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Yaoundé - 02 mai 2024 -

Kribi Conteneurs Terminal (KCT), le concessionnaire du terminal à conteneurs du port en eau profonde de Kribi, mis en service il y a un an dans la région du Sud du Cameroun, annonce la révision à la baisse de certains de ses tarifs au cours de ce 2e trimestre 2019. « Le second trimestre chez KCT est marqué par une baisse de tarif d’environ 15 % sur les prestations d’acconage et de relevage », révèle l’entreprise dans un communiqué.

À l’observation, cette mesure incitative vise à attirer davantage de clients sur le terminal à conteneurs de Kribi, afin d’accroître les performances réalisées au cours de la première année d’exploitation de cette plateforme. « Nous sommes fiers du parcours et des performances réalisées en un an », soutient néanmoins Philémon Mendo, le directeur général adjoint de KCT.

En effet, en 12 mois d’activités sur le terminal à conteneurs du port en eau profonde de Kribi, KCT, entreprise contrôlée par le consortium Bolloré-CHEC-CMA CGM, révèle avoir manutentionné 164 941 conteneurs équivalents 20 pieds, à l’import-export et en transbordement.

BRM

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Published in Entreprises

Le ministère de l’Eau et de l’Énergie (Minee) annonce la réception définitive du barrage de Mekin (15 MW) le 15 janvier 2020. La réception provisoire de cette infrastructure s’est déroulée les 21 et 22 janvier 2019. Mais ce barrage, d’un coût initial de 25 milliards de FCFA, fait face à de nombreux défis.

«Le groupe n° 2 ayant connu des anomalies plus sérieuses au niveau de son arbre, en mai 2018, est actuellement en cours de révision. La marche probatoire des groupes 1 et 3 a eu lieu avec succès du 01 au 14 novembre 2018. La réception en usine de ces travaux est prévue pour avril 2019», révèle le Minee.

En ce qui concerne le Plan de gestion environnementale et sociale (PGES), nos sources indiquent que tous les acteurs (Mintp, Minepded, Minfof, Mindcaf, Hydro-Mekin, entreprises cocontractantes, administrations et populations) sont en pleine collaboration pour la relocalisation des populations à déguerpir, la réhabilitation et la construction des ponts et la restructuration du réseau routier (33 km).

En outre, indiquent des sources, les paiements attendus par l’entreprise chinoise, China National Electric Engineering Corporation (Cneec), suite aux travaux complémentaires effectués dans le cadre du projet Mekin, feront l’objet d’une réunion stratégique. Elle se tiendra prochainement en Chine en présence des différentes parties prenantes.

Depuis 2015 que Hydro Mékin, en charge de l’exploitation du barrage hyponyme, annonce la mise en marche de cet ouvrage hydroélectrique en vain. En février 2018, après un autre rendez-vous manqué, une tentative de marche probatoire en îlotage de la centrale de Mekin s’est déroulée du 17 au 25 avril 2018 sans succès. Les villes de Meyomessala et de Sangmélima, dans le sud du pays, ont été alimentées. Mais des anomalies ont été constatées sur les groupes de la centrale.

S.A

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En procédant à la mise sous tension du barrage de Memve’ele (211 MW) le 16 avril à Nyabizan, dans la région du Sud, le ministre de l’Eau et de l’Énergie (Minee), Gaston Eloundou Essomba, a insisté sur l’impact positif du projet sur les finances publiques.

« Notre mix énergétique puise encore énormément à partir des centrales thermiques qui utilisent le gasoil. Ces centrales à gasoil nous coûtent en moyenne 1 milliard de FCFA chaque semaine. Avec les premiers mégawatts de Memeve’ele, le système a fait des économies de l’ordre de 30 millions de FCFA. Nous projetons des économies de l’ordre de 350 millions de FCFA par semaine avec la mise en service de Memve’ele », a affirmé le Minee. 

En un mois, l’État devrait économiser en moyenne plus de 1,5 milliard de FCFA et 18,2 milliards de FCFA au bout d’une année. Ce montant est largement au-dessus de ce dont a, par exemple, besoin (12,7 milliards de FCFA) l’État du Cameroun pour assister 74 994 personnes dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest en crise, sur la période 2018-2019.

