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Yaoundé - 26 avril 2024 -

Selon les statistiques que vient de rendre publiques l'Association bananière du Cameroun (Assobacam), les producteurs de la banane dessert en activité sur le territoire camerounais ont exporté 25 995 tonnes sur les marchés extérieurs au cours du mois de janvier 2016.

En janvier 2015, ce sont 26 366 tonnes de bananes qui avaient été exportées sur la même période. L'on observe donc une baisse des exportations de 371 tonnes au premier mois de l'année 2016, par rapport à l'année dernière.

A l'analyse, cette contre-performance est imputable à la baisse de régime de la PHP, filiale de la compagnie fruitière de Marseille qui domine le marché camerounais depuis des années, et dont les exportations ont chuté de 388 tonnes (passant de 14 978 en janvier 2015 à 14 590 en janvier 2016), soit plus de l'équivalent du volume de la baisse globale observée en janvier 2016. Courbe descendante également pour les exportations de Boh Plantations, en baisse de 144 tonnes sur la période considérée.

Dans le même temps, la CDC, entreprise publique et 2ème producteur national de banane dessert, a vu le volume de ses exportations de janvier 2016 croître de 164 tonnes, passant de 10 299 tonnes en janvier 2015 à 10 460 tonnes au cours du premier mois de l'année 2016.
BRM

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Published in Agriculture

La société des plantations du Haut Penja (PHP), filiale camerounaise de la Compagnie fruitière de Marseille, demeure de loin le leader de la production de la banane dessert au Cameroun. Selon les statistiques de l’Association bananière du Cameroun (Assobacam), sur les 199 000 tonnes de banane exportées par le Cameroun entre janvier et septembre 2015, la PHP seule affiche 117 000 tonnes, soit environ 60% des exportations totales.

Les producteurs nationaux, conduits par la Cameroon Development Corporation (CDC), entreprise contrôlée par l’Etat et qui revendique le statut de 2ème employeur du pays, n’ont exportés qu’un peu plus de 81 000 tonnes sur les neuf premiers mois de l’année courante.

Fait marquant dans les statistiques de l’Assobacam cette année, la disparition de la Société des plantations de Mbanga (SPM), qui exploitait jusqu’ici 800 hectares de bananeraie dans le département du Moungo, pour une production bananière qui atteignait 40 000 tonnes par an. Depuis l’année dernière, les activités de cette entreprise sont à l’arrêt, à cause des tensions de trésorerie.

Published in Agriculture

L'information n'a pas été donnée directement, mais le gouvernement du Cameroun semble avoir décidé de relancer le processus des privatisations. Intervenant au parlement dans le cadre de la présentation aux députés du programme économique et social pour l'exercice 2016, le premier ministre, Philémon Yang, a révélé qu'entre autres sources de revenus de l’Etat en 2016, 120 milliards de francs Cfa sont attendus des recettes des privatisations.

L'initiative circule dans les coulisses de l'administration depuis plusieurs mois, cependant peu d'informations filtrent à ce sujet. Par exemple, alors qu'il présentait le climat des affaires à des investisseurs sud-africains, Ekoko Mukete, un des vice-présidents de la chambre de commerce du Cameroun, avait déclaré le 4 octobre 2012, que le gouvernement planifiait de céder d'autres actifs de son portefeuille, citant la Cameroon Development Corporation (CDC), une entreprise ayant des actifs diversifiés dans le secteur agricole.

Bien avant cela, le Ministre Ousmane Mey (photo) en charge des Finances avait déjà vendu la mèche dans un discours prononcé le 23 janvier 2012, en ouverture de la conférence annuelle des services centraux du ministère des Finances. Evoquant les grandes lignes de son action pour cette année-là, il avait fait savoir que, dans le cadre du cinquième programme, il était question de la relance du processus de privatisation des entreprises du secteur public en rapport avec les directives du gouvernement, et sous réserve de la validation par la présidence de la République.

Par ailleurs, un responsable du Douala Stock Exchange rencontré très récemment par l'Agence Ecofin a indiqué, sans donner plus de détails et sous anonymat, qu'une stratégie a été mise en œuvre pour redynamiser le marché financier et que le public devrait s'attendre à voir se multiplier des offres publiques (introductions en bourse de nouvelles entreprises) au cours de l'exercice 2016.

