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Yaoundé - 27 avril 2024 -

Le 13 février dernier, le ministre camerounais des Travaux publics, Patrice Amba Salla, a parcouru les 370 km de route qui relient les villes de Yaoundé, Bafoussam et Bamenda, sur une distance de 370 Km. Au sortir de ce périple, Patrice Amba Salla a annoncé que les travaux de réhabilitation de cet axe routier, l’un des plus important du pays, ont déjà été exécutés à 35%.

La réhabilitation de cette route est le volet le plus important d’un programme d’entretien routier d’urgence instruit par chef de l’Etat camerounais l’année dernière, et qui a été doté d’une enveloppe globale de 100 milliards de FCFA débloqué par le Fonds routier du Cameroun.

« Il y a lieu d’expliquer d’abord le retard qui a été observé. Nous avions lancé un programme d’urgence sans avoir fait les préalables. C'est-à-dire que les études sur la dégradation de la chaussée ont été faites après l’annonce du lancement du programme. Alors, tout ce temps qui est passé a été consacré à ces études. Je pense que le programme commence à sortir de terre sur cette route (Yaoundé-Bafoussam-Bamenda) et sur celle d’Ebolowa-Yaoundé, où le ralliement va commencer très prochainement entre Yaoundé et Mbalmayo. Sur l’axe Banyo-Tibati, l’entreprise est à pied d’œuvre. Sur l’axe Manjou-Yokadouma, l’entreprise est aussi sur le point de démarrer les travaux », a confié le ministre Amba Salla, faisant un tour d’horizon du projet. 

Published in BTP

Selon une enquête de la Coalition « Publish what you pay » publiée le 1er février dernier à Yaoundé, l’information sur les industries extractives au Cameroun doit être considérablement améliorée. En effet, souligne le rapport, sur un échantillon de 1240 riverains du département de l’Océan, dans la région du Sud du Cameroun, et de l’arrondissement de Figuil, sites d’exploitation du gaz, de fer, du pétrole, du marbre et du calcaire, seulement 9% ont une connaissance « préliminaire » de l’Initiative pour transparence dans les industries extractives (Itie), 40% ignorent la quantité des minerais exploités dans leurs localités, 77% n’ont connaissance, ni de l’existence d’une redevance, ni du versement d’une quelconque redevance à leur localité.

Selon 95% des personnes enquêtées, l’amélioration de la communication en matière d’exploitation minière est une priorité.

En rappel, le Cameroun a déjà été recalé à deux reprises dans le passage au statut de pays conforme dans le processus ITIE auquel le pays a adhéré en 2005. Le dernier rapport, pour obtenir ce statut ou alors être exclu de ce processus,  sera présenté le 13 août 2013 au comité international de l’ITIE et portera sur l’exploitation des ressources minières au Cameroun entre 2009 et 2010. 

Published in Mines

Le chef de l’Etat camerounais sera en « visite de travail » à Paris cette semaine. Il rencontrera le président Hollande mercredi, pour faire suite à un premier entretien que les deux présidents ont eu à Kinshasa en octobre dernier, en marge du Sommet de la Francophonie.

Il sera reçu au MEDEF le lendemain pour une rencontre avec une cinquantaine de chefs d’entreprises françaises. Michel Roussi, vice-président du MEDEF International sera le maître de cérémonie de cette rencontre intitulée « France-Cameroun : pour un partenariat économique durable ».

Le chef de l’Etat et Michet Roussin devraient également participer à point presse ce jeudi à 13 heures, à la suite de la conférence au MEDEF.

