai 2024 -

S’exprimant le 10 février 2015 au cours de la signature d’une convention de prêt bancaire d’un montant de 143, 5 milliards de francs Cfa pour le refinancement de la Société nationale de raffinage (Sonara), le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna (photo), s’est réjoui de ce que «les banques locales s’impliquent de plus en plus dans le financement des grands projets».

A titre d’exemple, en plus de la récente sollicitude d’un consortium de quatre banques (BGFI, Ecobank, Afriland First Bank et Société générale) vis-à-vis de la Sonara, Basile Atangana Kouna a cité l’implication des banques locales dans le programme thermique d’urgence, ainsi que dans la construction de la centrale à gaz de Kribi, mise en service au premier trimestre 2013.

Aussi, le Ministre Atangana Kouna a-t-il invité les banquiers camerounais à s’intéresser également aux projets de construction de lignes de transport d’électricité en cours dans le pays, lesquels projets nécessitent d’importants financements pas toujours disponibles.

En outre, le ministre de l’Energie et de l’Eau a fait remarquer aux banquiers locaux que le gouvernement camerounais est actuellement engagé dans la construction d’infrastructures d’adduction d’eau potable à travers le pays. Ces projets, qui bénéficient davantage des financements internationaux, a-t-il indiqué, peuvent également être des occasions de placements pour les banques locales.

 

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Le gouvernement camerounais a signé, le 19 janvier 2015 à Yaoundé, avec la société Hydrochina International, un contrat commercial pour le développement du projet de barrage de Song Dong, dans la région du Centre. Ce barrage sera assorti d’une centrale hydro-électrique d’une capacité de 270 MW, et de deux lignes d’évacuation d’énergie de 225 KV, longues de 75 Km, apprend-on.

Selon le gouvernement camerounais et son partenaire chinois,  les études d’avant-projet détaillées, qui débuteront au mois de février prochain, devraient s’achever au mois de décembre 2015. «C’est à l’issue de cela que les caractéristiques et le coût final du projet seront connus», a indiqué le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna.

Provisoirement estimés à 375 milliards de francs Cfa, les travaux de construction du barrage de Song Dong devraient être financés par Exim Bank of China, que le gouvernement camerounais a promis de solliciter à cet effet, a-t-on appris de sources officielles.

 

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, a procédé le 1er décembre 2014 à Yaoundé, à la signature d’une convention avec la société chinoise TBAE Co, pour la réalisation des études de faisabilité et la construction de deux lignes de transport d’électricité dans le pays.

Il s’agit concrètement, a-t-on appris, d’une ligne de 225 Kv, qui sera construite entre les villes d’Ebolowa et de Kribi, dans la région du Sud, et d’une ligne de 90 Kv, à construire entre la ville de Mbalmayo et la localité de Mekin, respectivement située dans les régions du Centre et du Sud du Cameroun.

Les travaux, dont le montant n’a pas été révélé, devraient durer 18 mois, selon la convention, et seront entièrement financés par l’entreprise chinoise, la partie camerounaise se limitant à accorder des facilités fiscalo-douanières pour la réalisation du projet.

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Dans six mois, une nouvelle usine de traitement d’eau potable sera opérationnelle à la station de captage de la Mefou, à une vingtaine de Km de la ville de Yaoundé, afin d’apporter 50 000 mètres cubes d’eau potable supplémentaires par jour, aux populations de la capitale camerounaise.

Cette infrastructure sera construite sur le modèle Build-Operate-Transfert (BOT) par la firme indienne Imperial Holding Ltd, qui a signé un accord dans ce sens le 1er décembre 2014 à Yaoundé, avec le gouvernement camerounais, représenté par le ministre de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna.

Selon les termes de la convention, cette usine de traitement, qui va coûter environ 49 milliards de francs Cfa à la partie indienne, apprend-on, sera gérée pendant 15 ans par son constructeur, avant d’être ensuite rétrocédée à l’Etat du Cameroun.

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, a présidé les 8 et 9 octobre 2014 à Yaoundé, une rencontre entre le gouvernement, les différents opérateurs et acteurs du secteur de l’électricité au Cameroun (EDC, ARSEL, Eneo, EDF, AER), les bailleurs de fonds tels que la BAD et la Banque mondiale, pour discuter des modalités de la mise en place d’un gestionnaire du réseau de transport dans le secteur de l’électricité au Cameroun.

Au cours des discussions, apprend-on, les participants à ces travaux ont formulé des recommandations devant être examiner par le gouvernement camerounais, notamment sur l’architecture institutionnelle, l’organisation, le fonctionnement et l’opérationnalisation de cette entreprise en gestation, qui devra être à 100% à capitaux publics, selon la loi de 2011 régissant le secteur de l’électricité au Cameroun.

La future entreprise publique, qui est elle-même l’émanation de ladite loi, devrait, selon les experts, permettre de gérer plus efficacement le réseau de transport de l’électricité dans le pays, dont l’état actuel occasionne d’importantes pertes préjudiciables aussi bien à l’unique opérateur (Eneo), qu’aux entreprises et aux ménages.