Quoiqu'il en soit, il semble désormais clair que la validation préalable du Président Paul Biya qui était évoquée par le Ministre Ousmane Mey dans son discours lorsqu'il parlait des privatisations, semble avoir été obtenue, le gouvernement s'étant déjà fait une idée des montants qu’il pourrait tirer de ces privatisations.

Dans la ligne de mire de ces nouvelles privatisations, on retrouve plusieurs entreprises, telles que Camtel, Camair-Co, la branche banane de la CDC, la Société Camerounaise des Dépôts Pétroliers (SCDP) ou encore la Société de Développement du Coton (Sodecoton).

Idriss Linge

Published in Gestion publique

Le ministre camerounais des marchés publics, Abba Sadou, vient de publier un communiqué attribuant à la filiale camerounaise de CFAO Equipement, un marché de 439 millions de francs Cfa, pour la fourniture de deux groupes électrogènes à la Cameroon Development Corporation (CDC).

Ces appareils doivent être livrés dans un délai de 130 jours dans les locaux de la CDC à Tiko, dans la région du Sud-Ouest du Cameroun.

Pour rappel, la CDC est une entreprise agro-industrielle publique, qui exploite des bananeraies, des palmeraies et des plantations d’hévéa dans les régions du Littoral et du Sud-Ouest du Cameroun. La CDC est le 2ème employeur du pays après l’Etat.

 

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La filiale camerounaise de la multinationale Louis Dreyfus Commodities, vient d’être déclarée adjudicataire de six marchés pour la livraison de fertilisants, herbicides et insecticides à la Cameroon Development Corporation (CDC), entreprise agro-industrielle publique qui exploite le palmier à huile, la banane et l’hévéa dans la région du Sud-ouest du Cameroun.

Ces marchés à livrer dans un délai maximum de 45 jours, précise le communiqué rendu public à cet effet par le ministre camerounais des Marchés publics, Abba Sadou, sont d’un montant total de 290,5 millions de francs Cfa.

Pour rappel, Louis-Dreyfus Commodities est un groupe multinational de négoce de produits de base présent dans 53 pays à travers le monde. Le groupe fait partie de ce qu’on appelle le club des «Big 5» du négoce mondial, aux côtés de ADM, Bunge, Cargill et Glencore.

 

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Le concessionnaire automobile Tractafric Motors vient d’être déclaré adjudicataire de deux marchés pour la livraison de véhicules lourds et légers à la Cameroon Development Corporation (CDC), l’entreprise agro-industrielle qui exploite la banane, l’hévéa et le palmier à huile dans la région du Sud-Ouest du Cameroun. Les deux marchés sont d’un montant total de plus d’un demi-milliard de francs Cfa, selon le communiqué publié à ce sujet par le ministère des Marché publics.

Le premier marché, d’un montant total de 207,9 millions de francs Cfa, est relatif à la livraison de 10 pick-up double cabines à la société agro-industrielle publique camerounaise, 2ème employeur du pays après l’Etat. Le 2ème marché, pour la livraison de 10 camions de dix tonnes à la CDC, est d’un montant de 511,4 millions de francs Cfa, apprend-on.

Ces véhicules doivent être livrés dans les locaux de la CDC à Tiko, dans la région du Sud-Ouest, dans des délais respectifs de 45 et 180 jours, selon les prescriptions du ministère des Marchés publics. Ces marchés ont été attribués à Tractafric Motors au détriment de concurrents tels que Socada, Cami Toyota, Cfao…

Published in Entreprises

C’est subtile et presqu’invisible. Mais, le secteur de l’énergie au Cameroun est désormais dominé par des investissements britanniques, tant sur le plan prospectif que sur le plan des capacités de production effective. Le 6 mars 2015, on a appris que le groupe Eranove, anciennement Finagestion, envisage de construire dans la ville de Limbé, dans la région du Sud-Ouest du Cameroun, une centrale thermique d’une capacité de production de 315 MW.

