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Yaoundé - 15 mai 2024 -

Le gouvernement camerounais organisera, les 16 et 17 septembre 2015, le «Business Meeting», qui est une rencontre avec les partenaires au développement et les acteurs du secteur agricole. L’objectif principal de cette rencontre est de mobiliser les financements en vue de l’implémentation du Plan national d’investissement agricole (PNIA) adopté en avril 2014.

Selon le ministre de l’Agriculture, Essimi Menyé (photo), qui a présidé la première réunion préparatoire de ce «Business Meeting» le 26 juin 2015 à Yaoundé, le gouvernement camerounais escompte des financements d’un montant total d’environ 1500 milliards de francs Cfa, au sortir de ce rendez-vous avec les bailleurs de fonds et les investisseurs du secteur agricole.

Les 1500 milliards de francs Cfa attendus par le gouvernement sont simplement une partie de l’enveloppe globale de 3350 milliards de francs Cfa à investir dans l’agriculture sur la période 2014-2020 dans le cadre du PNIA. Les financements escomptés, a indiqué le Ministre Essimi Menyé, permettront concrètement au pays d’intensifier «la mécanisation et la transformation». Cependant, a-t-il précisé, «L’Etat ne va pas se substituer aux Camerounais, mais plutôt accompagner le secteur privé qui va s’investir pour que nous puissions redynamiser la production et pousser la croissance».

Le PNIA accorde également la priorité à la construction des routes, afin de permettre le désenclavment les bassins de production du pays. «Il faut que les partenaires au développement nous aident à continuer à construire ces routes, qui vont permettre aux uns et aux autres d’aller vers les champs», a confié le ministre de l’Agriculture.

Pour rappel, Le PNIA est en droite ligne de la signature par le Cameroun, le 17 juillet 2013, du pacte du «Programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique (PDDAA)», mis en place dans le cadre du Nepad. En signant le pacte du PDDAA, le Cameroun s’est engagé à consacrer 10% de son enveloppe budgétaire nationale au secteur agricole, contre 3% actuellement.

BRM

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Une fois achevé, le port en eau profonde de Limbé, que construit dans la région du Sud-Ouest du pays le consortium camerouno-coréen LIPID, va permettre d’exporter annuellement 50 000 tonnes de produits agricoles dès 2017, souligne le rapport final de l’étude du projet, donc certaines conclusions ont été révélées le 26 mai 2015 à Yaoundé. C’était au cours de la 4ème édition du Forum de coopération énergétique Cameroun-Corée. Ce volume des exportations de produits agricoles, apprend-on, devraient atteindre 60 000 tonnes à partir de l’année 2020.

L’on se rappelle qu’au cours d’une réunion organisée le 15 janvier 2015 entre les autorités gouvernementales et les responsables de LIPID, le consortium avait «proposé au gouvernement camerounais de commencer par la construction d’une jetée flottante multifonctionnelle, capable d’accueillir des navires de 20 000 tonnes, et dont le coût est estimé à environ 35 millions de dollars (17,5 milliards de francs Cfa)». Cette option, avait-on appris, devait permettre au port d’être opérationnel au bout de six mois de travaux.

Investissement d’un montant total de plus de 300 milliards de francs Cfa (602 millions de dollars), le futur port en eau profonde de Limbé, selon le gouvernement, «sera spécialisé dans le transport des produits lourds tels que les hydrocarbures (la seule raffinerie du pays se trouve à Limbé), le ciment (une cimenterie sera construite dans la ville de Limbé), les conteneurs et autres produits agricoles (La CDC exploite des milliers d’hectares de banane, d’huile de palme et d’hévéa autour de Limbé)».

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La Société financière internationale (SFI/IFC), la branche de la Banque mondiale en charge du secteur privé, a signé le 1er avril 2015, un accord visant à établir un mécanisme de financement avec partage des risques d'un montant de 2,5 milliards de FCFA (4,15 millions $), en faveur de la Banque internationale du Cameroun pour l'épargne et le crédit (BICEC), une filiale du groupe français BPCE.

Ce financement vient en soutien à ses activités de prêts aux coopératives agricoles qui opèrent dans le cadre du projet d'investissement et de développement des marchés agricoles (PIDMA), un projet du gouvernement camerounais, financé à 50 milliards de francs Cfa par la Banque mondiale. L'objectif est de contribuer au développement d'un secteur agricole plus productif et plus efficace dans la région, grâce à un meilleur accès aux financements, aux marchés, aux intrants et aux chaînes logistiques.