En effet, selon une étude de l’Agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel), environ 6,5% de l’énergie produite au Cameroun est perdue dans le processus du transport, tandis que 29% s’évapore dans les circuits de distribution, du fait de fraudes multiformes et de la qualité des équipements.

A en croire le DG de l’Arsel, Jean Pierre Kédi, qui s’exprimait ainsi en mai 2013 au cours d’une conférence de presse organisée par l’Association Afrique-France, le Cameroun pourrait économiser jusqu’à «30% de l’énergie consommée par les bâtiments» en résorbant les pertes sus mentionnées.

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, dans un communiqué qu’il a rendu public cette semaine, prévient les consommateurs de gaz domestique que des «bouteilles à gaz domestique non conformes» ont été introduites «de manière frauduleuse (sur) le marché national sans contrôle préalable», lesquelles bouteilles présentent, selon lui, «des dangers imminents pour des personnes et des biens».

Ces bouteilles sont estampillées Antagaz, Butagaz, Primagaz, Petrogabon, Semmenkgas, Transcogaz, Berrogaz, Pizogaz, Shell Gas ou encore Monagas. Aussi bien au ministère de l’Energie et de l’Eau qu’au sein de la corporation des distributeurs de gaz domestique, les différentes sources s’accordent à dire que ces arrivées de bouteilles de gaz hors normes sur le marché camerounais sont le fait de Camgaz, le numéro 2 du marché derrière SCTM.

«Cela fait pratiquement deux mois que nous avons été informés de ce que ces bouteilles ne respectent pas les normes du Cameroun. Depuis cette période, nous ne les acceptons plus», explique un distributeur de gaz domestique à Yaoundé. «Toute personne qui détiendrait les bouteilles à gaz hors-normes de marques Transcogaz, Berrogaz, Pizogaz et Shell Gas, est priée de se rapprocher des dépôts Camgaz pour le remplacement desdits bouteilles par les bouteilles de marque Camgaz», rassure le ministre Atangana Kouna dans son communiqué.

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Au sortir des journées économiques du Cameroun, auxquelles une délégation camerounaise vient de participer à Montréal, au Canada, du 18 au 19 septembre 2014, apprend-on de bonnes sources, le gouvernement camerounais a signé un mémorandum d’entente avec la société canadienne dénommée «Charbons de bois feuille d’Erable écologique de biomasse», qui envisage de construire au Cameroun, une usine de production du charbon écologique, afin de contribuer à la résorption du déficit énergétique du pays.

«Le Cameroun entend devenir un géant de l’hydro-électricité en Afrique et son potentiel dans ce secteur est énorme. Mais nous voyons plus grand. Le solaire et le charbon font également partie de la solution pour notre pays», a indiqué le ministre de l’Energie, Basile Atangana Kouna (photo), en dressant le bilan de son département ministériel à cette expédition canadienne.

Pour rappel, le Cameroun dispose du 2ème potentiel hydro-électrique en Afrique, derrière la RD Congo. Mais le pays revendique à peine 1200 MW de capacité installée, ce qui plonge généralement de nombreuses villes dans le noir pendant la période d’étiage, marquée par la baisse du niveau des eaux dans les principaux barrages.

Face à cette situation préjudiciable aussi bien aux populations qu’aux entreprises, d’importantes sociétés industrielles du pays migrent progressivement vers le gaz naturel, grâce aux retombées du projet de la société britannique Rodeo Developement, qui exploite le champ gazier de Logbaba-Ndogpassi, dans la banlieue de Douala, la capitale économique du pays.

Une centrale à gaz a également été mise en service dans le pays en 2013, afin d’atténuer les galères des populations camerounaises, qui adoptent progressivement l’énergie solaire grâce aux importations massives de lampes et plaques solaires en provenance majoritairement de la Chine.

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Selon le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna (photo), qui a effectué, le 24 mai 2014, une visite sur le site de construction du barrage de retenue de Lom Pangar, dans la région de l’Est du Cameroun, cette infrastructure énergétique sera provisoirement mise en eau au mois de septembre 2014, en non plus en juillet comme initialement prévu.

Un léger décalage mis sur le compte des «aléas géologiques», qui n’empêchent cependant pas les travaux d’évoluer quasi normalement. A titre d’exemple, a pu constater le Ministre Atangana Kouna surplace, la digue de col du barrage est réalisée à 90%, tandis que le taux de réalisation global de l’ouvrage lui-même pointe à 50%, ainsi que l’a récemment annoncé Electricty Developement Corporation (EDC), le maître d’ouvrage de ce projet.

Au cours de sa visite, le ministre de l’Energie a également annoncé la mise en service de l’usine de production d’électricité qui sera construite au pied du barrage, pour l’année 2018. Par ailleurs, les 30 MW produits par cette usine ne serviront plus à alimenter seulement 150 localités de la région de l’Est, mais beaucoup plus.

