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Yaoundé - 05 mai 2024 -

En marge du Forum Chine-Afrique, qui s’est ouvert le 3 septembre 2018, à Beijing, en Chine, le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, a rencontré quelques jours plus tôt son homologue chinois, Xi Jinping, au Grand palais du Peuple.

Le chef de l’Etat a saisi l’opportunité de cette rencontre, pour non seulement saluer le soutien multiforme de l’empire du Milieu, dans le cadre de la conduite des projets d’infrastructures au Cameroun, mais aussi plaider pour la poursuite de cette collaboration, à travers notamment le financement de projets autoroutiers en cours dans le pays.

Il s’agit notamment, a énuméré le président Biya, de la 2ème phase du projet de construction de l’autoroute Yaoundé-Douala, dont les travaux financés par Eximbank China sont en cours sur les 60 premiers kilomètres ; de la construction de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen, dont les travaux sur la section urbaine (10 km) sont attendus ; puis la construction de l’autoroute Edéa-Kribi, qui devra rejoindre la portion d’autoroute de 32 km entre Kribi et Lolablé, qui dessert le port en eau profonde de Kribi, et dont les travaux réalisés par la société chinoise CHEC sont en cours d’achèvement.

BRM

Published in Coopération

Le ministère des Travaux publics (Mintp) annonce que la reconstruction du dalot endommagé le 25 juillet, sur l’axe Douala-Yaoundé, au lieudit Cogefar (entre la station Tradex Boko et le carrefour Yassa), sera achevée au plus tard le 15 septembre prochain.

Simon Pierre Mbousnoum, délégué régional du Mintp pour le Littoral, déclare à cet effet : « les études d’exécution pour le nouveau dalot sont déjà achevées. Nous allons nous y mettre dès ce lundi [30 juillet] matin pour entamer les démolitions de l’ancien ouvrage. En ce moment, les coffrages, ferrages sont en train d’être faits pour que les travaux puissent être exécutés dans des délais raisonnables ».

Pour rappel, des pluies diluviennes survenues en milieu de semaine dernière, dans la ville de Douala et ses environs, ont provoqué des inondations dont le volume et la pression ont occasionné l’effondrement d’une batterie de buses au lieudit Cogefar. Comme conséquence, il y a eu une interruption momentanée de la circulation sur l’axe Douala-Yaoundé, épine dorsale du réseau routier national.

Comme mesure provisoire, le Mintp a prescrit l’ouverture d’une voie de déviation temporaire en mode de circulation normale à deux sens vers Douala et Yaoundé, les deux grandes métropoles du pays.

S.A 

Published in Infrastructures

Pour les six prochains mois de l’année 2018, la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), institut d’émission des six pays de la Cemac, que sont le Cameroun, le Congo, le Gabon, la RCA, le Tchad et la Guinée équatoriale ; projette un «repli continu des investissements publics», apprend-on dans le communiqué ayant sanctionné le Conseil d’administration de cette Banque centrale, tenu le 4 juillet 2018 à Yaoundé.

En effet, depuis l’année 2016, beaucoup d’Etats membres de cet espace communautaire ont dû revoir à la baisse leurs ambitions en terme d’investissements publics, du fait de la chute des recettes publiques, elle-même consécutive à la baisse des cours mondiaux des matières premières exportées par ces pays.

Par exemple, au Cameroun, la locomotive économique de la Cemac, la dotation globale consacrée au Budget d’investissement public en 2018 est passée à 1 292 milliards de francs Cfa, après avoir culminé à 1 586 milliards francs Cfa en 2017, en baisse de 294 milliards entre les deux exercices. De plus, du fait des difficultés de trésorerie que rencontre l’Etat, ce budget n’a été exécuté, à fin juin 2018, qu’à seulement 37,9%, selon le ministère de l’Economie.

De plus, le président de la Commission de la Cemac, le Gabonais Daniel Ona Ondo (photo), a récemment conseillé la prudence aux Etats, en matière d’utilisation des revenus supplémentaires issus de l’embellie des cours mondiaux des matières premières.

«La remontée des prix [du pétrole brut, Ndlr], à notre entendement, doit servir prioritairement le désendettement et la constitution d’une épargne pour faire face demain à des chocs exogènes récessifs.», a suggéré M. Ona Ondo le 22 juin 2018 dans la capitale économique camerounaise, à l’ouverture de la 5ème édition de la session ordinaire du Comité de pilotage (COPIL) du Programme des réformes économiques et financières de la Cemac (PREF-Cemac).

