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Yaoundé - 10 mai 2024 -

Mis à part la République centrafricaine (RCA), tous les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) sont actuellement producteurs de pétrole et souffrent d’un excès de liquidités, qui nuit à leur politique monétaire.

«L'excès de liquidités devrait être réduit pour renforcer les canaux de transmission de la politique monétaire», a confié Mario de Zamaroczy, chef d’une mission du FMI auprès de la Cemac et du Cameroun. C’était le 7 novembre 2014 à Yaoundé, au cours d’une séance de travail avec le gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac).

En effet, selon le FMI, les banques commerciales et les établissements de microfinance de la Cemac sont surliquides, alors que l'activité économique dans cet espace communautaire n’est pas suffisamment financée. Pour M. de Zamaroczy, «les banques ne prêtent pas assez parce qu'elles n'ont pas un système de garantie suffisamment efficace pour octroyer des crédits».

Aussi, préconise-t-il, faut-il «réformer le cadre régional de surveillance budgétaire actuel, pour assurer la viabilité à long terme des pays riches en pétrole de la Cemac». Le chef de la mission du FMI suggère également de mettre en œuvre une application plus stricte des normes prudentielles et d'accélérer la restructuration des banques non viables. Pour rappel, la Cemac regroupe le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Tchad, la Guinée équatoriale et la RCA.

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Au sortir de son Comité de politique monétaire tenu le 28 octobre 2014 à son siège à Yaoundé, la Banque des Etats de l’Afrique centrale, institut d’émission des six pays de la CEMAC (Cameroun, le Gabon, le Congo, le Tchad, la Guinée équatoriale et la R2publique centrafricaine) prévoit un taux d’inflation de 3,7%. Cette prévision est de 0,7 point supérieure à la norme admise dans cet espace communautaire, qui est de 3%.

A l’origine de cette prévision, le gouverneur de la BEAC, Lucas Abaga Nchama, énumère plusieurs causes : la crise en Centrafrique, avec les difficultés d’approvisionnement du pays et la hausse de la demande en biens de consommation due à la présence dans le pays de missions humanitaires ; la hausse des salaires à la Fonction publique congolaise ; le renforcement des effectifs à la Fonction publique équato-guinéenne, et l’augmentation des prix des produits pétroliers au Cameroun.

En dépit de ce qui précède, le taux de croissance dans la zone CEMAC à fin 2014 est projeté à 5,6%, en baisse de 1,1% par rapport aux 6,7% projetés au mois de mars 2014. Cet optimisme, après une année 2013 qui s’était achevée sur un taux de croissance de moins de 2%, tient, apprend-on dans le communiqué ayant sanctionné ce comité de politique monétaire, «de la reprise de l’activité pétrolière et de la bonne tenue du secteur non pétrolier».

 

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Le Cameroun est classé 158ème au classement Doing Business 2015, le baromètre de la banque mondiale publié le 28 octobre 2014, et qui évalue annuellement l’environnement des affaires dans 189 pays dans le monde. Le pays progresse ainsi de 10 places, puisqu’il figurait au 168ème rang dans le classement de 2014.

Le Cameroun est le second pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEMAC) dans ce classement, derrière le Gabon classé 144ème, mais devant le Nigéria (170ème), première puissance économique du continent noir.

Deux pays de la zone CEMAC figurent parmi les cinq derniers de ce classement. Il s’agit du Tchad, classé 185ème sur 189, et de la République centrafricaine, pays déchiré par une nouvelle crise politique depuis mars 2013, classé 187ème.

Classée devant la France, l’Ile Maurice (28è)  présente le meilleur environnement des affaires  sur le continent.  L’Afrique du Sud (43e) arrive en 2ème position après avoir perdu 6 rangs mondiaux par rapport à 2014.  Viennent ensuite le Rwanda, qui gagne deux places pour se hisser au 46e rang,  puis la Tunisie, qui cède 4 positions pour se retrouver 60ème.