Le programme de la conférence « France-Cameroun : pour un partenariat économique durable », jeudi 31 janvier 2013 :

8h00-8h30 : Accueil des participants autour d’un petit déjeuner buffet

8h30-8h35 : Mot de bienvenue de Michel Roussin, vice-président de MEDEF international 

8h35-9h : (les priorités de la politique économique du Cameroun)

9h00-9h05 : intervention du ministre de l’économie de la planification et de l’aménagement du territoire sur les grandes orientations de la politique économiques 

8h50-9h : Echange avec la salle

9h05-9h25 : présentation de la stratégie de développement des grands projets structurants (infrastructures énergie développement urbain….) par les ministres concernes : priorité, calendrier, financements cadre juridique et institutionnel pour les ppp.

9h25-9h35 : intervention d’un représentant du Ministère français de l’Economie et des Finances et ou de l’AFD sur la participation française au financement des projets structurants.

9h35-9h50: Témoignage d’entreprises françaises impliquées dans de grands projets

10h40-11h40: panel numéro 2- diversification, croissance inclusive développement régional : (Relever le défi de la compétitivité et l’attractivité)
• Témoignages d’entreprises françaises et camerounaises
• Interventions et réactions des ministres concernés 

11h30 : Arrive du président Paul Biya
Accueil par Michel Roussin

11h40-12h30 : rencontre avec le Président de la République du Cameroun
Introduction par Michel Roussin, vice-président de MEDEF international. Brève restitution.
Intervention du président de la République du Cameroun S.E.M Paul Biya
Echange avec la salle (questions d’entreprises françaises)

12h30-14h30 : cocktail de réseautage offert par la présidence de la République du Cameroun

EN PARALLELE
13h : point de presse (Président de la République + Michel Roussin) 
Eventuels entretiens individuels entre les entreprises et les autorités camerounaises.

Published in Politique

Le cousin anglophone de votre magazine Investir au Cameroun a pris ses quartiers au Forum de Davos parmi le top mondial des décideurs politiques et économiques afin de promouvoir les opportunités d’investissement du pays des Lions indomptables.

Un numéro spécial de Business In Cameroon (photo), expose sur 48 pages les projets les plus avancés dans les secteurs des infrastructures, des mines, des énergies et de l’agriculture, dans la langue de Shakespeare, mondialisation oblige.

Le Forum de Davos 2013, qui se déroule en Suisse depuis mercredi, reçoit entre autres Angela Merkel, Mario Monti, David Cameron, Dmitri Medvedev, Alpha Condé, Jacob Zuma, Goodluck Ebele Jonathan, Pierre Moscovici, Nicolas Sarkozy et, bien-sûr, toute une pléiade de financiers et dirigeants de (très) grandes entreprises.

Published in Economie

Le marché des titres publics de la Banque des Etats de l’Afrique centrale, inauguré au dernier trimestre de l’année 2011 par l’Etat du Cameroun, a encore permis cette année au gouvernement camerounais de mobiliser 110 milliards de FCFA, à travers l’émission successive de bons du trésor assimilables. C’est le décompte effectué par le ministère des Finances en cette fin d’année.

Selon ce département ministériel, si aux 110 milliards de FCFA recueillis cette année l’on ajoute les 50 milliards de FCFA obtenus sur ce même marché fin 2011, la cagnotte de la contribution des titres publics au financement du budget de l’Etat du Cameroun est déjà de 160 milliards de FCFA en deux ans.

Cette année, selon la nouvelle loi des finances, l’Etat va repartir sur le marché financier pour tenter de lever 250 milliards de FCFA. 

Published in Finance

Viettel Cameroun sera le troisième opérateur de téléphonie mobile et premier titulaire de la 3G au Cameroun. Le ministre des Postes et des Télécommunications, Jean Pierre Biyiti bi Essam, l’a annoncé ce lundi 10 décembre 2012. Au moins trois journaux de la presse camerounaise l’ont d’ailleurs révélé hier matin avant l’annonce du ministre.

L’entreprise vietnamienne Viettel a produit la meilleure offre pour s’adjuger la troisième licence d’exploitation de la téléphonie mobile au Cameroun. Citant des sources internes au comité interministériel chargé du pilotage du projet d’ouverture du secteur de la téléphonie mobile au Cameroun, la presse camerounaise indique que la firme vietnamienne, qui est déjà présente au Mozambique, a devancé la société indienne Bharti Airtel et Maroc Télécom.