Avec la mise sous tension du barrage, indique Gaston Eloundou Essomba, le réseau interconnecté sud du Cameroun reçoit désormais autour de 100 mégawatts de puissance. Ebolowa, la capitale du Sud, et ses environs reçoivent 7 MW. Ce réseau exclut le septentrion et la région de l’Est.

La mise en activité de cet aménagement hydroélectrique, d’un coût de 450 milliards FCFA, intervient près de sept ans après la pose de la première pierre, intervenue le 15 juin 2012.  

Sylvain Andzongo

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Le 16 avril 2019, au terme d’une série de tests effectués trois jours plus tôt, le ministre camerounais de l’Eau et de l’Énergie, Gaston Eloundou Essomba, a présidé sur le site abritant le barrage hydroélectrique de Memve’élé, dans la région du Sud du Cameroun, une cérémonie dite de « mise sous tension » de cette infrastructure énergétique, dont la mise en service est attendue depuis 2017.

Cette « mise sous tension », a-t-on appris, permet à cette infrastructure d’une capacité de production de 211 MW, d’injecter 80 premiers mégawatts dans le réseau interconnecté Sud, au profit des ménages et des entreprises.

Initialement annoncée pour la fin de l’année 2018, puis pour le premier trimestre 2019, cette opération effectuée à partir de la ville de Mbalmayo (la ligne de transport Mbalmayo-Yaoundé n’est pas encore construite) a finalement eu lieu le 16 avril dernier.

En clair, alors que sa mise en service est attendue depuis 2017, pour augmenter de plus de 200 MW les capacités de production du pays, le barrage de Memvé’élé ne joue toujours pas pleinement son rôle dans la lutte contre le déficit énergétique ambiant au Cameroun. La faute au retard pris dans la construction de la ligne de transport de 300 km, qui sépare la localité de Nyabizan (site du barrage) à Yaoundé, la capitale du pays.

Au regard de l’état d’avancement des travaux de construction de la ligne de transport, notamment entre la ville de Mbalmayo et la capitale, les responsables du projet Memvé’élé annoncent désormais la mise en service définitive au cours de l’année 2020, soit 8 ans après le lancement des travaux de construction du barrage.

Investissement d’un montant de près de 450 milliards de FCFA, l’aménagement hydroélectrique de Memvé’élé est cité dans un rapport de la Banque mondiale, comme étant l’un de ces projets camerounais, dont les coûts sont deux à six fois supérieurs à ceux de projets similaires, réalisés dans les pays ayant le même niveau de développement que le Cameroun.

Brice R. Mbodiam

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En 12 mois d’activités sur le terminal à conteneurs du port en eau profonde de Kribi, infrastructure mise en service en mars 2018 dans la cité balnéaire de la région du Sud du Cameroun, KCT, entreprise contrôlée par le consortium Bolloré-CHEC-CMA CGM, révèle avoir manutentionné 164 941 conteneurs équivalents 20 pieds, à l’import-export et en transbordement.

« Nous sommes fiers du parcours et des performances réalisées en un an. Notre stratégie de développement est basée dans son essence sur le respect du cahier des charges contenues dans le contrat de concession, à savoir l’exploitation du périmètre 1.2, la maintenance des équipements, le recrutement du personnel et l’installation de nos services à court terme. À moyen terme, la délocalisation vers le périmètre 2 de 675 mètres de digue et de 715 mètres de quai, avec rachat des équipements du périmètre 1.2 et la construction des bâtiments. À long terme, devenir un port de référence dans la sous-région en termes de qualité de service, politique des coûts avec possibilité d’effectuer des opérations off-shore », confie Philémon Mendo, le directeur général adjoint de KCT.

À côté de ses performances opérationnelles, le concessionnaire du terminal à conteneurs du port en eau profonde de Kribi revendique le paiement de 400 millions de FCFA d’impôts et taxes aux services dédiés de l’administration publique, au cours de sa première année d’activités.

BRM

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C’est une partie à deux qui se joue en ce moment autour du bloc rutilifère de près de 500 000 tonnes à Akonolinga, à l’est de Yaoundé, la capitale du Cameroun.

Gabriel Dodo Ndoke, le ministre en charge des Mines, a signé le 11 avril dernier un communiqué désignant le Français Eramet et le Portugais BWA Group PLC comme entreprises présélectionnées en vue de l’attribution des titres miniers sur ce bloc rutilifère.  