Les détails du projet ne sont pas encore clairement définis et un responsable au sein d’Eranove a indiqué que le projet était encore à un stade préliminaire, et que rien ne pouvait encore être dit à ce sujet. Mais, l’appel à manifestation d’intérêt pour recruter un cabinet devant réaliser l’étude de faisabilité du projet est bien réelle et révèle bel et bien les visées d’Eranove sur le secteur camerounais de l’électricité. Ce qui est plus intéressant cependant, c’est le fait qu’Eranove est détenu à 57% par le fonds d’investissement Emerging Capital Partners (ECP). Dans ce fonds d'investissement international, qui gère 1,8 milliard de dollars d'actifs en Afrique, le Commonwelath Development Corporation (CDC), un institut de financement du développement détenu par le gouvernement britannique, détient quelques actifs.

Plus directement, le CDC a annoncé le 3 février 2015, un plan visant à se renforcer avec le fonds norvégien Norfund, dans le cadre d’une alliance stratégique qui lui permettra de racheter Globeleq Africa, le bras séculier du fonds d’investissements britannique Actis, dans la production indépendante de l’électricité en Afrique. Cette alliance devrait permettre à Globeleq Africa de booster ses investissements dans le secteur de l’électricité des pays du continent noir, dont le Cameroun, où l’entreprise est déjà présente avec une participation majoritaire dans le capital des entreprises qui gèrent les centrales à gaz de Kribi et à fioul de Dibamba.

Mais, la présence la plus remarquable dans le secteur de l’énergie électrique au Cameroun est certainement celle d’Actis, le fonds d’investissements britannique qui a racheté les 47% des parts qui jusque-là étaient détenues par le groupe américain AES Corporation, dans l’entreprise concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun (Eneo). Il faut rappeler qu’Actis, dont les bureaux sont basés à Londres en Grande Bretagne, a eu comme premier sponsor le Commonwealth Development Corporation.

Un dynamisme palpable, mais encore insuffisant

Plus discrètement, on retrouve des entreprises comme Victoria Oil and Gas (VOG), qui a mis en place à Douala, la capitale économique du Cameroun, la toute première unité de traitement de gaz naturel en Afrique sub-saharienne. VOG est par ailleurs actionnaire majoritaire de l’entreprise Gaz du Cameroun (GDC), qui est aujourd’hui pionnière dans la distribution du gaz industrielle aux entreprises établies dans la ville de Douala. Dans ses récentes mises à jour aux investisseurs, les dirigeants de cette compagnie pétro-gazière britannique ont fait part de ce que près de 17 entreprises utilisent déjà ses services.

Aussi discrète est la présence de l’entreprise écossaise Bowleven, qui est présente majoritairement dans le capital de l’entreprise d’exploration pétro-gazière Euroil, qui poursuit le développement d’un projet pétrolier, mais aussi gazier, aux larges du Cameroun, dans la localité d’Etinde. Parmi les entreprises britannique présentent dans le secteur de l’énergie au Cameroun, l’on retrouve l’entreprise Joule Africa, qui est sur un important projet  de barrage hydroélectrique sur la rivière Katsina, dans la région du Nord-ouest du pays.

Pour ce projet, les études de faisabilité sont en cours. Mais à côté de cela, l’entreprise a signé le 2 juin 2014, une convention avec le ministre camerounais de l’énergie, pour la construction au Cameroun, d’une centrale électrique photovoltaïque d’une capacité de 200 MW. Au regard de ce qui précède, le dynamisme des entreprises originaires du Royaume Uni dans le secteur énergétique camerounais est une réalité palpable. Mais, seulement, il tarde encore à se transformer en réelle opportunité pour l’économie du pays, car l’énergie y est encore inaccessible et trop chère pour beaucoup de ménages et d’entreprises.

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Norfund, le fonds d'investissement norvégien dédié aux pays en développement, a annoncé le 2 février 2015, avoir racheté 30% des actifs de CDC, l’agence de développement appartenant au gouvernement britannique, dans le capital de Globeleq Africa, entité du fonds d’investissements britannique Actis, qui contrôle plusieurs centrales électriques en Afrique. Parmi ces infrastructures énergétiques se trouvent la centrale thermique de Dibamba (88 MW) et la centrale à gaz de Kribi (216 MW), au Cameroun.