BRM

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Published in Gestion publique

C’est un peu tendu en ce moment entre le groupe marocain Alliances Construction et le ministère en charge de l'Habitat, au sujet du projet de construction de 800 logements sociaux, à travers le pays.

En effet, Jean Claude Mbwentchou, le ministre de l’Habitat (Mindhu), a effectué une visite, le 4 juillet, pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux à l’Est, région qui doit accueillir 100 des 800 logements sociaux. S’adressant à l’entreprise Alliances, le Mindhu a demandé de présenter « un planning actualisé et réaliste des travaux ». Il a aussi exigé «  que les ouvriers soient payés à temps, afin d’éviter la grève ». Le membre du gouvernement a demandé à l’entreprise de livrer les logements, au plus tard, en septembre 2018. Pour l’heure, le taux d’exécution des travaux est évalué à 45%.

Le lendemain, 5 juillet, M. Mbwentchou s’est rendu à Ngaoundéré, dans le septentrion du pays. Les 100 logements qui y sont construits sont exécutés à 60%. S’adressant aux responsables de l’entreprise marocaine Alliances, le Mindhu a martelé que le chantier devra impérativement être livré, au plus tard, en novembre 2018. Le ministre a aussi demandé de sédentariser les sous-traitants et d’éviter les mouvements d’humeur.

Pour rappel, ce projet de construction de 800 logements sociaux a été confié, en 2014, à l’entreprise marocaine pour un montant de 40 milliards FCFA, sur financement du Groupe Banque Atlantique. En mars 2018 déjà, le ministre en charge de l’Habitat avait fustigé « le non-respect par l’entreprise Alliances Construction Cameroun S.A., de l’exigence de faire agréer ses sous-traitants qui se sont révélés inaptes à réaliser les travaux attendus, du fait de leur faible capacité technique et financière ». Toujours selon le ministre, c'est « ce qui est l’une des causes essentielles du retard enregistré et des difficultés à respecter les délais d’exécution ».

Néanmoins, le gouvernement camerounais compte réceptionner ces 800 logements sociaux, cette année 2018. C’est une composante du Plan d’urgence triennal (Planut) engagé par les pouvoirs publics, il y a un peu plus de deux ans. Le volet habitat du Planut porte sur la construction de maisons sociales dans 8 chefs-lieux de région (à raison de 100 par chef-lieu, excepté Yaoundé et Douala).

S.A

Published in BTP

La mise en service des 14 premiers postes de péage routier automatisés du Cameroun devrait considérablement renchérir le prix du ticket de péage dans le pays. Selon des sources proches de ce dossier, qui est encore au stade de la sélection des entreprises devant construire et exploiter ces équipements, les simulations actuelles, faites sur la base des propositions des entreprises présélectionnées, projettent à 2500 francs CFA, le prix du ticket, contre 500 francs CFA actuellement, soit une hausse de 400%.

« De toutes les façons, avec l’automatisation, les prix du péage routier vont augmenter, même si ce n’est pas dans la proportion dont vous parlez », confie une source autorisée.

Cette augmentation des prix serait actuellement la principale préoccupation des pouvoirs publics camerounais qui craignent une répercussion de cette charge imposée aux transporteurs, sur les prix du transport dans le pays.

Par exemple, avec un tel prix, il sera désormais difficile pour un transporteur ralliant les deux capitales du pays (Yaoundé et Douala), de pratiquer les prix actuels de 2500 à 3000 francs CFA, avec l’obligation de payer, chaque fois, un ticket de péage à 2500 francs CFA à Boumyebel et Edéa (soit 5000 francs CFA, sans compter le poste de Mbankomo), qui sont parmi les postes de péage les plus rentables du pays, et donc concernés par l’automatisation.

Trois groupements d’entreprises sont dans les starting-blocks pour la construction et l’exploitation des premiers postes de péage routiers automatisés du Cameroun, et ont déposé leurs offres auprès du gouvernement camerounais, en mai 2018. Il s’agit des groupements Razel-Bec-Egis Projects, Vinci Highway-Sogea Satom-Vinci Concessions, et Group Five-Intertoll Africa Limited.

Le dernier consortium susmentionné, d’origine sud-africaine, est d’ores et déjà entré en partenariat avec l’opérateur de mobile MTN Cameroon, pour dématérialiser les paiements aux péages routiers, en utilisant le service Mobile Money.

Pour rappel, le projet d’automatisation du péage routier au Cameroun remonte à l’année 2009. Il s’agit, selon le gouvernement, de rentabiliser davantage les 14 postes, qui sur les 45 existants dans le pays, produisent à eux seuls 75% des recettes globales issues du péage routier au Cameroun.

