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Yaoundé - 26 avril 2024 -

En marge de la 22ème session du Comité interministériel des infrastructures ferroviaires (Comifer) tenue le 7 août 2015 à Yaoundé, le ministre des Transports, Robert Nkili (photo), a procédé à la remise de détecteurs de métaux aux chefs de gares. Ce matériel vient compléter le dispositif déjà mis en place dans le cadre du renforcement des mesures de sécurité sur les emprises ferroviaires du Cameroun, dans un contexte marqué par des attentats suicides perpétrés dans la région de l’Extrême-Nord du pays par des membres de la secte islamiste nigériane Boko Haram.

En effet, afin de prévenir ces actes terroristes qui visent généralement des lieux de grande affluence tels que les gares, Camrail, le transporteur ferroviaire camerounais, en collaboration avec les forces de maintien de l’ordre, a mis en place une série de mesures visant à renforcer la sécurité sur l’ensemble du réseau du chemin de fer.

Il s’agit, a-t-on appris de bonnes sources, «de fouilles systématiques dans les gares, de l’acquisition d’une centaine de détecteurs de métaux, du renforcement des effectifs de contrôle d’accès à bord, de la sensibilisation des comités de vigilance et les riverains installés le long de la voie, de l’information permanente des usagers du rail».

Outre les mesures de sécurité, le dernier Comifer, a-t-on appris, a planché sur l’état d’avancement du projet de renouvellement de 175 Km de voie ferrée entre Batschenga et Ka’a, ainsi que sur les projets d’acquisition de 3 locomotives, 5 modules autorail et 15 voitures voyageurs dans le cadre de la préparation des Coupes d’Afrique des Nations de football, que le Cameroun va abriter en 2016 et 2019.

Selon nos sources, le ministre Nkili a saisi l’occasion de cette rencontre pour annoncer la mise en place d’un groupe de travail interministériel, chargé d’élaborer le plan quinquennal (2016-2020) n°2 des investissements ferroviaires de Camrail, le concessionnaire du chemin de fer camerounais.

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Au 3ème trimestre 2015, la Cameroon Railways (Camrail), le concessionnaire du chemin de fer camerounais, va réceptionner cinq nouvelles locomotives, tandis que cinq autres seront livrées au cours de l’année 2016 par la société sud-africaine Grindrod. L’annonce de ces nouvelles acquisitions a été faite le 16 juillet 2015 à Douala, à l’occasion d’une «visite d’inspection» du ministre camerounais des Transports, Robert Nkili.

Outre la révélation de ces acquisitions, qui ont pour but de doper les capacités de transport de cette filiale du groupe français Bolloré, le transporteur ferroviaire camerounais a présenté au ministre Nkili, des équipements récemments acquis, et destinés à la sécurisation de la circulation ferroviaire.

Il s’agit, a-t-on appris, d’un wagon graisseur de rails, qui «permettra d’augmenter la durée de vie des bogies (roues) de 50%, et de limiter l’usure des rails» ; et d’une draisine de contrôle ultrasons, qui permet «de sonder les rails en vue de détecter tous les défauts internes et de planifier leurs remplacements progressifs».

Ces investissements sont consentis dans le cadre de l’avenant N°2 à la convention de concession avec l’Etat du Cameroun, qui prévoit sur la période 2009-2020, des investissements de 230 milliards de francs Cfa, dont 158 milliards à la charge du concessionnaire. De ce point de vue, pour l’année 2015, Camrail prévoit d’investir 22 milliards de francs Cfa pour l’amélioration de ses équipements.

En 2014, cette entreprise ferroviaire a officiellement tranporté 1,5 million de passagers et un peu plus de 1,6 million de tonnes de marchandises. Le tout pour un chiffre d’affaires estimé à plus de 60 milliards de francs Cfa et un résultat net de 4 milliards de francs Cfa.

 

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Conformément à une prescription faite le 18 novembre 2014 par le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili, en vue d’accélérer la décongestion du port de Douala, le concessionnaire du terminal à conteneurs de cet espace portuaire, Douala International Terminal (DIT), a lancé le 28 décembre 2014 dans la capitale économique camerounaise, l’opération de transfert des conteneurs ayant séjourné pendant plus de 90 jours au terminal.

