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Yaoundé - 10 mai 2024 -

Au cours du dernier conseil des ministres des Finances et du Commerce de la Communauté des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac), tenu il y a quelques jours à Kinshasa, en République démocratique du Congo, le secrétariat général de la Ceeac a présenté 30 dossiers de demandes d’agrément de produits industriels à tarif préférentiel transmis par le Cameroun.

Pour un examen efficient, un sous-comité composé principalement d’experts douaniers a été mis en place. Il ressort de leurs travaux validés par le comité technique que 25 dossiers ont reçu un avis favorable. Un dossier a été rejeté pour complément d’information. Quatre n’ont pas été traités en raison de la non distribution des fiches d’orientation pour deux d’entre eux et de leur non disponibilité pour les autres.

Le tarif préférentiel Ceeac s’applique aux produits sur la base de plusieurs critères d’origine. Il s’agit notamment des produits fabriqués avec des matières premières et matières consommables entièrement ou partiellement d’origine étrangère, et dégageant une valeur ajoutée communautaire minimum de 30% du prix de revient sortie usine hors taxe.

Sont aussi éligibles, les produits manufacturés avec un pourcentage minimum de 40% des matières premières originaires des Etats membres de la région. Autres critères, ils peuvent être à l’état brut des règnes animal, végétal ou minéral. Les produits de l’artisanat traditionnel ne sont pas en reste.

Sylvain Andzongo

Published in Agro-industrie

Une douzaine de représentants des Etats membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) ont pris part récemment dans les locaux du Parlement communautaire à Malabo, à un atelier de restitution d’une étude sur le genre dans la Communauté.

Pour matérialiser la thématique genre inscrite dans ses plans d’actions, la Commission de la Cemac a bénéficié de l’appui du « Projet Remap » pour lancer une étude devant aboutir à l’élaboration d’une politique sur le genre en zone Cemac. A cet effet, des consultants ont été sollicités pour développer et proposer sur la base des textes et législations déjà en vigueur dans les pays de la sous-région, une stratégie communautaire permettant de promouvoir davantage le genre.

A travers les différents exposés lors de l’atelier de restitution, à la lumière de l’analyse de gestion de la question genre dans les Etats membres de la Cemac, en comparaison avec les politiques genres pratiquées ailleurs en Afrique, les consultants ont proposé une politique genre pour la sous-région Cemac.

Après des fructueux échanges mettant en exergue l’importance et la complexité du sujet, les participants ont unanimement conclus que le processus devait se poursuivre pour son aboutissement.

Il est à noter que le « Projet Remap », dans le cadre de son appui à la Commission de la Cemac, assure la mise en œuvre de politiques communautaires pour renforcer la gouvernance, sa priorité. Dans cette optique, le genre représente à la fois un enjeu, un défi et un atout que la Communauté doit bien gérer pour accroitre ses chances de réussir un développement harmonieux et durable.

Sylvain Andzongo

Published in Gouvernance

En marge des travaux de concertation régionale triennale de l’Association pour le développement de l'éducation en Afrique (Adea) organisée au Gabon depuis le 30 mai, le Premier ministre gabonais, Daniel Ona Ondo, a reçu hier à Libreville le ministre du Congo-Brazzaville de la Jeunesse et de l’éducation civique, Destinée Doukaga (photo).

Le ministre Congolais est venue s’informer sur la mise en œuvre par le gouvernement gabonais du programme « Un Jeune, Un Métier » lancé il y a quelques mois. Ce programme vise la prise en charge des jeunes en grandes difficultés sociales et professionnelles avec comme objectif d’insérer et de réinsérer près de 2500 jeunes pour l’année 2016. Aujourd’hui, ce projet est au cœur d’une coopération de partenariat entre le Gabon et le Congo-Brazzaville.

