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Yaoundé - 29 avril 2024 -

La Société de développement du coton (Sodecoton), qui a depuis quelques années entrepris de diversifier ses activités pour se prémunir de la conjoncture internationale pas toujours favorable autour du coton, ambitionne de produire 16 000 tonnes de soja en 2015, a-t-on appris de sources internes à l’entreprise. Cette prévision de production est quasiment multipliée par 10, comparée à la production de 1600 tonnes projetées en 2012.

Cette augmentation vertigineuse de la production du soja à la Sodecoton peut s’expliquer par l’existence d’un marché de plus en plus demandeur, du fait de l’intérêt que des agro-industries locales manifestent désormais pour cette graine. Une unité de transformation du soja, d’une capacité de broyage de 18 000 tonnes par an, a même été inaugurée dans la banlieue de la ville de Douala le 5 avril 2014.

Cette usine, apprend-on des promoteurs, sera essentiellement ravitaillée à partir de la production de soja de la région de l’Extrême-Nord, partie du pays dans laquelle la Sodecoton, qui pourrait ainsi trouver un nouveau débouché pour sa production de soja, détient par ailleurs tout son outil de production. Pour rappel, du fait d’une production nationale insuffisante, le Cameroun importe en moyenne 20 000 tonnes par an, pour une valeur de près de 10 milliards de francs Cfa, selon les statistiques du ministère de l’Economie.

 

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Selon le directeur général de la Société de développement du coton (Sodecoton), Abdou Namba, le fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun projette d’acheter cette année, 266 400 tonnes de coton auprès des 250 000 producteurs qu’elle encadre dans l’Extrême-Nord du pays.

C’est principalement ce à quoi vont servir, selon M. Abdou Namba, les 36,5 milliards de francs Cfa levés auprès d’un pool de cinq banques locales le 27 janvier 2015, en vue de financer la campagne cotonnière en cours. Ce prêt bancaire, apprend-on, va permettre de payer les producteurs au plus tard une semaine après l’enlèvement de la production vendue à la Sodecoton, contre des délais de payement allant souvent jusqu’à 3 mois par le passé.

Un prolongement des délais, qui, couplé à des prix plus rémunérateurs, avait le malheur de pousser les producteurs camerounais à vendre leur production au Nigéria voisin, bien qu’ayant reçu des crédits de campagne de la Sodecoton. Cette pratique a souvent pour conséquence d’obérer la production nationale, et de créer d’importants manque-à-gagner à la Sodecoton.

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La Société de développement du coton (Sodecoton) a officialisé le 27 janvier 2015, l’accord de prêt syndiqué d’un montant de 36,5 milliards de francs Cfa, avec un pool de cinq banques locales, dans le cadre d’une opération qui avait pour chef de file Commercial Bank of Cameroun (CBC).

La plus grosse enveloppe de ce nouveau financement a été apportée par Afriland First Bank, qui contribue à hauteur de 12 milliards de francs Cfa. La filiale camerounaise du groupe Ecobank a apporté 7,5 milliards de francs Cfa. Vient ensuite la  Banque internationale du Cameroun pour l’épargne et le crédit (BICEC), qui a misé 7 milliards de francs Cfa. On retrouve enfin la Société Générale Cameroun et CBC, qui ont contribué chacun pour 5milliards de francs Cfa.

C’est la 5ème fois que l’entreprise agro-industrielle sollicite des banques locales pour financer sa campagne cotonnière. Au total, elle aura ainsi reçu de ces dernières un volume global de 103 milliards de francs Cfa. Abdou Namba, le directeur général de la Sodecoton a remercié ces partenaires, expliquant que l’argent mobilisé servira, d’une part, «à payer la facture de ses différents prestataire», et d’autre part, «à payer les producteurs de coton». Un sentiment positif a aussi été partagé par le ministre Essimi Menye de l’agriculture, qui a parlé d’une manifestation concrète du «partenariat public-privé pour une agriculture de deuxième génération», tandis que le ministre Alamine Ousmane Mey des finances, lui, parle  d’un «financement local considérable accordé à une chaine de valeur importante».

Les banques, elles, n’ont pas hésité à saisir l’opportunité, malgré une conjoncture internationale difficile pour le coton, les risques d’insécurité et les inondations qui caractérisent la partie septentrionale du Cameroun où se trouve la Sodecoton. «L’entreprise a connu des difficultés, mais nous pensons qu’elle est en train de bien les surmonter et nous la soutenons dans son projet d’atteindre les 600 000 tonnes de coton produit», a confié Martin Luther Njanga Njoh, l’Administrateur provisoire de la CBC.

