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Yaoundé - 03 mai 2024 -

Le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, a rendu public le 13 juillet 2015, un arrêté portant «création, organisation et fonctionnement de la Commission spéciale ad hoc de sélection d'une entreprise chinoise pour la construction du chemin de fer et du terminal minéralier du projet Mbalam et de la mise en œuvre du plan de développement de la boucle minière du Dja».

Le texte du chef du gouvernement camerounais confirme ainsi la prise d’intérêt par la Chine, dans le projet d’exploitation du gisement de fer de Mbalam-Nabeba, situé à cheval entre le Cameroun et le Congo. Il est développé par la junior minière australienne Sundance Resources, qui a pendant un temps pensé à accrocher la société chinoise Hanlong Group pour la conduite de ce projet minier d’un potentiel de production de 40 millions de tonnes de fer.

L’on se souvient que Sundance Resources avait déjà choisi la société portugaise Mota Engil pour la construction des 510 Km de voie ferrée devant relier Mbalam au port en eau profonde de Kribi, où il est également prévu de construire un terminal minéralier. Mais, à l’issue d’un échec essuyé au terme d’une première prorogation du délai initial de mobilisation des ressources (l’expertise de Standard Bank avait été requise à cet effet) pour ces infrastructures, la junior minière australienne a annoncé, le 30 juin 2015, être parvenue à un accord avec le gouvernement camerounais, qui s’engage désormais à mobiliser lui-même lesdits financements.

Tout en indiquant qu’il se consacrera désormais uniquement à la recherche des fonds nécessaires pour la construction de la mine, Sundance précisait par ailleurs, dans son communiqué du 30 juin dernier, que les ressources financières à mobiliser par la partie camerounaise proviendront de la Chine, selon les assurances données au Premier ministre camerounais, qui a effectué une visite dans l’Empire du Milieu du 17 au 21 juin 2015.

Au total, ce sont environ 2000 milliards de francs Cfa de financements (entre 1000 et 1500 milliards FCfa pour le chemin de fer et environ 450 milliards FCfa pour le terminal minéralier) que l’Etat du Cameroun devrait obtenir, et que devront ensuite empocher l’entreprise chinoise à sélectionner par la Commission spéciale créée il y a quelques jours par le chef du gouvernement camerounais.

BRM

 

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Le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, vient de procéder dans la ville de Yaoundé, au lancement de la phase de construction du tout premier abattoir moderne du pays, dont les travaux sont réalisés par le groupe espagnol Emmsa. Doté de huit chaînes d’abattage et d’entrepôts frigorifiques d’une capacité de stockage de 10 000 carcasses de 200 Kg, cet abattoir sera également équipé en véhicules de transport frigorifiques.

Des infrastructures du même type, mais d’envergure plus modestes (stockage de 250 à 5000 carcasses de 200 Kg), seront également construites par la même entreprise dans les villes de Kribi, Ngaoundéré et Ebolowa. Ces investissements engloutiront globalement 10 milliards de francs Cfa, apprend-on.

Ces projets, qui visent à moderniser les infrastructures dans les filières bovine et porcine, font partie du plan d’urgence triennal du gouvernement camerounais, pour l’amélioration des conditions de vie des populations et la relance de la croissance, lequel plan est doté d’un budget total de 925 milliards de francs Cfa.

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Invité en Chine du 17 au 21 juin 2015 par son homologue Li Keqiang, le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, qui a également été reçu par le chef de l’Etat chinois, Xi Jinping, est retourné au Cameroun avec deux financements d’un montant total de 94,5 milliards de francs Cfa pour le compte du gouvernement camerounais.

Le Premier financement, d’un montant d’un milliard de francs Cfa, a-t-on appris officiellement, est en réalité un don qui permettra de financer les études de faisabilité des projets de construction d’un nouvel immeuble siège de l’Assemblée nationale et de réhabilitation des hôpitaux de Guider (Nord) et de Mbalmayo (Centre). Le second financement, d’un montant de 93,5 milliards de francs Cfa, va permettre au Cameroun de construire un réseau informatique destiné à l’Enseignement supérieur.

