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Yaoundé - 05 mai 2024 -

Le gouvernement camerounais vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt, en vue du recrutement de consultants  «pour l’appui technique à la réorganisation du secteur de l’électricité au Cameroun», notamment, apprend-on, dans sa composante création d’un Gestionnaire du réseau de transport public de l’électricité (GRT).

Cette prestation, qui sera financée sur le guichet IDA de la Banque mondiale, devra déboucher, souligne le document d’appel à manifestation d’intérêt, sur «la mise en place rapide» du nouvel opérateur public du transport de l’électricité, avec cependant «une prise en charge de ses fonctions de manière progressive».

Ses activités consisteront, «dans un premier temps, à développer le réseau des infrastructures de transport, puis, à l’issue des travaux de séparation et de transfert des actifs de l’opérateur actuel (Eneo) vers le GRT, que ce dernier reprenne progressivement les fonctions d’exploitation et d’entretien des ouvrages de transport, ainsi que la gestion des flux d’énergie (fonction dispatching) actuellement sous la responsabilité d’Eneo».

Les offres des soumissionnaires à cette prestation sont attendues (par courrier, facsimilé ou courrier électronique) à la direction de l’électricité du ministère camerounais de l’Energie et de l’Eau, à Yaoundé, au plus tard le 13 février 2015 à 13h30.

Pour rappel, selon les experts, la création d’une entreprise publique dédiée au transport de l’électricité au Cameroun permettra de gérer plus efficacement le réseau de transport, dont l’état actuel occasionne d’importantes pertes préjudiciables aussi bien au concessionnaire du service public de l’électricité (Eneo), qu’aux entreprises et aux ménages. En effet, une étude de l’Agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel) évalue à environ 6,5% la quantité d’énergie électrique perdue au Cameroun, dans le processus du transport.

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Le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, a présidé les 8 et 9 octobre 2014 à Yaoundé, une rencontre entre le gouvernement, les différents opérateurs et acteurs du secteur de l’électricité au Cameroun (EDC, ARSEL, Eneo, EDF, AER), les bailleurs de fonds tels que la BAD et la Banque mondiale, pour discuter des modalités de la mise en place d’un gestionnaire du réseau de transport dans le secteur de l’électricité au Cameroun.

Au cours des discussions, apprend-on, les participants à ces travaux ont formulé des recommandations devant être examiner par le gouvernement camerounais, notamment sur l’architecture institutionnelle, l’organisation, le fonctionnement et l’opérationnalisation de cette entreprise en gestation, qui devra être à 100% à capitaux publics, selon la loi de 2011 régissant le secteur de l’électricité au Cameroun.

La future entreprise publique, qui est elle-même l’émanation de ladite loi, devrait, selon les experts, permettre de gérer plus efficacement le réseau de transport de l’électricité dans le pays, dont l’état actuel occasionne d’importantes pertes préjudiciables aussi bien à l’unique opérateur (Eneo), qu’aux entreprises et aux ménages.

En effet, selon une étude de l’Agence de régulation du secteur de l’électricité (Arsel), environ 6,5% de l’énergie produite au Cameroun est perdue dans le processus du transport, tandis que 29% s’évapore dans les circuits de distribution, du fait de fraudes multiformes et de la qualité des équipements.

A en croire le DG de l’Arsel, Jean Pierre Kédi, qui s’exprimait ainsi en mai 2013 au cours d’une conférence de presse organisée par l’Association Afrique-France, le Cameroun pourrait économiser jusqu’à «30% de l’énergie consommée par les bâtiments» en résorbant les pertes sus mentionnées.

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Le consortium brésilien constitué des entreprises Marcopolo, Queiroz-Galvao et Logit pourrait, en partenariat avec l’Etat du Cameroun, lancer dans les deux plus grandes villes camerounaises que sont Douala et Yaoundé, un système de transport urbain de masse par bus baptisé BRT (Bus Rapid Transit).

Ce projet a été au centre d’une séance de travail présidée le 28 août 2014 par le ministre du Développement urbain et de l’Habitat, Jean Claude Mbwentchou. Les financements pour ce projet devraient être pourvus par la partie brésilienne, dont l’ambassadeur au Cameroun, Nei F. Bitencourt, a rassuré sur les capacités financières du consortium sus-mentionné, qui revendique une expérience de plus de 40 ans dans le BRT.