Au moyen de cette opération prescrite par le gouvernement camerounais, et dont on se souvient qu’elle avait été suggérée par le Comité national de facilitation du trafic maritime international (Comité FAL), DIT va transférer près de 1000 containers du terminal y dédié dans l’enceinte du port de Douala, vers un espace de 3 hectares pouvant accueillir 2900 containers équivalents vingt pieds, aménagé dans la «zone dite Udeac-Cotcolaquelle zone devra désormais être considérée comme zone d’entreposage longue durée», précise DIT dans un communiqué publié le 28 décembre 2014.

Comme l’avait déjà annoncé le ministre des Transports dans son communiqué du 18 novembre 2014 adressé aux opérateurs économiques concernés par cette mesure, le concessionnaire du terminal à conteneurs du port de Douala rappelle que le transfert de ces conteneurs en séjour de plus de 90 jours (le code douanier prescrit un délai maximum de 90 jours), vers la zone sus-indiquée, se fera «aux risques et périls de leurs propriétaires».

Selon DIT, «ce transfert va permettre la libération des espaces et la fluidité des opérations avec les impacts suivants : réduction du «dwel time» (séjour moyen des conteneurs sur le terminal), réduction des mouvements intermédiaires des engins de manutention, accélération de la durée de livraison des conteneurs aux camions, amélioration de la vitesse de traitement des navires, hausse de la productivité du terminal avec un impact direct sur l’économie camerounaise…»

Pour rappel, au mois d’août 2014, selon les pointages de DIT, plus de 1800 conteneurs étaient encore stockés au terminal du port de Douala, plus de 90 jours après leur débarquement des navires. A l’origine de cette transformation de l’espace portuaire en entrepôt par les opérateurs économiques, les faibles coûts de l’entreposage au port, comparés à ceux pratiqués par les propriétaires des entrepôts hors du port.

En effet, explique-t-on chez DIT, depuis plusieurs années, au-delà d’une franchise de 10 jours, les opérateurs économiques payent pour un conteneur, seulement «600 FCfa par jour de stockage supplémentaire dans l’enceinte du port, contre 3800 FCfa par jour pour un véhicule dans un parking d’aéroport par exemple».

 

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Selon Xu Bo, Vice-président de la firme chinoise AVIC International, les deux avions de marque MA60 commandés par le gouvernement camerounais, pour le compte de la Cameroon Airlines Corporation (Camair Co), la compagnie aérienne nationale publique, «pourraient arriver au Cameroun avant la fin de l’année 2014». Le retard observé dans la livraison de ces aéronefs, qui aurait due intervenir fin 2013, indique Xu Bo, est à mettre sur le compte «des problèmes de communication» survenus lors de la conduite des «procédures administratives».

La construction des deux MA60 pour le compte de Camair Co a été financé par un prêt concédé à l’Etat du Cameroun par Eximbank of China, d’un montant total de 34,5 milliards de francs Cfa. En signant cet accord de prêt en novembre 2013 à Yaoundé, l’ambassadeur de Chine au Cameroun, Wo Ruidi, avait tenu à préciser que les «MA60 sont fiables». Le diplomate chinois réagissait ainsi à une polémique née quelques mois plus tôt autour de la qualité et la fiabilité de ces aéronefs chinois.

Cette polémique avait d’ailleurs valu au ministre des Transports, Robert Nkili, d’être interpellé sur le sujet par les députés, lors d’une séance de questions orales aux membres du gouvernement à l’Assemblée nationale. «Ces avions chinois ne sont pas aussi mauvais» qu’on le pense, avait rassuré le Ministre Nkili, qui avait par ailleurs précisé, lors de la signature de l’accord de prêt avec Eximbank, que lesdits aéronefs seront exclusivement utilisés pour la desserte domestique.

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Le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili, et son homologue tchadien en charge des Infrastructures, des Transports et de l’Aviation civile, Adoum Younousmi ; ont procédé le 3 juin 2014 à Ndjamena, la capitale tchadienne, à la signature de l’Accord portant création de la Commission ferroviaire Cameroun-Tchad, en vue de l’extension du chemin de fer camerounais vers le Tchad.

Cet accord, a indiqué le ministre camerounais des Transports au cours de la cérémonie de Ndjamena, est l’aboutissement de 4 années de concertations entre les deux parties, l’idée d’étendre le chemin de fer camerounais vers le Tchad ayant été évoquée pour la première fois «au cours des travaux de la 22ème session de la grande Commission mixte Cameroun/Tchad tenue en décembre 2010 à Yaoundé», a rappelé le Ministre Nkili, qui considère la signature de cet accord «comme instant solennel d’affirmation d’une communauté de destins entre deux Etats voisins et un moment central de matérialisation de l’intégration dans la zone CEMAC».