Cette transaction, qui permet ainsi à Norfund de se positionner dans le secteur énergétique camerounais, à travers l’entrée dans le capital des sociétés KPDC et DPDC, qui gèrent les deux centrales susmentionnées, a officiellement coûté 112,5 milliards de francs Cfa. Avec une capacité de production cumulée de 304 MW, le Cameroun est le principal producteur du réseau énergétique de Globeleq Africa sur le continent noir, devant la Côte d’Ivoire (288 MW avec la centrale d’Azito) et l’Afrique du Sud (trois centrales solaire et éolienne d’une capacité globale de 238 MW).

Bien que rien ne filtre pour l’instant sur les projets à implémenter dans le cadre du partenariat entre Norfund et CDC, qui, selon les deux partenaires débouchera sur «plus de projets de construction de centrales électriques» et «l’ajout de plus de 5000 MW de capacité de production» en Afrique ; le Cameroun pourrait bien être la tête de pont de cette alliance pour l’augmentation des capacités de production énergétique sur le continent noir.

Ceci dans la mesure où, par exemple, KPDC est actuellement à la recherche de 65 milliards de francs Cfa pour financer l’extension de la centrale à gaz de Kribi, afin de porter sa production de 216 à 330 MW. Par ailleurs, malgré son potentiel hydroélectrique, qui est du reste le 2ème en Afrique derrière celui de la RDC, le Cameroun demeure un vaste champ en friche en matière d’hydroélectricité (plusieurs projets sont en attente de financements), mais davantage dans le domaine des énergies renouvelables telles que le solaire et l’éolien.

BRM

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Le 9 janvier 2015 à Tiko, une ville de la région du Sud-ouest abritant les plantations de la Cameroon Development Coroporation (CDC), le maire de la localité, Moukondo Daniel Ngande, n’a pas été tendre envers cette entreprise agro-industrielle publique, qui exploite d’immenses plantations de banane, d’huile de palme et d’hévéa dans le Sud-ouest.

S’exprimant devant le gouverneur de la région du Sud-Ouest, Bernard Okalia Bilaï, en tournée dans les départements de l’unité administrative qu’il commande, le maire de Tiko a regretté le fait que «les populations locales ne bénéficient pas assez de la présence de cette grande unité agro-industrielle sur leur territoire». Il en veut pour preuve «le piteux état des routes» desservant les plantations de la CDC.

Selon cet exécutif municipal, les camps dans lesquels vivent les employés de cette société agro-industrielle, qui «manquent d’entretien depuis des décennies», ressemblent plus à des «prisons ouvertes» dans lesquelles les standards de vie sont largement en dessous de la moyenne, et ne reflètent en rien «les milliards que ces employés produisent pour cette entreprise» depuis plusieurs années.

Jusqu’ici, les dénonciations d’exploitation de l’homme par l’homme avaient souvent été dirigées vers les multinationales en activité au Cameroun (PHP, SPM,etc.). L’entreprise publique a souvent plus ou moins été épargnée par ces critiques.

Partenaire de l’américain Del Monté dans la production de la banane, la CDC est le second producteur de ce fruit au Cameroun, derrière la PHP, une entreprise contrôlée par la compagnie fruitière de Marseille. La CDC est surtout le 2ème employeur du Cameroun après l’Etat, avec un total de 22 000 employés, contre 200 000 pour la Fonction publique.

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Les producteurs de banane dessert au Cameroun ont déjà exporté 206 391 tonnes entre janvier et octobre 2014, annonce l’Association bananière du Cameroun (Assobacam). Leader de la production nationale, avec des pics de 120 000 tonnes annuelles, la Société des plantations du Haut Penja (PHP), filiale de la compagnie fruitière de Marseille, tient son rang avec 84 950 tonnes exportées au 31 octobre 2014.

La Cameroon Development Corporation (CDC), l’entreprise agro-alimentaire publique, pointe au second rang des exportations avec 67 689 tonnes. La CDC, qui s’est alliée les services de l’Américain Del Monte dans sa filière banane, produit également l’hévéa et le palmier à huile. 2ème employeur du pays après l’Etat, la CDC devance la Société des bananeraies de la Mbome (44 076 tonnes) en ce qui concerne les exportations sur les dix premiers mois de l’année 2014.

Selon la courbe des exportations de l’Assobacam, le mois de mai 2014 a été le plus florissant pour les producteurs camerounais. Avec, notamment, 10 431 tonnes exportées par la PHP, contre 10 520 tonnes pour la CDC.

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