«Le financement proposé par IFC s'adapte bien à la stratégie de la BICEC, consistant à prendre davantage de risques et à augmenter ses investissements dans l'agriculture au Cameroun dans le cadre de programmes complets, tels que le PIDMA, qui font la promotion d'une approche innovante visant à soutenir un secteur essentiel pour le développement du pays », a déclaré Pierre Mahé, directeur général de la BICEC.

Selon des responsables de cette banque, la BICEC revendique, à travers son département agricole, une émission de prêts à diverses parties pour un montant agrégé de 18 milliards de FCFA en 2014, ce qui lui aurait permis de toucher directement et indirectement plus de 200 000 petits exploitants agricoles.

Cet appui de la SFI est annoncé dans un contexte particulier, où des ONG s'interrogent de plus en plus sur l'efficacité réelle de ses interventions pour la réduction de la pauvreté et, surtout, juste un jour avant la publication d'un rapport d'ONG conduites par Oxfam, qui assure que certains prêts accordés par l'institution ont été à l’origine de violations des droits de l’homme, dans certains pays du tiers monde. Le rapport critique aussi un manque de suivi des projets et de transparence sur leurs impacts réels. « Avec son nouveau modèle de prêt de développement, la SFI ne sait pas où la majeure partie de ses fonds aboutissent ni s’ils aident ou nuisent », a expliqué Nicolas Mombrial, directeur du bureau d’Oxfam International à Washington, selon des propos rapportés par le journal français Le Monde.

La SFI qui a entrepris des réformes dans son mode opératoire, a tenu à préciser qu'une équipe conjointe SFI-IDA s'assurera que le projet PIDMA permettra réellement aux organisations productrices de développer les compétences nécessaire pour améliorer leurs opérations, remédier aux contraintes affectant les producteurs, et qu'elle fournira également des services-conseil à la BICEC afin de l'aider à se familiariser avec le financement des projets agricoles.

Idriss Linge

 

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Agriculture écologique, écotourisme et microfinance solidaire. Voilà les trois axes sur lesquels ont parié des jeunes agro-entrepreneurs du village camerounais de Tayap. En 2009, Adeline Flore Ngo Samnick et quelques camarades, alors au chômage, ont décidé de se lancer dans un projet se positionnant sur ces trois volets.

«Des arbres fruitiers et cultures vivrières exploités en agriculture biologique ont été plantés sur 60 hectares. En parallèle, des chambres d’hôtes ont été mises en place et des éco gîtes sont en construction, donnant une valeur économique au patrimoine culturel et naturel du village.» explique-t-elle au journal français 20 Minutes avant d’ajouter qu’en outre, une caisse communautaire d’épargne et de crédit a été créée afin de financer les initiatives des femmes de la localité.

Fort des résultats enregistrés, le projet, qui est aujourd’hui en quête de reconnaissance internationale, espère voir son modèle transposé dans plusieurs pays d’Afrique centrale. En février dernier, il a été récompensé au terme du concours Challenge Climat initié par l’Agence Française de Développement (AFD) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD). Un premier succès qui est peut-être annonciateur d’un destin plus grand pour cette initiative.

Aaron Akinocho

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La filiale camerounaise du groupe bancaire français Société générale, va ouvrir une ligne de crédit d’un montant de 5 milliards de francs Cfa, afin de soutenir l’implémentation du Projet d’investissement et de développement des marchés agricoles (PIDMA) au Cameroun, financé à hauteur de 50 milliards de francs Cfa par la Banque mondiale. C’est l’objet d’une convention signée le 20 février 2015 à Douala, entre le Dg de la Société générale Cameroun, Jean Philippe Guillaume, et le Coordonnateur du PIDMA, Thomas Ngué Bissa.

La SG devient ainsi la troisième banque locale à s’engager à soutenir ce programme du gouvernement camerounais, qui vise à booster la production du maïs, du manioc et du sorgho, afin d’approvisionner les sociétés agro-industrielles en activité dans le pays. Avant la SG, le PIDMA avait déjà accroché comme partenaires financiers Afriland First Bank, et la BICEC. Un accord du même type est actuellement en négociation avec Ecobank Cameroun, la filiale locale de la banque panafricaine.