Selon les Brésiliens, le système de transport urbain par BRT a la particularité de s’adapter à la structure de chacune des villes desservies, quelle que soit sa configuration. Expérimenté pour la première fois dans la ville brésilienne de Curitiba en 1974, ce système de transport urbain est aujourd’hui usité, apprend-on de bonnes sources, dans une centaine de villes à travers le monde.

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A la faveur de la menace de grève brandit par les transporteurs camerounais au lendemain de la hausse des prix des carburants et du gaz domestique dès le 1er juillet 2014, le gouvernement camerounais vient de procéder à une augmentation des prix des transports urbains. Selon un communiqué du ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, le service par taxi de ville en journée est désormais rémunéré à 250 francs Cfa, contre 200 francs Cfa par le passé, soit une hausse de 25%. Dans la nuit, ce prix passe de 250 francs Cfa à 300 francs Cfa, en hausse de 20%.

Cette augmentation des tarifs dans les transports est plus importante pour des prestations telles que les «dépôts», qui passent de 1500 à 2000 francs Cfa en journée, puis de 2000 à 2500 francs Cfa la nuit, en hausse de 25 à 33%. La course, elle, passe de 2500 à 3000 francs l’heure. Le gouvernement a, cependant, maintenu la clause de la «négociation» entre clients et transporteurs, dans l’optique d’asseoir une certaine flexibilité sur ces prix homologués.

Une fois ces nouveaux tarifs rendus publics, les transporteurs interurbains ont également réajusté leurs prix. Un médecin en service dans la région de l’Ouest du Cameroun, affirme par exemple avoir payé 4500 francs Cfa dans une agence de voyage bien connue pour se rendre à Yaoundé le week-end dernier, au lieu des 3500 francs Cfa habituels, soit une hausse de 1000 francs Cfa, ce qui représente environ 30%. A son retour deux jours plus tard, précise-t-il, ce dernier a dû débourser cette fois-ci 5000 francs Cfa pour effectuer le même trajet, les tarifs ayant été à nouveau revus à la hausse dans l’intervalle par les responsables de la même agence de voyage.

Avec cette hausse des prix des transports, les populations camerounaises redoutent désormais une hausse généralisée des prix dans les marchés du pays, les coûts du transport impactant généralement toute la chaîne commerciale des produits manufacturés. Une augmentation généralisée des prix qui aura pour malheur d’annihiler l’effet escompté de la hausse des salaires de 5% dans la fonction publique camerounaise, décidée au lendemain de la révision des prix des carburants et du gaz domestique, officiellement pour maintenir le pouvoir d’achat de certains ménages.

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La grève générale des employés du secteur des transports urbain et interurbain prévue ce 7 juillet 2014 sur l’ensemble du territoire camerounais n’aura plus lieu, suite à la levée du mot d’ordre lancé au lendemain de la hausse des prix des carburants par la Confédération générale des syndicats du transport du Cameroun.

Les transporteurs, a-t-on appris officiellement, donnent un délai d’un mois au gouvernement camerounais pour poursuivre les négociations devant aboutir à la satisfaction de certaines doléances clairement exprimée par les syndicalistes, notamment la révision à la hausse des tarifs du transport en urbain et interurbain.

Telle est, en effet, la principale revendication des transporteurs, qui souhaitent ainsi répercuter sur les consommateurs des services des transports, l’augmentation de 81 et 80 francs Cfa, respectivement effectuée sur les litres du super et du gasoil depuis le 30 juin 2014. La proportion de cette augmentation des tarifs du transport réclamée par les syndicalistes, qui devra obligatoirement être entérinée par le gouvernement (selon la règlementation nationale, les prix dans le transport sont homologués), n’a pas encore été précisée.

Du côté du gouvernement camerounais, où une véritable croisade contre la vie chère est lancée depuis les émeutes de février 2008, l’on se montre jusqu’ici réticent face à cette doléance à laquelle s’arc-boutent les transporteurs, craignant une généralisation de l’inflation dans les marchés et sur l’ensemble de la chaîne de production.

