logoIC
Yaoundé - 10 mai 2024 -

Les exportations de la France vers l’Afrique centrale se réduisent de 11,1% à 527 millions d’euro au premier trimestre 2016, par rapport au premier trimestre 2015.

Cette réduction concerne tous les pays de la région, hormis le Congo, à destination duquel, les exportations ont connu une hausse de 17.7%. Cette lecture doit cependant être interprétée avec une certaine prudence compte tenu de la brièveté de la période sous revue, indique le rapport du service économique régional de la France publié il y a quelques jours.

Selon ledit document, les baisses les plus nettes concernent les produits pharmaceutiques (-43%), les équipements électriques et ménagers (-43%) et les textiles, habillement, cuir, chaussures, soit -38%. Il est à noter que la baisse du premier poste relatif aux produits pharmaceutiques est essentiellement le fait du Cameroun, dont les achats varient beaucoup au gré de la capacité financière de la centrale publique.

La baisse des importations des équipements électriques et ménagers, constituant le deuxième poste, concerne tous les pays sauf le Gabon. Elle pourrait refléter un ralentissement de l’activité du BTP.

Quant à la baisse du dernier poste, qui englobe le textile, l’habillement, le cuir et les chaussures, elle concerne également tous les pays et pourrait refléter un essoufflement de la consommation des ménages.

On constate également une hausse des exportations de produits métallurgiques et métalliques (+49%), qui est essentiellement le fait du Congo, en lien avec la poursuite de grands chantiers.

Les importations de France en provenance de l’Afrique centrale se réduisent de 48% au premier trimestre 2016, par rapport à la même période en 2015, à 142,3 M EUR. Cette baisse concerne tous les pays hormis la RDC et le Tchad.

Cette diminution est avant tout le fait du poste ‘’hydrocarbures ‘’ (-70%), suite à la baisse des cours, mais aussi sans doute, à des opérations d’arbitrage. Elle concerne en premier chef le Gabon et la Guinée équatoriale, les exportations de pétrole du Tchad augmentant en revanche.

Les importations de produits métallurgiques baissent de 65%, suite à la chute des ventes d’aluminium du Cameroun. Les importations de produits agricoles ont également légèrement baissé (-2.6%). La baisse de 7% importations du Cameroun qui représentent 77% des importations de ces produits n’ayant pas été compensée par les hausses observées en RDC et au Tchad. Enfin, les importations de bois ont observé une augmentation de 9%, grâce notamment au Cameroun, conclut ledit rapport.

Synclair Owona

Published in Commerce

La  session extraordinaire du Conseil des ministres de l’Union économique des Etats de l’Afrique centrale (UEAC) vient de s’achever à Malabo en Guinée équatoriale, avec la fin des travaux des experts.

Malgré son caractère extraordinaire, l’ordre du jour de ce Conseil a été dense à l’ouverture des travaux du comité inter-Etats. La participation équilibrée des pays membres de l'Union dans la gestion des institutions de la communauté, l’harmonisation des mandats des hauts responsables, la question de recouvrement intégral de la taxe communautaire d'intégration, la mise en place des deux cours de Justice, sont autant des questions qui ont été traitées au cours des assises de Malabo. Sans oublier la nomination très prochaine des dirigeants de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac).

En attendant la publication des résultats des travaux, la Vice-présidente de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), Rosario Mbasogo Kung Nguidang (photo), indique qu’elle a insisté sur l’analyse en profondeur des sujets en débat pour faire des propositions concrètes aux instances supérieures de l’Ueac. « La préservation des acquis de la réforme des institutions de la Cemac, la consolidation des résultats obtenus et l’exploitation de nouveaux leviers de croissance de la Communauté pour atteindre les cimes des ambitions communes ont guidé les réflexions », a-t-elle précisé.

Avant d’ajouter que le processus des réformes institutionnelles commencé depuis 2006 s’achemine vers son aboutissement.

