logoIC
Yaoundé - 29 avril 2024 -

A l’occasion d’un forum sur la promotion des économies rurales en Afrique centrale, co-organisé du 12 au 14 février à Brazzaville (Congo) par la Banque africaine de développement (BAD) et le Bureau international du travail (BIT), le Cameroun et le Gabon ont partagé leurs expériences respectives dans le domaine agricole.

M. Kouam du ministère camerounais en charge de l’Agriculture (Minader), a présenté un exposé sur le Projet d’intégration de l’enseignement et de la formation agricole rurale dans les établissements scolaires (Piefares). Il est financé par le budget d’investissement public. « Les objectifs poursuivis par le Piefras sont d’intégrer l’enseignement et la formation agricole et rurale dans les établissements scolaires du Cameroun.», a indiqué M. Kouam.

Les résultats à long terme escomptés par le projet camerounais sont, entre autres, la publication de cinq textes réglementaires régissant l’intégration de l’enseignement et la formation agricole dans les établissements, l’opérationnalisation de 656 enseignants et 500 acteurs de la chaîne de supervision pédagogique dans le domaine de l’enseignement et de la formation agricole. 2 000 écoles sont accompagnées dans la création des jardins et vergers scolaires.

Citant une étude de l’Union européenne, le représentant camerounais a indiqué que, seulement 0,3% de jeunes au Cameroun au stade postscolaire choisissent de faire carrière dans le secteur de l’agriculture, sans doute parce qu’ils n’y ont pas été préparées et sensibilisés. Raison pour laquelle, le gouvernement camerounais a mis en place une politique visant à inculquer aux jeunes, la culture des métiers agricoles pendant leur cursus préscolaire et scolaire.

Pour sa part, Calixte Mbeng, coordinateur général du projet « Gabonaise de réalisations agricoles et des initiatives des nationaux engagés » (Graine) a partagé l’expérience du partenariat public-privé entre l’Etat gabonais et le Singapourien Olam. Le programme Graine a été lancé le 22 décembre 2014. Ledit programme est destiné à créer plus de 20 000 emplois dans le secteur agricole et agroalimentaire.

Depuis le début du projet, Olam a développé au Gabon, un peu plus de 16 000 hectares de plantations agro-industrielles. Les productions des membres des coopératives sont rachetées par la Société gabonaise de transformation agricole et développement rural (Sotrader). Cette dernière retient à la source, le montant qu’elle a investi dans la création de la plantation. Le programme est prioritairement destiné aux jeunes gabonais âgés de 21 ans au moins, désireux de se lancer dans un projet de coopérative agricole durable.

Sylvain Andzongo, à Brazzaville 

Published in Agriculture

Au cours de la période de 3 ans allant de 2015 à 2017, le Cameroun a importé du sucre pour 64,4 milliards de francs Cfa, selon les statistiques livrées par le ministre du Commerce, à l’occasion du Conseil de cabinet du gouvernement camerounais du mois de janvier 2019.

A en croire la même source, le coût des importations de sucre sur le territoire camerounais en 2017 a doublé celui de l’année précédente (17,6 milliards FCfa en 2016) et triplé l’enveloppe de 11,3 milliards de francs Cfa dépensée par les importateurs de sucre en activité au Cameroun au cours de l’année 2015. 

Ces importations, généralement assurées aussi bien par des sociétés brassicoles que des agglomérées (transformateurs de sucre granulé en sucre en carreaux) et des commerçants locaux, à la suite des autorisations spéciales délivrées par l’Etat pour éviter les pénuries ; visent à pallier l’insuffisance de la production locale, qui peine à atteindre 150 000 tonnes. 

A titre d’exemple, pour une demande annuelle qui culmine officiellement à 300 000 tonnes, la Société sucrière du Cameroun (Sosucam), filiale du groupe Somdiaa et leader du marché sucrier local, annonce une production globale de 130 000 tonnes, au cours de la campagne 2018-2019. 