« Le soumissionnaire Viettel Cameroun Sarl, BP 87 Yaoundé, Cameroun, est déclaré adjudicataire de la concession pour l’établissement et l’exploitation d’un réseau de communications électroniques ouvert au public au Cameroun pour fournir des services de communications électroniques mobiles », précise le communiqué du ministre.

D’après le Minpostel, Viettel Cameroun s’engage à investir près de 200 milliards de FCFA, pour couvrir, dès le lancement de ses activités, 81% de tout le territoire camerounais avec les technologies mobiles de deuxième et troisième générations.

Viettel Cameroun Sarl est une société de droit camerounais, filiale du groupe Viettel, qui est le premier groupe vietnamien dans le secteur des télécommunications. Avec près de 60 millions d’abonnés, les opérations de Viettel couvrent actuellement, d’après le Minpostel, six marchés d’Asie, d’Amérique Latine et d’Afrique.

Depuis la privatisation du secteur des télécoms au Cameroun en 1999 avec la cession à l’entreprise sud africaine MTN (7 millions d’abonnés à nos jours) des actifs de la société publique Camtel Mobile, le secteur de la téléphonie mobile au Cameroun est contrôlé par un duopole constitué de MTN et Orange, filiale camerounaise de France Télécom-Orange.

Ces deux opérateurs sont régulièrement accusés d’entente pour maintenir les prix des communications relativement élevés. L’arrivée d’un nouvel opérateur, selon des sources au ministère des Postes et Télécommunications, vise à densifier la concurrence afin de provoquer une réduction des prix. 

Published in Télécom

Les opérateurs économiques ont importé du textile et autres produits dérivés, pour un montant total de 97 milliards FCFA en 2011. Ces chiffres sont révélés par le ministère camerounais du Commerce, qui montre ainsi l’extraversion de la consommation des produits textiles au Cameroun, pays producteur de coton, qui dispose par ailleurs d’une usine de transformation de coton, la Cotonnière industrielle du Cameroun (Cicam).

En précisant que la filière textile nationale contribue à hauteur de 14% au PIB industriel du Cameroun et à 4% au PIB global du pays, le ministère du Commerce soutien cependant que la filière textile camerounaise, outre la concurrence des produits importés qui freine son décollage, fait face à la faible synergie entre les producteurs de tissus, les confections et les créateurs.

La production cotonnière camerounaise est estimée cette année à 165 000 tonnes, selon la Société de développement du coton (Sodecoton). Elle devrait atteindre 200 000 tonnes l’année prochaine, selon les prévisions de cette entreprise, dont l’un des principaux clients au Cameroun est la Cicam, entreprise de fabrication des tissus qui, selon les statistiques du ministère du Commerce, ne tourne qu’à 50% de ses capacités, du fait de la concurrence farouche des tissus importés, notamment de la Chine.

BRM

Published in Industrie
mercredi, 05 décembre 2012 12:44

Hausse du prix du riz paddy au Cameroun

Après l’avoir abandonné pendant 23 ans, à cause des difficultés financières, la Société d’expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry) a relancé le 30 novembre dernier dans la localité de Vounaloum, près de Yagoua, les opérations d’achat de riz paddy auprès des producteurs artisanaux.

Une relance des activités dans ce segment qui va provoquer l’augmentation des revenus des producteurs. En effet, renseigne le préfet du département du Mayo Danay dont le chef lieu est Yagoua, « on bradait notre riz non décortiqué aux Tchadiens et aux Nigérians à 7000 FCFA le sac de 80 kilogrammes. Avec le rachat par la Semry à 150 FCFA le kilogramme, le prix d’un sac est de 12 000 FCFA », soit une augmentation d’environ 80%.