Nul ne peut encore dire lequel des deux candidats sera définitivement retenu par le gouvernement camerounais. Mais les deux postulants disposent de solides arguments pour rafler la mise.

Eramet  est un leader mondial des métaux d’alliages (notamment le manganèse et le nickel) et de la métallurgie. Il opère au Gabon voisin à travers sa filiale dénommée Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog).

Pour sa part, BWA Group, dont le siège se trouve à Lisbonne au Portugal, exerce également dans la branche de la métallurgie et des minerais. Sa plus grande expérience en Afrique est un projet minier mené en Égypte.

Le rutile est connu au Cameroun depuis le début du siècle. Mais il n’a été exploité qu’entre 1935 et 1955. Selon le ministère camerounais des Mines, la production totale de rutile recensée depuis le temps est de près de 15 000 tonnes avec une exploitation essentiellement artisanale. Pourtant, le Cameroun estime son potentiel rutilifère à 2 849 000 tonnes. Un chiffre qui fait du pays, la deuxième réserve mondiale en rutile, juste derrière la Sierra Leone.

Sylvain Andzongo

Published in Mines

Selon Phillip Gallagher, directeur général de la junior minière australienne Canyon Resources, détentrice de trois licences d’exploration sur les gisements de bauxite de Minim Martap et de Ngaoundal, dans la région de l’Adamaoua, dans la partie septentrionale du Cameroun, « le projet Minim Martap pourrait devenir l’un des gisements de bauxite les plus importants et les plus riches au monde, et il se situe à proximité d’infrastructures ferroviaires opérationnelles et accessibles ». 

Phillip Gallagher a fait cette déclaration, ce 12 avril 2019, sur la plateforme britannique Proactiv Investors, au terme de nouvelles analyses ayant permis d’« identifier plus de 70 autres plateaux de bauxite répartis sur trois permis dans le projet Minim Martap au Cameroun, à l'aide d'un système d'imagerie, de détection et de télémétrie (LiDAR), et d'un sondage orthophotographique à haute résolution », apprend-on. 

« La société [Canyon Resources, NDLR] a traité les données de l'enquête dans un modèle d'altitude (DEM) extrêmement précis et détaillé. Cela a permis d'identifier la taille, l'emplacement et l'altitude des autres plateaux sur les permis Minim Martap, Makan et Ngaoundal, qui ne sont pas déjà inclus dans l'estimation des ressources minérales existantes du projet », révèle Proactiv Investors, avant de préciser : « aucun des nouveaux plateaux ne fait partie des 550 millions de tonnes de ressources, avec une teneur moyenne en oxyde d’aluminium totale de 45,5% et un total de 2,06% en oxyde de silicium. Moins de 35% des plateaux cibles de Minim Martap ont été testés ». 

Le 12 mars 2019, cette junior minière avait déjà publié les premiers résultats de ses activités d’exploration sur le gisement de bauxite de Minim-Martap, lesquelles activités avaient permis d’« identifier une ressource de bauxite à très haute teneur, de près de 251 millions de tonnes sur les 550 millions de tonnes existantes du projet Minim Martap ». « Un examen détaillé de l'exploration effectuée par SRK Consulting [avait alors] confirmé que plus de la moitié de la zone forée pour les ressources en vrac, contient plus de 50% d'oxyde d'aluminium (Al2O3), avec une très faible quantité de contaminants ».

Toutes choses qui font dire à l’explorateur australien que Minim Martap est un gisement de « classe mondiale », très « riche » par ailleurs. 

Pour rappel, c’est le 11 juillet 2018 que le gouvernement camerounais a délivré à la société Camalco, filiale camerounaise de la junior minière australienne Canyon Resources, trois licences d’exploration des gisements de bauxite de Minim Martap et de Ngaoundal, consacrant ainsi le retrait de ces licences à la société Cameroon Alumina (CAL). Cette entreprise, fruit d’une joint-venture entre l’américain Hydromine, l’émirati Dubal Alumina et l’indien Hindalco, n’a pas pu conclure une convention minière avec l’Etat camerounais, après plusieurs années de négociations. 