Car, a-t-on appris de bonne source, la Banque africaine de développement (BAD), qui fait déjà partie des financiers du projet Lom Pangar, se propose de dégager des financements supplémentaires pour accroître le nombre de localités de la région de l’Est bénéficiaires des retombées de cette usine de production d’électricité.

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Le fonds d'investissement britannique Actis LLP et le gouvernement camerounais, représenté par les ministres des Finances et celui de l’Energie, ont officialisé le 23 mai 2014, la reprise de l’ensemble des actifs du groupe américain AES Corporation (AES Sonel, Kpdc et Dpdc) dans le secteur de l’électricité au Cameroun. Selon  Basile Atangana Kouna, le ministre camerounais de l'Energie, la formalisation du partenariat avec Actis s’est faite à travers la signature de deux avenants, dont l'un concerne  la convention d'actionnariat et l'autre la garantie du gouvernement camerounais à l'endroit des prêteurs d'AES-Sonel.

Le contenu des accords n'a pas fait l'objet de publication, mais le représentant du gouvernement camerounais a expliqué que l'arrivée d'Actis ne devrait pas inquiéter l'opinion publique. « Actis s'est engagé à poursuivre les investissements débutés par AES au Cameroun. Il s'est aussi engagé à conserver les emplois qui seront laissés par son prédécesseur et a, par ailleurs, indiqué qu'il octroierait 5% de son capital aux employés. Il n'y a donc pas de raison  de craindre l'arrivée de ce nouvel investisseur dans le secteur », a expliqué le Ministre Atangana Kouna.

Pour sa part, David Grylls, qui représentait le fonds d'investissement a fait savoir qu'Actis prend ses nouvelles responsabilités très au sérieux et va honorer  ses engagements vis-à-vis du gouvernement camerounais et de ses populations. « Notre vision pour la Sonel s'appuie sur cinq axes majeurs : la continuité du service, l'investissement, la performance opérationnelle, une concentration des efforts à l'endroit du management et des employés et un niveau optimal de gouvernance», a-t-il déclaré lors de sa prise parole.

Globeleq pour gérer KPDC et DPDC

Pour ce qui est des centrales thermique de Dibamba et de Kribi, Actis LLP pourrait les manager à travers sa filiale Globeleq Africa, qui, selon un document d’information distribué à la presse au cours de la cérémonie du 23 mai dernier,  devrait partager son expérience avec les deux autres filiales d’AES Corp au Cameroun, que sont KPDC et DPDC, chargées de produire l'énergie pour le compte d’AES Sonel,  à partir des deux centrales thermiques sus mentionnées.

Le closing de la transaction entre Actis et AES Corporation ne devrait pas rencontrer de difficultés particulières, le fonds d’investissement britannique ayant sécurisé en 2013, à travers Actis Energy 3, les fonds qui lui permettent de faire face à ses obligations financières vis à vis d'AES Corporation. Pour rappel, AES a annoncé début novembre 2013, être parvenu à un accord avec Actis, pour la cession de ses part dans le secteur de l’électricité au Cameroun, pour un montant global de 220 millions $ (environ 110 milliards de FCfa).

Les 1,15 milliard $ (plus de 500 milliards de FCfa) mobilisés dans le cadre du fonds Actis Energy 3 devrait permettre de couvrir ce montant. Néanmoins, Actis arrive dans le secteur camerounais de l’électricité, dans un contexte marqué par une pression de plus en plus forte des populations camerounaises, qui exigent une énergie plus stable à des prix plus soutenable. Actis ne minimise pas ces défis, mais dans une interview accordée au Financial News en novembre 2013, monsieur Grylls avait indiqué que le défi le plus fort que puisse présenter le Cameroun est politique, comme dans la plupart des marchés où le fonds intervient.

Idriss Linge

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna (photo), vient de révéler, dans une interview au quotidien gouvernemental, que l’Etat camerounais finalise actuellement les négociations, en vue du rachat auprès de la société britannique Aggreko, de la centrale thermique d’Ahala, près de la capitale, d’une capacité de 60 MW.

Exploitée par le producteur indépendant d’énergie Aggreko, à la faveur d’un contrat avec l’Etat du Cameroun, la centrale thermique d’Ahala fait partie des infrastructures mises en place par le gouvernement camerounais, dans le cadre de son programme thermique d’urgence (PTU) visant à augmenter la production de l’électricité dans le pays, afin de réduire le déficit.

Dans un communiqué rendu public le 3 février 2014 par Aes Sonel, le concessionnaire du service public de l’électricité, le DG de cette entreprise, Jean David Bilé, annonçait que l’Etat camerounais avait transféré à Aes Sonel trois centrales thermiques du PTU, dont celle d’Ebolowa, Mbalmayo et Bamenda. Seule celle d’Ahala, la plus importante en terme de capacité de production, reste jusqu’ici dans le giron du PTU, et est en voie d’acquisition définitive par l’Etat camerounais, selon le Ministre Atangana Kouna

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