Pour le ministre Congolais, cette coopération multiforme et de longue date, « témoigne de la volonté des présidents gabonais, Ali Bongo Ondimba, et congolais, Dénis Sassou Nguesso, d’œuvrer pour l’insertion et la réinsertion professionnelle de la jeunesse africaine, avenir du continent. »

Dans la même veine, l'Autorité administrative de la Zone économique à régime privilégié (Zerp) de Nkok a reçu, dans la même journée, la visite d’une délégation congolaise avec, en tête, la ministre de la Jeunesse du Congo. Occasion pour l’administrateur des lieux, Sèdji Armel Mensah, de présenter aux visiteurs congolais, les atouts de la Zerp de Nkok et de souligner l’engagement des entreprises qui prennent part à la phase test du programme « Un Jeune, Un Métier ».

Published in Jeunesse

Le conseil des ministres du Commerce et des finances de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) s’est tenu récemment à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), dans le but de rendre opérationnelle la zone de libre-échange de la Ceeac.

Les ministres ont arrêté en janvier 2017, la date du début effectif d’application de tous les instruments de la zone de libre-échange de la Ceeac au niveau des Etats membres.

A cet effet, les ministres ont adopté solennellement une déclaration par laquelle ils s’engagent à œuvrer au sein de leurs pays respectifs pour que toutes les dispositions relatives à l’application de la zone de libre-échange soient intégrée dans les corpus juridiques internes des Etats membres, et en particulier insérées dans les lois de finances pour l’année 2017. Les ministres ont instruit, par ailleurs, le secrétariat général de la Ceeac d’effectuer des missions de suivi d’information et de sensibilisation des atouts des Etats de la communauté avant la date fixée pour l’application effective de la zone de libre-échange.

En outre, les ministres ont pris acte du rapport présenté par le secrétariat général sur les travaux réalisés pour l’élaboration d’un projet de tarif extérieur commun en vue de l’établissement d’une union douanière Ceeac-Cemac tout en reconnaissant, par ailleurs que cet objectif à moyen terme devrait intervenir à la suite de la consolidation de la zone de libre-échange en cours d’opérationnalisation.

Published in Douanes

La Commission de la Cemac a lancé ce 11 mai 2016 à Douala, la capitale économique du Cameroun, une étude en vue de l’élaboration d’un code minier unique applicable dans les six Etats-membres de cette communauté que sont le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, la RCA et le Tchad.

Cette étude réalisée avec l’appui du Projet de renforcement de la gouvernance des matières premières en Afrique centrale, financé par la coopération allemande ; est conduite par groupe régional d’experts spécialisés dans le droit minier, avec l’implication des experts des Etats membres de la Cemac.

Selon la Commission de la Cemac, l’étude initiée le 11 mai 2016  «permettra de proposer, sur la base des lois minières déjà en vigueur dans l’espace Cemac, un projet de code minier communautaire adapté aux défis de la sous-région et aux standards internationaux en matière de transparence, de protection de l’environnement …».

Les résultats finaux de cette étude sont attendus à la fin de cette année 2016.

BRM

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Published in Mines

En prélude au conseil des ministres « Commerce et finances » des Etats membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) prévu pour le 13 mai 2016, les travaux de la  réunion des experts du comité technique « Commerce et Douanes » se tiennent à Kinshasa depuis hier et ce, jusqu’à jeudi prochain.

Deux allocutions ont ponctué la cérémonie d’ouverture solennelle des travaux. D'abord, le mot de bienvenue à tous les participants prononcée par le Coordonnateur du département chargé de l’intégration physique, économique et monétaire, Léon Mudubu Konande et le discours d’ouverture du directeur de cabinet du ministre congolais du Commerce, Marcellin Didier Minaku Mangholo. 

Les deux orateurs ont relevé l’importance que revêt cette rencontre destinée, à préparer la réunion conjointe du Conseil des ministres du Commerce et des Finances en vue de booster l’épineuse question de la mise en place d’un marché commun régional en Afrique centrale, conformément aux textes fondateurs de la Ceeac.

Ledit marché commun devrait être créé sur une période de dix ans à travers un processus progressif de libéralisation des échanges comprenant l’établissement d’une Zone de libre-échange (ZLE) par l’élimination entre les États membres, des droits de douane, des contingentements, restrictions ou prohibitions ainsi que des obstacles d’ordre administratif au commerce. Sans oublier l’adoption d’un tarif douanier extérieur commun. 