S.A

Published in Coopération

A l’issue de Table ronde des bailleurs de fonds du secteur de l’énergie de l’Afrique centrale organisée à Bruxelles le 17 juin dernier par le secrétariat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac), 21 projets prioritaires ont été présentés pour un montant total de 2,144 milliards d’euros (environ 1 404,792 milliards de FCFA).

La Banque africaine de développement (BAD) a manifesté un intérêt pour neuf projets d’un montant total de 1,579 milliard d’euros (près de 1 034,245 milliards de FCFA). La BAD s’est engagé, par exemple, à financer l’interconnexion Inga-Cabinda-Pointe Noire d’un coût de 205 millions d’euros. En joint-venture avec l’Union européenne, la BAD s’est engagée pour le projet d’interconnexion des réseaux électriques du Cameroun et du Tchad (463 millions d’euros). Ou encore la réalisation de l’étude de l’aménagement de la centrale hydroélectrique de Ruzizi (5 millions d’euros).

La Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (Bdeac), elle, s’est aussi prononcée pour neuf projets d’un montant global de 916,31 millions d’euros (600,183 milliards de FCFA). Dans la plupart des cas, elle est en tandem avec la BAD sur, par exemple, l’électrification de Bongor (Tchad à partir de Yagoua au Cameroun (3,73 millions d’euros), ou l’électrification de sept localités (Mobaye, Langandji, Kongbo, Dimbi, Kembé, Pavica, Alindao) en Centrafrique, à partir de la centrale hydroélectrique de Mobayi en RD Congo (33,305 millions d’euros).

Le Pnud et l’Union européenne se sont entendus pour mettre en œuvre le Livre blanc. Il s’agit dans un premier temps de la formulation des projets et programmes (2,190 millions d’euros). Dans la seconde étape de ce Livre blanc, il sera question d’élaborer le système d’information énergétique régionale (2,905 millions d’euros).

S.A

Published in Electricité

Pour plus de clarté dans la production des opérations financières des Etats, un séminaire régional sur les statistiques des finances publiques se tient depuis le 27 juin et ce, jusqu’au 1er juillet 2016 à Libreville. Organisé sous l’égide du centre régional d’assistance technique du FMI pour l’Afrique centrale (AFRITAC- Centre), ce séminaire se tient conformément aux besoins exprimés par la Communauté économique des Etat de l’Afrique centrale (Cémac), dans le cadre de l’appropriation des innovations introduites par la directive relative au tableau des opérations financières au bénéfice de ses Etats-membres.

Cinq jours durant, les cadres et experts de la Cémac vont dresser un état des lieux de la situation dans leur sous-région, vérifier la transposition dans les législations nationales de la directive sur le Tableau des opérations financières par Etat (TOFE) d’une part, et jauger l’état d’avancement de l’harmonisation du cadre de gestion des finances publiques en zone Cémac, d’autre part.

Conformément aux normes internationales déclinées au plan régional par les directives de la zone Cémac adoptées en 2011, les pays de la sous-région devraient produire des statistiques des finances publiques sous la forme d’un tableau des opérations financières (TOFE).

L’objectif visé par le plan directif est d’établir un instrument opérationnel assurant la comparabilité des données de finances publiques et le suivi des éléments de gestions qui relèvent directement du contrôle des pouvoirs publics. Ainsi, l’ensemble des Etats membres disposera d’un TOFE commun qui permettra de suivre les politiques fiscales et budgétaires nationales dans un cadre macroéconomiques et de faciliter le suivi des convergences budgétaires.

Raison pour laquelle, ce séminaire est appelé à renforcer les capacités des participants afin de mieux apprécier le cadre conceptuel, les terminologies, les composantes et les classifications du TOFE, mais également d’autres tableaux statistiques, selon le nouveau manuel. Il devra enfin permettre d’identifier les nouveaux domaines d’assistance technique afin d’établir les priorités en la matière.