BRM

Lire aussi:

05-11-2018 - Sosucam, filiale camerounaise de Somdiaa, compte produire 130 000 t de sucre au cours de la campagne 2018-2019

18-05-2018 - Selon le ministre du Commerce, le problème du sucre au Cameroun ne sera réglé que lorsque la production nationale couvrira la demande

17-04-2018 - Les prix attractifs du sucre importé plombent les ventes de la Société sucrière du Cameroun

Published in Agro-industrie

Les pays de l’Afrique centrale (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, RD Congo...) tiennent une rencontre autour de la Banque africaine de développement (BAD) et du Bureau international du travail (BIT), depuis le 12 février 2019, à Brazzaville, au Congo. Le thème des travaux est : «Dégager le potentiel des économies rurales grâce à l'investissement dans le développement des compétences et l’employabilité des jeunes dans le secteur de l’agriculture en Afrique centrale».

Ousmane Doré, directeur chargé de l’Afrique centrale à la BAD, a indiqué que, dans la plupart des pays de la sous-région, les zones rurales captent peu d’investissements publics et privés. Elles souffrent donc d’un déficit en équipements collectifs (écoles, centres de santé, transports en commun, réseaux de distribution d’eau potable ou d’électricité, etc.). Elles souffrent également d’une quasi-inexistence d’entreprises et d’une très faible présence des représentants de l’Etat.

« Il résulte de cette situation, selon Ousmane Doré, un déséquilibre croissant entre zones rurales et zones urbaines, et une absence d’opportunités et de perspectives pour les jeunes en milieu rural, qui les rend vulnérables, les installe dans l’oisiveté, et les pousse in fine vers les villes où, sans formation et sans qualification professionnelle, ils n’auront d’autre possibilité que celle d’exercer des emplois précaires.».

Les zones rurales se voient ainsi priver de leurs forces vives. Ce qui ne permet pas à l’arrière-pays d’exploiter son potentiel économique. Cela coupe les zones urbaines d’une source traditionnelle d’approvisionnement en produits vivriers.

Pour toutes ces raisons, la BAD et le BIT se disent favorables aux projets agricoles pour stopper l’exode rural des jeunes en Afrique centrale. Cette coopération, selon Ousmane Doré, a été particulièrement intense et s’est notamment matérialisée par la préparation et la mise en œuvre conjointes d’opérations au Congo avec l’ancien Projet d’appui à la réinsertion socioéconomique des groupes défavorisés.

En République Démocratique du Congo, c’est à travers le projet d’entrepreneuriat des jeunes dans l’agrobusiness. Au Gabon, c’est le Projet d’appui au Programme « Graine » en voie de lancement.

Au Cameroun, la BAD et le BIT coopèrent dans le cadre du projet d’appui à la promotion de l’entrepreneuriat, à l’amélioration des compétences et la compétitivité dans les secteurs du bâtiment, des transports et de l’énergie. 

Au niveau sectoriel, la BAD a adopté une Stratégie pour l’emploi des jeunes en Afrique, qui vise la création de 25 millions d’emplois pour les jeunes africains à l’horizon 2035.

Pour sa part, la sous directrice générale de l’Organisation Internationale du Travail en Afrique, Cynthia Samuel-Olunjuwon, a indiqué qu’il est essentiel pour les jeunes femmes et hommes dans les économies rurales de la sous-région, de devenir des catalyseurs pour une croissance inclusive et un développement durable. 

En attendant des propositions pratiques d'ici le 14 février, Firmin Ayessa, le Vice-premier ministre congolais chargé de la Fonction publique, de la réforme de l’Etat, du travail et de la sécurité sociale, a déclaré à l'ouverture des travaux, qu’en accordant la priorité au secteur agricole, les gouvernements de la sous-région s’emploient à relever des défis de trois ordres, à savoir ; le défi de la sécurité alimentaire ; le défi de la diversification économique et le défi de l’emploi, notamment l’emploi des jeunes.

Sylvain Andzongo, à Brazzaville 

Published in Agriculture

Au cours de la campagne caféière 2017-2018 qui vient de s’achever, l’Office nationale du cacao et du café (Oncc) informe que les prix payés aux producteurs camerounais du café robusta, ont varié entre 500 et 715 FCFA le kilogramme (Kg).