Au niveau continental ont-ils martelé, il faut relever l’échéance de 2017 fixée pour l’entrée en vigueur de la Zone de libre-échange continentale (Zlec). Ce processus devait être facilité par l’effectivité des ZLE des Communautés économiques régionales qui constituent les piliers d’intégration continentale.

Published in Gestion publique

C’est l’une des principales observations faites par l’équipe du Fonds monétaire international (FMI), dirigée par Mario de Zamaróczy, au terme de son séjour à Libreville et Yaoundé du 25 avril au 9 mai 2016 : après avoir mené des entretiens avec les institutions de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) sur les politiques communes des États membres, l’équipe du FMI a, avec satisfaction, noté la résilience du secteur financier, malgré les difficultés économiques.

Cependant, ont souligné les experts : « Face aux pressions budgétaires actuelles, les engagements directs et indirects des banques à l’égard du secteur public, constituent une source de risque. Un cadre microprudentiel efficace devrait prévenir la propagation des risques macrofinanciers ».

La mission a également apprécié la réalisation d’importants progrès dans ce domaine, en rapport avec les précédentes recommandations formulées. Toutefois, conseillent les missionnaires du FMI, « il importera de mettre en place un dispositif approprié de stabilité financière, fondé sur des indicateurs macroéconomiques et financiers solides. »

Même si des efforts sont en cours pour promouvoir l’inclusion financière, « ce travail devrait s’intensifier pour faciliter l’accès des petites et moyennes entreprises et des ménages aux financements et pour mettre en place un dispositif réglementaire adéquat, propice au développement de nouveaux instruments financiers, dont la banque mobile. », ont-ils ajouté.

Synclair Owona

Published in Finance

La directrice générale du groupe de la Banque mondiale, Sri Mulyani Indrawati, est attendue au Cameroun le 25 avril 2016, a-t-on appris dans un communiqué publié le 20 avril par cette institution de Bretton Woods. Au cours de son séjour camerounais, Sri Mulyani Indrawati s’entretiendra aussi bien avec les autorités publiques camerounaises que des représentants du secteur privé et de la société civile locale.

Selon le groupe de la Banque mondiale, cette visite de travail a pour but de «renforcer le partenariat» avec le Cameroun et «de discuter des priorités du gouvernement : promouvoir une croissance inclusive et adresser les disparités régionales de pauvreté, mettre en œuvre des réformes structurelles pour une croissance accélérée, et améliorer l’environnement des affaires pour la création de l’emploi».

En outre, la directrice générale  du groupe de la Banque mondiale saisira l’opportunité de cette visite pour échanger avec les bénéficiaires du «Projet Filets sociaux», que l’institution qu’elle dirige finance au Cameroun à hauteur de 25 milliards de francs Cfa depuis 2014. Ce projet qui bénéficiera à 420 000 personnes jugées vulnérables dans les zones urbaines et rurales consiste en des transferts en espèces tous les 2 mois, pour un montant total de 720 000 FCfa (environ US$ 1400), ainsi que des activités de formation pour améliorer leur santé, nutrition, éducation et compétences.

Selon Elisabeth Huybens, la directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Cameroun, l’Angola, la Guinée Equatoriale, le Gabon et Sao Tome et Principe ; en ce qui concerne particulièrement le Cameroun, «le portefeuille actif de la Banque mondiale comporte 14 projets nationaux et 6 régionaux». Ces projets représentent une enveloppe financière globale de 1,338 millions USD, soit environ 715 milliards de francs Cfa, a-t-elle souligné le 16 mars 2016 à Yaoundé. C’était au cours de la revue conjointe des projets financés au Cameroun par cette institution.

BRM

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Published in Gestion publique

Face à la conjoncture économique morose qui frappe de plein fouet les économies de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et République centrafricaine), le marché des titres publics de la Banque centrale commune aux six pays sus-mentionnés est devenu plus dynamique. Selon les statistiques révélées au sortir de la première réunion de l'année 2016 du Conseil de surveillance de la Cellule de règlement et de conservation des titres (CRCT), qui s'est tenue le 14 avril 2016 au siège de la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC) à Yaoundé, les émissions de titres publics par les États ont doublé en 2015 par rapport à l'année 2014.