Avec ces nouveaux financements, la Chine conforte sa position de premier bailleur de fonds de la République du Cameroun depuis quelques années. En effet, à fin 2014, l’Empire du Milieu, qui contrôle la quasi-totalité des grands projets d’infrastructures au Cameroun, détenait officiellement un portefeuille d’investissements estimé à 1850 milliards de francs Cfa.

 

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Au cours du conseil de cabinet du mois d’avril 2015, le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, a prescrit au ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (Minatd), René Emmanuel Sadi, «de prendre des mesures urgentes d’assainissement du secteur des jeux de hasard, afin de contenir les nombreux risques d’atteintes à l’ordre social et l’ordre public», que pourrait engendrer le désordre observé chez les opérateurs de ce secteur. La prescription du PM est consécutive à un exposé présenté à ses collègues du gouvernement par le Minatd, en rapport avec «la mise en œuvre de la réglementation relative aux loteries, jeux de hasard et paris sportifs».

En effet, selon le communiqué qui a sanctionné cette grand’messe du gouvernement camerounais, il est ressorti de cet exposé que «ce secteur est gangrené par de nombreux maux, dont le choix de la clandestinité de quelques opérateurs, les comportements addictifs de certains joueurs, la localisation inappropriée des établissements de jeux ou le non-respect de l’interdiction des jeux aux mineurs. A cela, s’ajoute l’inadaptation de la réglementation aux évolutions récentes à l’instar les jeux et paris en ligne».

Par ailleurs, bien que des salles de jeux de hasard pullulent dans les grandes métropoles du pays, l’on a appris du Minadt que «les autorisations valides» ne sont reconnues qu’à «six casinos fonctionnels, dont quatre à Douala et deux à Yaoundé ; un casino non fonctionnel à Douala». Dans le même temps, «sept sociétés de jeux de hasard sont autorisées pour les loteries et paris sportifs», tandis que «trois salles de jeux de divertissement de plus de quinze machines sont autorisées à Douala et une à Yaoundé».

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Le gouvernement camerounais vient de valider le Programme national d’appui à la transformation des produits forestiers (Pnatpf), doté d’une enveloppe globale de 13,7 milliards de francs Cfa. Ce programme, apprend-on, vise à promouvoir la création de petites unités capables de transformer jusqu’à 25% du bois coupés dans les communes forestières du pays.

Le Pnatpf vient ainsi s’ajouter au projet de création, dans les régions de l’Est et du Centre, de deux clusters bois, sortes de zones industrielles spécialement dédiées à la filière bois. Par ailleurs, afin de booster la transformation du bois dans le pays au cours de cette année 2015, le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, en présentant le programme gouvernemental devant les députés en décembre 2014, a annoncé que l’administration publique ambitionne de s’équiper à au moins 40% en mobilier de bureau fabriqué localement.

Pour rappel, au Cameroun, la filière bois se caractérise par les exportations massives de grumes ou de bois sciés. La 2ème transformation est marginale et la 3ème presqu’inexistante. Ce qui fait que l’industrie sylvicole, qui revendique 45 000 emplois dans le pays et dont les produits constituent 13% des recettes d’exportation, participe à seulement 6% à la formation du PIB.

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Dans 24 mois (durée de la période des études de faisabilité), le consortium 3PL donnera, en principe, le premier coup de pioche, pour la construction d’un réseau de pipelines, en vue de distribuer les produits pétroliers au Cameroun. C’est la teneur d’un accord de partenariat discrètement signé le 2 décembre 2014, entre le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, et les responsables du consortium 3PL, contrôlé par des opérateurs coréens.

Long de 355 Km, le premier tronçon de cet oléoduc s’étirera sur 110 Km entre la ville pétrolière de Limbé et Douala, la capitale économique ; tandis que le 2ème tronçon, a-t-on appris, s’étendra sur 70 Km entre Douala et Edéa. Quant au 3ème tronçon, long de 175 Km, il ralliera Yaoundé, la capitale du pays, à partir d’Edéa.

Le montant total des investissements est estimé à 436 millions de dollars (environ 218 milliards de FCfa), dont 30% sur fonds propres du consortium 3PL, et le reste sur emprunts. Une fois construite, l’infrastructure sera exploitée par 3PL sur une période de 27 ans, avant d’être rétrocédée à l’Etat du Cameroun, précisent nos sources.

