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Yaoundé - 26 avril 2024 -

Grâce au programme d’appui à la société civile (Pasc) financé par l’Union européenne (UE), les organisations de la société civile camerounaise ont reçu des subventions d’un montant total de 2 milliards de francs Cfa sur la période 2012-2015, annonce l’unité de gestion de ce programme, qui sera clôturé par une rencontre bilan le 27 août 2015 à Yaoundé, la capitale du pays.

Au cours des 38 mois pendant lesquels a été implémenté le Pasc, indique-t-on au sein de l’unité de gestion de ce programme, environ 3000 membres de la société civile camerounaise ont bénéficié des séances de formation ou d’accompagnements et d’ateliers thématiques de renforcement des capacités.

D’un montant total de 4,5 milliards de francs Cfa, le Pasc, soutient l’UE, «a été conçu et s’est déployé comme un outil de renforcement des capacités des organisations de la société civile en vue d’améliorer leurs capacités à participer à la transformation sociale aux côtés des pouvoirs publics».

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La consommation du gaz domestique au Cameroun a cru de 14% en 2014, selon les statistiques que vient de révéler la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (Csph). Cette augmentation de la consommation nationale, souligne le régulateur du marché des produits pétroliers raffinés, a induit un «soutien financier de 28,3 milliards de francs Cfa».

Cette somme, fait remarquer la Csph, représente «67,63% des charges sur activités ordinaires de l’organisme». En effet, apprend-on, plus de 80% du gaz domestique consommé au Cameroun est importé, l’unique raffinerie camerounaise, la Sonara, préférant se consacrer à la production du pétrole, du gasoil et du pétrole lampant.

Afin de réduire le volume sans cesse croissant de la subvention à la consommation du gaz domestique au Cameroun, le gouvernement a procédé mi-2014, à une révision à la hausse du prix de la bouteille de gaz de 12 Kg, qui est alors passé de 6000 à 6500 francs Cfa. Ce fut la première augmentation depuis 2006.

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Le ministère camerounais de la Recherche scientifique vient de signer avec quatre entreprises, un accord de subvention d’un montant total de 200 millions de francs Cfa, afin de contribuer au développement de leurs projets. Ces entreprises, qui recevront chacune la somme de 50 millions de francs Cfa, sont porteuses de projets de production et de transformation du gingembre, de production d’aliments pour animaux à base de déchets de cacao et de banane, et de production de riz.

Selon Madeleine Tchuinté (photo), la ministre de la Recherche scientifique, ces subventions issues des fonds C2D sont une «nouvelle forme de mise à la disposition des entreprises privées camerounaises des résultats de la recherche publique».

A en croire Hervé Conan, le directeur de l’Agence française de développement (AFD) au Cameroun, «les quatre entreprises ont été sélectionnées sur une base compétitive visant à favoriser les relations entre entreprises et chercheurs pour développer de nouveaux produits».

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Le 25 février 2015, le gouvernement camerounais a rendu public une liste de 31 sociétés d’Etat et d’organismes publics devant bénéficier d’une dotation financière de 30 milliards de francs Cfa au cours de l’année 2015, afin de réaliser certains de leurs projets. Pourtant, la loi des finances 2015 révèle que malgré des subventions similaires accordées aux 21 sociétés appartenant à 100% à l’Etat en 2013, le chiffre d’affaires de ces entreprises a baissé de 9 milliards de francs Cfa, passant de 269 à 260 milliards de francs Cfa.

Ces contre-performances sont d’ailleurs signalées dans un rapport du FMI sur l’économie camerounaise, avec pour recommandation aux autorités camerounaises de confier désormais des cahiers de charges plus rigoureux aux dirigeants de ces entreprises qui s’illustrent par des «piètres résultats», dixit le FMI, et qui apparaissent plutôt comme de véritables gouffres sous, au lieu d’être des outils de production.