 A la 5ème position du classement africain, arrive le Ghana (70e), suivi par le Maroc (71e), le Botswana (74è), les Seychelles (85è), la Namibie (88è) et le Swaziland (110è). Le Bénin, la République Démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, le Sénégal et le Togo sont parmi les 10 premiers pays ayant le plus amélioré leur réglementation des affaires parmi les 189 économies couvertes par le rapport.

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Selon les statistiques de la Division de la balance des paiements du ministère des Finances, en 2013, la diaspora camerounaise a effectué en direction du Cameroun, des transferts d’argent en espèces pour un montant total de 218,7 milliards de francs Cfa, contre 181 milliards de francs Cfa en 2009. Soit une augmentation de plus de 100 milliards de francs Cfa en 4 ans.

La zone CEMAC est le principal point de départ des transferts de la diaspora camerounaise en direction du pays, avec 38% des envois enregistrés en 2013, contre 27% pour la France, 15% pour les Etats-Unis et 20% pour le reste du monde. Ces fonds, apprend-on, servent majoritairement à assouvir les besoins élémentaires des familles restées au pays.

Par ailleurs, souligne-t-on à la Division de la balance des paiements, une partie importante des transferts d’argent de la diaspora passe par des circuits informels, principalement à cause de la cherté des coûts pratiqués par des opérateurs de transfert d’argent tels que MoneyGram ou encore Western Union.

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Les institutions publiques en charge des questions financières des six pays de la CEMAC (Cameroun, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad, Congo et RCA), les régulateurs du secteur bancaire (Cobac), du marché financier (Cosumaf), des assurances (Cima), des structures anti-blanchiment (GABAC)… de cet espace communautaire se sont réunis le 3 septembre 2014 à Yaoundé, autour du gouverneur de la BEAC, Lucas Abaga Nchama, dans le cadre de la «session inaugurale du Comité de stabilité financière de l’Afrique centrale».

Au cours de cette première session, précise un communiqué ayant sanctionné la rencontre, les participants ont «échangé sur les avant-projets de textes» de la structure, ainsi que sur le projet de «plan d’action 2014-2015». Mais à la fin, apprend-on, «les membres du comité ont décidé d’adopter ces textes lors de la prochaine session, après consultation des organes habilités des divers Etats et institutions de la CEMAC».

«Avant, la veille prudentielle se faisait à l’échelle micro. C’est-à-dire que chaque régulateur appréciait les risques de son secteur. Le comité de stabilité financière nous permet de partir de cette approche micro à une politique macro, qui nous permettra d’apprécier les risques grâce à une information complète, afin de proposer de bien meilleurs orientations et conseils aux Etats», a expliqué le gouverneur Abaga Nchama de la BEAC.

Selon lui, ce nouveau comité, qui s’inscrit dans la logique de l’implémentation de la mission de garantie de la stabilité financière assignée à la BEAC en 2010, aux lendemains de la crise financière internationale de 2008, permet à la zone CEMAC de se mettre enfin au même niveau que l’UEMOA, ou encore d’une institution internationale comme le FMI, qui ont déjà mis en place ce type de structure, tirant ainsi les enseignements de la crise de 2008.

Créé par un règlement CEMAC daté du 2 octobre 2012, le Comité de stabilité financière de l’Afrique centrale a pour principaux attributions, «d’analyser les dynamiques du système financier, aussi bien sous-régional que mondial, et les facteurs conjoncturels ou structurels de vulnérabilité ; d’alerter les gouvernements et les autorités de régulation sur les pratiques qui lui paraissent dangereuses pour l’équilibre financier et de recommander les améliorations à apporter ; d’identifier et de coordonner les actions à entreprendre par ses différents membres pour répondre aux enjeux et défis majeurs».