Pour certains des acteurs questionnés sur le sujet, les arguments extra-bilancielles semblent avoir pesé sur la décision des banques d’accompagner cette entreprise agro-industrielle. «La Sodecoton  travaille avec des planteurs organisés, c’est la plus grosse entreprise du Nord du Cameroun, donc on ne peut pas y être présent sans travailler avec elle. Il faut aussi dire que l'entreprise possède une chaine de valeur importante et enfin elle est tournée vers les exportations et donc génératrice de devises», a confié un responsable de banque qui a participé à l’opération.

Ce financement du pool de banques locales vient s’ajouter aux  8,5 milliards de francs Cfa obtenus d’une filiale de la Banque islamique de développement au début du mois de novembre 2014. L’entreprise s’est aussi engagée à investir jusqu’à 24,6 milliards de francs Cfa en 2015 pour améliorer son outil de production.

Idriss Linge

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Seul candidat à sa propre succession, lors du renouvellement du bureau exécutif de la Confédération nationale des producteurs de coton du Cameroun (CNPCC), Ousmanou Oumaté a été reconduit à la tête de l’organisation faîtière des producteurs de l’or blanc. Il sera désormais secondé par Bebnoné Payouni (photo), l’ancien secrétaire général de la confédération, qui en est le nouveau Vice-président. Le secrétariat général est désormais tenu par M. Temwa, tandis qu’Ibrahima Sissinvou devient le gardien de la fortune de la CNPCC.

Ce renouvellement aux allures de simple remaniement aux postes stratégiques, a eu lieu le 8 janvier 2015, au cours d’une assemblée générale élective de cette confédération. Cette organisation regroupe les quelques 250 000 producteurs de coton encadrés par la Société de développement du coton (Sodecoton) dans la partie septentrionale du Cameroun.

Pour son mandat de 3 ans, le nouveau bureau exécutif de la CNPCC a promis d’œuvrer pour l’augmentation de la production cotonnière nationale, qui tourne en moyenne autour de 230 000 tonnes depuis quelques années, d’une part, ainsi que pour l’amélioration des conditions de vie des producteurs, d’autre part.

Ce dernier objectif pourrait être atteint grâce au «Fonds de gestion du risque prix de la filière coton camerounaise (FGRPC-C)», sorte de fonds de stabilisation des prix, qui sera cogéré par la Sodecoton et la Confédération nationale des producteurs de coton du Cameroun, a récemment annoncé le fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun. Ce fonds, apprend-on, est «destiné à garantir un prix d’achat minimum du coton graine, en cas de chute brutale des cours de la fibre de coton» sur le marché mondial.

 

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La Société de développement du coton (Sodecoton), le fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun, a adopté, au cours de son dernier conseil d’administration tenu le 29 décembre 2014 à Yaoundé, la capitale, son budget d’investissement pour le compte de l’année 2015. Selon un communiqué publié par l’entreprise au sortir de ces assises, la Sodecoton prévoit d’investir 24,6 milliards de francs Cfa cette année. Sur cette enveloppe des investissements, apprend-on, 21,7 milliards de francs Cfa sont issus d’un report du budget 2014.

Les investissements à réaliser dès cette année n’ont pas été explicités par l’entreprise. Mais, l’on a récemment appris de sources officielles, que la Sodecoton ambitionne de moderniser et d’accroître ses capacités de trituration et de raffinage des huiles de table d’environ 50% dans le moyen terme. Ces capacités, qui se sitient actuellement entre 16 et 18 000 tonnes par an, devront être portées à environ 24 à 27 000 tonnes d’huile «Diamaor».

En plus de l’adoption du budget de l’entreprise, le Conseil d’administration a donné son quitus au directeur général de la Sodecoton, Abdou Namba, «pour conclure des conventions de financements nécessaires à la réalisation du budget 2015». En effet, afin de financer la campagne cotonnière, cette entreprise agro-industrielle a souvent recours aux crédits bancaires de court terme, auprès des banques locales.

Des institutions internationales, à l’instar de la Banque islamique de développement (BID), sont aussi souvent sollicitées par la Sodecoton, via l’Etat camerounais, qui garantit généralement ces emprunts à l’international.

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La Société de développement du coton (Sodecoton), fleuron de l’agro-industrie dans le septentrion camerounais, va lancer dans les prochains jours dans la région de l’Extrême-Nord du pays, une série de consultations publiques, en vue de requérir l’avis des producteurs sur l’opportunité d’introduire les OGM dans cette culture, a-t-on appris de bonnes sources. Il s’agit là d’une nouvelle étape vers cette mutation agricole qu’est l’introduction des OGM, pour lesquelles la Sodecoton manifeste son intérêt depuis 2010, en vue d’augmenter la production nationale qui oscille autour de 230 000 tonnes.