En relançant ainsi les opérations de rachat du riz paddy à décortiquer dans sa propre usine dès mars 2913, la Semry, indique son directeur général Marc Samatana, envisage d’atteindre dès l’année prochaine une production de 200 000 tonnes, et, dans les années à venir, de satisfaire progressivement la demande locale estimée à 300 000 tonnes et même d’envisager plus tard des exportations.

Le riz est la denrée alimentaire la plus importée au Cameroun. Selon les résultats de la balance des paiements publiée par ministère des Finances, 600 milliards FCFA ont été déboursés en 2010 par les opérateurs économiques pour les importations de riz.

BRM

Published in Agriculture

Le Bubinga sera désormais rare et cher sur le marché national et international. Cette essence forestière est interdite d’exploitation sur le territoire national et international depuis le 09 novembre 2012. Le ministre des Forêts et de la Faune, Philip Ngole Ngwese a signé un arrêté pour suspendre « à titre conservatoire », l'exploitation des essences forestières Bubinga et Wengue sur l'étendue du domaine national.

Le ministre indique que cette décision reste valable jusqu'à l'aboutissement de la procédure d'introduction de ces essences dans les annexes de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).

L’article 3 de l’arrêté précise néanmoins que les opérateurs économiques détenteurs des titres d'exploitation forestière dans le domaine national, en possession de stocks de Bubinga et de Wengue « doivent impérativement les déclarer auprès de l'administration en charge des Forêts dans un délai maximum d'un (01) mois à compter de la date de signature du présent arrêté, sous peine de sanctions prévues par les lois et règlements en vigueur ».

Le ministère des Forêts et de la Faune envisage d’accorder une autorisation spéciale d'évacuation de grumes aux détenteurs de stocks constitués dans les titres d'exploitation en cours de validité, après vérification effective de la provenance légale des bois sur le terrain.

700 000 FCfa/m3 

Très prisé par le public, le Bubinga est une essence rare qui sert à fabriquer des chaises, meubles, décors et divers objets de qualité. A titre d’illustration, les meubles fabriqués par cette essence sont les plus chers dans les magasins de Yaoundé. Sa beauté et sa durabilité font de cette essence une pièce recherchée. D’autres personnes lui accordent même le pouvoir de repousser les esprits maléfiques.

Le gouvernement veut davantage tirer profit de la vente de cette essence. Le ministre Philip Ngole Ngwese a écrit aux chefs de Brigade de contrôle et aux délégués régionaux de son département ministériel le 09 novembre dernier pour s’inquiéter des prix de vente de cette essence. « Il m’a été donné de constater qu’au cours des différentes ventes aux enchères publiques relatives à l’essence forestière Bubinga, les mises à prix pratiqués par vos services se situent entre 11 200 F.Cfa/m3 et 225 000 F.Cfa/m3, alors que l’on assiste à une flambée des prix de la ressource sur le marché tant national qu’international. Cette situation est de nature à favoriser l’exploitation illégale de cette ressource forestière qui occasionne des pertes économiques importantes pour le Cameroun », constate-t-il. D’où sa décision d’imposer que dorénavant « les mises à prix du Bubinga sous forme de grumes et de débités sont de 700 000 FCfa/m3 ».

Pour le ministre, cette décision va à la fois minimiser la coupe illicite de cette essence sur le territoire national et permettre à l’Etat d’engranger les moyens financiers substantiels sur la vente de cette essence.

Le Centre pour l’environnement et le développement (Ced) souhaite d’ailleurs que la réflexion se poursuive pour d'autres essences, comme le Moabi, dont l'exploitation intensive prive les communautés autochtones de moyens de subsistance.