Synclair Owona

Published in Gestion publique

Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pharmaceutique commune des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), l’Organisation de coordination pour la lutte contre les endémies en Afrique centrale  (Oceac) en collaboration avec le ministère de la Santé publique du Cameroun, a organisé récemment à Douala, une conférence des ministres en charge de la Santé de la sous-région sous le  thème : « Lutte coordonnée contre les faux médicaments et les circuits illicites des médicaments en Afrique centrale ».

Experts, membres de la société civile, laboratoires pharmaceutiques, partenaires techniques et financiers ont pendant deux jours, tablé sur deux textes. Le  premier est un projet d'analyse de la situation de la lutte contre les faux médicaments et la vente illicite dans les pays de la Cemac. Le second est un projet de plan opérationnel d'action de lutte. Dans son discours, André Mama Fouda, le ministre camerounais de la Santé publique, a rappelé que, « lors de sa 13ème session tenue en février 2005 à Libreville, le conseil des ministres de la Cemac a donné mandat à son organisme chargé des questions de santé publique, l’Oceac, de conduire le processus d’harmonisation des politiques pharmaceutiques nationales en Afrique centrale ».

L’objectif, à Douala, selon M. Mama Fouda, était donc de rendre opérationnelles et performantes les administrations centrales des services pharmaceutiques dans les pays de la zone Cemac. Pour atteindre cet objectif, les Etats membres de la Cemac se sont engagés à mettre en place des directions ou des directions générales des pharmacies dotées de moyens humains, matériels et financiers conséquents pour leur permettre de remplir leurs missions.

Les participants aux assises de Douala ont été invités à mettre en place des instances professionnelles fonctionnelles (ordres, syndicats et associations) chargées de veiller au respect de l’éthique et de la déontologie pharmaceutiques, de l’indépendance et de la défense des intérêts de la profession. Au terme de cette conférence une déclaration commune pour le renforcement de l'engagement des pays membres dans la lutte contre les faux médicaments et la vente illicite des médicaments a été signée.

S.A

Published in Santé

La  session extraordinaire du conseil des ministres de l’Union économique des Etats de l’Afrique Centrale (Ueac) a démarré lundi dans la grande salle de conférence de Sipoppo à Malabo, en Guinée équatoriale.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par le discours de Rosario Mbasogo Kung Nguidang (photo), Vice-présidente de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Elle a mis en exergue l’important point à l’ordre du jour qu’est la finalisation des actions restantes du programme des réformes institutionnelles. 

En effet, aux termes des articles 3 et suivants de la Convention régissant l'Ueac, la construction de celle-ci  doit se faire dans processus en trois étapes de cinq années chacune. Soit un délai de quinze années à compter de l'entrée en vigueur du traité instituant la Cemac et des conventions subséquentes.  

La première étape (25 juin 1999 au 24 juin 2004), devait être consacrée, entre autres, à la création de toutes les conditions nécessaires au fonctionnement du marché commun.

Au cours de la seconde étape (25 juin 2004-24 juin 2009), l'Ueac devait au moins établir la libre circulation des biens, des services des capitaux et des personnes. 

Les actions à entreprendre au cours de la troisième étape, dépendent de l'état d'avancement de celles initiées au cours des deux premières étapes. Mais jusqu’ici l’Ueac achoppe sur la libre circulation totale des personnes des personnes dans la zone Cemac. Du fait des réticences des pays comme la Guinée équatoriale ou le Gabon.

Sylvain Andzongo

Published in Economie

Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pharmaceutique commune des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), l’Organisation de coordination pour la lutte contre les Endémies en Afrique centrale (Oceac) en collaboration avec le ministère de la santé publique du Cameroun, organise depuis le 21 juin et ce, jusqu’à ce jeudi à Douala, une conférence des ministres en charge de la santé des pays de la Cemac. Thème : « lutte coordonnée contre les faux médicaments et les circuits illicites des médicaments en Afrique centrale ».