En novembre 2014, c’est la Commission des marchés financiers (CMF), le régulateur de la bourse des valeurs mobilières de Douala (DSX), qui, dans sa note d’information sur le dernier emprunt obligataire de l’Etat (150 milliards Fcfa), lui déconseillait de continuer à emprunter de l’argent pour les sociétés de son portefeuille. La CMF suggérait plutôt que les entreprises publiques soient encouragées à aller elles-mêmes sur le marché des capitaux, ce qui suppose qu’elles justifient au préalable d’indicateurs de performances capables de convaincre les investisseurs.

Ces performances, de l’avis de nombre d’observateurs, ne sont pour l’instant pas au rendez-vous pour diverses raisons : la rente de la subvention étatique, la longévité des DG qui finissent par se lasser de toute initiative d’innovation, les recrutements fantaisistes, les malversations financières, la mauvaise qualité de service, la complicité entre les DG et les organes de contrôle tels que les conseils d’administration…

 

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Le gouvernement camerounais a rendu public, le 30 juin 2014 dans la nuit, un communiqué annonçant une augmentation des prix des produits pétroliers sur le territoire national, à compter de ce 1er juillet 2014. Selon le communiqué gouvernemental, le prix du litre de super passe de 569 francs Cfa à 650 francs Cfa, soit une hausse de 81 francs Cfa, tandis que le litre de gasoil, lui, passe de 520 francs Cfa à 600 francs Cfa, en augmentation de 80 francs Cfa.

Dans le même temps, la bouteille de gaz domestique de 12 Kg (la dernière hausse des prix de ce produit est intervenue en 2006), qui coûtait jusqu’ici 6000 francs Cfa, sera désormais cédée à 6500 francs Cfa. Seul le pétrole lampant, considéré comme la chasse gardée des masses les plus pauvres, n’est pas concerné par cette hausse. Le prix du litre reste donc bloqué à 350 francs Cfa.

Comme mesures d’accompagnement de cette hausse des prix redoutée par les pouvoirs publics camerounais depuis les émeutes de février 2008, consécutives à la dernière augmentation des prix des produits pétroliers à la pompe, le gouvernement annonce une revalorisation des salaires des agents de l’Etat, sans préciser ni la date ni la proportion de l’augmentation.

De même, le gouvernement promet une revalorisation prochaine du SMIG, et consacre la diminution de 50% du montant de certaines taxes. Il s’agit notamment, apprend-on, de l’impôt libératoire, principalement payé par les petits commerçants et les opérateurs du secteur informel ; de la taxe de stationnement et de la taxe à l’essieu, respectivement payées par les opérateurs du secteur du transport en commun et les camionneurs.

Une taxation excessive des produits pétroliers

Ce réajustement des prix, explique le communiqué, «répond à la nécessité de prendre en compte l’augmentation continue des cours du pétrole sur le marché international. Et, de réduire la charge toujours plus forte sur le budget de l’Etat, de la subvention des prix du carburant, qui prive la communauté nationale des ressources nécessaires à la réalisation de nombreux projets sociaux, éducatifs et infrastructurels. A titre d’illustration, cette subvention a coûté à l’Etat de 2008 à 2013, 1200 milliards de Fcfa et 155 milliards Fcfa rien que pour les six premiers mois de l’exercice en cours».

Par cette hausse des prix des produits pétroliers, le gouvernement camerounais accède enfin à une requête formulée par le FMI et la Banque mondiale, depuis au moins deux ans. En effet, lors de toutes ses misions au Cameroun depuis lors, le FMI n’a cessé de s’inquiéter de l’augmentation vertigineuse des subventions à la consommation des produits pétroliers, qui a atteint 420 milliards de francs Cfa en 2013, et est projetée à 450 milliards de francs Cfa cette année. La Banque mondiale, elle, dans une édition de ses cahiers économiques sur le Cameroun, avait simplement conclu que la subvention aux produits pétroliers est contre-productive, dans ce sens qu’elle ne profite qu’aux riches.