Par ailleurs, en application de l’article 6 de cet accord, a annoncé le ministre des Transports du Cameroun, «les parties contractantes ont choisi Bolloré Africa Logistics comme partenaire technique» du projet. Concrètement, Bolloré Africa Logistics, dont l’une des entreprises au Cameroun (Camrail) est concessionnaire du chemin de fer, consistera, a-t-on appris, à «appuyer la réalisation des études ; apporter un appui à la préparation des dossiers de présentation du projet aux bailleurs de fonds ; préparer les rencontres avec les bailleurs de fonds ; apporter une contribution aux réflexions et aux montages institutionnels et financiers».

Selon nos sources, le tracé retenu partira du terminus de Camrail de Ngaoundéré (Cameroun) pour Ndjamena, la capitale tchadienne, sur une longueur de 1400 Km, pour un investissement estimé à environ 1400 milliards de francs Cfa. Ce tracé exclu donc l’hypothèse n°2, la plus prisée par la classe politique et la population tchadienne, et qui consistait à étendre le chemin de fer camerounais de Ngaoundéré (Cameroun) à Moundou (capitale économique du Tchad), pour un investissement de 1160 milliards de francs Cfa, afin de desservir le Nord du Tchad. Cependant, précise une source proche du dossier, «le gouvernement tchadien s’est engagé à construire, lui-même, l’extension de ce chemin de fer entre Ndjamena et Moundou».

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Jusqu’ici considéré comme aéroport secondaire, et destiné aux vols domestiques, l’aéroport de Maroua Salak, dans la capitale régionale de l’Extrême-Nord du Cameroun, vient d’être transformé en aéroport international, à la faveur d’un arrêté du ministre des Transports, Robert Nkili. Maroua Salak devient ainsi le 4ème aéroport international du pays, après Yaoundé-Nsimalen, Douala et Garoua.

Le texte gouvernemental précise cependant que «l’ouverture au trafic aérien intercontinental sera constatée par un texte particulier à l’issue des opérations de mise aux normes de l’aéroport de Maroua-Salak». Une tâche qui incombe, apprend-on, à l’Autorité aéronautique (CCAA) du Cameroun, qui devra, par exemple, procéder au rallongement de la piste d’atterrissage d’au moins 700 mètres, pour la porter à 2800 mètres, afin de permettre à la plateforme aéroportuaire de Maroua d’accueillir des avions tels que des Boeing 747 et des Airbus A340.

Mais avant ces travaux d’envergure, explique Joël Wadem, le responsable de la communication de l’Autorité aéronautique, cité par des médias locaux, «la piste d’atterrissage a été entièrement refaite en 2007. Un balisage lumineux pour permettre l'atterrissage des avions de jour comme de nuit a été installé. Toujours au niveau de la sécurité de la navigation aérienne, un VOR, instrument permettant de localiser la position de l'aéronef ou de l'aéroport par rapport au sol est en cours d'installation à Maroua».

A en croire M. Wadem, la décision d’ériger l’aéroport de Maroua en une plateforme internationale découle de la volonté de plusieurs compagnies aériennes internationales de desservir cette ville camerounaise. Il en est ainsi de Turkish Airlines, qui a récemment manifesté l’intention d’ouvrir la desserte de Maroua, capitale de la région de l’Extrême-Nord, qui abrite les sites touristiques parmi les plus importants du pays, à l’instar du parc national de Waza.

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Selon le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili (photo), l’activité dans les ports du Cameroun a connu une augmentation de 31% en 2013. Cette performance est principalement le fait du port de Douala, a-t-on appris au sortir du conseil de cabinet du gouvernement camerounais le 26 février 2014, qui «concentre 95% du trafic et 98% du chiffre d’affaires».

En effet, a révélé le Ministre Nkili, malgré un ralentissement de ses activités entre novembre et décembre 2013, à cause de la maintenance de l’un des ses portiques, «ce port d’intérêt sous régional a atteint en 2013 le volume record de trafic de 10 millions de tonnes». Pour rappel, le Cameroun compte actuellement quatre ports : Douala, dans le Littoral, Limbé, dans le Sud-Ouest, Garoua dans la Nord et Kribi, dans la région du Sud. Ces infrastructures portuaires, souligne Robert Nkili, «enregistrent des niveaux d’activités très variables».