L’objectif de ces assises, explique le ministre Camerounais de la Santé, André Mama Fouda, est de rendre opérationnelles et plus performantes les administrations centrales des services pharmaceutiques dans les pays de la zone Cemac. Pour atteindre cet objectif, indique-t-il, les Etats membres de la Cemac se sont engagés à mettre en place des directions ou des directions générales des pharmacies dotées de moyens humains, matériels et financiers conséquents pour leur permettre de remplir leurs missions.

Les participants aux assises de Douala sont invités à mettre en place des instances professionnelles fonctionnelles (ordres, syndicats et associations) chargées de veiller au respect de l’éthique et de la déontologie pharmaceutiques, de l’indépendance et de la défense des intérêts de la profession.

Lors de sa 13ème session tenue en février 2005 à Libreville, le conseil des ministres de la Cemac a donné mandat à son organisme chargé des questions de santé publique, l’Oceac, de conduire le processus d’harmonisation des politiques pharmaceutiques nationales en Afrique centrale.

Sylvain Andzongo

Published in Santé

Sous la coordination de l’ONG camerounaise dénommée le Centre pour l’environnement et le développement (CED), des défenseurs de l’environnement des pays d’Afrique centrale (Gabon, Congo, RCA, RD Congo…) achèvent ce mercredi à Yaoundé, des assises sur le projet « Mise en œuvre de l’APV dans le Bassin du Congo - Promouvoir les droits et la participation des Peuples de Forêts ».

Selon les explications du CED, c’est un projet qui vise à la mise en œuvre efficace des accords de partenariat volontaire pour l’application des réglementations forestières, gouvernance et échanges commerciaux (APV-Flegt) au Cameroun et en République centrafricaine (RCA).

« À la suite des 30 mois de mise en œuvre dudit projet, il est plus que nécessaire de partager avec les parties prenantes, les résultats acquis et difficultés rencontrés ainsi que de discuter et capitaliser et leçons apprises », explique le CED.

S.A

Published in Gestion publique

Le Comité ministériel des négociations de l’Accord de partenariat économique (Comina) de la configuration négociante d’Afrique centrale vient de rendre public un communiqué selon lequel il s’est réuni à Douala, le 17 juin 2016, sous la présidence de Louis-Paul  Motaze (photo), ministre de l’Économie, de la planification et de l’aménagement du territoire du Cameroun.

Cette réunion avait pour but d’examiner l’état de mise en œuvre des orientations ministérielles adoptées lors de la 13ème  session du Comina, tenue à Libreville le 26 février 2016, d’une part, et d’en donner de nouvelles, en vue de la reprise des négociations avec la partie européenne, d’autre part. A cet effet, les ministres de la zone Cemac ont relevé que la mise en œuvre de l’Accord de partenariat économique (APE) d’étape du Cameroun aurait des implications importantes sur le processus d’intégration régionale et spécifiquement sur le tarif extérieur commun de la Cemac. Face à ces risques, ils ont sollicité l’action du parrain, Ali Bongo Ondimba, pour faciliter la reprise des négociations conjointes en vue de la signature d’un APE régional complet, juste et équilibré.

Les ministres des Etats membres du Comina pensent que l’accord d’étape du Cameroun pourrait servir comme document de base pour la poursuite des négociations en Afrique centrale, moyennant des discussions sur certaines dispositions, y compris le taux de libéralisation, la période transitoire, le financement du Programme d'accompagnement du développement dans le cadre de l'APE et la compensation de l’impact fiscal net. À cet effet, les ministres ont instruit le négociateur en chef  de préparer, sur la base de l’accord d’étape du Cameroun, un document amélioré sur les points d’intérêt à inclure dans cette nouvelle base de travail.

Ce texte amélioré, qui pourrait s’inspirer des acquis obtenus dans les autres régions ACP, devrait être disponible rapidement pour sa prise en compte au cours de la prochaine session du Comina, avant d’être transmis au parrain. Le Gabon ayant accepté d’abriter la 15ème session du Comina, des consultations seront menées par le Président de la Commission de la Cemac en vue d’en fixer la date et les modalités. Aussi, au regard des délais contraignants pour la finalisation des négociations régionales, les ministres ont sollicité du Cameroun qu’il envisage, de concert avec la partie européenne, la possibilité de proroger la période moratoire prévue pour le démantèlement tarifaire (le 4 août 2016), jusqu’à la conclusion d’un accord régional. 