L’accord signé le 2 décembre 2014 marque la fin d’un long processus, ponctué d’âpres négociations, qui auront duré un an, entre le 12 décembre 2013 et le 1er décembre 2014. Une période également marquée par une brève volte-face du chef du gouvernement camerounais.

En effet, le 21 février 2014, au bout du premier round des négociations intervenu en décembre 2013, le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, a rendu public un communiqué déclarant infructueux l’appel d’offres lancé le 13 juin 2013 par le ministère de l’Energie et de l’Eau, pour le financement, la construction et l’exploitation d’un pipeline pour la distribution des produits pétroliers entre les villes de Limbe, Douala, Edéa et Yaoundé ; marché pour lequel le gouvernement et 3PL avaient déjà signé un Mémorandum d’entente.

Le va-et-vient du Premier ministre

Mais le 18 mars 2014, avant le 2ème round des négociations qui a eu lieu du 20 au 23 mars 2014, le Premier ministre camerounais faisait volte-face, en annulant son communiqué précédent. Des décisions antinomiques que des experts n’hésiteront pas à rapprocher aux enjeux que charrie la construction de ces pipelines. En effet, souffle une source autorisée, plusieurs opérateurs économiques dont les principales activités sont assises sur le transport des produits pétroliers ne voient pas d’un bon œil l’arrivée de cet oléoduc, et font feu de tout bois pour empêcher la réalisation de ce projet.

Le gouvernement, lui, compte pourtant sur cette infrastructure pour pouvoir réduire les subventions aux produits pétroliers, en réduisant les coûts du transport qui pèsent énormément sur le prix final des hydrocarbures à la pompe. En effet, apprend-on du document du projet, la construction de ces pipelines va «permettre de réaliser un gain tarifaire de l’ordre de 46% sur le frêt maritime entre Limbé et Douala ; de 24% sur le transport moyen par route et chemin de fer, en supposant que le réseau routier représente 35% et le réseau ferroviaire 65% des transports des produits pétroliers entre Douala et Yaoundé ; de réduire de 28% le coût du transport entre Limbé et Douala et entre Douala et Yaoundé».

Par ailleurs, ces nouvelles infrastructures de transport et de distribution des produits pétroliers constitueront une nouvelle source de revenus pour le trésor public. En effet, apprend-on, elles seront assujetties au versement de la taxe foncière (76 millions de FCfa par an) ; des frais à l’organe expert qu’est le Conseil d’appui à la réalisation des contrats de partenariat, en abrégé CARPA (95 millions de FCfa par an) ; de la redevance pour le suivi et la sécurité du projet (16 millions de FCfa par an).

Mais par-dessus tout, il y a l’impôt sur les sociétés dont le cumul à verser à l’Etat du Cameroun par 3PL fera plus de 700 millions de dollars (environ 350 milliards de FCfa) sur toute la durée du projet ; ainsi que les 3000 emplois directs et indirects que génèrera le projet pendant la phase de construction, contre 150 emplois directs et 300 indirects pendant la période d’exploitation.

Brice R. Mbodiam

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A partir de l’année 2015, l’administration publique camerounaise s’équipera, au moins à 40%, avec du mobilier fabriqué localement, a annoncé le Premier ministre, Philémon Yang, en présentant le programme économique et financier du Cameroun aux députés, le 25 novembre 2014 à Yaoundé, la capitale du pays.

Selon le chef du gouvernement camerounais, au travers de cette décision, l’Etat entend donner une impulsion à la transformation locale du bois camerounais, qui continue d’être exporté majoritairement sous la forme de lames sciées ou alors en grumes, malgré les dispositions réglementaires interdisant cette dernière pratique.

Devenu la 2ème activité d’exportation du Cameroun (avec 13,3% des recettes) derrière l’exploitation pétrolière (50% des recettes d’exportation), l’industrie sylvicole revendique 45 000 emplois, mais participe à seulement 6% à la formation du PIB du pays. Son potentiel demeure cependant très important.