Outre la hausse des tarifs, les transporteurs exigent aussi la diminution, voire la suppression des contrôles de police, très souvent empreints de tracasseries et d’actes de corruption. Il s’agit là d’une vielle revendication, qui n’a jamais véritablement trouvé de réponse définitive de la part des pouvoirs publics.

Pour rappel, la hausse des prix des carburants et du gaz domestique qui a pris effet le 1er juillet 2014, a déjà été suivie de mesures d’accompagnement telles que la promesse d’augmentation des salaires dans le secteur public, la réduction de moitié des montants des taxes de stationnement, à l’essieu et l’impôt libératoire.

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Le transport des marchandises entre la République centrafricaine (RCA) et le Cameroun a repris depuis le 16 juin 2014, a-t-on appris de bonnes sources. En effet, au terme d’une réunion de crise catalysée par le Bureau de gestion du fret terrestre (BGFT), et tenue le même jour dans les locaux de la sous-préfecture de Garoua-Boulaï, localité de la région de l’Est du Cameroun frontalière à la RCA, les 400 camionneurs garés depuis le 5 juin dans cette ville camerounaise ont été rassurés sur les mesures de sécurité à prendre par les autorités centrafricaines, une fois la frontière camerounaise traversée en direction de Bangui.

Ils ont donc aussitôt repris leurs activités, en dépit de l’aveu de la Misca de pouvoir être efficace dans la sécurisation des cargaisons de marchandises parties du Cameroun, pour l’approvisionnement de la capitale centrafricaine. En effet, a-t-on appris de très bonnes sources, au cours de la réunion du 16 juin 2014, le commandant camerounais de la Misca, le Général Tumenta, a fait dire à son représentant qu’il serait intéressant pour les camionneurs desservant la RCA, de se munir de GPS ou de téléphone Thuraya, afin de pouvoir signaler à la Misca des situations de détresse, de manière à faciliter l’intervention de cette force panafricaine.

La décision de suspendre le transport en direction de la RCA avait été prise le 5 juin 2014, à la suite de l’assassinat par des personnes présentées comme des anti-balaka centrafricains, du camionneur camerounais Adamou Alhadji. Cette énième exaction a été perpétrée en territoire centrafricain.

Pour rappel, depuis le déclenchement de la crise politique dans ce pays de la zone Cemac en mars 2013, les transporteurs camerounais se sont plusieurs fois rebellés contre l’insécurité prévalant sur la route Garoua-Boulaï- Bangui, mettant ainsi en péril les 55 milliards de francs  Cfa de marchandises centrafricaines qui transitent par le Cameroun chaque année, selon les statistiques de la douane camerounaise.

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Le Secrétariat général de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) vient de lancer un avis à manifestation d’intérêt, pour le recrutement de consultants devant réaliser une étude visant la mise en place d’un «Comité de gestion du corridor Brazzaville-Yaoundé». Lequel comité, apprend-on, devra œuvrer à la facilitation des activités de transport entre le Congo et le Cameroun, à la faveur de la construction, en cours, de la route Ketta (Congo)-Djoum (Cameroun), sur financement du Fonds africain de développement (FAD).

Le consultant recherché par la CEEAC pour conduire cette étude, souligne l’avis à manifestation d’intérêt, devra concrètement définir le statut et la composition du comité, son mode de financement, ses règles et procédures de fonctionnement ; proposer les modalités effectives de mise en place du comité ; élaborer un programme d’activité initial du comité sur une durée de 3 ans accompagné d’un cadre logique basé sur les résultats, etc.

A priori, la mise en place de ce comité devrait permettre de lever tous les obstacles à la densification des échanges commerciaux entre les deux pays. Des obstacles que Jean Jacques Samba, alors secrétaire général d’Unicongo, le patronat congolais, regroupe dans «l’ensemble des taxes illégales» perçues aux transporteurs, aussi bien du côté congolais que camerounais. Ces «taxes illégales», avait souligné M. Samba lors du Salon Promote 2011 à Yaoundé, renchérissent considérablement les coûts du transport qui représentent entre 1/3 et 1/4 du prix des produits exportés par l’un et l’autre pays.

