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Yaoundé - 28 avril 2024 -

Le Premier ministre camerounais, Philémon Yang (photo), a signé le 1er mars 2016, un décret portant création, organisation et fonctionnement du Comité national de facilitation des échanges. Organe consultatif placé sous l’autorité du chef de gouvernement, ce comité, apprend-on, a pour mission principale «de proposer et d’assurer le suivi et la coordination de la mise en œuvre des mesures destinées à faciliter et à accélérer les échanges commerciaux et les transports internationaux».

A ce titre, précise le décret du PM, il revient à ce comité «d’assurer la coordination entre les organismes concernés par la facilitation des échanges commerciaux et des transports et de renforcer le partenariat entre le secteur public et le secteur privé ; de mener ou de faire mener des études visant non seulement à identifier les problèmes ayant un effet sur les coûts, les délais et l’efficacité du commerce international ; de proposer des mesures tendant à réduire les coûts et les délais, à améliorer l’efficacité du commerce international et à participer à leur mise en œuvre ; de contribuer à la diffusion des informations sur les méthodes et les avantages de la facilitation des échanges commerciaux et des transports internationaux… ».

Le Comité national de facilitation des échanges est constitué de tous les acteurs de la chaîne des transports, de douze responsables de départements ministériels, des responsables du patronat camerounais, des syndicats des opérateurs du secteur des Transports, de représentant de l’administration douanière, des assureurs, des banquiers, etc.

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Face à la baisse continue de la production caféière au Cameroun, le Conseil interprofessionnel du cacao et du café (CICC) a décidé de redynamiser, dès cette année 2016, son Programme d’urgence de relance ciblée de la caféiculture (Purc-café). Cette redynamisation du Purc-café permettra de mettre à la disposition des producteurs une cargaison record de 2 millions de plants de caféiers en 2017, a révélé Omer Gatien Malédy, le secrétaire exécutif du CICC.

Officiellement lancé en janvier 2014 dans trois bassins de production du Cameroun (Ouest, Est et Littoral), après une campagne caféière 2012-2013 catastrophique (16 000 tonnes produites), le Purc-café avait pour objectif de créer annuellement 600 hectares de nouvelles plantations, soit 1800 hectares sur 3 ans dans les trois zones de production sélectionnées.

Mais, apprend-on, cette ambition n’a pas pu être réalisée dès la première année d’implémentation du programme, à cause de l’indisponibilité des plants à mettre à la disposition des producteurs. Selon le CICC, qui, pour ce programme avait sollicité du programme semencier national un lot de 780. 000 plants de caféiers, seulement 75 000 plants avaient été mis à la disposition du Purc-café, soit à peine 10% de la demande.

Pour rappel, dans le cadre de ce programme, le CICC met gratuitement à la disposition des producteurs «tous les intrants nécessaires à la création des plantations, depuis la constitution de la pépinière jusqu’aux traitements post-récolte (sachets, ficelles, matériel végétal, pesticides, fertilisants, petit matériel agricole, etc.)». Bref, résume M. Malédy, «on donne tout aux producteurs, sauf la main d’œuvre et la terre».

BRM

 

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La concertation organisée le 4 mars 2016 à Douala entre les responsables de la Cameroon Railways (Camrail), le concessionnaire du chemin de fer camerounais, et 163 représentants des communautés riveraines du rail, a débouché sur une revalorisation de 30% sur le prix du désherbage de la voie ferrée, prestation concédée depuis des années aux populations riveraines du rail.

Ainsi, pour chaque kilomètre linéaire désherbé, les communautés riveraines encaisseront désormais 70 056 francs Cfa, contre 53 500 francs Cfa par le passé, a-t-on appris dans un communiqué officiel ayant sanctionné cette concertation. En outre, le transporteur ferroviaire s’est engagé à doter les équipes dédiées au désherbage de la voie ferrée d’équipements adéquats, de même que les deux parties se sont engagées à renforcer leur collaboration dans le cadre de la lutte contre le transport illégal des produits forestiers et fauniques illégaux.

Pour rappel, dans le cadre de sa politique de proximité avec les riverains du rail, Camrail alloue annuellement une enveloppe de 400 millions de francs Cfapour fin ancer les activités de désherbage de la voie et de surveillance de la voie confiées aux riverains du rail, ainsi que des projets de développement local (forages, dons de matériels didactiques et médicaux, etc.)

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Le groupe de télécommunications sud-africain MTN a indiqué en présentant ses résultats de l'exercice 2015, que les performances de sa filiale Camerounaise avaient été en dessous de ses attentes, en raison notamment de la forte concurrence sur ce marché, qui l'a contrainte à réduire les prix de ses appels sortants. L'opérateur reconnait aussi que l'année a été marquée par les défis rencontrés lors du déploiement de son réseau 3G.