Pour rappel, dans le cadre du PIDMA, les projets sont financés par le programme (sous la forme subvention) à hauteur de 50%, tandis que les coopératives bénéficiaires, qui sont assujetties à un apport personnel équivalent à 10% du montant de l’investissement, rechercheront les 40% restants auprès des banques partenaires.

Officiellement, le PIDMA qui permettra d’approvisionner en matières premières des entreprises telles que Nestlé Cameroun ou encore la société Guinness, bénéficiera à 300 coopératives agricoles du pays, qui regroupent environ 120 000 personnes, dont 50% de jeunes et de femmes.

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Le ministre camerounais de l’Agriculture, Essimi Menyé (photo), procède ce 19 février 2015 dans la région du Sud-Ouest, au lancement officiel de la campagne agricole 2015. Elle est placée cette année, apprend-on, sous le signe de la distribution de semences améliorées, afin d’augmenter la production. C’est dans cette optique qu’à l’occasion de ce lancement officiel, une unité de traitement et de conditionnement des semences améliorées sera inaugurée dans la localité de Muyuka.

En effet, en 2015, le ministère de l’Agriculture annonce la distribution de 900 tonnes de semences améliorées de maïs, capables de produire des rendements de 8 à 10 tonnes à l’hectare. Il est également prévu la mise à la disposition des producteurs, de 1100 tonnes de semences de pommes de terre, 2,5 millions de plants de banane-plantain, 400 000 plants d’arbres fruitiers…

Pour rappel, malgré 25% de son territoire de 475 000 Km2 constitué de terres arables, le Cameroun est un pays caractérisé par d’innombrables déficits de production. A l’origine de cette situation, énumèrent divers rapports, l’indisponibilité du matériel végétal, la mauvaise qualité dudit matériel, la faible mécanisation de l’agriculture, l’accès difficile au financement dans le secteur agricole…

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Le Programme d’amélioration de la compétitivité des exploitations familiales agro-pastorales (ACEFA), piloté par le ministère camerounais de l’Agriculture et celui de l’Elevage, ambitionne d’investir en 2015, quelque 6,5 milliards de francs pour le financement de projets éligibles à ce programme, a-t-on appris de bonnes sources. Financé sur le C2D, une initiative du gouvernement français, l’ACEFA vise, indique sa fiche de présentation, à «accroître les revenus des exploitants familiaux par l’amélioration de la compétitivité de leurs exploitations».

Dans sa phase pilote, l’ACEFA a permis de financer 1500 projets à hauteur de 5 milliards de francs Cfa. Cette première phase s’est limitée à 10 départements du Cameroun, entre 2008 et 2012. C’est dans le cadre de la seconde phase, qui couvre la période 2013-2016, que ce programme a été étendu à l’ensemble des 58 départements que compte le pays.

Au cours de cette seconde phase, les gérants du programme escomptent «l’augmentation sensible des revenus des 250 000 producteurs agricoles qui en seront bénéficiaires. Selon les hypothèses retenues, la création de revenus agricoles additionnels évoluerait entre 21 et 48 milliards de francs Cfa et la création d’emplois agricoles entre 50 000 et 100 000».

Les trois composantes de l’ACEFA sont le conseil spécialisé aux populations qui s’investissent dans des projets agro-pastoraux familiaux, la participation au financement de ces projets au moyen de subventions, et le renforcement des capacités institutionnelles des plateformes professionnelles.

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Le Projet d’investissement et de développement des marchés agricoles (PIDMA) au Cameroun, financé à hauteur de 50 milliards de francs Cfa par la Banque mondiale, vient d’accrocher un nouveau partenaire financier local. En effet, après la convention de partenariat signée le 22 octobre 2014 entre les responsables de ce projet piloté par le ministère camerounais de l’Agriculture, et Afriland First Bank, en vue de compléter les financements des agriculteurs éligibles au PIDMA, la Banque internationale du Cameroun pour l’épargne et le crédit (BICEC) vient de signer, à son tour, une convention de partenariat avec le PIDMA.

En clair, en attendant la conclusion de l’accord-cadre en cours de négociation avec Ecobank Cameroun, apprend-on de sources internes au PIDMA, la BICEC et Afriland First Bank sont déjà membres du pool bancaire devant accorder les crédits aux 300 coopératives agricoles éligibles à ce projet.