Une appréciation qui avait provoqué un véritable débat national, entre partisans de la suppression de la subvention et par conséquent de l’augmentation des prix des produits pétroliers, et ceux qui optaient pour le statuquo. A l’appui de leur argumentaire, les partisans de cette dernière thèse faisaient remarquer, comme de nombreux experts d’ailleurs, qu’une simple réduction de la taxation des produits pétroliers aiderait à baisser les prix sans qu’il ait une incidence sur les consommateurs. En effet, selon la structure des prix des produits pétroliers en vigueur au Cameroun, le litre de super ou de gasoil est assujetti au payement de 23 taxes, dont six TVA et une taxe dite «spéciale», qui gonfle, à elle seule, le prix du litre de plus de 100 francs Cfa.

BRM

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Au terme de sa mission au Cameroun, le 8 mai 2014, la mission du Fonds monétaire international (FMI) conduite par Mario de Zamaroczy, a vertement critiqué le décalage observé entre les recettes de l’Etat qui sont «rares», et les dépenses qualifiées «d’osées». Toutes choses qui mettent «le budget sous-pression. Il faut repenser le budget, question d’augmenter les recettes et, ensuite, face à la rareté des ressources, regarder ce qui est prioritaire dans la dépense», a indiqué le chef de la mission du FMI.

Pour le FMI, les principales lignes budgétaires concernées par ces observations sont la subvention étatique à la consommation des produits pétroliers et les subventions aux entreprises publiques. L’on se souvient que depuis au moins 2 ans, le FMI suggère invariablement au gouvernement de supprimer la subvention à la consommation des produits pétroliers, qui est passée d’environ 120 milliards de francs Cfa en 2010 à 420 milliards de francs Cfa en 2013, et est projetée à 450 milliards de francs Cfa en 2014, alors que seulement 220 milliards de francs Cfa sont budgétisés pour ce poste cette année.

Concernant les entreprises publiques, dans un de ses récents rapports, l’institution de Bretton Woods faisait remarquer que celles-ci enregistrent régulièrement de «piètres résultats», et avait conseillé au gouvernement camerounais d’assujettir l’octroi de ces subventions au respect scrupuleux d’un «cahier de charges rigoureux».

D’après le chef de la mission du FMI pour le Cameroun, «ce qui est préoccupant c’est la façon dont le déficit budgétaire (projeté à 5,5% du PIB en 2014 et 5,7% du BIP en 2015, selon le FMI) du pays est financé. C’est-à-dire que l’Etat s’endette pour combler ce déficit, même s’il est vrai que ce sont les investissements publics qui sont la première destination de ces fonds». A en croire Mario de Zamaroczy, à long terme, «l’Etat commencera à accuser des retards de paiements pour ce qui concerne les prestations des fournisseurs».

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La représentation camerounaise de la Banque mondiale, dans ses cahiers économiques sur le Cameroun, vient de révéler que pour le compte de l’exercice budgétaire 2014, les subventions de l’Etat à la consommation des produits pétroliers à la pompe, atteindront la somme de 450 milliards de francs Cfa, soit 3% du Produit intérieur brut (PIB) du pays.

Cette enveloppe sera en augmentation de 30 milliards de francs Cfa, puisqu’elle a culminé à 420 milliards de francs Cfa l’année dernière, selon les statistiques officielles du gouvernement camerounais. Par ailleurs, fait remarquer l’institution financière internationale, seulement 220 milliards de francs Cfa, soit un peu moins de 50% de la somme nécessaire, sont prévus dans le budget 2014, pour supporter ces subventions.

Cette révélation intervient au moment où une mission du Fonds monétaire international (FMI) séjourne au Cameroun, dans le cadre des traditionnelles consultations au titre de l’article IV. En effet, depuis 2 ans, l’équipe que conduit une fois de plus  Mario Zamaroczy conseille au gouvernement camerounais de mettre un terme à ces subventions qui, d’après le FMI, déséquilibrent considérablement le budget de l’Etat et sont contre-productives pour l’économie camerounaise, dans la mesure où, analyse l’institution de Bretton Woods, «ces subventions profitent aux riches».