Dans les chiffres, cela s'est traduit par un chiffre d'affaires local de 226 milliards de FCFA, une performance en baisse de 4,6% comparée aux 241,1 milliards de FCFA réalisés en 2014. Cette contreperformance a été le fait combiné du recul de 5% de la base clientèle qui est repassée sous la barre des 10 millions d'abonnés (9,2 millions exactement). Les parts de marché du groupe se sont aussi effritées, passant de 59,4% à 56,2%.

Dans ces conditions, la marge de bénéfice avant impôts, amortissements et dépréciations (EBITDA) s'est rétractée de 6,6 points de base, et s’affiche désormais à seulement 36,2%. MTN attribue cette situation à la hausse des loyers et des prix de certains services, associée aux dépenses effectuées pour l'acquisition des licences 3G et 4G, et l'amélioration de la mise en place d'un système de transmission de la technologie aux abonnées. L'EBITDA ressort donc à 81,8 milliards de FCFA, en baisse comparés aux 103,2 milliards de FCFA dégagés en 2014.

MTN Cameroon a néanmoins gagné des points sur les services des données. Le chiffre d'affaires de ce segment a progressé de 67,5% pour atteindre 33,2 milliards de FCFA. Une performance à mettre à l'actif du bon comportement du Mobile Money dont le nombre d'utilisateurs était de 2 millions au 31 décembre 2015. La fin d’année a aussi connu l’annonce par l'opérateur du lancement de la 4G. Un service dont la pertinence est controversée aujourd'hui. Le régulateur local du secteur (ART) a démenti la disponibilité de ce réseau, et de nombreux utilisateurs se plaignent de difficultés techniques persistantes.

Idriss Linge

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L’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) a rendu public, le 4 mars 2016, son classement 2016 des pays les plus mondialisés de la planète, qui reflète le niveau de mondialisation économique, sociale et politique dans 192 pays à travers le monde.  Le Cameroun y est classé 151ème dans le monde, et 38ème en Afrique.

Dans la zone Cemac, le Cameroun est surclassé par le Gabon (112ème mondial et 14ème en Afrique) et la République du Congo (134ème dans le monde et 25ème en Afrique). Les trois autres pays de la Cemac que sont le Tchad (170ème mondial et 44ème africain), la Centrafrique (47ème en Afrique et 175ème au monde) et la Guinée équatoriale (52ème en Afrique et 190ème au monde) figurent parmi les 10 derniers de ce classement dominé en Afrique par le Maroc, Maurice et l’Afrique du Sud ; et par les Pays Bas, l’Irlande et la Belgique au niveau mondial.

Selon les auteurs de ce hit-parade, la dimension économique de la mondialisation dans ce classement tient compte de critères tels que l’importance des flux commerciaux, d’investissements et de revenus transfrontaliers rapportés au produit intérieur brut (PIB), ainsi que l’impact des barrières commerciales et des restrictions de circulation des capitaux.

La dimension sociale de la mondialisation ici, apprend-on, est mesurée sur la base des contacts transfrontaliers personnels sous la forme d’appels téléphoniques et de courriers ; les flux touristiques et l’importance des populations étrangères résidentes ; les flux d’informations transfrontaliers à partir de l’accès à Internet, à la télévision et aux produits de presse étrangers ; ainsi que des exportations et importations de livres rapportées au PIB.

La dimension politique de la mondialisation est quant à elle mesurée à partir du nombre d’ambassades étrangères présentes dans un pays, du nombre d’organisations internationales dont le pays est membre, du nombre de missions de pacification de l’ONU auxquelles le pays a participé et du nombre d’accords bilatéraux et multilatéraux signés par le pays depuis 1945.

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Ça y est ! Depuis le 1er mars 2016, le gouvernement camerounais, via le ministère des Finances, est officiellement autorisé, selon un décret présidentiel publié ce jour-là ; à lever la somme de 300 milliards de francs Cfa sur le marché des capitaux, afin de compléter l’enveloppe budgétaire 2016 de l’Etat du Cameroun.

Cependant, le texte présidentiel arrive simplement en régularisation des opérations de lever de fonds déjà lancées par le Trésor public camerounais dans le cadre de l’exercice budgétaire 2016, notamment sur le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac). En effet, le Cameroun a effectué sa première émission de titres publics de l’année courante sur ce marché le 13 janvier 2016 et a réussi à mobiliser 7 milliards de francs Cfa.