Concernant toujours le robusta, le ratio du prix payé au producteur/prix moyen FOB (au moment de l’embarquement) a globalement varié entre 58,21% et 87,31%. Le ratio le plus bas a été observé à l’Est  (1,166 tonne produite en 2017-2018) et le plus élevé dans le Littoral (10,532 tonnes) et le Nord-Ouest (109 960 Kg).

Pour ce qui est du café arabica, le prix payé globalement aux producteurs a varié entre 775 et 925 FCFA le Kg. Le ratio prix au producteur/prix FOB a fluctué quant à lui, entre 60,27% et 71,93%. Dans ce secteur, seulement deux régions sont mentionnées. Le Nord-Ouest domine les transactions avec 841 639 Kg. Cette région est suivie de l’Ouest qui a déclaré la vente de 302 508 Kg d’arabica.

Au cours de la campagne 2017-2018, l’Oncc indique que, 45 organisations professionnelles agricoles choisies à travers les six bassins de production majeurs du pays (Centre, Littoral, Ouest, Nord-Ouest, Adamaoua et Est) ont permis d’obtenir des volumes commercialisés qui se chiffrent à 1 947 764 Kg de café robusta et à 815 440 Kg de café arabica.

S.A

Published in Agriculture

Au terme de la campagne caféière 2017-2018, l’Office national du cacao et du café (Oncc) fait observer que le Littoral est leader dans la commercialisation du robusta avec 10,532 tonnes.

La région de l’Ouest est deuxième avec 4,677 tonnes. Le troisième c’est l’Est grâce à 1,166 tonne. L’Adamaoua est quatrième avec 1,011 tonne, suivi du Nord-Ouest (109 960 Kg) et du Centre (140 840 Kg). A l’observation, les régions de l’Ouest et du Littoral ont vendu 82% de café robusta au cours de la campagne 2017-2018.

Selon l’Oncc, l’Adamaoua a amélioré ses performances grâce à l’installation d’une agence Oncc à Bankim. Ce qui a permis un meilleur suivi et un meilleur encadrement de la commercialisation du café dans cette région du pays.

Pour ce qui est du café arabica, seulement deux régions sont mentionnées. Le Nord-Ouest domine les transactions avec 841 639 Kg. Cette région est suivie de l’Ouest qui a déclaré la vente de 302 508 Kg d’arabica.

Le bilan de la campagne caféière 2017-2018 se caractérise de manière générale par une forte augmentation de la production nationale commercialisée de près de 25 315 tonnes contre 20 270 tonnes au cours de la campagne précédente, soit une augmentation de 20%.

S.A

Published in Agriculture

Au cours de la campagne caféière 2017-2018, l’Office nationale du cacao et du café (Oncc) du Cameroun note que la transformation locale du café a baissé de 1 503 tonnes en 2016-2017 à environ 962 tonnes. Cela représente une chute de 541 tonnes de café dans le cadre de la transformation.

Comme explication, l’Oncc fait savoir que seulement deux opérateurs, à savoir, Société Coopérative des producteurs agropastoraux du Cameroun (Socopacam) et l’Union centrale des coopératives agricoles de l’Ouest (Uccao), la plus importante organisation des producteurs de café au Cameroun, ont réalisé les plus importants volumes de produits transformés. Un volume de 545,383 tonnes de robusta pour Socopacam et 461,301 tonnes pour Uccao.

Curieusement, l’Oncc comptabilise 24 torréfacteurs identifiés ayant exercé dans l’ensemble des bassins de production. Ce chiffre est en nette augmentation depuis trois campagnes, malgré la baisse des volumes transformés. Par ailleurs, 104 usines actives ont été recensées et classées en usines de 1er, 2è, 3è degré. L’Oncc note également une présence concentrée des opérateurs dans les régions du Littoral, de l’Ouest et du Nord-Ouest, et un niveau très élevé d’installation des usines dans la région de l’Est.