Le Cameroun a signé le 15 janvier 2009 l’accord d’étape de l'APE. Le pays s’est engagé ainsi à libéraliser progressivement 80% de ses importations sur une période de 15 ans. Cet accord ratifié en juillet 2014 sera opérationnel le 4 août 2016.

Sylvain Andzongo

Published in Economie

La Table ronde des bailleurs de fonds du secteur de l’énergie de l’Afrique centrale tenue le weekend au siège du Groupe des ACP à Bruxelles, sous la présidence du ministre gabonais de l’Energie et des ressources hydrauliques, Guy Bertrand Mapangou, a vu la présentation de seize projets prioritaires par la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) et de son organisme spécialisé le Peac (Pool énergétique de l’Afrique centrale). 

Parmi ces projets prioritaires, il y a le projet d’interconnexion Inga-Cabinda-Pointe Noire, celui d’interconnexion des réseaux électrique du Cameroun et du Tchad, l’aménagement de la centrale hydroélectrique de Dimoli et les lignes associées (200 MW), le projet d’interconnexion des réseaux électriques du Cameroun, du Gabon et de la Guinée Equatoriale, l’électrification de Mbinda et Mayoko (Congo) à partir de Lekoko (Gabon). Ou encore l’électrification de Bongor (Tchad) à partir de Yagoua (Cameroun). 

La Ceeac et le Peac sont actuellement en attente des intentions et engagements de leurs partenaires techniques et financiers (Banque africaine de développement, Organisation international de la Francophonie, Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale, la direction générale de développement et coopération/EuropeAid de la Commission européenne, l'Agence française de développement, etc.). 

L’objectif à terme de la Table ronde est de faire un plaidoyer auprès des partenaires techniques et financiers internationaux pour la mobilisation des financements nécessaires à la construction des infrastructures électriques communautaires de l’espace de la CEEAC, notamment ceux inhérents aux énergies renouvelables, en vue d’obtenir leur engagement.

Sylvain Andzongo

Published in Energie
import-export-le-deficit-commercial-du-cameroun-franchit-la-barre-de-2-000-milliards-de-fcfa-en-2023-en-hausse-de-40-3
Au cours de l’année 2023, le déficit de la balance commerciale du Cameroun est ressorti à 2 004 milliards de FCFA, ce qui correspond à son...
electricite-le-barrage-de-nachtigal-420-mw-injecte-ses-60-premiers-megawatts-dans-le-reseau-electrique
Le ministre de l’Eau et de l’Énergie, Gaston Eloundou Essomba, a présidé ce 10 mai 2023 la cérémonie d’injection des premiers mégawatts du barrage de...
energies-renouvelables-le-cameroun-devoile-sa-strategie-pour-l-installation-de-1-500-mw-d-ici-2035
Le 3 mai 2024, lors du Forum sur la vulgarisation des énergies renouvelables au Cameroun, le ministre de l’Eau et de l’Énergie (Minee), Gaston...
bgfibank-cameroun-s-engage-dans-le-fogajeune-pour-renforcer-le-soutien-aux-jeunes-entrepreneurs
BGFIBank Cameroun a rejoint la liste des institutions financières engagées pour la mise en œuvre effective du Fonds de garantie aux jeunes entrepreneurs...

A la Une du magazine


Investir au Cameroun n121:Mai 2022

Les marges de progression du secteur télécom camerounais


Pourquoi les entreprises camerounaises cachent autant leurs comptes ?


Business in Cameroon n110: April 2022

Covid-19, war in Europe: Some Cameroonian firms will suffer


Albert Zeufack: “Today, the most important market is in Asia

  1. Plus lus 7 jours
  2. partagés 1 mois
  3. lus 1 mois
next
prev