En cette année 2015, la Sodecoton lancera la 2ème phase des essais sur le coton génétiquement modifié, avaient annoncé les responsables de cette entreprise agro-industrielle publique en octobre 2014, au cours d’un atelier de restitution des résultats des premiers tests sur l’introduction du coton OGM au Cameroun.

Contrairement à la première phase, dont les tests et opérations de recherche se sont déroulés dans un milieu clos de 2012 à 2014, au cours de la 2ème phase, l’agro-industriel du coton va expérimenter les OGM en milieu ouvert. Si les résultats sont concluants au bout de 3 ans, et que les producteurs s’engagent à accompagner la Sodecoton dans cette mutation vers les OGM, apprend-on, le coton génétiquement modifié pourrait être introduit au Cameroun à partir de 2018.

 

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La société ivoirienne Filtisac (filature, tissage sac) a été déclarée adjudicataire du marché pour la fourniture à la Société de développement du coton (Sodecoton), d’emballages de balles de coton pour le compte de la campagne cotonnière 2014-2015. Ce marché à exécuter dans un délai de 90 jours est d’un montant total de 1,016 milliard de francs Cfa, indique un communiqué du ministère des Marchés publics.

Créée en 1965 en Côte d’Ivoire, la société Filtisac est cotée à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), le marché financier des Etats-membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) basé à Abidjan.

Unité de fabrication d’emballages en fibres naturelles pour l’exportation du cacao et du café, au départ, Filtisac s’est ensuite lancée dans la production des emballages en fibres synthétiques pour coton, riz, engrais, qui lui valent désormais d’accéder à plusieurs marchés européens et africains.

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La Société de développement du coton (Sodecoton), entreprise publique et fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun, envisage de moderniser et d’accroître les capacités de trituration et de raffinage des huiles de table d’environ 50% dans le moyen terme, a annoncé l’entreprise dans un communiqué.

En clair, la Sodecoton souhaite passer d’une production des huiles de table, qui se situe actuellement entre 16 et 18 000 tonnes par an, selon les statistiques officielles, à environ 24 à 27 000 tonnes d’huile «Diamaor», la marque que commercialise cette unité agro-industrielle.

Ce projet d’augmentation de la production des huiles de table, apprend-on, a déjà été validé par les structures de gestion de l’entreprise, et coûtera environ 15 milliards de francs Cfa.

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La Société de développement du coton (Sodecoton), le fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun, envisage d’augmenter la dotation budgétaire de son fonds de roulement engrais, afin de la porter à 18 milliards de francs Cfa en 2015, contre 10 milliards de francs Cfa par le passé, a-t-on appris dans un document officiel de l’entreprise.

Cette hausse substantielle du budget destiné à l’achat des engrais à distribuer aux plus de 250 000 producteurs encadrés par la Sodecoton, devrait contribuer à booster l’accès à ce produit chimique indispensable dans l’amélioration des rendements en matière d’agriculture de manière générale.

Le fonds de roulement engrais de la Sodecoton, qui est co-géré par l’entreprise et la Confédération nationale des producteurs de coton du Cameroun (CNPC-C), est co-financé par l’Etat camerounais et l’International Islamic Trade Finance Corporation (ITFC), filiale de la Banque islamique de développement (BID).

A cet effet, l’on se souvient que dans un décret signé le 4 novembre 2014, le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, autorise le ministre de l’Economie à signer avec l’ITFC, un accord de prêt d’un montant de 8,5 milliards de francs Cfa, destiné au financement de la campagne cotonnière 2014-2015.

 

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Face à la fluctuation des cours du coton sur le marché international, situation généralement préjudiciable aux producteurs qui sont ainsi peu rémunérés pour leurs efforts, la Société de développement du coton (Sodecoton) envisage de créer «le Fonds de gestion du risque prix de la filière coton camerounaise (FGRPC-C)».

Sorte de fonds de stabilisation des prix, le FGRPC-C, qui sera cogéré par la Sodecoton et la Confédération nationale des producteurs de coton du Cameroun (CNPC-C), apprend-on dans une page réclame publiée par l’entreprise le 6 novembre 2014, est «destiné à garantir un prix d’achat minimum du coton graine, en cas de chute brutale des cours de la fibre de coton» sur le marché mondial.

Bien que cette société agro-industrielle publique soit peu diserte sur l’échéance de la mise en place de ce Fonds, qui fait partie des «projets arrêtés» par le mangement de l’entreprise, l’annonce de la mise en place prochaine du FGRPC-C est une bonne nouvelle pour les 250 000 producteurs qu’encadre la Sodecoton dans la partie septentrionale du Cameroun.

Pour rappel, a récemment révélé Commodafrica, les cours mondiaux du coton «ont perdu 30% de leur valeur depuis août 2013». Une situation qui plombe sérieusement les revenus des entreprises cotonnières et des producteurs de l’or blanc.

BRM

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