Sylvain Andzongo

Published in Agriculture

Conformément à un décret présidentiel signé en décembre 2018, lequel habilitait le ministre de l’Economie à contracter un prêt pour financer la campagne cotonnière 2018-2019 au Cameroun, la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC), filiale du groupe de la Banque islamique de développement (BID), ouvrira dans les prochains jours une ligne de crédit d’un montant de 64,2 milliards FCfa, en faveur du Cameroun, apprend-on de sources proches du dossier.

Ces financements destinés à la Société de développement du coton (Sodecoton), le fleuron agro-industriel de la partie septentrionale du Cameroun, vont servir, apprend-on de bonnes sources, à l’acquisition des intrants agricoles, du coton graine et de graines de soja, auprès des 250 000 producteurs encadrés par la Sodecoton.

Ce concours financier de la BID est plus important qu’auparavant, à cause du relèvement de l’enveloppe obtenu par le gouvernement camerounais, qui a réussi à convaincre ce bailleur de fonds de faire passer son financement traditionnel en faveur de la filière coton de 13 milliards FCfa, jusqu’en 2016-2017, à plus de 64 milliards de francs Cfa de nos jours.

Cet appui financier apparaît comme un coup de pouce majeur pour la Sodecoton, entreprise d’économie mixte qui surfe désormais sur la vague de la performance, après une longue période de turbulences.

En effet, après des pertes sèches successives de 11 milliards de francs Cfa en 2014, contre respectivement 18,8 et 5,8 milliards de francs Cfa en 2015 et 2016, soit un montant total de 35,6 milliards de francs Cfa sur une période de 3 ans ; la Sodecoton a renoué avec les bénéfices en 2017.

Cette année-là, les états financiers officiels de cette unité agro-industrielle, ont affiché un résultat net de 4,3 milliards de francs Cfa, témoignant d’une sortie de la zone de turbulences, laquelle performance est consécutive à la mise en œuvre d’un plan de restructuration implémenté depuis l’année 2016.

Brice R. Mbodiam

 

Lire aussi:

11-12-2018 - Pour la 1ère fois depuis au moins 5 ans, la production cotonnière au Cameroun devrait frôler la barre de 300 000 tonnes, en 2018-2019

11-05-2018 - Cameroun : redevenue rentable après 3 ans de déficit, la Sodecoton réclame 15 milliards FCfa à l’Etat pour doper ses performances

Published in Agro-industrie

La Banque africaine de développement (BAD) et le Bureau international du travail (BIT) organisent du 12 au 14 février, à Brazzaville au Congo, un forum dont le thème est : « Dégager le potentiel des économies rurales grâce à l'investissement dans le développement des compétences et l’employabilité des jeunes dans le secteur de l’agriculture en Afrique centrale ».

L’un des objectifs de ce forum selon la BAD, est d’approfondir les discussions sur les initiatives en cours au niveau mondial, sous-régional (Cameroun, RD Congo, Tchad, Gabon, etc.) et national afin de définir les axes stratégiques de promotion du travail décent pour les jeunes, dans l’économie rurale. La rencontre de Brazzaville ajoute la BAD, fournira aussi l’opportunité aux partenaires sociaux ainsi qu’aux cadres des ministères sectoriels d’être renforcés sur les stratégies susceptibles de les aider à promouvoir le travail décent des jeunes dans l’économie rurale.

Les recommandations vont permettre aux 150 participants invités du forum, d’avoir des outils facilitant l’identification des activités porteuses d’emplois productifs dans l’agriculture et l’économie rurale et assurer ainsi, un meilleur accompagnement des entreprises et des jeunes évoluant dans le secteur. 

La BAD indique que l’agriculture est l’un des socles qui permettront de soutenir les ambitions d’émergence à l’horizon 2030 que se sont fixés, les pays de la sous-région dans les secteurs productifs.

S.A

Published in Agriculture

Au cours de la campagne caféière 2017-2018 qui vient de s’achever au Cameroun, l’Office national du cacao et du café (Oncc) informe que 45 organisations professionnelles agricoles choisies à travers les six bassins de production majeurs du pays (Centre, Littoral, Ouest, Nord-Ouest, Adamaoua et Est) ont permis d’obtenir des volumes commerciaux qui se chiffrent à 1 947 764 Kg de café robusta et à 815 440 Kg de café arabica.