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Selon le journal à capitaux publics, Cameroon Tribune, 450 camions transportant des marchandises sur le corridor Douala (Cameroun)-Bangui (République centrafricaine) sont garés depuis deux mois, à cause de l’insécurité qui est montée d’un cran dans ce pays voisin du Cameroun.

A en croire la même source, les pertes enregistrées par ces transporteurs qui font le pied de grue soit à Douala, soit à la frontière Cameroun-Centrafrique à Garoua Boulaï, sont estimées à environ 4 milliards de francs Cfa chaque mois. Ce qui correspond à 8 milliards de francs Cfa de manque à gagner depuis deux mois.

Depuis le déclenchement de la crise centrafricaine en mars 2013, le commerce est paralysé entre ce pays et le Cameroun, mettant ainsi en péril les 55 milliards de francs Cfa de marchandises qui circulent chaque année entre les deux pays, selon les statistiques de la douane camerounaise.

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Selon le quotidien privé Mutations, le Programme national de développement participatif (PNDP), dont la seconde phase s’achève dans deux mois (novembre 2013), a financé 1600 projets de développement au cours des trois dernières années.

Ces projets réalisés dans les communes, avec un apport personnel des bénéficiaires, ont coûté 14 milliards de francs Cfa, et ont principalement concerné les domaines de la santé, du transport, de l’éducation et de l’hydraulique.

Programme gouvernemental qui consiste à assister les communautés et les collectivités locales décentralisées dans leur quête d’un développement durable et la création des emplois, le PNDP est financé par la Banque mondiale à travers l’Agence de développement international (IDA), la coopération allemande et l’Etat du Cameroun.

Une nouvelle phase de ce programme multi-bailleurs, prévue pour s’étendre jusqu’en 2016, devrait être prochainement lancé, apprend-on, cette fois-ci sur financement C2D (Contrat désendettement développement).

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Selon le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, le transport des marchandises a recommencé sur le corridor Douala-Bangui depuis le 3 septembre 2013. Cette reprise des activités par les transporteurs aussi bien camerounais que centrafricains, est consécutive à une réunion de crise qui s’est tenue le 2 septembre 2013, dans les locaux de la sous-préfecture de Garoua-Boulaï, ville camerounaise frontalière à la République centrafricaine dans la région de l’Est.

Cette rencontre à laquelle ont pris part les autorités administratives et les responsables des syndicats des transporteurs des deux pays, a débouché sur des résolutions telles que l’escorte et le convoyage des véhicules en territoire centrafricain, afin d’éviter les actes de racket perpétrés par des rebelles de la Séléka. Pour toutes ces opérations qui incomberont aux autorités centrafricaines, qui ont promis de déployer la gendarmerie et plus tard la force de la Fomac (force commune aux pays de la Cemac), apprend-on, les transporteurs débourseront, chacun, la somme de 90 800 francs cfa.

Le transport des marchandises avait été interrompu le 14 août dernier entre Garoua-Boulaï et Bangui, à la suite d’un mot d’ordre de grève lancé par les transporteurs centrafricains victimes d’exactions de la rébellion Séléka. Par solidarité avec leurs collègues, les transporteurs camerounais avaient également garés leurs camions, paralysant ainsi l’activité tout le long du corridor Douala-Bangui, où transitent pour plus de 55 milliards de francs Cfa de marchandises centrafricaines, selon la douane camerounaise.

Au demeurant, une partie des échanges entre le Cameroun et la Centrafrique continue d’être compromise, suite à la fermeture de la frontière entre les deux pays dans la localité de Toktoyo, suite à l’assassinat, il y a quelques semaines, de l’officier de police camerounais Ndallé Ngando, alors chef du poste frontière dans cette localité. Le crime a été commis par des rebelles de la Séléka. Le défunt vient d’ailleurs d’être élevé au grade de commissaire de police, à titre posthume, par un décret du chef de l’Etat camerounais. Et le bourreau, un certain capitaine Ali, interpellé et mis à la disposition des autorités camerounaises, a révélé le quotidien camerounais Le Jour, citant des sources sécuritaires.

BRM

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