Le 17 septembre 2018, dans la localité de Minim Martap, la filiale locale de Canyon Resources a procédé au lancement de « la dernière phase de recherche », avant le développement des gisements de bauxite de Minim Martap et de Ngaoundal, en présence du ministre camerounais des Mines de l’époque. 

En reprenant ainsi les permis sur les gisements de bauxite de Ngaoundal et de Minim Martap, après un peu plus de 2 années de négociations avec les autorités camerounaises, l’australien Canyon Resources s’est officiellement engagé à mobiliser plus de 6 milliards de francs CFA, afin de remplir un cahier des charges qui s’étend sur une période de 3 ans, non renouvelable.

Brice R. Mbodiam

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Published in Mines

Célestine Ketcha Courtès (photo), ministre en charge de l’Habitat (Minhdu) a déjà tenu deux réunions publiques entre fin mars et début avril afin de résoudre, entre autres, le problème des habitations situées sur l’emprise de l’autoroute en construction, Yaoundé-Nsimalen, d’un linéaire de près de 11 km dans la section rase campagne.

Le 26 mars dernier, le membre du gouvernement a pris acte de la disponibilité des fonds destinés au paiement des indemnisations pour les 100 premiers mètres déjà libérés dans la section rase campagne. Ensuite, elle a ordonné que dans un délai de 72 heures, le problème soit réglé pour les 300 autres mètres.

Seulement, malgré les 72 heures prescrites pour libérer le site où est construite l’autoroute Yaoundé-Nsimalen, Mme Ketcha Courtès a été obligée d’organiser le 4 avril, à Ahala, banlieue de Yaoundé, une autre réunion de consultations publiques des riverains. La Minhdu a invité les populations à trouver un site de relocalisation provisoire de l'Ecole publique située sur l'emprise au niveau de l'échangeur de Meyo. Une fois de plus, elle a demandé que les habitations sur l’emprise de l’autoroute soient démolies dans les plus brefs délais.

Mais, il se trouve que des riverains revendiquent toujours le paiement des indemnisations. Et pourtant, le gouvernement, lui, rétorque qu’à la 3ème phase de l’opération, 179 personnes ont encaissé une enveloppe globale de près de 1,4 milliard FCFA.

D’un coût total de 189,8 milliards FCFA, le projet de l’autoroute Yaoundé-Nsimalen a démarré le 2 mai 2014 pour une durée de 36 mois. Les travaux auraient dû s’achever depuis mai 2017. Cela afin de relier la capitale du Cameroun Yaoundé et l’aéroport international de Nsimalen.

S.A

Published in Grands Travaux

Une délégation d’investisseurs indiens de la société Sapooji-Polonji vient de séjourner dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, afin de prospecter un site pouvant permettre d’implémenter un projet de production de riz, sur une superficie de 10 000 hectares.

Selon les informations révélées par l’hebdomadaire régional L’œil du Sahel, les périmètres rizicoles devraient être aménagés à cet effet, dans la localité de Karam, dans le département du Logone-et-Chari.

Le projet, dont les contours financiers n’ont pas été révélés, devrait permettre d’augmenter la production du riz dans le pays, la Société d’expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry), le principal producteur national, affichant une production d’à peine 100 000 tonnes l’an, contre une demande nationale de plus de 300 000 tonnes.  

BRM

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Published in Agriculture

Le gouvernement camerounais vient de soumettre un nouveau code pétrolier à l’examen des parlementaires. Selon l’explosé des motifs de ce projet de loi, le nouveau texte vise à «relancer l’exploitation des hydrocarbures, améliorer le niveau de leur production, accroître les revenus de l’Etat et l’épanouissement des populations riveraines des champs pétroliers ».

Concrètement, le nouveau code pétrolier en gestation prévoit, en faveur des compagnies pétrolières, la simplification des procédures, des régimes fiscal, douanier et de change ; et autorise désormais l’exploitation conjointe des blocs faisant l’objet de contrats distincts.

En clair, s’il est voté par le Parlement, le nouveau code, qui sera ensuite promulgué par le chef de l’Etat dans un délai de 15 jours, se veut plus attractif pour les investisseurs, qui auront désormais des obligations de transparence et de développement des communautés riveraines des champs pétroliers.

BRM

Published in Hydrocarbures
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