Pour ce qui est du robusta, la Belgique a acheté 68% de la production, la France suit avec 21,3%, le Portugal 10,9% et l’Italie, 9,6%. Ce café a été débarqué principalement aux ports d’Anvers (29,74%) et du Havre (20,68%). L’Oncc note que la Pologne, la Thaïlande, la Suisse, l’Egypte, le Liban et l’Albanie ont fait leur entrée comme destinations nouvelles du café robusta camerounais. L’Afrique a importé l’origine Cameroun, à travers les pays du Maghreb : l’Algérie, le Maroc et l’Egypte.

Le café arabica camerounais lui, a pour premier client l’Allemagne (60,36%). Le second est les Etats-Unis (17%), le troisième c’est la Belgique (14,2%) et la France est quatrième avec 3,8% des volumes. Les ports d’Hambourg (27,49%), Bremerhaven (32,87%) et Anvers (14,17%) ont reçu au débarquement, 74,53% du volume total embarqué du café arabica. La Corée du Sud et la Côte d’Ivoire ont fait leur entrée comme destinations nouvelles du café arabica au cours de la saison 2017-2018.

Sylvain Andzongo

Published in Agriculture

L’Office national du cacao et du café (Oncc) informe que le Cameroun a commercialisé 25 315 tonnes de café au cours de la campagne 2017-2018, contre 20 270 tonnes au cours de la campagne 2016-2017. C'est une augmentation de la production nationale commercialisée de près de 20%, en valeur relative.

Cette amélioration, selon l’Oncc, s’explique par un meilleur encadrement des producteurs. A titre d’exemple, indique l’Office, « l’installation d’une agence Oncc Bankim a permis un meilleur suivi et un meilleur encadrement de la commercialisation dans l’Adamaoua ».

Les régions de l’Ouest et du Littoral du pays ont vendu 82% de café robusta. Il y a eu 45 opérations d’achat à travers les six bassins de productions majeurs (Centre, Littoral, Ouest, Nord-Ouest, Adamaoua et Est) du pays.

Globalement, indique l’Oncc, la qualité des produits à l’exportation est restée bonne. Car 18 644 tonnes de café robusta ont été soumises au contrôle de la qualité à l’export par 16 exportateurs. Pour ce qui est du café arabica, 82% des volumes ont été contrôlés par trois exportateurs : Olam Cam (38%), NWCA (30%) et Alpine Coffee (14%).

S.A

Published in Agriculture
dette-publique-le-cameroun-paye-des-interets-de-pres-de-71-milliards-de-fcfa-en-trois-mois
Entre janvier et mars 2024, l’administration centrale camerounaise a effectué des remboursements de dettes d’un montant total de 312,4 milliards de...
mobile-money-en-5-ans-le-nombre-d-utilisateurs-augmente-de-12-8-au-cameroun-ins
L’utilisation du service mobile Money a « particulièrement augmenté » au Cameroun, passant de 29,9% en 2017 à 42,7% en 2022 pour l’ensemble de la...
la-dette-interieure-du-cameroun-augmente-de-169-milliards-a-fin-mars-2024-tiree-par-les-titres-publics
Entre mars 2023 et mars 2024, la dette intérieure du Cameroun, hormis les restes à payer de plus de trois mois, connaît une augmentation de...
l-etat-multiplie-des-conventions-les-banques-pour-faciliter-l-acces-des-jeunes-entrepreneurs-aux-financements
Le ministre de la Jeunesse et de l’Éducation civique (Minjec), Mounouna Foutsou, et le fondateur de La Régionale Bank, Charles Rollin Ombang Ekath, ont...

A la Une du magazine


Investir au Cameroun n121:Mai 2022

Les marges de progression du secteur télécom camerounais


Pourquoi les entreprises camerounaises cachent autant leurs comptes ?


Business in Cameroon n110: April 2022

Covid-19, war in Europe: Some Cameroonian firms will suffer


Albert Zeufack: “Today, the most important market is in Asia

  1. Plus lus 7 jours
  2. partagés 1 mois
  3. lus 1 mois
next
prev