Selon le calendrier prévisionnel des opérations du Cameroun, un montant global compris entre 52 et 57 milliards de francs Cfa devait être mobilisé au premier trimestre 2016 sur le marché des titres publics de la BEAC.

Officiellement, les émissions de titres publics du Cameroun cette année atteindront 370 milliards de francs Cfa, mais 70 milliards de francs Cfa serviront à rembourser des emprunts de court terme contractés sur ce même marché au cours de l’année. Ce qui laissera, en fin d’année, un encours de 300 milliards de francs Cfa, conformément à la loi de Finances 2016.

BRM

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Environ 600 exposants sont attendus au palais des Congrès et du Parc des expositions de Tsinga, deux sites de la capitale camerounaise qui abriteront la 5ème édition du Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) 2016, qui aura lieu du 31 mars au 9 avril à Yaoundé.

Selon les informations révélées à ce sujet par le ministre camerounais des Pme, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, Laurent Serge Etoundi Ngoa (photo), la participation des artisans locaux sera entièrement prise en charge par le gouvernement. «Tout est gratuit pour les artisans nationaux, le transport, les stands, l’hébergement, etc.», a rassuré Laurent Serge Etoundi Ngoa.

L’édition 2016 du Siarc, en plus des artisans nationaux qui constitueront une nouvelle fois le plus gros contingent des exposants, a souligné le Ministre Etoundi Ngoa, devrait connaître la participation des artisans venus d’Europe, d’Amérique et du Moyen-Orient.

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Entretien avec le président de l’Organisation mondiale des cultivateurs de cacao, qui jette un regard sur la filière camerounaise, parle des objectifs de l’Omcc et de la nécessité pour les pays producteurs de développer des industries de transformation.

Que vient faire le président de l’Organisation mondiale des cultivateurs de cacao (Omcc) au Cameroun ?

Nous sommes venus d’abord pour installer le bureau national de notre organisation. L’assemblée générale constitutive de l’Organisation mondiale des cultivateurs de cacao (Omcc) a eu lieu il y a un an et une délégation du Cameroun a pris part aux travaux. Nous sommes là pour encourager l’équipe qui était à l’AG et que nous avions alors mis en mission, afin qu’elle fasse la promotion de l’Omcc au Cameroun. Surtout dans la mesure où l’Omcc est en train de démarrer un partenariat très fort avec le Conseil interprofessionnel du cacao et du café (Cicc) du Cameroun.

Quel regard global portez-vous sur la filière cacaoyère camerounaise ?

Je note qu’une interprofession existe depuis plusieurs années, ce qui est une avancée significative. De ce point de vue, nous sommes à l’école du Cameroun, puisque nous en Côte d’Ivoire, par exemple, nous en sommes encore à jeter les bases de cette interprofession. Nous reviendrons bientôt au Cameroun pour nous abreuver à la source de cette expérience réussie en matière d’interprofession, en matière d’organisation de la filière et surtout d’encadrement des producteurs de cacao.

Et que dites-vous de la production et de la qualité du cacao camerounais ?

Au cours de ce séjour au Cameroun, nous avons pu participer à une cérémonie de remise des attestations de fin de formation à une première cuvée de vérificateurs de la qualité du cacao bord champ. Mais, nous pensons que c’est la qualité avec grand «Q» qu’il faut saluer. C’est-à-dire à la fois la qualité des opérateurs de la filière, la qualité des prestations et la qualité de la production, pour pouvoir bénéficier de bons prix sur le marché international.

En plus d’être premier producteur mondial de cacao depuis des années, la Côte d’Ivoire est récemment devenue premier transformateur de fèves, selon l’ICCO. Le Cameroun, lui, transforme à peine 25% de sa production. Quels conseils l’acteur de la filière ivoirienne peut-il donner au Cameroun en matière de développement de la transformation du cacao ?

L’idéal c’est d’apporter de la valeur ajoutée au cacao que nous produisons. Mais je pense que tout est mis en œuvre pour qu’on assiste à des schémas où des transformateurs acceptent de se mettre ensemble avec des organisations de producteurs structurées, pour initier ne serait-ce que le premier niveau de transformation, afin de permettre aux producteurs d’augmenter leurs revenus. C’est d’autant plus important que chaque fois que nous exportons nos matières premières à l’état brut, ce sont des emplois que nous exportons également.

Avec la déferlante des industries de transformation du cacao en Côte d’Ivoire, n’avez-vous pas l’impression que les industriels suivent désormais le cacao où il abonde ?