En effet, dans le cadre du PIDMA, les projets sont financés par le programme (sous la forme subvention) à hauteur de 50%, tandis que les coopératives bénéficiaires, qui sont assujetties à un apport personnel équivalent à 10% du montant de l’investissement, rechercheront les 40% restants auprès des banques locales. D’où la constitution d’un pool bancaire.

Pour rappel, le PIDMA qui bénéficiera à 120 000 agriculteurs et leurs familles, vise à accroître la production du maïs, du sorgho et du manioc au Cameroun, afin d’approvisionner les industries agro-alimentaires engagées dans les processus de réduction de leurs importations de matières premières. Ce projet agricole intéresse déjà des agro-industries telles que Guinness Cameroun, filiale du brasseur Diageo, ou encore Nestlé Cameroun ; avec lesquelles le PIDMA a déjà signé des conventions d’approvisionnement en matières premières.

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Le gouvernement camerounais et la société Signature Africa Venture Ltd, filiale de la société d’investissement Signature Growth Capital Partners, basée à Dubaï, ont signé le 23 décembre 2014 à Yaoundé, a-t-on appris de sources officielles, un mémorandum d’entente (MoU) pour la réalisation d’études de faisabilité, en vue de l’implémentation sur le territoire camerounais de projets dans le domaine des énergies renouvelables.

Selon nos sources, ces projets destinés à être réalisés sur le modèle BOT (Built Operate Transfert) concerneront, apprend-on, le développement de l’électrification rurale, la construction de centrales électriques à biomasse, de centrales solaires et de mini-centrales hydroélectriques dans certaines régions du pays. Les études de faisabilité, objet du MoU avec le gouvernement camerounais, a confié Vikas Bhatnagar, responsable chez Signature Africa Venture Ltd, débuteront dès le mois de janvier 2015.

A ce jour, Signature Growth Capital Partners revendique la structuration, le co-investissement et la gestion conjointe de «plus de 1,5 milliard de dollars (environ 750 milliards de FCfa) d'investissements dans des projets avec des institutions du Moyen-Orient». Sa filiale Signature Africa Venture Ltd, spécialement dédiée aux investissements en Afrique, est active dans les secteurs des mines, de l’énergie, de l’immobilier et de l’agriculture.

 

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Le Cameroun va abriter, pour la première fois de son histoire, un Salon international du machinisme agricole (Simac). L’annonce de cet évènement, qui se déroulera au mois de juin 2015, a été faite le 23 octobre 2014 à Yaoundé, au cours d’une cérémonie de lancement officiel des travaux relatifs à la préparation du Simac, qu’a abrité la Chambre d’agriculture du Cameroun, organisatrice de cet évènement.

L’annonce de l’organisation de ce Salon intervient au moment où les autorités camerounaise promeuvent une migration de l’agriculture de première génération orientée vers l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, vers l’agriculture de seconde génération, tournée vers les marchés, et qui implique la mécanisation, seul gage d’augmentation de la production.

Pour l’instant, la production du pays demeure «encore rudimentaire», soutient Moussa Koue, premier Vice-président de la Chambre d’Agriculture, des Pêches, de l’Elevage et des Forêts du Cameroun. D’après lui, «la compétitivité des produits camerounais passera par une modernisation de la production nationale», qui passe absolument par la mécanisation.

A l’origine de cette situation, la cherté des machines agricoles, auxquelles ne peuvent avoir accès les petits agriculteurs locaux, qui font également remarquer que la plupart de ces machines ne sont pas adaptées à leurs besoins. «Nous voulons réunir les utilisateurs des machines agricoles et les fabricants, pour que ces derniers s’aperçoivent des réalités locales. Ce que nous souhaitons à travers ce Salon, c’est de pousser les fabricants de machines agricoles à s’adapter aux unités de production, et non l’inverse, comme c’est actuellement le cas», explique Moussa Koue.

A en croire Ellisar Mbang Ekoutou, la coordonnatrice générale de ce tout premier Salon international du machinisme agricole, plusieurs pays devraient participer à ce rendez-vous agricole. Au premier rang des participants annoncés : la Chine, la Turquie et le Brésil.

 

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