Brice R. Mbodiam

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Le ministère des Travaux publics informe qu’il rencontre des défis concernant le projet de réhabilitation de la route Yaoundé-Bafoussam-Babadjou.

Le projet est divisé en trois lots à savoir : le lot N°1  Yaoundé-Ebebda-Kalong 63,5 kilomètres y compris la construction d’un échangeur au lieu-dit carrefour-Obala. Le lot 2 concerne la réhabilitation du tronçon Kalong-Tonga (67 km) et le lot 3 Tonga-Bafoussam-Babadjou 110,242 kilomètres. 

Pour ce qui est du lot trois spécialement (Tonga-Bafoussam-Babadjou), le Mintp note que l’entreprise adjudicataire n’est pas encore mobilisée. « Initialement, ces travaux devraient être exécutés par l’entreprise China Railway Engineering Group CO.LTD, malheureusement l’entreprise accuse un retard inquiétant à moins d’un an de l’échéance de la Coupe d’Afrique des Nations.», constate le ministère des Travaux publics.

Au vu de cette situation, ledit ministère, maître d’ouvrage, informe qu’il a procédé au remplacement de l’entreprise défaillante. Déjà, les  travaux d’entretien confortatif de la traversée urbaine de Bafoussam-Foumbot-Foumban seront réalisés par l’entreprise ESCB Sarl qui se déploie déjà sur le terrain, indique le Mintp.

La réhabilitation de l’axe Yaoundé-Bafoussam-Babadjou fait partie d’un vaste projet qui doit toucher même Bamenda, la capitale du Nord-Ouest du pays. Le gouvernement évalue le montant global des travaux à environ 145 milliards FCFA.

S.A

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L’opérateur des télécoms MTN et Intertoll, filiale camerounaise du Sud-africain Group Five, annoncent qu’ils ont décidé de joindre leurs efforts en vue de moderniser le péage routier au Cameroun.

Themba Mosai (photo), président-directeur général de Group Five, explique que «le partenariat Intertoll-MTN au Cameroun sera le premier du genre et permettra la dématérialisation des paiements à l’aide des téléphones portables aux postes de péage routier, afin de rendre les voyages plus rapides et de mieux sécuriser la collecte des paiements ». Toujours selon Themba Mosai, ce projet place le Cameroun à l’avant-garde de l’innovation technologique dans le domaine de la mobilité sur le continent africain et dans le monde.

Ce déploiement de Group Five intervient dans un contexte où le Cameroun a décidé, depuis 2009, de se doter de 14 péages routiers automatiques. Et le groupe sud-africain spécialisé dans la construction des infrastructures (tunnels, routes, ponts…) fait partie, avec sa filiale Intertoll Africa Limited,  de la short-list des groupements qui étaient invités par le gouvernement camerounais à déposer, en mai 2018, leurs offres finales.

Le premier groupement lui, est constitué de Razel, Bec et Société Egis Projects. Le second consortium englobe Vinci Highway, Sogea Satom et Vinci Concessions.

Il faut noter que dans la liste des groupements d’entreprises retenus à l’issue de l’appel d’offres restreint lancé le 25 août 2017, c’est le consortium conduit par Razel qui était en pole position avec une note de 94,7 sur 100 points possibles. Vinci Highways et Cie était deuxième avec une note de 86,5 sur 100. Group Five s’était classé troisième grâce à une note de 80,5 points.

Si le gouvernement camerounais ne communique pas encore officiellement sur l’issue de ce projet jusqu’à présent, une source proche du dossier pense que le partenariat actuel entre MTN (qui va fournir des solutions technologiques) et Group Five, est un indicateur que la multinationale sud-africaine spécialisée dans les infrastructures, est adjudicatrice d’au moins un lot des 14 péages automatiques à installer sur certains axes routiers au Cameroun.

Sylvain Andzongo

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Alors que le Premier ministre, Philemon Yang, est annoncé sur les sites des infrastructures de la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) 2019 au Cameroun, le Comité local d’organisation (Cocan) vient de dévoiler les recommandations de la 2è visite d’inspection de la Confédération africaine de football (CAF) à l’endroit de certaines entreprises en charge des chantiers.

Dans le document du Cocan, l’on apprend que la CAF a constaté un retard d’un mois sur les sites de Garoua confiés au Portugais Mota Engil. A cet effet, au stade omnisports Roumde Adjia, la mission de la CAF a instruit à l’entreprise d’élaborer et de lui transmettre un nouveau planning d’exécution des travaux. Mota Engil a été sommé également d’accroître le nombre d’employés dès l’entame de la phase des constructions.