Ce n’est pas évident de soutenir un tel point de vue. Les industriels vont où ils ont leurs intérêts, notamment où il y a des facilités en matière de fiscalité et où les conditions de production, à l’instar de l’existence de l’énergie, sont réunies. Ce n’est pas parce qu’il y a beaucoup de cacao qu’ils viennent en Côte d’Ivoire ou qu’ils iront au Ghana.

Qu’est-ce que les cultivateurs de cacao peuvent attendre d’une organisation telle que celle que vous dirigez ?

Le but premier de notre organisation est d’assurer une meilleure représentation des cultivateurs de cacao dans les rencontres et autres concertations au niveau mondial. Ensuite, il est question pour nous d’unifier la voix des producteurs pour qu’elle puisse être entendue partout où besoin sera, et cela de façon qualitative. Et puis, l’Omcc se fixe pour objectif d’améliorer la qualité des relations qui existent entre les acteurs que constituent les gouvernements des pays producteurs et consommateurs, les industries et les organisations de la société civile.

A l’Omcc, nous pensons qu’il est nécessaire d’avoir un dialogue inclusif, qui prenne en compte les avis des producteurs eux-mêmes, des gouvernements, de la société civile et des industriels, afin de garantir une cacaoculture durable.

Propos recueillis par Brice R. Mbodiam

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Une délégation de 60 opérateurs économiques belges a débarqué au Cameroun le 29 février 2016, à la recherche des opportunités d’affaires dans le pays. Avant de quitter le territoire camerounais ce 4 mars 2016, ces investisseurs ont eu des échanges avec des autorités gouvernementales et des rencontres B to B avec des opérateurs économiques camerounais dans la ville de Douala.

Conduite par un haut responsable du port d’Anvers, l’un des plus importants d’Europe, la délégation d’investisseurs belges constituée des opérateurs des secteurs des infrastructures, de l’agriculture, des énergies renouvelables, de l’import-export, des transports ferroviaire, routier et maritime, etc. ; ont effectué une visite des ports de Douala et surtout de Kribi, qui devrait normalement démarrer ses activités au second trimestre 2016.

Depuis décembre 2014, l’on note un grand intérêt des investisseurs belges pour le Cameroun. En effet, après la vingtaine d’entreprises belges qui a participé au Salon Promote à Yaoundé en décembre 2014, puis les 25 chefs d’entreprises qui ont séjourné au Cameroun au mois de mai 2015, la délégation d’opérateurs économiques belges qui quitte le Cameroun ce 4 mars 2016 après une semaine de prospection, est la 3ème à séjourner au Cameroun en l’espace de 2 ans. Au total, ce sont plus de 100 investisseurs de ce pays européens qui auront séjourné au Cameroun sur la période considérée.

Pour l’heure, ces missions économiques belges n’ont pas encore permis de décupler les échanges entre les deux pays. Même si selon les statistiques de la Chambre de Commerce, entre 2009 et 2012, ces échanges commerciaux ont cru de 16%, à environ 185 milliards de francs Cfa. Mais, globalement, la Belgique n’accueille qu’environ 5% des exportations camerounaises, tandis qu’environ 7,2% des importations du pays proviennent de la Belgique.

BRM

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Yaoundé, la capitale camerounaise abrite depuis ce 3 mars 2016, et ce jusqu’au 4 mars, la première édition des «journées de l’économie numérique au Cameroun», organisée par le ministère des Postes et Télécoms. Les travaux sont articulés autour du thème : «la place de l’économie numérique dans les politiques publiques en vue de l’émergence du Cameroun».

Au sortir des deux jours de travaux ponctués par des débats en ateliers, il sera produit un rapport pouvant servir de base à l’élaboration d’un plan de développement de l’économie numérique dans le pays. La première édition des journées de l’économie numérique sera marquée, apprend-on, par la présentation du rapport 2016 de la Banque mondiale sur le développement dans le monde, dont le thème est : «Les dividendes du numérique».

Ce rapport révèle globalement que «l’internet, les téléphones mobiles et d’autres technologies numériques se diffusent rapidement à travers le monde en développement, mais les dividendes escomptés du numérique, à savoir une croissance plus forte, la création de plus d’emplois ainsi que de meilleurs services publics, ne sont pas à la hauteur des attentes. En outre, 60 % de la population mondiale reste exclue d’une économie numérique en constante expansion».

Pour rappel, la rencontre de Yaoundé se tient au lendemain de l’allocution du chef de l’Etat camerounais à la jeunesse, le 10 février 2016. Au cours de cette prise de parole à la veille de la fête nationale de la jeunesse, le Président Biya a invité ses jeunes compatriotes à saisir les multiples opportunités que recèle le secteur des TIC, afin de contribuer au développement économique de leur pays.

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