En effet, expliquent les experts, la contribution de la filière bois au développement économique du Cameroun s’amplifierait rapidement, si les opérateurs économiques développent formellement les unités de 2ème voire de 3ème transformation.

D’ailleurs, afin de développer le potentiel que recèle la transformation du bois au Cameroun, le gouvernement envisage de mettre en place, dans la région de l’Est, qui abrite le gros des ressources forestières du pays, et dans la banlieue de la ville de Yaoundé, deux clusters bois, sorte de zones industrielles spécialement dédiées au bois.

On y retrouvera, explique-t-on au Comité de Compétitivité qui suit le projet, des centres de formation aux métiers du bois, des structures de financement spécialisées, des unités de stockage, de séchage et de transformation du bois, des salles d’exposition…

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Le projet de budget déposé à l’Assemblée nationale par le gouvernement camerounais, pour le compte de l’exercice 2015, s’équilibre en dépenses et en recettes à la somme de 3 746,6 milliards de francs Cfa, en hausse de 434,6 milliards de francs Cfa par rapport à l’année 2014, soit 13%.

Le 25 novembre 2014, en présentant aux députés le programme économique, financier, social et culturel du gouvernement pour l’année 2015, le Premier ministre camerounais, Philémon Yang (photo), a justifié cette augmentation par les indicateurs macro-économiques plutôt positifs, qui amènent le gouvernement camerounais à tabler sur un taux de croissance de 6,3%.

Sur cette enveloppe budgétaire proposée par le gouvernement et soumise à l’approbation des députés, Philémon Yang annonce des investissements publics pour 1150 milliards de francs Cfa, en hausse de 150 milliards de francs Cfa par rapport à l’année 2014. L’on remarque cependant que, comme d’habitude, le gros de l’enveloppe budgétaire du pays, soit 70%, est consacré au fonctionnement, tandis que 30% seulement est affecté à l’investissement.

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La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS), le bras séculier de l’Etat camerounais en matière de sécurité sociale, lance le 1er décembre 2014, l’immatriculation des assurés volontaires dans tous ses centres à travers le pays. Une nouvelle ère s’ouvrira ainsi sur la pension vieillesse au Cameroun, qui ne prenait en compte que les travailleurs du secteur privé (CNPS) et du public (ministère des Finances).

Cette révolution est consécutive à la signature, le 13 août 2014, par le Premier ministre camerounais, Philémon Yang, d’un décret fixant «les conditions et modalités de prise en charge des assurés volontaires au régime d’assurance pension de vieillesse, d’invalidité et de décès».

Sont concernés par l’assurance volontaire, précise le texte gouvernemental, les «personnes dotées de capacités contributives, mais qui ne sont pas soumises à un assujettissement obligatoire contre les risques de vieillesse, invalidité et décès ; les travailleurs qui ne remplissent pas les conditions d’affiliation au régime général, au régime des personnels de l’Etat, ou à un quelconque régime spécial de sécurité sociale ; les anciens assurés sociaux qui cessent de remplir les conditions d’assujettissement au régime général».

 

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Le torchon brûle de nouveau au sein de l’équipe dirigeante de Viettel Cameroun, le 3ème opérateur de téléphonie mobile et premier exploitant de la 3G, qui opère sous la marque Nexttel dans le pays depuis le 18 septembre 2014. Selon l’hebdomadaire Jeune Afrique, «les deux directeurs généraux adjoints camerounais, Moïse Bayi et Haman Oumar, accusent leur patron, le Vietnamien Vu Khanh Duy, de verrouiller la gestion» de l’entreprise.

Le conflit est si sérieux que c’est le Premier ministre camerounais en personne, Philémon Yang, qui a décidé de jouer les médiateurs entre ces principaux dirigeants de Viettel Cameroun, qui se regardent désormais en chiens de faïence. A l’origine de ce énième conflit, apprend-on, le refus du DG d’instaurer le principe de la double signature pour les dépenses de l’entreprise, et l’utilisation d’environ 500 Vietnamiens à des postes légalement réservés aux nationaux.

Malgré la tentative de conciliation orchestrée par le PM camerounais, qui a convoqué les protagonistes du conflit à son bureau le 23 septembre 2014, apprend-on, les positions des uns et des autres sont restées figées pour l’instant.

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