Beaugas-Orain Djoyum

Published in Forêt

Le 17 septembre dernier, Camtel, qui détient à présent l’exclusivité du déploiement de la fibre optique au Cameroun, annonçait la découverte de l’installation illégale de la fibre optique sur certains axes de la route Yaoundé-Douala. L’opérateur étatique s’était alors plaint auprès du ministère des Postes et des télécommunications qui a saisi l’Agence de régulation des télécommunications (Art) pour y voir clair.

Du 24 au 26 septembre 2012, trois missions de contrôle de l’Art sont descendues sur le terrain et ont conclu que le promoteur de cette installation clandestine était Creolink Communications Ltd, un fournisseur d’accès internet détenteur d’une licence pour l’exploitation d’un réseau des télécommunications de première catégorie et dont les réseaux autorisés sont les réseaux V-SAT et radioélectrique de terre.

Les enquêteurs de l’Art ont constaté que la fibre optique installée était de six brins sur deux itinéraires de l’axe Yaoundé – Douala : « Yaoundé-Boumnyebel: pose de la fibre entre Yaoundé (Nkolbisson), le long de l’ancienne route nationale de Douala jusqu’à Matomb; puis vers Boumnyebel, le long du trottoir droit de l’axe lourd Yaoundé-Douala ; Douala-Edéa: déploiement de la fibre à partir de la gare de Japoma vers Edéa (le long de la voie ferrée de Loungahe à Malimba) ». 
L’Art constate également que le câble posé porte l’estampille « CREOLINK COMMUNICATIONS» et qu’il est fabriqué par « Ingelec (usine Imacab), Maroc 212 ».

Par ailleurs, les règles d’ingénierie de pose du câble souterrain ne sont pas respectées, car il n’y a pas de grillage avertisseur et les trous ont une profondeur de moins d’un mètre.

Dans un communiqué du Dga de l’Art, Zourmba Aboubakar, signé le 12 octobre dernier, les responsables de Creolink n’ont pas contesté leur implication. « Le directeur général de Creolink Communications Ltd a reconnu sans équivoque être le promoteur du projet illicite. Rappelant dans un plaidoyer-réquisitoire le traitement discriminatoire réservé aux exploitants et fournisseurs de service par les opérateurs, la mauvaise qualité de la bande passante, la tarification prohibitive et suicidaire, etc. Il a pris l’engagement de coopérer en transmettant le dossier technique et financier dudit projet à l’ART, et à se plier à la sanction éventuelle qui sera infligée », indique Zourmba Aboubakar. 

Pour l’Art, cette pose illicite porte atteinte, d’une part, aux dispositions de l’arrêté définissant le droit d’exclusivité de Camtel sur les transmissions interurbaines, et, d’autre part, du fait que l’établissement et l’exploitation de réseaux de transport de communications électroniques relèvent du régime de concession.

L’Art a mis en demeure cette société pour un arrêt des travaux sans délai, sous réserve de la sanction qui sera infligée conformément à la règlementation en vigueur.

Creolink Communications Ltd n’est pas le premier opérateur à avoir tenté de poser la fibre optique au Cameroun. En août 2009, l’Art avait exigé de Mtn Cameroon l’arrêt immédiat de l’installation d’une liaison interurbaine de 81 km de fibre optique d'une capacité de 36 brins à Douala.

Il existe en réalité en ce moment un flou sur l’existence d’une exclusivité de Camtel sur la pose de la fibre optique au Cameroun. C’est l'arrêté 005/MPT du 18 mai 2001 qui accorde à Camtel l’exclusivité du déploiement et de l’installation des liaisons interurbaines à fibre optique. Bien que cet arrêté soit arrivé à expiration, il reste en vigueur. Une convention de concession de deux ans avait été octroyée à Camtel en 2003, puis renouvelée en 2005. Depuis 2007, cette concession n’a plus été renouvelée. Généralement, les opérateurs veulent exploiter en leur faveur ce flou réglementaire. Mais, à l’Art et au Minpostel l’on indique que c’est le statu quo.

Beaugas-Orain Djoyum

Published in Télécom
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