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A en croire le gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale, Lucas Abaga Nchama, «la situation du secteur bancaire camerounais, jusqu’au mois de juillet dernier, est globalement satisfaisante. La plupart des banques respectent les ratios prudentiels. La situation à la Sonara ne peut pas mettre à mal le secteur bancaire camerounais».

Le gouverneur de la banque centrale des six Etats-membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), que sont le Gabon, le Congo, le Tchad, le Cameroun, la Guinée équatoriale et la République centrafricaine, a donné cette assurance le 3 septembre 2014 à Yaoundé, la capitale camerounaise, au cours d’une conférence de presse organisée en marge de la session inaugurale du Comité de stabilité financière d’Afrique centrale.

Lucas Abaga Nchama répondait ainsi à une question sur les risques que la situation à la Société nationale de raffinage (Sonara), entreprise publique camerounaise presqu’en cessation de payement, du fait des manque-à-gagner causés par le blocage des prix des produits pétroliers à la pompe de 2008 à juin 2014, fait courir aux banques locales, dont elle est l’un des plus gros emprunteurs.

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Le Trésor public camerounais procédera, le 6 août 2014, à l’émission, sur le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), d’obligations du Trésor assimilables (OTA) pour un montant oscillant entre 5 et 10 milliards de francs Cfa, indique un communiqué publié par la banque centrale des six Etats de la CEMAC.

Ce sera alors la toute première opération de l’Etat camerounais sur les titres publics de long terme, pour le compte de l’exercice budgétaire 2014, sur les 180 milliards de francs Cfa autorisés par la loi des Finances. D’une durée de maturité de 2 ans, l’émission de ces OTA sera officiellement annoncée au public des investisseurs le 31 juillet prochain.

Au demeurant, globalement, l’Etat camerounais tentera de lever entre 45 et 50 milliards de francs Cfa sur le marché de la BEAC tout au long du 3ème trimestre 2014, dont 40 milliards de francs Cfa par émission de bons du Trésor (titres de créance de court terme), révèle le calendrier des émissions transmis par la Direction générale du Trésor à la banque centrale.

Dans le détail, en ce mois de juillet, 20 milliards de francs Cfa seront sollicités, par émissions successives de bons du Trésor (BTA) d’une durée de maturité de 52 et 26 semaines, respectivement les 9 et 30 du mois courant. Les 13 août et 3 septembre, le Trésor public camerounais repartira à l’abordage, pour tenter de lever 20 milliards de francs Cfa supplémentaires, au moyen de BTA de 13 et 26 semaines de maturité.

Pour rappel, 280 milliards de francs Cfa devront être levés sur le marché des capitaux de la BEAC cette année, selon les prévisions de la loi des Finances 2014 de l’Etat du Cameroun, dont 100 milliards de francs Cfa par émission de BTA.

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S’il se félicite de la décision prise par Nestlé Cameroun, de produire, dès juillet-août 2014, son Nescafé à base du café camerounais, le ministre camerounais du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, trouve cette décision de la filiale locale de l’agro-industriel suisse un « peu tardive», a-t-il confié dans un entretien accordé à Commodafrica. «D’un point de vue global, l’idée qui est celle des pouvoirs publics est de promouvoir la valorisation des produits camerounais et la mise en marché des produits d’origine Cameroun. Que Nestlé s’intègre dans cette logique est une excellente chose».

Ce membre du gouvernement camerounais trouve cependant une autre motivation à cette décision qui va affranchir Nestlé Cameroun de l’importation de cargaisons entières de Nescafé depuis la Côte d’Ivoire. «Dans le cadre de la Cemac, nous avons décidé de mettre en place un nouveau mécanisme qui consiste en l’octroi d’agréments pour la libre circulation des produits originaires de l’un des Etats membres de la Cemac, soit parce qu’il est fait à base de produits à 100% locaux, soit simplement parce qu’il y a une certaine valeur ajoutée locale issue des produits locaux qui doit être de 40%. (…) Ce groupe a été déclaré éligible pour un certain nombre de ses produits. Mais, le Nescafé ne figure probablement pas dans la liste de ces produits, sous réserve que la transformation locale, et donc l’incorporation du café camerounais, soit incluse dans le produit final», explique le ministre du Commerce.