Ces opérations des Trésors publics des États membres de la Cemac ont culminé à 635,8 milliards de francs Cfa à fin février 2016, contre 312,4 milliards de francs Cfa sur la même période l'année dernière. « Cette forte hausse du recours des États au marché des titres publics s'inscrit dans un contexte économique marqué par le resserrement de la liquidité bancaire observé depuis le premier semestre de l'année 2015, en relation avec la faiblesse des cours internationaux du pétrole sur la plupart des économies de la Cemac », explique la BEAC dans le communiqué officiel.

En effet, face à la chute des cours mondiaux du pétrole, qui a obéré de 20% (Cameroun) à plus de 70% (Guinée équatoriale) les enveloppes budgétaires des pays de la Cemac, dont cinq sur six sont producteurs de pétrole, les États ont revu à la hausse le niveau de leurs opérations sur le marché des titres publics de la banque centrale, afin de mobiliser les ressources permettant de financer le déficit budgétaire. Ainsi, le Cameroun, principal animateur de ce marché depuis sa création en 2011, avait annoncé, dès janvier 2015, des émissions de titres publics pour un montant total de 375 milliards de francs Cfa, contre 160 milliards de francs Cfa pour le Tchad et 135 milliards de francs Cfa pour la République gabonaise.

L'année 2015 sur le marché des titres publics de la BEAC aura également été marqué par l'arrivée d'un nouveau pays sur le marché, à savoir la Guinée équatoriale, dont les recettes pétrolières représentent jusqu'à 85% de l'enveloppe budgétaire nationale. L'entrée en lice de cet émirat pétrolier d'Afrique centrale a ainsi porté à cinq le nombre de pays de la Cemac opérant sur le marché des titres publics de la banque centrale. A ce jour, seule reste attendue la première opération de la République du Congo.

La conjoncture économique aidant, les opérations sur les titres publics sur le marché de la BEAC devraient de nouveau prendre du volume en cette année 2016. En effet, selon les calendriers prévisionnels des opérations, communiqués par les États à la banque centrale, conformément aux usages, les deux principaux animateurs du marché, à savoir le Cameroun et le Gabon, ambitionnent d'émettre des titres publics respectivement pour 370 et 195 milliards de francs Cfa. Soit une enveloppe globale de 565 milliards de francs Cfa.

BRM

 

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La Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC) a clôturé l’exercice 2015 par un résultat net bénéficiaire, qui s’est situé à un peu plus de 1,9 milliard de francs Cfa, a-t-on appris officiellement. Le bénéfice ainsi réalisé est en augmentation de 63% par rapport à l’année 2014, soulignent nos sources.

Les décaissements en faveur des projets à financer dans la zone Cemac ont également connu une augmentation de 26,7% par rapport à l’année 2014, se situant à la somme de 55,2 milliards de francs Cfa au 31 décembre 2015.

Ces décaissements permettant de financer les projets de développement devraient de nouveau progresser en cette année 2016, grâce à la perfusion financière que vient d’administrer à la BDEAC l’institut d’émission des six pays de la Cemac qu’est la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac).

En effet, le gouverneur de la BEAC, Lucas Abaga Nchama, et le président de la BDEAC, Abbas Mahamat Toli (photo), ont signé le 19 janvier 2015 à Yaoundé, la capitale camerounaise, un ensemble «d’actes relatifs à l’appui de la BEAC à la BDEAC, pour le financement de projets de développement» dans l’espace Cemac, pour un montant total de 400 milliards de francs Cfa.

«C’est bien la première fois que l’institut d’émission communautaire (qui a augmenté sa participation dans le capital de la BDEAC de 6 à 33%, Ndlr) s’engage aussi sérieusement pour le refinancement des projets de développement dans les Etats membres», a souligné le président de la BDEAC, qui a par ailleurs précisé que la mise en place de ces instruments financiers «permettront à la BDEAC, d’une part, de rattraper l’important gap constaté entre les ressources et les engagements de la BDEAC et aussi, d’autre part, de disposer de ressources additionnelles substantielles pour le financement de nouveaux projets et programmes».

BRM

 

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