C’est ainsi que le port de Limbé «affiche une activité essentiellement tournée vers le petit cabotage local et le transport de passagers avec les pays voisins». Mais en dépit de ce «trafic essentiellement informel, le port de Limbé a réalisé en 2013 un chiffre d’affaires d’environ 800 millions de Cfa». En attendant la livraison du tout nouveau port en eau profonde de Kribi, l’ancien port de la localité «abrite sur son ancien site des activités de cabotage, de pêche artisanale et de plaisance».

Le port fluvial de Garoua, «qui contribue aux échanges avec le Nigeria, a été confié à la Communauté urbaine de cette ville depuis 2004 et se trouve presque à l’abandon en raison de l’ensablement notamment», renseigne le ministre des Transports.

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Le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili, et le secrétaire d’Etat au ministère des Transports du Rwanda, Alexis Nzahabwanimana, ont procédé le 6 novembre 2013 à Yaoundé, la capitale camerounaise, à la signature d’un accord aérien entre les deux pays.

Grâce à cet accord, apprend-on de sources autorisées, les vols réguliers et directs entre Yaoundé ou Douala et Kigali, pourraient débuter dès le mois de février 2014. Ce qui va permettre de rallier les deux pays en 4 heures, contre 18 heures actuellement, à cause des différentes escales à travers des villes africaines.

Cet accord aérien, ont reconnu les deux membres des gouvernements camerounais et rwandais, devrait permettre de renforcer les liens économiques entre les deux pays.

Le premier accord aérien entre le Rwanda et le Cameroun remonte au mois de juillet 1983, a précisé le Ministre Robert Nkili.

Le Rwanda pourrait être une bonne destination pour les opérateurs économiques camerounais en quête d’opportunités d’affaires, grâce à un environnement des affaires favorable, ainsi qu’en témoigne son rang au dernier classement Doing Business 2014, qui loge ce pays parmi «les 20 qui ont le plus progressé» ces dernières années.

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Le ministre camerounais des Transports, Robert Nkili, et le directeur général de la Limbe Port Industrial Development Corporation (LIPID), le Sud coréen Jeawon Lee, ont signé le 1er novembre 2013 à Yaoundé, un protocole d’accord pour la construction du port en eau profonde de Limbe, dans la région du Sud-ouest du Cameroun.

Selon le ministre Robert Nkili, ce protocole d’accord constitue une «avancée» dans ce projet, dont «les études sont en train d’être finalisées». Le port en eau profonde de Limbe, apprend-on, sera un port cimentier, qui s’intègre dans le projet de construction d’une cimenterie dans cette partie du pays, par la société de joint-venture camerouno-coréenne Afko.

Mais, en dehors de permettre les importations des matières premières rentrant dans la production du ciment pour Afko, voire des cimenteries déjà existantes ou encore en chantier sur le territoire camerounais, le port en eau profonde de Limbe devrait permettre d’exporter les produits des entreprises agro-alimentaires du département du Moungo (dans la région du Littoral) et de la région du Sud-Ouest.

Grâce à sa proximité avec le Nigéria, cette infrastructure à construire dans la partie anglophone du Cameroun, devrait également permettre de booster les échanges avec ce pays, d’où proviennent 58% des importations camerounaises, selon une étude de la représentation locale de la Banque mondiale.

Cette infrastructure portuaire, apprend-on, sera construite sur le modèle BOT (Build-Operate-Transfert). Financé à 70% par la Coréenne LIPID et à 30% par l’Etat du Cameroun, le port en eau profonde de Limbe devrait coûter environ 400 milliards de francs Cfa, si l’on s’en tient aux chiffres contenus dans le rapport de l’étude de faisabilité présenté à Yaoundé en 2009.

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Au sortir d’une audience avec le ministre camerounais des Transports, le nouveau directeur général de Brussels Airlines au Cameroun, Kim Vancauwenberghe, a confié que la compagnie aérienne belge va explorer la possibilité de nouer un partenariat avec la compagnie aérienne nationale camerounaise.

«On va regarder s’il y a possibilité de travailler ensemble, de faire des combinaisons de tickets. C'est-à-dire, un ticket qui donne par exemple la possibilité de continuer à partir de l’Europe, mais au-delà du Cameroun, en combinaison et en partenariat», a déclaré le Dg de Brussels Airlines.

Ce dernier, qui accompagnait le nouvel ambassadeur de Belgique au Cameroun chez le Ministre Robert Nkili, répondait ainsi à une doléance de ce membre du gouvernement camerounais, qui a souhaité voir Brussels Airlines explorer les voies d’une collaboration avec Camair Co.

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