Pour rappel, selon des statistiques communiquées par les responsables de Nestlé Cameroun, la production de l’usine de Douala, à partir de laquelle la filiale camerounaise du groupe agro-alimentaire suisse approvisionne le marché de la Cemac, est portée à 1% seulement par le Nescafé, 90% par le cube Maggi, contre 9% par le lait Nido conditionné dans des sachets.

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Chaque mois, Nestlé Cameroun vend pour environ 5 milliards de francs Cfa de produits dans la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), qui compte six pays, notamment le Cameroun, le Gabon, le Congo, le Tchad, la République centrafricaine et la Guinée équatoriale, a révélé à l’Agence Ecofin une source interne à l’entreprise.

Le gros de ce chiffre d’affaires (CA), apprend-on, est réalisé sur les ventes du célèbre cube Maggi, qui, depuis 2012, a été enrichi en fer, à la faveur d’un programme de fortification alimentaire conduit par l’entreprise, avec la collaboration des ministères de la Santé publique et du Commerce. En effet, révèlent nos sources, le cube Maggi représente, à lui tout seul, 90% de la production de l’usine Nestlé de Douala, la capitale économique du Cameroun, à partir de laquelle sont approvisionnés tous les autres pays de la zone CEMAC.

Au demeurant, en dehors du cube Maggi, Nestlé Cameroun commercialise également dans les six pays de la CEMAC son lait «Nido», conditionné dans des sachets, et qui représente 9% de l’ensemble de la production de l’usine de Douala, contre 1% seulement pour Nescafé, le célèbre café de la firme agro-alimentaire suisse.

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Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale vient d’approuver un crédit de 71 millions de dollars (environ 35 milliards de FCfa) de l’Association internationale de développement (IDA), pour soutenir le Cameroun dans le développement de ses échanges internationaux et régionaux, la création des emplois et la réduction de l’isolement des communautés pauvres de la partie  nord du pays, en appuyant l’amélioration des réseaux routiers et ferroviaires le long du corridor Douala-N’Djamena (Tchad).

«Le corridor routier Douala–N’Djamena est un élément de l’épine dorsale de l’infrastructure des transports de l’Afrique centrale et l’une des grandes priorités de développement de la Banque mondiale», a expliqué  Gregor Binkert, le directeur des opérations de la Banque mondiale pour les pays de la CEMAC.  «À long terme, ce projet élargira l’accès de la population aux écoles, aux centres de santé et aux marchés, et offrira de nouvelles possibilités d’importation et d’exportation aux économies locales», a-t-il ajouté.

Selon les estimations de la Banque mondiale, les travaux routiers et ferroviaires qui seront effectués profiteront directement à environ 3,5 millions d’habitants de la région de l’Extrême Nord du Cameroun (soit à peu près 20 % de la population du pays), et notamment aux résidents des villes septentrionales de Maroua, de Mora et de Kousséri.

Le projet vise aussi à réhabiliter les derniers tronçons routiers en très mauvais état (section Maroua-Mora longue de 60 km) du corridor de transport reliant Douala à N’Djamena, qui est la capitale et la plus grande ville du Tchad. Le prêt de la BM «financera également, pendant 5 ans, des contrats d’entretien sur la base de résultats d’un corridor de 270 km de long entre Maroua et Kousséri », indique encore le communiqué à l'origine de la Banque mondiale. 

Ce prêt de la Banque mondiale devrait susciter un réel espoir chez les opérateurs économiques tchadiens, de voir se réduire les coûts de transports. En effet, une évaluation faite en 2012 par des experts indépendants de la CEMAC avait mis en évidence le fait que les produits perdaient parfois 5 à 6 jours pour leur acheminement au Tchad, en raison du mauvais état des routes.

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