Pour le stade annexe Roumde Adjia, la CAF a recommandé de « planter le gazon dès la fin des travaux préalables de terrassement, d’accélérer la procédure de réception des préfabriqués commandés au Portugal et de mettre tout en œuvre pour respecter le délai de livraison des travaux prévu pour décembre 2018 ».

Des retards ont également été constatés à Douala pour ce qui concerne le stade omnisports de Japoma confié au Turc Yeningum. Il a été demandé de mettre en route une équipe de responsables de Yenigun pour le suivi de la production d’éléments préfabriqués en Turquie. La Confédération a demandé aux autorités camerounaises de « mettre une forte pression sur l’entreprise afin de livrer l’infrastructure dans les délais en décembre 2018 ».

A Yaoundé, l’Italien Piccini accuse du retard dans la construction du complexe sportif d’Olembe. La CAF lui a demandé de respecter de façon scrupuleuse la sixième révision du planning et de prendre toutes les dispositions utiles pour éviter les glissements sur les tâches et les approvisionnements, si les délais du 31 décembre 2018 doivent être atteints. Par ailleurs, Piccini doit « augmenter la main-d’œuvre, anticiper sur les tâches, et travailler 24h/24, car plusieurs d’entre elles ont atteint le seuil critique ».

Rappelons qu'une troisième mission d'inspection de la Confédération africaine de football est annoncée au Cameroun dans les prochaines semaines. Ce sera pour vérifier si ces recommandations de mars 2018 ont été appliquées.

S.A

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Sur l’enveloppe de financements de 60 milliards de francs CFA approuvée par la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC), au cours d’une assemblée générale tenue à Brazzaville (Congo), la semaine dernière, le Cameroun s’en tire avec une cagnotte d’environ 57 milliards de francs CFA, apprend-on officiellement.

Ces financements serviront concrètement à la mise en œuvre de projets routiers intégrateurs et d'exploitation industrielle du cacao, précise la BDEAC. La cagnotte ne sera mise à disposition que lorsque le pays aura satisfait aux « conditions exigées par la BDEAC pour ce type de financement des projets », apprend-on.

Bien que la BDEAC soit très peu diserte sur les projets à financer, l’on sait par exemple que le Cameroun a, depuis quelques années, beaucoup de mal à boucler la construction de la route Sangmélima (Cameroun)-Ouesso (Congo), à cause non seulement des retards accusés par les entreprises exécutant les contrats, mais aussi du fait du manque de financements pour certains tronçons de cette route devant relier le Cameroun à la République du Congo.

Dans le même temps, au moins trois projets de construction d’usine de transformation de fèves de cacao sont en cours d’exécution dans le pays. Il s’agit du projet conduit par Fapam Industry à Mbalmayo, dans la région du Centre ; de l’usine Atlantic Cocoa, en cours de construction dans la zone industrielle du port en eau profonde de Kribi, dans la région du Sud ; ou encore de l’usine de transformation de cacao de Producam, implantée dans la localité de Kékem, localité à cheval sur les régions de l’Ouest et du Littoral du pays.

Brice R. Mbodiam

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Louis Roger Manga, le directeur de la Mission d’aménagement et d’entretien des terrains urbains et ruraux (Maetur), vient de lancer un marché de 352 millions FCFA pour la réalisation des travaux de bornage des parcelles de terrain, sur le site des logements sociaux de Mbanga Bakoko, à Douala.

La participation à cet appel d’offres est ouverte aux cabinets de géomètres basés au Cameroun. Les travaux sont divisés en deux lots. Le premier est d’un montant de 210 millions FCFA. Le second, d’un montant de 142 millions FCFA. Durées des travaux : six et quatre mois, respectivement.

Le marché sera financé par le budget spécial relatif au Programme gouvernemental de 10 000 logements sociaux et 50 000 parcelles constructibles sur l'ensemble du territoire camerounais. Les offres doivent être déposées au plus tard le 26 juillet 2017.

Situé à l’entrée de la ville de Douala, le projet de Mbanga Bakoko est étalé sur 15 hectares pour un coût de 13 milliards FCFA. Les logements sociaux dudit projet spécifiquement, sont constitués de 300 appartements de cinq pièces et 700 maisons de quatre pièces. Destinés aux citoyens à revenus moyens, il faut cependant débourser entre 18 et 20 millions FCFA pour avoir droit à un appartement.

S.A

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