En rappel, depuis février 2008, le gouvernement camerounais a décidé de bloquer les prix des produits pétroliers à la pompe, malgré l’envolée des cours du brut sur le marché international. Le différentiel entre les prix pratiqués à la pompe et les prix réels arrimés à l’évolution des cours mondiaux du brut étant supporté par le Trésor public. A l’origine de cette décision, les émeutes dites de «la faim», qui avaient embrasé le pays ce mois-là, à la suite d’une augmentation des prix des produits pétroliers à la pompe.

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Pendant 5 ans, à compter de cette année 2014, le Conseil interprofessionnel du cacao et du café du Cameroun (CICC) va encourager la production du café dans le pays grâce à des appuis multiformes aux producteurs, d’un montant total de 150 millions de francs Cfa par an, soit 750 millions de francs Cfa à la fin du plan de sauvetage annoncé lors du lancement de la nouvelle campagne caféière.

Cette opération vise à sortir de l’agonie une filière qui a vu sa production maigrir de plus de 56% en un an. En effet, entre les campagnes 2011-2012 et 2012-2013, la production caféière nationale est passée de 38 000 tonnes à 16 000 tonnes, soit le tiers de la production de 1986 (140 000 tonnes), faisant désormais du Cameroun le 30ème producteur mondial, souligne-t-on au CICC.

A l’origine de cette dégringolade de la filière café, les experts invoquent non seulement le changement climatique, mais également le désintérêt des producteurs. Mais certaines sources au sein de la filière incriminent la marginalisation du café par rapport au cacao en termes d’appuis et subventions diverses, ainsi que le vieillissement des plantations et des producteurs.

Les grandes coopératives de producteurs de café disséminées dans les grandes zones de production (Littoral, Ouest, Centre, Sud et Est) sont également accusées par certains experts, de capter d’importants financements qui ne sont pas réinvestis dans la production, mais dépensées dans le fonctionnement quotidien de ces structures qualifiées de budgétivores.

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Dans une circulaire qu’il vient de rendre publique, le ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey (photo), invite les PCA des «sociétés à capital public et sociétés d’économie mixte», ainsi que des «établissements publics administratifs», à tenir leurs conseils d’administration avant le 31 décembre 2013, afin d’adopter les budgets 2014.

Ces entreprises sont également invitées à faire parvenir au ministre des Finances, au plus tard le 15 janvier 2014, «les rapports d’activités de l’exercice 2013, le projet de plan d’action 2014, une copie des résolutions prises par le conseil d’administration».

A en croire le Ministre Alamine Ousmane Mey, l’octroi des subventions à ces entreprises étatiques pour le compte de l’exercice budgétaire 2014 «est subordonné à la transmission dans les délais de ces documents».

Selon les statistiques du Fonds monétaire international (FMI), l’Etat du Cameroun compte 125 entreprises dans son portefeuille, dont 21 sous son contrôle total, 46 sous le contrôle partiel de l'État et 58 organismes administratifs dans l'éducation, la santé, etc.

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La tension monte à la Chambre d’agriculture du Cameroun, en cette veille de fêtes de fin d’année. Depuis 3 mois, en effet, a appris l’agence Ecofin de bonnes sources, les 200 employés de cette structure, véritable intermédiaire entre le monde rural et les pouvoirs publics, n’ont pas perçu le moindre salaire.

Selon des sources internes, cette disette financière que vit la Chambre d’agriculture, comme à l’accoutumée, est l’arrivée tardive de la subvention de l’Etat, qui est la principale source de revenus de cette institution.

A en croire les mêmes sources, à la faveur de la grogne qui couve à la Chambre d’agriculture ces derniers temps, le président de l’institution, Janvier Mongui Sossomba (photo), aurait obtenu du ministère des Finances, le déblocage, dans les prochains jours, de la subvention qui devrait permettre d’éponger les arriérés de salaires des employés et d’envisager une fin d’année dans la sérénité.

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